Copie - Résistance Janson

L'appel du 18-Juin - La Grande Explication

À quoi ça sert ?Poser une plaque commémorative, c'est exprimer l'importance qu'un événement ou une personnalité du passé représente pour la société actuelle. Les plaques commémoratives servent de lieu de recueillement, soit individuellement, soit collectivement lors de cérémonies du souvenir qui sont l'occasion de les fleurir pour montrer que la volonté de faire vivre et de transmettre cette mémoire se perpétue dans le temps.Les plaques commémoratives nous renseignent donc sur deux dimensions : - L'histoire d'un lieu, d'un phénomène, d'un événement, d'un groupe ou d'individus, à partir des informations inscrites sur la plaque.- La trace laissée par cette histoire dans la mémoire collective, qui transparaît à la fois dans la présence de la plaque et dans le "récit" forcément partiel qu'elle contient

Plaques commémoratives de la Résistance à Janson de Sailly

C'est quoi ? Ces plaques, visibles de tous sur les murs de la cité scolaire, rendent hommage à des élèves ou anciens élèves de Janson de Sailly qui se sont illustrés par des faits de résistance pendant la Seconde Guerre mondiale. La plupart d'entre eux sont morts pour leur engagement. Elles comportent toujours du texte, parfois une illustration. Le texte indique l'identité de la personne ou des personnes honorées, des dates marquantes, et éventuellement des informations plus détaillées (récit, citation, titres honorifiques...). Le commanditaire de la plaque ou la date à laquelle elle a été posée sont rarement précisés.

HALL D'ACCUEIL

GYMNASE

COUR D'HONNEUR

COUR DES CLASSESPRÉPARATOIRES

Traces de la Résistance à Janson de Sailly

Camarades morts au champ d'honneur

Jacques Bingen

Raoul Nordling

Pierre Brossolette

11 novembre 1940

Maurice de Seynes

2ème Bataillon de choc

Réseaux de résistance

Maquis

Appel du 18 juin : À Londres, Le général de Gaulle fonde la France libre

Cliquer pour en savoir plus sur la création de la France libre par le général de Gaulle

Conseil national de la Résistance (CNR)

Gouvernement provisoire de la République française (GPRF)

Le commandement de l'Afrique du Nord française rejoint les Alliés et fusionne avec

6 juin 1944 : Débarquement allié en Normandie, c'est le début de la Libération avec la participation de la Résistance extérieure (Armée française de la Libération) et de la Résistance intérieure (FFI)

Gouvernement en exil du général de Gaulle

Résistance extérieure

Résistance intérieure

regroupe sous l'autoritédu général de Gaulle...

Juin-Juillet : En métropole, des individus d'abord isolés s'organisent contre l'occupant et le régime de Vichy

Mouvements de résistance

Forces françaises de l'intérieur(FFI)

Cliquer pour en savoir plus sur les FFI et l'unification de la Résistance

coordonne pour des missions de renseignement et d'action

Armée française de la Libération

Forces françaises libres (FFL)

crée

... puis fusionne dans

Cartesrepères :La France dans la guerre

Cliquer pour comprendre la différence entre les réseaux et les mouvements

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Septembre 1940 : La France divisée entre "zone occupée" et "zone occupée" ; la majorité de l'Empire colonial contrôlée par le régime de Vichy, sauf quelques colonies qui ont rallié la France libre

Juin-août 1944 : Du débarquement allié en Normandie à la Libération de Paris

Cliquer pour en savoir plus sur les FFL et l'Armée française de la Libération

Cliquer pour en savoir plus sur le CNR et l'unification de la Résistance

Début 1945 : La France libérée, les Alliés progressent vers l'Est

Novembre 1942 : Débarquement allié au Maroc et en Algérie ; Occupation de la "zone libre" par les nazis

Groupe 1A

Groupe 1B

Partie 1 : Portail Chemins de mémoire

Partie 2 : Musée de la Résistance en ligne

Un site pédagogique créé par le ministère des Armées

Un site pédagogique créé par la Fondation de la Résistance

Partie 1 : Portail Chemins de mémoire

Partie 2 : Musée de la Résistance en ligne

Un site pédagogique créé par le ministère des Armées

Un site pédagogique créé par la Fondation de la Résistance

Groupe 2A

Groupe 2B

Groupe 2C

Partie 2 : Musée de la Résistance en ligne

Un site pédagogique créé par la Fondation de la Résistance

Une page créée pour ce projet des 3ème de Janson à partir de sites scientifiques et pédagogiques

Partie 1 : Pierre Brossolette dans la Résistance

Des pages créées pour ce projet des 3ème de Janson à partir de sites scientifiques et pédagogiques

