correction brevet blanc

Correction du brevet blanc

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CONSIGNES

Sujet 2

Sujet 1

Dictée

Question 10

Question 8 b.

Question 9

Question 8 a.

Question 7

Question 6

Question 5

Question 4 (réécriture)

Question 3 b.

Question 3 a.

Question 2 c.

Question 2 b.

Question 2 a.

Question 1

SOMMAIRE

0,5 pour chaque expansion relevée, 0,5 pour sa nature, 0,5 pour sa fonction

Les expansions du nom de cet extrait sont : - « paillées » : adjectif qualificatif, épithète de « chaises » - « qui invitaient à boire » : proposition subordonnée relative, complément de l’antécédent « verres » - « à manche de corne » : groupe prépositionnel (GN accepté), complément du nom « couteaux »

« des chaises paillées, des verres qui invitaient à boire, des couteaux à manche de corne » (l. 2-3) Pour chaque nom souligné, relevez son expansion et indiquez la nature et la fonction de cette expansion.

Ressources : - leçon sur les expansions du nom- fiche-outil "les fonctions"

/4,5 points

Question 1

« Au niveau de la réalisation, toutefois, ils s’écartaient assez sensiblement des modes d’achat que l’Express proposait ». (l. 6-7) a. Quel est le type de phrase utilisé ici ?

1 point pour cette réponse ; aucune autre n'était acceptée.

Cette phrase est une phrase déclarative.

Ressources : - fiche-outil "types et formes de phrase"

/1 point

Question 2 a.

« Au niveau de la réalisation, toutefois, ils s’écartaient assez sensiblement des modes d’achat que l’Express proposait ». (l. 6-7) b. Quelle est la forme de cette phrase ?

1 point pour cette réponse ; 0,5 pour active ou affirmative.

Cette phrase est à la forme impersonnelle.

Ressources : - fiche-outil "types et formes de phrase"

/1 point

Question 2 b.

Il s'agit d'une phrase complexe car il y a trois verbes conjugués : « était », « était », « pouvait ».

« Au niveau de la réalisation, toutefois, ils s’écartaient assez sensiblement des modes d’achat que l’Express proposait ». (l. 6-7) c. S'agit-il d'une phrase simple ou d'une phrase complexe ? Justifiez votre réponse.

1 point pour "complexe", 1 point pour la justification.

Ressources : - fiche-outil "la phrase complexe", pas distribuée au moment du DNB blanc

/bonus (+2)

Question 2 C.

0,5 pour chaque élément bien découpé et nommé

Ce mot est constitué du préfixe in-, du radical "-différ-" et du suffixe -emment.

« Ces transformations […] , affectant indifféremment libraires, galeries de tableaux, merceries, magasins de frivolités… » (l. 16 à 18) a. Observez le mot souligné : identifiez et nommez les trois éléments qui le composent.

Ressources : - fiche-outil "notions lexicales à connaître pour le DNB"

/1,5 point

Question 3 a.

1 point pour un synonyme bien trouvé, 0,5 quand il marchait mal dans la phrase proposée mais aurait pu correpondre dans une autre.

Voici quelques expressions qu'il était possible de proposer : "de la même manière", "également", "sans différence"...

« Ces transformations […] , affectant indifféremment libraires, galeries de tableaux, merceries, magasins de frivolités… » (l. 16 à 18) b. Proposez, pour cette phrase, un synonyme ou une expression de même sens que le mot souligné.

Ressources : - fiche-outil "notions lexicales à connaître pour le DNB"

/1 point

Question 3 B.

Réécrivez le passage suivant en remplaçant « Ils » par « Sylvie ». Effectuez toutes les transformations nécessaires

1 point pour chaque transformation correctement effectuée ; -0,5 pour chaque erreur de copie.

Sylvie passait une grande partie de ses vacances à courir les ventes de campagne ; elle y acquérait à bon compte des étains, des chaises paillées, des verres qui invitaient à boire, des couteaux à manche de corne, des écuelles patinées dont elle faisait des cendriers précieux. De toutes ces choses, elle en était sûre, l’Express avait parlé, ou allait parler

Ressources : - fiche-outil "conjugaison de l'imparfait" et/ou dépliant des conjugaisons

/10 points

Question 4

L’occupation favorite de Jérôme et Sylvie est d’acheter des objets, d’aller à la chasse aux bonnes affaires (2 points). Ils s’y adonnent dans les brocantes type « ventes de campagne » (1 point) et dans les boutiques parisiennes, que le narrateur appelle « des officines » (1 point).

