Alerte au Sri Lanka
yanthoma
Created on June 26, 2020
Une aventure scientifique dont VOUS êtes le héro
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PATHFINDER: RETURN OF THE RUNELORDS
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ITALIAN: EG CHIUSO NEL LOCALE RIFIUTI
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LET´S LEARN ABOUT THE UK!
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Transcript
Alerte épidémie
Message urgent
Saurez-vous sauver la situation ?
Qu'allez-vous faire ?
Aéroport de KinshasaCongo
Choisir votre destination
Aéroport de BraziliaBrésil
Aéroport de Saint-DenisLa Réunion - France
Aéroport de ColumboSri Lanka
Aéroport de ParisFrance
Quel choix étonnant !Vos vacances ont été reposantes
Recommencez donc l'aventure
Mais l'épidémie s'est propagée et les morts se multiplient... Peut-être auriez-vous dû être plus sérieux et écouter le briefing !
Alerte au Sri Lanka
Réécouter le briefing
Épidémie inconnue
Aller à l'aéroportDirection Columbo !
Une aventure scientifique dont VOUS êtes le héros
Alerte au Sri Lanka - Départ
Quelle maladie ravage le Sri Lanka ? Quel risque pour la France ?
PASSER LES DOUANES
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Alerte au Sri Lanka - Départ
Bonjour, Avec-vous préparé votre bagage vous-même ? L'avez-vous laissé sans surveillance ? Veuillez nous remettre les objets interdits en cabine contenus dans votre sac.
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Alerte au Sri Lanka - Départ
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Tout est en ordreNe rien déclarer
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Alerte au Sri Lanka - Départ
Vous ne pouvez pas franchir la sécurité aéroportuaire ainsi
Cet objet est autorisé en cabine mais je ne peux pas vous laisser passer avec des objets interdits en cabine. Vous devez nous les remettre.
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Alerte au Sri Lanka - Départ
Vous ne pouvez pas franchir la sécurité aéroportuaire ainsi
Attention, vous avez des objets interdits en cabine dans votre bagage. Je ne peux pas vous laisser passer avec. Vous devez nous les remettre.
Informations aux passagers
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Alerte au Sri Lanka - Départ
Procéder à l'embarquement
Bien vu
Si le gel hydroalcoolique est très utile pour lutter contre les infections, le volume de votre flacon est trop important !Vous devez donc le laisser à la sécurité.Du gel vous sera fourni en cabine.
Vous pouvez procéder à l'embarquement. Bon vol !
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Pendant le voyage en avion,vous avez le temps de compulser vos dossiers
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Nouvelle vidéo
Faire une pause pour le repas
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Carte
Lepto
La leptospirose au Sri Lanka Publié le 12 mai 2019 à 08h27 – Par Claude HENGY Au Sri Lanka, les autorités sanitaires ont notifié une augmentation du nombre de cas de leptospirose, depuis le début de l'année dans le pays.
- Du 1er janvier au 30 avril, l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé a notifié 1464 cas, dont 12 décès.
- Cela se compare à 1294 cas notifiés au cours de la même période en 2018.
- Les villes ayant notifié le plus grand nombre de cas cette année sont Ratnapura (259 cas), Kalutara (205 cas) et Galle (122 cas). La capitale Colombo a notifié 70 cas.
- dans la mesure du possible, se protéger par le port de bottes et de gants lors d'une activité à risque (agriculture, élevage, jardinage, pêche en eau douce, ramassage d‘ordures) ;
- éviter de se baigner en eau douce et de laver son linge en rivière lorsqu'on est porteur de plaies (ou à défaut protéger les plaies en utilisant des pansements imperméables) ;
- limiter les contacts des muqueuses avec l'eau (port de lunettes de natation) ;
- éviter de marcher pieds nus ou en chaussures ouvertes sur des sols boueux ou dans les eaux de ruissèlement ;
- consulter sans délai un médecin en cas d'apparition des symptômes en lui signalant l'activité à risque pratiquée.