Partie 2 : Chronologie et organisation de la Résistance

Partie 1 : Pierre Brossolette dans la Résistance

Partie 2 : Musée de la Résistance en ligne

Un site pédagogique créé par la Fondation de la Résistance

Une page créée pour ce projet des 3ème de Janson à partir de sites scientifiques et pédagogiques

Partie 1 : Pierre Brossolette dans la Résistance

Juin-Août 1940. Combat comme lieutenant dans la Drôle de guerre.Août 1940 : De retour à Paris, achète avec son épouse une librairie située rue de la Pompe, en face du lycée Janson de Sailly. Cette librairie sert rapidement de lieu de rencontres et d'échanges clandestins pour la Résistance.Hiver 1940-1941. Pierre Brossolette participe à un réseau de résistance parisien, le Groupe du musée de l'Homme, qui publie le journal clandestin Résistance et effectue des missions de renseignement et d'évasion pour la France libre. Mais ce réseau s'effondre car la plupart de ses membres sont arrêtés et fusillés ou déportés.1941-1942. Membre d'un grand réseau de résistance en zone occupée, la CND, où il a plusieurs fonctions. Il dirige la presse et la propagande du réseau. Il organise les liaisons entre plusieurs mouvements de résistance et la France libre. Il envoie des rapports aux dirigeants de la France libre, sur la société française, la situation politique, la Résistance...Avril 1942. Voyage à Londres en tant que représentant des mouvements de résistance de la zone occupée. Il est nommé commandant dans les services secrets de la France libre, avec la mission de rentrer en France pour convaincre des personnalités importantes de rallier le général de Gaulle.Mai 1942. Parachuté en France, Pierre Brossolette entre dans la clandestinité et fait sortir sa famille de France pour échapper à la Gestapo, qui le surveille.Automne 1942. S'engage officiellement dans les Forces françaises libres, à Londres. Il devient le numéro 2 des services secrets. Son rôle est de faire la liaison entre la Résistance extérieure et la Résistance intérieure. Il commence aussi à parler sur Radio Londres, la "voix de la France" écoutée clandestinement en France occupée.Janvier-avril 1943. 2ème mission clandestine en France occupée. Avec le colonel Passy, chef des services secrets, Pierre Brossolette unifie la Résistance en zone Nord. Les 5 principaux mouvements de la zone agissent désormais de façon coordonnée, sous l'autorité du Conseil national de la Résistance qui est fondé en mai 1943.Septembre 1943-Mars 1944. 3ème et dernière mission en France occupée. Pierre Brossolette aide à réorganiserla Résistance en zone occupée pour préparer la Libération. Il est capturé par les nazis alors qu'il tentait de repartir en Angleterre. Soumis à la torture, il ne livre aucun nom et finit par sauter du 4ème étage de l'immeuble de la Gestapo à Paris.

Pierre Brossolette dans la Résistance

Né à Paris en 1903, Pierre Brossolette est élève au lycée Janson de Sailly puis poursuit de brillantes études et devient journaliste. Il est également militant socialiste. Il entre dans la Résistance dès la fin 1940. Le général de Gaulle le nomme Compagnon de la Libération en 1942. Il meurt à Paris en 1944, après avoir sauté par une fenêtre pour échapper à la Gestapo.Ses cendres reposent au Panthéon depuis 2015, en hommage à son engagement qui a contribué à la Libération de 1944-1945.

Sources :

PierreBrossolette.com

Musée de la Résistance en ligne

Fondation de la France libre

SciencesPo.fr

Cliquer pour découvrir la différence entre les deux types de groupes de la Résistance intérieure

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Quizz sur la Résistance intérieure : Quelle est la différence entre les réseaux de résistance et les mouvements de résistance ?

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Groupe 3A

Groupe 3B

Partie 1 : Musée de l'Ordre de la Libération

Une page créé pour ce projet des 3ème de Janson, à partir de sites scientifiques et pédagogiques

Un site d'information sur l'ordre créé par le Général de Gaulle en 1940

Partie 2 : L'unification de la Résistance

Partie 2 : L'unification de la Résistance

Partie 1 : Musée de l'Ordre de la Libération

Une page créé pour ce projet des 3ème de Janson, à partir de sites scientifiques et pédagogiques

Un site d'information sur l'ordre créé par le Général de Gaulle en 1940

L'unification de la Résistance

Même si la France Libre en exil a rapidement des liens avec la Résistance intérieure, c'est seulement dans la seconde partie de la guerre que les résistants de l'extérieur et de l'intérieur s'unissent officiellement sous l'autorité du général de Gaulle.