Quelle est l’occupation favorite de Jérôme et Sylvie ? Quels sont les deux principaux endroits où ils s’y adonnent ?

barème intégré à la réponse.

Ressources :

/4 points

Question 5

Le jeune couple est confronté à un problème de taille : il n’a pas assez d’argent pour satisfaire ses envies de consommation. En effet, ils ne sont pas encore payés comme ils devraient l'être plus tard : "ils n’avaient ni les garanties, ni les mois doubles, ni les primes des personnels réguliers attachés par contrat" (l. 8 à 10).

Quel problème rencontre ce jeune couple dans la réalisation de cette occupation ? Expliquez en citant le texte

2 points pour la réponse, 1 point pour la citation correcte. 1 point pour le respect de la forme de la réponse + pertinence, effort de reformulation...

Ressources :

/4 points

Question 6

L’Express est un journal qui fait visiblement office de guide de consommation, pour Jérôme et Sylvie (2 points). Il s'agit d'un conseiller, d'un prescripteur qu'il faut suivre pour être "à la mode". On le comprend grâce aux verbes dont « l’Express » est le sujet : « proposait » (l. 7), « conseillait » (l. 10).

Quel rôle le journal L’Express joue-t-il dans la vie de Jérôme et Sylvie ?

2 points pour la réponse, 1 point pour la justification (citation ou explication).

Ressources :

/3 points

Question 7

Les boutiques de Paris subissent des travaux d'ordre esthétique, pour les rendre, en apparence, plus authentiques, pour faire plus campagnardes, voire "provençales" (l. 15). Toutes se voient donc affublées de "poutres apparentes", de "petits escaliers intérieurs", de "cheminées", de "meubles campagnards" (l. 14 à 16).

Quelles « transformations » (l. 16) les boutiques de Paris subissent-elles ?

2 points pour la réponse, 1 point pour la justification (citation ou explication).

Ressources :

/3 points

Question 8 a.

Ces travaux permettent aux propriétaires des boutiques de vendre leurs produits plus chers. L'apparence de leur magasin laisse penser que les articles vendus sont également plus authentiques, de meilleures qualité peut-être. Le narrateur prend ainsi l'exemple d'un détaillant de fromages qui profiterait d'une nouvelle décoration pour se faire passer pour un "Maître-fromager" (l. 19). Il ajoute que "ces transformations, donc, entraînaient, plus ou moins légitimement, une hausse des prix" (l. 20).

Pourquoi ces transformations ont-elles lieu à votre avis ?

2 points pour la réponse, 1 point pour la justification (citation ou explication).

Ressources :

/3 points

Question 8 b.

En réalité, le jeune couple est victime de la société dans laquelle il vit. D'une part, il est soumis aux injonctions publicitaires présentées avec violence : on note l'emploi du mot "coups" (l. 27), l'expression "enfonçait dans la tête" (l. 27). d'autre part, il demeure toujours dans la frustration car c'est la "règle" (l. 24) : il faut toujours vouloir plus. C'est donc un cercle vicieux qui crée le manque et une mauvaise estime de soi ; Jérôme et Sylvie se sentent toujours "un peu trop bas" (l. 28-29) et ne peuvent être épanouis dans ce monde qui est le leur.

Finalement, Jérôme et Sylvie sont-ils heureux, dans ce monde qui est le leur ?

2 points pour la réponse, 3 points pour la justification (citations et explications), 1 point pour la méthode avec présence de connecteurs.