Palu
Dengue
Près de 5 000 cas de fièvre dengue, en janvier, au Sri lanka Publié le 29 jan. 2019 à 17h55 – Par Jacques MORVAN Au Sri Lanka, selon l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé, les responsables de la santé ont notifié 4 825 cas de dengue au cours des quatre premières semaines de 2019. Au moins deux décès liés à la dengue ont étés notifiés. Toutefois ce total est inférieur au nombre de cas signalés au cours de la même période de janvier 2018 avec 7 278 cas. Colombo a enregistré le plus grand nombre de cas (1182 cas), suivi de Jaffna (900 cas) et de Gampaha (465 cas). Rappels sur la dengue La dengue, maladie virale due au virus de la Dengue (4 sérotypes) de la famille des Flaviviridae, transmise par une piqûre de moustique, se manifeste le plus souvent par un syndrome grippal (fièvre, douleurs musculaires, parfois éruption cutanée). La dengue peut évoluer en forme grave hémorragique. La prise d'aspirine est formellement déconseillée. Il n'existe pas de traitement médicamenteux préventif disponible contre la dengue. Il n'existe pas de traitement spécifique contre le virus. Pour les touristes européens, la prévention de la dengue passe donc par la lutte contre son vecteur Aedes albopictus. Le moyen le plus efficace pour combattre ce moustique est d'éliminer ses lieux de ponte (soucoupes, petits récipients, déchets, réservoirs, vases, pneus, etc.). Il est conseillé aux voyageurs de se protéger des piqûres de moustique. Il convient de respecter les mesures habituelles de lutte anti-vectorielle : port de vêtements couvrants ; répulsifs anti-moustiques, contenant du DEET, sur la peau découverte ; vêtements et moustiquaire imprégnés d'insecticide pour la sieste et la nuit ; les personnes qui utilisent un écran solaire doivent appliquer le répulsif 20 minutes après l'écran solaire. Afin d'éviter au maximum la dissémination du virus de la dengue sur le territoire métropolitain, devant une fièvre d'apparition brutale et des douleurs articulaires ou musculaires dans les 15 jours qui suivent le retour d'un voyage en zone à risque, il faut consulter son médecin au plus vite en signalant son voyage. Source : Outbreak News Today.
SVT
Épidémie
Focus sur l'épidémie de Chikungunya à la Réunion
- Article de France Info
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Choix du menu
- Le poulet
Le repas est excellent ! Vous avez retrouvé toute votre énergie pour travailler. Vous décidez de retourner à vos dossiers.
- Le POISSON
Le poisson est riche en vitamine B. On dit qu'elle excellente pour le travail intellectuel. Il est temps de retourner à vos dossiers.
- Le Menu végétarien
Le repas est coloré mais insipide. Décidément le monde a encore des progrès à faire pour considérer les végétariens comme tout le monde. Au moins il vous aura permis de récupérer de l'énergie pour analyser vos dossiers.
Retour au départ
- RESTER SURVOTRE Téléphone et vos dossiers
Après votre repas, retournezau travail
Bonjour, Que désirez-vous manger ? Nous avons le choix entre du poulet, du poisson ou un menu végétarien.
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Pendant le voyage en avion,vous avez le temps de compulser vos dossiers
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Débarquerau Sri Lanka
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Carte
Lepto
La leptospirose au Sri Lanka Publié le 12 mai 2019 à 08h27 – Par Claude HENGY Au Sri Lanka, les autorités sanitaires ont notifié une augmentation du nombre de cas de leptospirose, depuis le début de l'année dans le pays.
- Du 1er janvier au 30 avril, l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé a notifié 1464 cas, dont 12 décès.
- Cela se compare à 1294 cas notifiés au cours de la même période en 2018.
- Les villes ayant notifié le plus grand nombre de cas cette année sont Ratnapura (259 cas), Kalutara (205 cas) et Galle (122 cas). La capitale Colombo a notifié 70 cas.