Mai 1943 : L'unité politique au sein du Conseil national de la Résistance (CNR)Sur le territoire français, la Résistance est divisée entre des réseaux rattachés aux services d'espionnage alliés et des mouvements autonomes, eux-mêmes divisés entre la zone sud et la zone nord.Jacques Bingen, un des chefs du renseignement français à Londres, conseille de créer une direction commune pour les rassembler. Cette mission est confiée à Jean Moulin, qui part en France comme représentant du général de Gaulle.Le 23 mai 1943, Jean Moulin organise à Paris la première réunion du Conseil national de la Résistance (CNR). Les participants sont des représentants des principaux mouvements et réseaux de résistance, mais aussi des syndicats et des partis politiques d'avant-guerre hostiles au régime de Vichy. Ils reconnaissent le général de Gaulle comme chef de la Résistance.Jean Moulin, premier président du CNR, meurt en juillet 1943 à la suite à son arrestation par les nazis. Mais le CNR continue de préparer la reconstruction politique de la France jusqu'au lendemain de la guerre.Février 1944 : L'unité militaire avec les Forces françaises de l'Intérieur (FFI)Les Forces Françaises de l’Intérieur sont créées par Jacques Bingen pour unifier l’ensemble des forces paramilitaires de la Résistance intérieure. Les FFI ont plusieurs missions en vue de contribuer à la Libération : intensifier les sabotages sur les arrières de l’ennemi, neutraliser les voies de communication, freiner la progression ennemie par des actions de guérilla. Elles intensifient ces actions lors du débarquement des Alliés en Normandie (juin 1944). Après la libération de Paris, le 25 août 1944, le général de Gaulle incorpore les FFI dans l’armée régulière pour poursuivre les combats.

Sources :

Centre d'Histoire de la Résistance et de la Déportation

Centre Régional "Résistance & Liberté"

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Groupe 4A

Groupe 4B

Un site permettant d'explorer les archives du ministère des Armées

Partie 1 : Portail Mémoire des hommes

Partie 1 : Portail Mémoire des hommes

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Un site permettant d'explorer les archives du ministère des Armées

Partie 2 : Chronologie et organisation de la Résistance

Groupe 5A

Groupe 5B

Groupe 5C

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Partie 1 : Le régiment d'aviation Normandie-Niémen

Le régiment d'aviation Normandie-Niémen

Les FFL, forces armées de la Résistance extérieureLes Forces françaises libres sont l'armée de la France libre du général de Gaulle. Ses soldats sont donc des "résistants de l'extérieur" : ils se battent aux côtés des armées alliées pendant que les "résistants de l'intérieur", eux, luttent clandestinement en France.À l'été 1943, les FFL fusionnent avec l'armée d'Afrique du Nord (qui rallie à son tour la France libre) pour former l'Armée française de la Libération. Mais on continue de parler d'unités FFL, ou d'unités FAFL pour l'aviation.

Sources :

Ordre de la Libération

Fondation Charles de Gaulle

Chemins de mémoire

Le régiment Normandie-Niémen : des soldats français intégrés à l'Armée rouge...Jusqu'en 1942, les FFL combattent les armées de l'Axe essentiellement en Afrique. Mais quand l'URSS entre en guerre contre l'Allemagne nazie à la suite de l'opération Barbarossa, le général de Gaulle contacte Staline pour lui proposer l'aide de l'aviation française. Le régiment de chasse Normandie, des FAFL, quitte ainsi sa base au Liban pour rejoindre l'URSS fin 1942. La soixantaine de pilotes et mécaniciens qui le composent sont les seuls soldats FFL à combattre sur le front de l'Est durant toute la guerre. Ils représentent peu de chose parmi les millions de soldats de l'Armée rouge. Pourtant, ce régiment a une importance stratégique pour la France libre.

Le régiment Normandie-Niémen appartient aux Forces aériennes françaises libres (FAFL), une des trois composantes des Forces françaises libres (FFL) avec les forces terrestres et les forces navales.

Graphiques des manuels Hachette et Hatier, d'après les estimations de J.-F. Muracciole

... dans un but à la fois militaire et politiqueMilitairement, il aide l'URSS à remporter de nombreuses batailles contre les Allemands, dont une qui conduit Staline à lui décerner le titre de "Régiment du Niémen". Dès lors, le régiment prend le nom de Régiment Normandie-Niémen.Politiquement, il permet de montrer que la France libre se bat sur tous les fronts, avec tous les Alliés, et qu'elle doit donc être reconnue comme une puissance victorieuse à la fin de la guerre. Ce qui n'a rien d'évident à l'époque puisque la France de Vichy est du côté des futurs vaincus, les nazis. En 1944, le régiment Normandie-Niémen est fait Compagnon de la Libération par le général de Gaulle.

