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Définir quelle type d'enduit utilisé selon les supports et la finition souhaitée

D'aprés vous quesque l'enduit ?

Consignes:

Individuellement aller chercher dans l'atelier un objet qui vous rappel l'enduit, outils, sac, matirere d'ouvre ect.

Vous disposez chacun de 1min.

Il est interdit d'ouvrir un sac pour ramener de l'enduit, le sac devras étre remener dans sont entiereté.

Si vous n'avez pas trouvé ce n'est pas grave l'on passera au suivant.

Il est interdit de courir.

QUESQU'UN ENDUIT ? Un enduit et une patte de constance fluide la plupart du temps.il peu servir de décor, pour reboucher les subjectiles du peintre comme les feuilles de platre a epidérme cartonné, ou encore le bois et le platre.Il peut égalment servir pour des décors comme dit auparavent. On peut retrouver des produit a la chaux comme des enduit aérien a la chaux ou des stucs.Ou encore des produit de décor et phase aqueuse comme le carénia de chez SEIGNEURIE ou méme le stuco.

Enduit a l'eau

Enduit gras

Enduit bi-composant

Enduits dits « à l’eau » à liant méthyl-cellulosique et/ou vinylique : Commercialisés sous le nom d’« enduit pelliculaire », ces enduits sont généralement conditionnés en poudre à délayer dans de l’eau. On trouve des enduits de dégrossissage en pâte prêt à l’emploi ; le liant dans ce cas, est un styrène acrylique en phase aqueuse. La taille moléculaire de ces enduits, leur diluant aqueux s’accordent parfaitement aux supports minéraux (liants hydrauliques, plâtre) dont ils reconstituent un nouvel épiderme, ainsi qu’aux supports de plâtre cartonné. Sur ces matériaux, l’adhérence mécanique des enduits à l’eau est très bonne. Certains enduits en pâte sont renforcés par des fibres de verre, ce qui leur donne des performances proches des entoilages sur les faïençages ou les microfissures stabilisées.

Enduit a l'eau

Enduit gras

Enduits gras ou mixtes : Traditionnellement, le peintre pensait « enduit gras » quand il parlait d’enduisage. Ces enduits étaient préparés, sur le chantier, avec de l’huile de lin, de l’oxyde de zinc broyé et du blanc de Meudon. Divers adjuvants (secret de fabrication ou tours de main) en facilitaient l’emploi et le « glisse ». Ils sont actuellement élaborés par les fabricants qui ne proposent que des enduits « mixtes », mélange de liant/huile avec des liants émulsionnés vinyliques. Ils se présentent en pâte prête à l’emploi. Le feuil qu’ils forment est plus dur que celui des enduits à l’eau et ils peuvent être poncés à l’abrasif à l’eau. En raison de leur richesse en liant et en pigment et parce qu’ils se poncent plus difficilement, ces enduits sont coûteux. Le peintre les réserve aux travaux très soignés. Les enduits auto lissants sont formulés pour être employés à la brosse et se tendre. Ils servent à enduire les parties moulurées.

Enduit bi-composant

Pour les menuiseries, il existe des enduits à base de résines polyuréthannes ou formo-phénoliques à deux composants. Leur durcissement dans la masse et leur insensibilité à l’eau en font des produits très performants. Lors des travaux soignés de vernissage des bois, en intérieur, les pores du bois sont obturés avec un enduit teinté selon l’essence du bois à vernir et vendu tout préparé : le bouche pores. Pour les travaux sur subjectiles métalliques, il existe des enduits aux résines alkydes ou polyuréthannes ou urée-formol, semblables aux enduits employés en peinture de carrosserie. Ces produits se caractérisent par leur grande dureté et nécessitent un ponçage à l’abrasif à l’eau.

Travaillé un enduit

L'ébauche:

L’ébauche permet de réduire les gros défauts du support : décalage entre les planche du coffrage, différence de niveau entre les parties grattées et le film restant, fonds de gouttelette ou enduit structuré n’étant pas repeint en l’état, etc. Elle est exécutée avec les mêmes produits que l’enduit qui le suivra. Par ordre croissant de qualité de finition et selon l’état de surface du support, on réalisera ensuite plusieurs types d’enduisage.

Le ratissage:

La couche d’enduit est faible, les petites crêtes du support ne sont pas couvertes mais arasées. L’outil (couteau à enduire ou taloche) est tenu de façon à former un angle important avec la surface et l’appui de la main est ferme.

Travaillé un enduit: suite

L'enduisage de dégrossissage:

L’enduisage de dégrossissage, formulé spécialement et d’une texture plus grossière, sert, comme l’indique son nom, à dégrossir les supports avant l’application des enduits proprement dits ou le collage d’une toile.

L'enduisage non repacé:

La couche d’enduit déposée est plus importante que pour le ratissage. Elle est continue. L’angle entre l’outil et la surface est plus faible. On ne « passe » qu’une fois sur le support.