- dans la mesure du possible, se protéger par le port de bottes et de gants lors d'une activité à risque (agriculture, élevage, jardinage, pêche en eau douce, ramassage d‘ordures) ;
- éviter de se baigner en eau douce et de laver son linge en rivière lorsqu'on est porteur de plaies (ou à défaut protéger les plaies en utilisant des pansements imperméables) ;
- limiter les contacts des muqueuses avec l'eau (port de lunettes de natation) ;
- éviter de marcher pieds nus ou en chaussures ouvertes sur des sols boueux ou dans les eaux de ruissèlement ;
- consulter sans délai un médecin en cas d'apparition des symptômes en lui signalant l'activité à risque pratiquée.
Palu
Dengue
Près de 5 000 cas de fièvre dengue, en janvier, au Sri lanka Publié le 29 jan. 2019 à 17h55 – Par Jacques MORVAN Au Sri Lanka, selon l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé, les responsables de la santé ont notifié 4 825 cas de dengue au cours des quatre premières semaines de 2019. Au moins deux décès liés à la dengue ont étés notifiés. Toutefois ce total est inférieur au nombre de cas signalés au cours de la même période de janvier 2018 avec 7 278 cas. Colombo a enregistré le plus grand nombre de cas (1182 cas), suivi de Jaffna (900 cas) et de Gampaha (465 cas). Rappels sur la dengue La dengue, maladie virale due au virus de la Dengue (4 sérotypes) de la famille des Flaviviridae, transmise par une piqûre de moustique, se manifeste le plus souvent par un syndrome grippal (fièvre, douleurs musculaires, parfois éruption cutanée). La dengue peut évoluer en forme grave hémorragique. La prise d'aspirine est formellement déconseillée. Il n'existe pas de traitement médicamenteux préventif disponible contre la dengue. Il n'existe pas de traitement spécifique contre le virus. Pour les touristes européens, la prévention de la dengue passe donc par la lutte contre son vecteur Aedes albopictus. Le moyen le plus efficace pour combattre ce moustique est d'éliminer ses lieux de ponte (soucoupes, petits récipients, déchets, réservoirs, vases, pneus, etc.). Il est conseillé aux voyageurs de se protéger des piqûres de moustique. Il convient de respecter les mesures habituelles de lutte anti-vectorielle : port de vêtements couvrants ; répulsifs anti-moustiques, contenant du DEET, sur la peau découverte ; vêtements et moustiquaire imprégnés d'insecticide pour la sieste et la nuit ; les personnes qui utilisent un écran solaire doivent appliquer le répulsif 20 minutes après l'écran solaire. Afin d'éviter au maximum la dissémination du virus de la dengue sur le territoire métropolitain, devant une fièvre d'apparition brutale et des douleurs articulaires ou musculaires dans les 15 jours qui suivent le retour d'un voyage en zone à risque, il faut consulter son médecin au plus vite en signalant son voyage. Source : Outbreak News Today.
SVT
Épidémie
Focus sur l'épidémie de Chikungunya à la Réunion
- Article de France Info
Vidéosur la grippe espagnole
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L'ambassadeur vous accueille
Sur le chemin qui mène à la mission chargée des épidémies en cours, il vous prévient :
"Les médecins locaux n'ont pas été consultés lors de la décision de vous faire venir. Il est probable qu'ils soient peu coopératifs. Il vous faudra sans doute gagner leur confiance."
Il a néanmoins confiance dans vos capacités scientifiques et votre sens de la diplomatie. Il est certain que vous réussirez à coopérer avec eux.
"L'OMS et votre pays comptent sur vous. Nous avons préparé un document de mission. Pensez à le remplir scrupuleusement pour pouvoir nous faire un rapport détaillé.
Télécharger le document de mission
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Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Vous arrivez à la mission. Il est temps de faire ce que vous savez faire.
"Bonne chance. Vous êtes notre meilleur élément pour régler ce problème. N'oubliez pas de remplir le document de mission au fur et à mesure de votre avancement."
Entrer dans la mission
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Briefing
Grippe espagnole
Consulterle docde mission
Il faudra envoyer vos résultats sous forme de code à Paris.N'oubliez pas de sauvegarder ce document sur votre ordinateur et de le remplir au fur et à mesure !