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Partie 1 : Dossiers individuels du Service historique de la Défense

Archives en ligne du ministère des Armées

Partie 2 : Chronologie et organisation de la Résistance

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Partie 1 : Dossiers individuels du Service historique de la Défense

Archives en ligne du ministère des Armées

Partie 2 : Chronologie et organisation de la Résistance

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Groupe 6A

Groupe 6B

Partie 1 : Raoul Nordling, consul de Suède à Paris

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Partie 1 : Raoul Nordling, consul de Suède à Paris

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Discute avec

Raoul Nordling, consul de Suède à Paris

Que fait un Suédois dans Paris occupé ?La Suède est un pays neutre, comme la Suisse : elle ne prend parti ni pour l'Axe, ni pour les Alliés. Raoul Nordling reste donc à Paris. Il continue de défendre les intérêts de la Suède en tant que consul, mais aussi les intérêts d'entreprises suédoises qu'il représente à Paris.

Sources :

Ambassade de Suède à Paris

Chemins de mémoire

24 août :Entrée dans Paris

Raoul Nordling, né à Paris d'un père suédois et d'une mère française, effectue sa scolarité à Janson de Sailly puis cumule des activités d'homme d'affaires et de consul (représentant officiel de la Suède à Paris). Il joue un rôle important dans la Libération de Paris en 1944.

FFI de Paris

Au milieu de quels acteurs se retrouve-t-il en août 1944 ?

19-24 août : Insurrection armée pour prendre le contrôle de Paris

Adolf Hitler

général de Gaulle

Général von Chotlitz

Raoul Nordling

- Le "sauvetage" de Paris, que Hitler avait ordonné de "brûler".

Ses ordres :Paris doit subir de graves destructions pour venger la retraite des nazis

Ses ordres :Paris doit être libéré au plus vite,par les Français et non par leurs alliés

- La libération de 3 245 prisonniers sur le point d'être déportés en Allemagne.

- Une trêve, qui ne dure qu'une journée (20 août) mais permet d'évacuer 20 000 soldats allemands de Paris et donc de réduire considérablement les combats.

Les résistants de l'intérieur

Obtient :

Le gouverneur militaire nazi de Paris

Armée française de la Libération

Les résistants de l'extérieur

Paris au centre des intérêts

25 août 1944 : Libération de Paris

Accepte

Désobéit à

Négocie avec

Acceptent

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Groupe 7A

Groupe 7B

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Partie 2 : Chronologie du 2ème Batailllon de choc

Une page créée pour ce projet à partir d'un livre d'histoire militaire et de sites scientifiques et pédagogiques

Partie 1 : Chronologie et organisation de la Résistance

Partie 1 : Chronologie du 2ème Batailllon de choc

Une page créée pour ce projet à partir d'un livre d'histoire militaire et de sites scientifiques et pédagogiques

Sources :

Réseau Canopé

Fondation de la Résistance

Du débarquement de juin 1944...Juin 1944. Les Alliés débarquent en Normandie. Ils libèrent d'abord des territoires de l'Ouest de la France, avec l'appui des résistants de l'intérieur, les FFI (Forces françaises de l'intérieur), qui organisent des insurrections contre les nazis.Août 1944. Un second débarquement allié a lieu dans le sud de la France. Cette fois, des résistants de l'extérieur français y participent : la 1ère Armée du général de Lattre de Tassigny. Ils progressent vers le nord de la France. Leur objectif est notamment de rejoindre Paris où, dans le même temps, les FFI lancent une insurrection.25 août 1944. Paris est libéré par ces deux bras armés de la Résistance : les FFI et l'Armée française de la Libération.

Chronologie du 2ème Bataillon de choc

... À la création du Bataillon Janson de Sailly...Août 1944 (suite). Un officier constitue une unité FFI dans le XVIème arrondissement de Paris tout juste libéré. Le lycée Janson de Sailly est transformé en caserne. Le nouveau bataillon est composé en majorité d'élèves de Janson. Fin septembre 1944. Le Bataillon Janson de Sailly quitte clandestinement Paris où le commandement FFI voulait lui confier des missions de police militaire. Il rejoint la 1ère Armée française près de Dijon (ville du centre-est de la France).

... Qui participe à la Libération de la France puis à la VictoireAutomne-hiver 1944-1945. Après plusieurs semaines d'entraînement, le Bataillon Janson de Sailly prend part à la bataille d'Alsace et joue un rôle décisif dans la libération de plusieurs villages. Les combats sont acharnés. En effet, libérer l'Est de la France, c'est aussi ouvrir la route de l'Allemagne pour les Alliés.5 janvier 1945. Le Bataillon Janson de Sailly est renommé "2ème Bataillon de choc" en reconnaissance de sa vaillance au combat.Avril-mai 1945. Il prend part à la bataille d'Allemagne, qui s'achève par la Victoire alliée du 8 mai 1945.Septembre 1945. Le 2ème Bataillon de choc est dissout, puis reconstitué avec 177 volontaires qui partent combattre en Indochine (une colonie française).

Raymond Muelle, 1997

Les Étapes de la libération (Canopé, 2018)

Le contexte

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