Ressources : - Méthode RCE (fiche-outil "répondre à une question de brevet"

/6 points

Question 9

L'extrait du roman de Georges Perec intitulé Les Choses et la peinture murale de Banksy, nommée Shop till you drop, peuvent être rapprochés par les réflexions qu'ils suscitent. Dans un premier temps, les deux ouevres ont pour thème la société de consommation. Les personnages du roman ont une passion pour l'achat de babioles variées, et le personnage représenté sur la peinture murale est une femme tenant un caddie de supermarché. Dans un second temps, on comprend qu'il s'agit dans les deux cas d'une dénonciation de cet aspect de la société : Jérôme et Sylvie lui doivent leur frustration et leur mauvaise estime d'eux-mêmes, tandis que la femme de l'oeuvre de Banksy chute dans le vide, entraînée par son caddie qu'elle refuse de lâcher. Les deux oeuvres ont une tonalité satirique.

Quelle(s) réflexion(s) l’image et le texte vous inspirent-ils sur notre société ?

2 x 2 points pour 2 arguments pertinents ; 2 points pour la méthode (1e phrase, connecteurs logiques...) ; 2 points pour des références à des points précis du texte et de l'image.

Ressources : - fiche-méthode "Répondre à la question sur l'image"

/8 points

Question 10

Jérôme et Sylvie rêvaient de vivre à la campagne, à l’abri de toute tentation. Leur vie serait frugale et limpide. Ils auraient une maison de pierres blanches à l’entrée d’un village, ils feraient chaque jour de longues promenades dans les forêts, ils liraient les grands romans qu’ils n’avaient jamais eu le temps de lire, ils recevraient leurs amis. Ils rêvaient d’abandonner leur travail, de tout lâcher, de partir à l’aventure. Ils rêvaient de repartir à zéro, de tout recommencer sur de nouvelles bases. Ils rêvaient de rupture et d’adieu. D’après Georges Perec, Les Choses, 1965

--1 point pour les erreurs grammaticales (accord, homophones, conjugaison...)- 0,5 point pour les erreurs lexicales.

Ressources : - conseils dans le livret de progression

/10 points

DICTÉE

/10/8/8/4/10

1. Respect du sujet (visite de la boutique, achats, sentiments, réflexions...)
2. Intérêt, pertinence, clarté (sentiments et réflexions des personnages)
3. Cohérence
4. Mise en page (paragraphes)
5. Langue (orthographe, syntaxe, ponctuation, vocabulaire)

Fidèles à leurs habitudes, Jérôme et Sylvie décident de se rendre dans une boutique nouvellement ouverte à Paris. Rédigez le récit de cette expérience, en évoquant leurs motivations, les différents sentiments éprouvés et leurs réflexions sur la société dans laquelle ils évoluent.

Ressources : - fiches-méthode pour écrire une suite de texte.

/40 points

Rédaction : SUJET 1

Proposition de correction

Sujet d'imagination

Jérôme et Sylvie furent appelés un samedi matin par un couple d’amis, Jean-Claude et Nadine, qui avait entendu parler d’une toute nouvelle boutique dans le 15e arrondissement et qui leur proposa de s’y rendre ensemble l’après-midi même. Ravis de s’adonner à leur loisir préféré, ils acceptèrent et se rejoignirent devant le magasin quelques heures plus tard. Il s’agissait d’une boutique de bibelots décoratifs essentiellement, décorée avec goût suivant la mode « campagne » qui dominait Paris depuis quelques temps. Des chandeliers en laiton trônaient sur d’imposants meubles en bois massif, des chemins de table brodés s’enroulaient autour d’assiettes ornées de petites fleurs bleues, des porte-parapluies en osier côtoyaient d’imposants miroirs encadrés de fer forgé. De quoi se constituer une décoration « authentique », pour le peu que l’acheteur en ait les moyens. Nadine ne tarda pas à interpeler Sylvie : « Regarde, lui dit-elle, pour t’équiper, toi qui n’étais pas fière de ta vaisselle, le mois dernier ! ». Elle lui désignait un service à thé composé de six tasses et de leurs coupelles ainsi que d’une théière en porcelaine de Limoges. Sylvie s’en approcha en souriant, se remémorant la soirée à laquelle Nadine faisait référence et pendant laquelle elle s’était effectivement sentie honteuse de proposer à ses amis de boire le thé dans sa vieille vaisselle héritée d’une lointaine tante. Ce service-là, en revanche, ne lui ferait pas honte. Le liseré doré sur les anses était du plus bel effet, la peinture faite à la main (une inscription le précisait sous la théière) était d’une telle délicatesse que cet achat fit immédiatement envie à Sylvie. Tandis que Jérôme la rejoignait et que Nadine s’éloignait, à la recherche d’une trouvaille pour son propre appartement du XIe, Sylvie jeta un regard sur l’étiquette de prix. Son enthousiasme retomba comme un soufflé : le service s’affichait à 840 francs. C’était bien plus qu’ils ne pouvaient se le permettre pour un achat de ce genre. Les deux jeunes gens se consultèrent du regard, sachant très bien l’un et l’autre à quoi chacun pensait. Ils ne pouvaient pas acheter ce service. Mais ils ne pouvaient pas ne pas l’acheter non plus : pour quoi passeraient-ils, tous les deux, en présence de Jean-Claude et Nadine, s’ils ressortaient du magasin sans cet achat ? Pour des pauvres assurément. Ou pire, pour des personnes sans goût ! Passer à côté d’un joli service comme celui-ci, ça n’aurait pas de sens pour leurs amis… Ce dilemme, cette préoccupation du regard des autres, ce n’était pas la première fois que le couple y était confronté, mais cette fois fut l’une des plus décisive pour eux : ils étaient épuisés de se sentir toujours insuffisants, cette humiliation permanente les usait malgré leur jeune âge. Ce jour-là, germa chez eux l’idée d’une vie plus simple, vraiment plus authentique, à la campagne peut-être. Une vie dans laquelle la qualité de leur service à thé ne serait pas un problème...