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Vous arrivez à la mission
Visiblement l'ambassadeur avait raison. Les docteurs refusent de vous recevoir. Le personnel médical local est en grande réunion pour faire le point sur les épidémies en cours dans les villes de Nuwara-Eliya (qui se prononce "nourélia") perchée dans les montagnes du Sud du pays et de Negombo, un port de pêche 40km au Nord de Columbo.
Vous êtes reçu par quelqu'un, dont l'identité n'est pas certaine : il ne parle pas français et mal anglais. Il semble vous parler des symptômes rencontrés dans les villages. Sans doute s'agit-il d'une sorte de test de vos compétences.
Écouter l'individu
Tenter de forcerle passage
Retour au départ
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Description des symptômes
Tenter de forcer le passage
"De doctors told me de symptoms vere Very high fever, often above 40°HeadacheMuscle sorenessJoint painVat do you dink it iz?"
Vous essayer de lui faire comprendre que la maladie est peut-être :
Retour au départ
Regarder discrètement sur votre téléphone les symptômes des maladies communes au Sri Lanka
La typhoïde
La leptospirose
Le paludisme
L'encéphalite japonaise
Le chikungunya
La dengue
L'hépatite A
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Votre réponse ne le satisfait pas... peut-être devriez vous regarder votre téléphone
Tenter de forcer le passage
"De doctors told me de symptoms vere Very high fever, often above 40°HeadacheMuscle sorenessJoint painVat do you dink it iz?"
Vous essayer de lui faire comprendre que la maladie est peut-être :
Regarder discrètement sur votre téléphone les symptômes des maladies communes au Sri Lanka
Retour au départ
La typhoïde
La leptospirose
Le paludisme
L'encéphalite japonaise
Le chikungunya
La dengue
L'hépatite A
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Il semble que vous ayez bien comprisVous avez semble-t-il passé le test.Les docteurs Sri Lankais acceptent enfin de vous recevoir.
Rejoindre la réunionsur l'Épidémie
Les symptômes correspondent bien à cette maladie.En fait cela peut correspondre à plusieurs maladies présentes au Sri Lanka :
Retour au départ
La leptospirose, le paludisme, la dengue ou encore le chikungunya
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
La discussion est animée
Les docteurs discutent de la stratégie à suivre pour identifier la nature de l'épidémie dans les deux villages.
Vous proposez d'aller dans les villages pour identifier les symptômes
Vous décidez de les écouter en silence
Vous proposez d'aller dans les villages faire des prélèvements urinaires
Vous proposez d'aller dans les villages faire des prélèvements sanguins
Retour au départ
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Les docteurs Sri Lankais vous signalent que les prélèvements urinaires semblent peu pertinents vu les symptômes. Ils seraient plus adaptés pour des suspicions de diabètes ou d'infections urinaires par exemple.
Vous proposez d'aller dans les villages pour identifier les symptômes
Vous insistez pour aller dans les villages pour faire des prélèvements urinaires
Vous proposez d'aller dans les villages pour faire des prélèvements sanguins
Votre proposition surprend
Retour au départ
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Votre proposition surprend
Les médecins Sri Lankais vous font remarquer qu'ils connaissent déjà les symptômes.
Vous insistez pour aller dans les villages pour identifier les symptômes
Vous proposez d'aller dans les villages faire des prélèvements urinaires
Vous proposez d'aller dans les villages faire des prélèvements sanguins
Retour au départ
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Les arguments défilent
Certains pensent qu'il faut faire des prélèvements sanguins pour identifier le parasite responsable de la maladie.Un médecin traditionnel pense qu'il faut faire des prélèvements urinaires pour vérifier un déséquilibre énergétique.
Vous pensez qu'il est préférable d'aller dans les villages identifier les symptômes
Vous tranchez en faveur des prélèvements urinaires
Vous tranchez en faveur des prélèvements sanguins
Les regards se tournent vers vous, l'expert international
Retour au départ
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Votre proposition séduit
OUI ! Les maladies infectieuses attaquent l’organisme et le plus souvent les agents pathogènes laissent des traces dans le sang
Partir préparer votre déplacement dans les villes touchées
C'est particulièrement vrai pour les maladies soupçonnées.Après, le problème ce sera l’analyse.Qu’a dit le chef déjà pour les analyses ?
