La fac se gèle
communication.sciences
Created on September 11, 2020
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Transcript
Prêt.e ?
Saurez-vous empêcher la catastrophe ? Un jeu immersif en ligne pour découvrir la Faculté des Sciences d’Orsay... à -200°C.
Vous embarquez pour une aventure virtuelle qui durera à peu près 1 heure. N’oubliez pas de mettre le son ! Test son : Votre parcours sera semé d’énigmes. Si vous êtes bloqué.e, vous pouvez avoir recours aux indices qui vous sont proposés. Si vous souhaitez en savoir plus, vous trouverez des bonus après chaque épreuve. À la toute fin du jeu, Vous pourrez mettre vos connaissances à l’épreuve du quiz du "big boss". Si vous êtes pressé.e vous pouvez allègrement passer ces bonus.
Avant toute chose :
Bienvenue à l'Université Paris-Saclay
Une visite... qui va dégénerer.
La fac !
La fac !
La fac !
Cliquez sur le clavier de la mallette pour rentrer les codes.
Cliquez sur ces bâtiments sur le plan pour accéder aux 4 énigmes et récupérer les codes.
Les 4 numéros correspondent aux numéros de 4 bâtiments sur le plan.
Le code pour "femtomètre" se trouve à ALTO, bâtiment 100. Le code pour "nanomètre" se trouve au LPS, bâtiment 510. Le code pour "mètre" se trouve au FAST, bâtiment 530. Le code pour "AL" se trouve à l'IAS, bâtiment 121.
LPS (Laboratoire de Physique des Solides)
Bâtiment 510
Observez attentivement ce schéma :
Cliquez dans cet ordre :
le code : bismuth
circuit branché
Pour en savoir plus :
ALTO (Accélérateur Linéaire et Tandem à Orsay)
Bâtiment 100
Avez-vous trouvé le code dans la vidéo ?Sinon regardez-la à nouveau...
Pour en savoir plus :
_ . . . _ _ _ . . . _ _ _ _ .
(À moins que vous ne soyez bilingue en morse, aidez-vous d'Internet)
La lumière rouge à la fin de la vidéo est un signal en morse : À vous de le traduire !
IAS (Institut d'Astrophysique Spatiale)
Bâtiment 121
Le code est dans l'image ...
Voici le fond diffus cosmologique mesuré par le satellite Planck :
Pour en savoir plus :
Attention, entrer le code en minuscules !
C'est vrai qu'il était bien Plancké ...
-... --- ... --- -.
FAST(Fluides, Automatique, Systèmes Thermiques)
Bâtiment 530
Sur la viscosité de la gélatine
Sur des sous-marins transparents
Sur le sillage des bateaux
Sur l'adhésion liquide-solide
Sur les vagues solitaires
Sur les colles liquides
Sur les ouragans
Sur quoi travaille le labo 1 ?
BRAVO !!!
Sur la simulation des tsunamis
Sur la simulation des cascades
Sur la simulation des avalanches
Sur l'écoulement des chasses d'eau
Sur le mouvement de bancs de poissons
Sur la simulation de spots de surf
Sur l'amortissement de tirs au pistolet
Mais du coup, sur quoi travaille le labo 2 ?
Encore BRAVO !!!
Sur l'origine des cyclones
Sur les mouvements en apesanteur
Sur le fonctionnement de machines à laver
Sur des sculptures liquides
Sur des nouvelles méthodes pour sécher
Sur le sillage des bateaux
Sur la simulation de manèges
Mais alors, sur quoi travaille le labo 3 ?
Le code est à vous :
BRAVO !!!
soliton
Sur le simulateur de tsunamis
Sur la création de vagues solitaires
Faire tourner les fluides
Quelques infos bonus :
Des tsunamis en labo !