/8/8/8/6/10

1. Respect du sujet (réflexion sur l'importance de la consommation, au moins 2 arguments + ex, intro, conclusion...)
2. Intérêt, pertinence, clarté (arguments + ex x2)
3. Cohérence (propos structuré, pas de contradiction...)
4. Mise en page (paragraphes, alinéas, sauts de ligne)
5. Langue (orthographe, syntaxe, ponctuation, vocabulaire)

« Vivre, c’est consommer ». Partagez-vous cette opinion ? Vous exposerez votre point de vue dans un développement argumenté et organisé, en vous appuyant sur vos lectures, votre culture personnelle, votre expérience

Ressources : - fiches-méthode "le sujet de réflexion"

/40 points

Rédaction : SUJET 2

Proposition de correction

Sujet de réflexion

La société dans laquelle nous vivons en occident depuis le XXe siècle est souvent qualifiée de « société de consommation ». Il est alors intéressant de se demander si « vivre, c’est consommer ». De mon point de vue, ce qui fait l’intérêt de la vie se trouve en dehors de la consommation et celle-ci pourrait même se révéler dangereuse pour l’être humain. Dans un premier temps, il me semble que ce qui peut donner envie de vivre se situe hors du champ de la consommation. Ce qui rend heureux, bien souvent, ce n’est pas ce que l’on possède, ce que l’on achète, mais le temps de qualité, entouré de personnes aimées. On entend souvent dire que « l’argent ne fait pas le bonheur », et les exemples pour illustrer cette maxime sont nombreux. Ainsi, Karl Radeber, un riche homme d’affaires autrichien, raconte-t-il dans un article du Figaro qu’il a abandonné sa vie de millionnaire pour vivre isolé dans une cabane au milieu des montagnes et il affirme que cela le rend plus heureux qu’il ne l’a jamais été. De ma propre expérience, je peux dire que ce qui me rend heureuse le plus durablement, ce sont les expériences partagées avec les gens que j’aime, les souvenirs créés ainsi, et non pas les achats que je peux effectuer. Vivre, pour moi, se situerait donc ailleurs que dans l’acte de consommation. Dans un second temps, la consommation telle qu’elle est vécue dans notre société, avec ses injonctions et ses excès, me semble dangereuse à plusieurs points de vue. Comme Jérôme et Sylvie dans Les Choses de Perec, ou comme Claude dans Une victime de la réclame de Zola, suivre aveuglément la publicité pour acheter toujours plus peut conduire à la dépossession de ses moyens de subsistance, ou même de son libre-arbitre : Claude ne parvient d’ailleurs plus à penser par lui-même et finit par se ruiner la santé ; il meurt en prenant des médicaments censés le faire rajeunir. Jérôme et Sylvie, pour leur part, vivent dans une constante humiliation, un sentiment d’infériorité et d’insuffisance qui empêche tout bonheur. La pression exercée par la société moderne est telle que la santé mentale de certains peut aussi se retrouver menacée, notamment s’ils se laissent trop atteindre par les stéréotypes que véhiculent les publicités. La consommation serait donc alors plutôt un frein au bonheur et donc au « vivre ». En conclusion, je pense que consommer, si c’est bien une nécessité dans notre société, ne peut en revanche être la condition du bonheur, au contraire. Il me semble que la vie qui vaut d’être vécue se trouve ailleurs que dans les actes de consommation, et que la surconsommation est même nuisible pour les individus. On pourrait aussi évoquer les dangers de cette surconsommation pour la société entière, des points de vue environnemental et social notamment.