Retour au départ
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Vous décidez de voyager léger
En effet, vous trouvez les taxis Sri Lankais peu adaptés à la saison des pluies.Vous préparez votre bagage : Vêtements de rechange, répulsifs antimoustiques, quelques formulaires et le matériel de prélèvement.
Analyser les échantillons
Retour au départ
Alors que vous vous apprêtez à partir, la nouvelle tombe : les routes ont été coupées par les dernières inondations. Il va falloir patienter.
Votre attente sera utile : des échantillons d'eau des deux villes sont disponibles pour analyse.
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Commencer par les échantillons de Negombo
Commencer par les échantillons de Nuwara-Eliya
Les autorités locales considèrent que votre mission est de première importance. Un hélicoptère doit venir vous prendre dans 2h. Cela vous laisse le temps pour des observations microscopiques.Aidée de Tharushi, technicienne de laboratoire, vous vous atelez à la tâche.
Retour au départ
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Vous observez des larves de moustiques
Vous pensez que ce sont
Des larves de Negombo
des larves d'Aedes
des larves de Culex
des larves d'Anopheles
pas des larves de moustiques
Retour au départ
La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
La technicienne de laboratoirene semble pas d'accord avec vous
Vous devriez lire le livre sur la reconnaissance des moustiques
Des larves de Negombo
des larves d'Aedes
des larves de Culex
des larves d'Anopheles
pas des larves de moustiques
Retour au départ
La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Tharushi ne semblepas d'accord avec vous
Vous devriez lire le livre sur la reconnaissance des moustiques
Des larves de Negombo
des larves d'Aedes
des larves de Culex
des larves d'Anopheles
pas des larves de moustiques
Retour au départ
La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Oui ! Bien vu !
Ces larves n'ont pas de siphon au bout de leur abdomen.
Des larves de Negombo
Passer à l'identification de la deuxième larve
Retour au départ
Ces moustiques sont donc bien des anophèles.
N'oubliez pas de le noter dans votredocument de mission
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Vous observez un deuxième type de larves
Vous pensez que ce sont
des larves d'Aedes
des larves de Culex
des larves d'Anopheles
pas des larves de moustiques
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Une deuxième larve
La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
des larves d'Aedes
des larves de Culex
des larves d'Anopheles
pas des larves de moustiques
Retour au départ
Une deuxième larve
Tharushi ne semblepas d'accord avec vous
Vous devriez regarder les soies sur le siphon
La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Oui ! Bien vu !
Ces larves ont une seule touffe de soies sur le siphon.
Voyons, les anophèles et les Aedes peuvent transmettre quelles maladies déjà ?
Retour au départ
Ces moustiques sont donc bien des Aedes.
Une deuxième larve
N'oubliez pas de le noter dans votredocument de mission
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Vous pouvez maintenant affiner vos hypothèses concernant l'épidémie à Negombo
Vous avez identifié la ou les maladies responsables de l'épidémie !
Vous pensez pouvoir poser des hypothèses éclairées
OU
Retour au départ
Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
En voyant votre air de victoire, Tharushi se tourne vers vous dans l'expectative.Quel est votre verdict docteur ?
C'est le paludisme !
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C'est une double épidémie : paludisme et dengue
C'est la dengue !
C'est le la leptospirose !
C'est le chikungunya !
C'est une double épidémie : chikungunya et dengue
C'est une double épidémie : paludisme et chikungunya
C'est une triple épidémie : paludisme, dengue et chikungunya !
C'est une quadruple épidémie : paludisme, dengue, chik et lepto !
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Vous avez raison d'être prudent. La présence du moustique ne signifie pas que la maladie circule.
Le paludisme seul
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Le paludisme et la dengue
La dengue seule
Le chikungunya seul
Le chikungunya et la dengue
Trois maladies possibles : paludisme, dengue et chikungunya.