Les chercheurs ayant conçu cette expérience étudient la rhéologie des granulaires, c’est à dire comment s’écoulent des billes ou des grains dans différentes situations. Dans l’expérience vue dans la vidéo, des tas de billes sont soudainement lâchées dans de l’eau colorée et provoquent alors un mini-tsunami. Les chercheurs ont découvert que la forme du tsunami dépend seulement du volume total occupé par les billes, mais ni de leur densité, ni de leur diamètre. Cette expérience permet de mieux comprendre l’amplitude de tsunamis bien réels ayant eu lieu dans le passé. Elle permet aussi de simuler à petite échelle des événements futurs et d’avoir à l’avance une idée du genre de vagues que pourraient créer certains effondrements, par exemple dans les Açores ou en Floride. Les chercheurs : Y. Bertho, P. Gondret, C. Morize, M. Robbe-Saule, A. Sauret, A. Hildenbrand, W. Sarlin
Une vague solitaire !
Au cours de sa thèse, Marine Aulnette étudie la génération de vagues. Elle est parvenue, en faisant souffler du vent sur un liquide très visqueux, à créer un type de vague très particulier, le soliton. Cette vague est solitaire, elle se déplace toute seule ! Lorsque le vent souffle à la surface d'un liquide, des vagues se forment. Mais quand le liquide est 100 fois plus visqueux que l’eau, les vagues se déstabilisent et forment des sortes de plis très localisés. Ces vagues solitaires sont appelées solitons. Elles avancent à grande vitesse, poussées par le vent. Dans l’équipe où Marine Aulnette fait sa thèse, on étudie justement ces solitons, leur forme, leur vitesse et leur profil pour mieux les comprendre et les prédire. Les chercheurs : M. Aulnette, M. Rabaud, F. Moisy.
Faire tourner des fluides !
Dans la vidéo, on voit fonctionner une plateforme tournante appelée “gyroflow”. D'un diamètre de 2 m, elle est capable d’embarquer jusqu’à 1 tonne à une vitesse de rotation de 30 tours/minute ! Elle permet d’étudier le mouvement des liquides en rotation. Ces mouvements, eux-mêmes induits par des objets en mouvement sur la plateforme tournante, sont mesurés grâce à des caméras et un laser embarqués. Les chercheurs utilisent cette expérience pour simuler les écoulements géophysiques et astrophysiques influencés par la rotation de la Terre, de la planète ou de l’étoile à travers la force de Coriolis. Ces écoulements s’observent dans les océans, l’atmosphère, le cœur liquide de la Terre et même ailleurs dans l’Univers comme dans les planètes gazeuses telle Jupiter. Ces expériences permettent de mieux comprendre ces écoulements complexes, souvent instables et turbulents et participent à l’amélioration des modèles prédisant le futur climat terrestre. Les chercheurs : E. Monsalve, M. Brunet, P.-P. Cortet, F. Moisy
ATTENTION !!! ENTRER LES CODES EN minuscules SANS ESPACE À LA FIN
ATTENTION !!! ENTRER LES CODES EN minuscules SANS ESPACE À LA FIN
ATTENTION !!! ENTRER LES CODES EN minuscules SANS ESPACE À LA FIN
ATTENTION !!! ENTRER LES CODES EN minuscules SANS ESPACE À LA FIN
La fuite d'azote est réparée, bien joué !
La fac !
Lunettes et gants enfilés, vous êtes prêt.e !
Que faites-vous ?
Je mets le supra sous un gobelet
Je remplis avec de l'azote liquide
Je mets l'aimant sous un gobelet
Bien joué ! Et maintenant...
Que faites-vous ?
Je mets une cale sous le gobelet
Je remplis le gobelet d'azote
Bien joué ! Et maintenant...
Que faites-vous ?
Je fais tourner le hula hoop
Je remplis le gobelet d'azote
Bien joué ! Et maintenant...
Que faites-vous ?
J'enlève la cale
J'ajoute un peu d'eau
Bien joué ! Et maintenant...
Je balance le hula hoop par petites vibrations
Je balance le hula hoop par grandes oscillations
Que faites-vous ?
SOLD OUT
SOLD OUT
SOLD OUT
SOLD OUT
SOLD OUT
SOLD OUT
Bravo ! Vous avez sauvé la fac et démasqué les saboteurs de la citerne d'azote, les tronches brûlées !