Ne pas redire ce que dit déjà le texte mais sans guillemets ! => 0 réflexion, 0 compréhension, 0 méthode !On doit CITER et REFORMULER. Si on emprunte les mots du texte, il faut obligatoirement les mettre entre guillemets.

À retenir

Ne pas redire ce que dit déjà le texte mais sans guillemets ! => 0 réflexion, 0 compréhension, 0 méthode !On doit CITER et REFORMULER. Si on emprunte les mots du texte, il faut obligatoirement les mettre entre guillemets.

À retenir

Ne pas redire ce que dit déjà le texte mais sans guillemets ! => 0 réflexion, 0 compréhension, 0 méthode !On doit CITER et REFORMULER. Si on emprunte les mots du texte, il faut obligatoirement les mettre entre guillemets.

À retenir

Il n'est pas nécessaire de remplacer chaque "ils" par le prénom "Sylvie" : vous remplacez seulement le premier et ensuite, vous écrivez "elle", pour éviter les répétitions.

Conseil

Ne pas redire ce que dit déjà le texte mais sans guillemets ! => 0 réflexion, 0 compréhension, 0 méthode !On doit CITER et REFORMULER. Si on emprunte les mots du texte, il faut obligatoirement les mettre entre guillemets.

À retenir

"pierre blanche" était accepté, ainsi que "adieux" : rien ne vous permettez de savoir s'il s'agissait de singuliers ou de pluriels, et les deux sont grammaticalement possibles.En revanche : "leurS travailS" ne pouvait pas être accepté, c'est grammaticalement incorrect.

Informations

Ne pas redire ce que dit déjà le texte mais sans guillemets ! => 0 réflexion, 0 compréhension, 0 méthode !On doit CITER et REFORMULER. Si on emprunte les mots du texte, il faut obligatoirement les mettre entre guillemets.

À retenir

Pensez bien à la structure du devoir.Ne confondez pas "consommer" et "acheter", qui ne sont pas forcément synonymes.

Informations

Il est important de créer des paragraphes, d'aérer et d'organiser votre copie.Ne cherchez pas (sauf si le sujet l'impose) à aller "au bout de l'histoire" : nous n'avions pas besoin de savoir comment Jérôme et Sylvie finiraient leur vie. Une bonne rédaction n'a pas à raconter une histoire "exceptionnelle", on n'a pas besoin d'y raconter "un truc de fou" : fiez-vous au ton du texte de départ.Il faut respecter les temps et le statut du narrateur employés dans le texte de départ : narrateur extérieur, système du passé, ici.

Informations

Ne pas redire ce que dit déjà le texte mais sans guillemets ! => 0 réflexion, 0 compréhension, 0 méthode !On doit CITER et REFORMULER. Si on emprunte les mots du texte, il faut obligatoirement les mettre entre guillemets.

À retenir

On pouvait aussi commenter l'absence de couleur, le choix du noir, sur la peinture murale : dénonciation, tristesse du constat fatal et de la dépendance à la consommation. Ou encore le titre évocateur et provocateur de la fresque. Il est possible de citer le texte, mais on fait alors attention à ne pas mettre de citations trop longues : votre réponse doit d'abord être constituée d'arguments !Un problème récurrent dans vos réponses : vous oubliez de présenter le texte.

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