On peut envisager ces 4 maladies : paludisme, dengue, chik et lepto
D'après-vous quelles maladies sont susceptibles de circuler à Négombo ?
Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Que de certitudes !
La présence des vecteurs ne garantit pas que la maladie circule !Les moustiques sont indispensables, mais encore faut-il que les transmissions se fassent.
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Vous allez devoir poser des hypothèses éclairées qu'il faudra ensuite vérifier par des analyses sur le terrain
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Votre hypothèse est partiellement correcte. On peut envisager d'autres maladies.
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N'oubliez pas de lire les notes de la mission sur les maladise infectieuses
Retourner poser des hypothèses
Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose
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Le paludisme est transmis par les anophèles. La dengue et le chikungunya sont transmis par les moustiques Aedes.Ces trois maladies peuvent donc être présentes à Négombo.
Oui ! Bien vu !
On ne peut pas non plus exclure la présence de rats qui peuvent transmettre la leptospirose.
Plus que 30 minutes avant l'hélicoIl faut analyser l'eau de Nuwara-Eliya
N'oubliez pas de noter vos hypothèses dans votredocument de mission
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VOUS N'OBSERVEZ AUCUNELARVE DE MOUSTIQUES
Leptospirose
Vous pouvez donc affiner vos hypothèses concernant l'épidémie à Nuwara-Eliya.
Vous pensez que c'est une épidémie de ... ?
Leptospirose mais vous n'éliminez pas d'autres possibilités
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Dengue
Chikungunya
Paludisme
Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose
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Une maladie transmise par les moustiques ?Vraiment ?
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Tharushi vous corrige : la présence de moustiques est nécessaire et vous n'avez pas observé de larves dans l'eau de la ville.
Une épidémie de Leptospirose
Une épidémie probable de leptospirose mais vous n'éliminez pas d'autres possibilités
Il ne reste que deux possibilités :
Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose
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De bonnes idées !L'absence de larve de moustique permet de douter de la présence de maladies transmises par les moustiques.
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La leptospirose est donc un bon candidat.
Ranger le matériel d'observation et se préparer à partir
Cependant les symptômes étant très courants, on ne peut pas éliminer d'autres maladies
N'oubliez pas de noter vos hypothèses dans votredocument de mission
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Oui ! Bien joué !L'absence de larve de moustique permet de douter de la présence de maladies transmises par les moustiques.
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La leptospirose est donc un bon candidat.
Ranger le matériel d'observation et se préparer à partir
Cependant les symptômes étant très courants, on ne peut pas éliminer d'autres maladies
N'oubliez pas de noter vos hypothèses dans votredocument de mission
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Pendant que vous rangez votre matériel, vous notez vos hypothèses dans votre rapport de mission
Retour au départ
Vous prenez le temps de réfléchir pour lui répondre
Tharushi vous interrompt, curieuse :
"Pourquoi n'y a-t-il pas de moustique à Nuwara-Eliya ?"
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Pourquoi n'y a-t-il pas de moustique à Nuwara-Eliya ?
Retour au départ
Les températures trop froides toute l'année
Donnée météo Nuawa-Eliya
Carte de la pluviométrie annuelle au Sri Lanka Pluviométrie et température à Nuwara-Eliya
L'avantage d'un smartphone c'est qu'on a beaucoup de données à portée de doigt.Vous décidez de vous renseigner !
Donnée météo Nebomgo
Carte de la pluviométrie annuelle au Sri Lanka Pluviométrie et température à Nebomgo
Les températures trop froides en hiver
La pluviométrie trop faible
La pluviométrie trop importante
Vous expliquez à la technicienne que l'absence de moustique s'explique par :
docde mission
La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques
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Tharushi s'étonne de votre réponse
Retour au départ
Elle est déjà allé au Canada et les moustiques sont présents en été malgré un hiver très froid où l'eau stagnante gèle !