Bon retour, le RER est juste là.
Ça suffit, merci !
Bien sûr !
Parviendrez-vous à résoudre le "quiz du boss"avant votre arrivée ?
Le quiz, c'est par içi !
Revoir les vidéos bonus.
Vous avez fait le quiz et vous avez votre score ? Voyez ce que vous avez gagné à la page suivante !
Le score maximal de 9 :
Entre 7 et 8 :
Entre 4 et 6 :
Vous gagnez 1 poster dédicacé par le scientifique du début.
Vous gagnez l’installation d’une arrivée d’azote liquide directement dans votre salon !
Vous gagnez une place pour la Fête de la Science en présentiel (mais en 2028, à la fin du covid).
Vous gagnez 4 heures de conférence exclusive avec le scientifique du début.
3 ou moins :
Vous avez obtenu :
Un petit mot sur notre livre d'or ?
Faire tourner les fluides
Sur la création de vagues solitaires
Sur le simulateur de tsunamis
au FAST
à l'IAS
à ALTO
au LPS
Les infos bonus :
Des tsunamis en labo !
Les chercheurs ayant conçu cette expérience étudient la rhéologie des granulaires, c’est à dire comment s’écoulent des billes ou des grains dans différentes situations. Dans l’expérience vue dans la vidéo, des tas de billes sont soudainement lâchées dans de l’eau colorée et provoquent alors un mini-tsunami. Les chercheurs ont découvert que la forme du tsunami dépend seulement du volume total occupé par les billes, mais ni de leur densité, ni de leur diamètre. Cette expérience permet de mieux comprendre l’amplitude de tsunamis bien réels ayant eu lieu dans le passé. Elle permet aussi de simuler à petite échelle des événements futurs et d’avoir à l’avance une idée du genre de vagues que pourraient créer certains effondrements, par exemple dans les Açores ou en Floride. Les chercheurs : Y. Bertho, P. Gondret, C. Morize, M. Robbe-Saule, A. Sauret, A. Hildenbrand, W. Sarlin
Une vague solitaire !
Au cours de sa thèse, Marine Aulnette étudie la génération de vagues. Elle est parvenue, en faisant souffler du vent sur un liquide très visqueux, à créer un type de vague très particulier, le soliton. Cette vague est solitaire, elle se déplace toute seule ! Lorsque le vent souffle à la surface d'un liquide, des vagues se forment. Mais quand le liquide est 100 fois plus visqueux que l’eau, les vagues se déstabilisent et forment des sortes de plis très localisés. Ces vagues solitaires sont appelées solitons. Elles avancent à grande vitesse, poussées par le vent. Dans l’équipe où Marine Aulnette fait sa thèse, on étudie justement ces solitons, leur forme, leur vitesse et leur profil pour mieux les comprendre et les prédire. Les chercheurs : M. Aulnette, M. Rabaud, F. Moisy.
Faire tourner des fluides !
Dans la vidéo, on voit fonctionner une plateforme tournante appelée “gyroflow”. D'un diamètre de 2 m, elle est capable d’embarquer jusqu’à 1 tonne à une vitesse de rotation de 30 tours/minute ! Elle permet d’étudier le mouvement des liquides en rotation. Ces mouvements, eux-mêmes induits par des objets en mouvement sur la plateforme tournante, sont mesurés grâce à des caméras et un laser embarqués. Les chercheurs utilisent cette expérience pour simuler les écoulements géophysiques et astrophysiques influencés par la rotation de la Terre, de la planète ou de l’étoile à travers la force de Coriolis. Ces écoulements s’observent dans les océans, l’atmosphère, le cœur liquide de la Terre et même ailleurs dans l’Univers comme dans les planètes gazeuses telle Jupiter. Ces expériences permettent de mieux comprendre ces écoulements complexes, souvent instables et turbulents et participent à l’amélioration des modèles prédisant le futur climat terrestre. Les chercheurs : E. Monsalve, M. Brunet, P.-P. Cortet, F. Moisy