L'enduisage repacé:

L’opération précédemment décrite est répétée soit après séchage de la première passe, soit dès que celle-ci est prise. Généralement les passes sont croisées l’une verticale, l’autre horizontale. Après chaque opération, on procède à un ponçage qui fait partie de l’enduisage. Lorsqu’il s’agit de travaux soignés, le ponçage s’effectue à l’abrasif à l’eau, ce qui n’est possible qu’avec des enduits gras ou glycérophtaliques et non avec des enduits hydrosolubles, à séchage réversible. Pour les travaux spécifiques (fonds polis, décors), le nombre de passe et de ponçages peut être presque sans limite … jusqu’à l’obtention du résultat recherché.

Travaille de groupe

Avec la fiche technique du produit, donnez sont utilité, la façons de le préparer, la situation ou s'en servir, le rendement, la facons de le travailler et les outils a utilisé.

Groupe A

Groupe B

Groupe C

Groupe D

Groupe E

L'utilisation de l'ordinateur( seulement de l'ordinateur) est autorisé afin d'effectuer des recherches Temps: 20 Min

Enduits dits « à l’eau » à liant méthyl-cellulosique et/ou vinylique : Commercialisés sous le nom d’« enduit pelliculaire », ces enduits sont généralement conditionnés en poudre à délayer dans de l’eau. On trouve des enduits de dégrossissage en pâte prêt à l’emploi ; le liant dans ce cas, est un styrène acrylique en phase aqueuse. La taille moléculaire de ces enduits, leur diluant aqueux s’accordent parfaitement aux supports minéraux (liants hydrauliques, plâtre) dont ils reconstituent un nouvel épiderme, ainsi qu’aux supports de plâtre cartonné. Sur ces matériaux, l’adhérence mécanique des enduits à l’eau est très bonne. Certains enduits en pâte sont renforcés par des fibres de verre, ce qui leur donne des performances proches des entoilages sur les faïençages ou les microfissures stabilisées.

L’ébauche : L’ébauche permet de réduire les gros défauts du support : décalage entre les planche du coffrage, différence de niveau entre les parties grattées et le film restant, fonds de gouttelette ou enduit structuré n’étant pas repeint en l’état, etc. Elle est exécutée avec les mêmes produits que l’enduit qui le suivra. Par ordre croissant de qualité de finition et selon l’état de surface du support, on réalisera ensuite plusieurs types d’enduisage. Le ratissage (pour le bois : le bouche-porage) : La couche d’enduit est faible, les petites crêtes du support ne sont pas couvertes mais arasées. L’outil (couteau à enduire ou taloche) est tenu de façon à former un angle important avec la surface et l’appui de la main est ferme. L’enduisage de dégrossissage (sur béton : débullage) : L’enduisage de dégrossissage, formulé spécialement et d’une texture plus grossière, sert, comme l’indique son nom, à dégrossir les supports avant l’application des enduits proprement dits ou le collage d’une toile. L’enduisage non repassé : La couche d’enduit déposée est plus importante que pour le ratissage. Elle est continue. L’angle entre l’outil et la surface est plus faible. On ne « passe » qu’une fois sur le support. L’enduisage repassé : L’opération précédemment décrite est répétée soit après séchage de la première passe, soit dès que celle-ci est prise. Généralement les passes sont croisées l’une verticale, l’autre horizontale. Après chaque opération, on procède à un ponçage qui fait partie de l’enduisage. Lorsqu’il s’agit de travaux soignés, le ponçage s’effectue à l’abrasif à l’eau, ce qui n’est possible qu’avec des enduits gras ou glycérophtaliques et non avec des enduits hydrosolubles, à séchage réversible. Pour les travaux spécifiques (fonds polis, décors), le nombre de passe et de ponçages peut être presque sans limite … jusqu’à l’obtention du résultat recherché.

Enduits gras ou mixtes : Traditionnellement, le peintre pensait « enduit gras » quand il parlait d’enduisage. Ces enduits étaient préparés, sur le chantier, avec de l’huile de lin, de l’oxyde de zinc broyé et du blanc de Meudon. Divers adjuvants (secret de fabrication ou tours de main) en facilitaient l’emploi et le « glisse ». Ils sont actuellement élaborés par les fabricants qui ne proposent que des enduits « mixtes », mélange de liant/huile avec des liants émulsionnés vinyliques. Ils se présentent en pâte prête à l’emploi. Le feuil qu’ils forment est plus dur que celui des enduits à l’eau et ils peuvent être poncés à l’abrasif à l’eau. En raison de leur richesse en liant et en pigment et parce qu’ils se poncent plus difficilement, ces enduits sont coûteux. Le peintre les réserve aux travaux très soignés. Les enduits auto lissants sont formulés pour être employés à la brosse et se tendre. Ils servent à enduire les parties moulurées. Autres types d’enduits : Pour les menuiseries, il existe des enduits à base de résines polyuréthannes ou formo-phénoliques à deux composants. Leur durcissement dans la masse et leur insensibilité à l’eau en font des produits très performants. Lors des travaux soignés de vernissage des bois, en intérieur, les pores du bois sont obturés avec un enduit teinté selon l’essence du bois à vernir et vendu tout préparé : le bouche pores. Pour les travaux sur subjectiles métalliques, il existe des enduits aux résines alkydes ou polyuréthannes ou urée-formol, semblables aux enduits employés en peinture de carrosserie. Ces produits se caractérisent par leur grande dureté et nécessitent un ponçage à l’abrasif à l’eau.