Vous réfléchissez à une meilleure réponse
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Tharushi s'étonne de votre réponse
Retour au départ
Les larves de moustiques ont besoin d'eau et la pluie est suffisamment abondante partout au Sri Lanka.
Vous réfléchissez à une meilleure réponse
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Vos explications convainquent Tharushi
Retour au départ
Il est l'heure. Vous vous élancez vers l'hélicoptère.
Vous expliquez que les larves de moustiques ont besoin d'une température suffisante pour se développer.Or cette ville de montagne a une température inférieure à 25°C toute l'année. Les larves de moustiques ont toute l'eau nécessaire, mais les adultes ne pondent pas à cause de la température trop froide.
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L'hélicoptère militaire s'élance avec Tharushiet vous-même à bord.Quelle sera votre première destination ?
Direction les montagnes et la ville de Nuwara-Eliya
Direction le Nord et la ville de Negombo
Retour au départ
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Des observations microscopique sur place
Arrivée à Nuwara-Eliya
Vous prélevez le sang de 3 patients.Qu'allez-vous en faire ?
Nouvelle vidéo
Envoyer les échantillons à Paris pour analyse génétique
Les deux
Retour au départ
Détecter les gros parasites
Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves. Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose
Détecter les virus
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
docde mission
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Des observations microscopiques sur place
Tharushi commence à perdre patiente. Vous devriez réfléchir davantage !
Tharushi vous faire remarquer que votre stratégie ne permettra de détecter que certaines maladies
Que proposez-vous maintenant ?
Test API
Envoyer les échantillons à Paris pour analyse génétique
Tharushi commence à perdre patiente. Vous devriez réfléchir davantage !
Les deux
Détecter les gros parasites
Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose
Retour au départ
Détecter les virus
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
docde mission
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Très bonne stratégie !
Au microscope on pourra déjà voir les maladies parasitaires comme le paludisme !Mais les analyses à Paris sont nécessaires pour détecter bactéries et virus.
Test API
Pas de maladie parasitaire
Le patient 1 a le paludisme
Retour au départ
Un des patients a une autre maladie parasitaire
Le patient 3 a le paludisme
Le patient 2 a le paludisme
Détecter les gros parasites
Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves. Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose
Détecter les virus
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
Observer les échantillons
docde mission
Frottis sanguin du patient n°1 Frottis sanguin du patient n°2 Frottis sanguin du patient n°3
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Peut-être devriez-vous réobserver les échantillons et revoir la méthode pour détecter les gros parasites pour vérifier si on peut réellement en voir dans le sang des patients ?
Test API
Pas de maladie parasitaire
Le patient 1 a le paludisme
Retour au départ
Un des patients a une autre maladie parasitaire
Le patient 3 a le paludisme
Le patient 2 a le paludisme
Détecter les gros parasites
Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose
Détecter les virus
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
Observer les échantillons
Tharushi n'est pas d'accord avec vos observations
Après réflexion vous pensez que ?
docde mission
Frottis sanguin du patient n°1 Frottis sanguin du patient n°2 Frottis sanguin du patient n°3
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Oui !
A Nuwara-Eliya pas de paludisme !En fait, pas de maladies parasitaires transmises par les moustiques... ce qui est logique puisqu'il n'y avait pas de larves de moustique dans l'eau.
Reprendre l'hélicoptère vers Negombo
Vous avez déjà visité Nebomgo. Vous pouvez reprendre l'hélicoptère pour rentrer à Colombo.
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N'oubliez pas de noter vos résultats dans votredocument de mission
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Arrivée à Negombo au coucher du soleil
Des observations microscopiques sur place
Votre mission n'attend pas, vous vous coucherez tard ! Vous prélevez le sang de 3 patients.Qu'allez-vous en faire ?
Envoyer les échantillons à Paris pour analyse génétique
Les deux
Détecter les gros parasites
Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves. Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose
Test API
Détecter les virus
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
Retour au départ
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Détecter les gros parasites
Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves. Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose
Test API
Détecter les virus
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
Retour au départ
Tharushi vous faire remarquer que votre stratégie ne permettra de détecter que certaines maladies
Que proposez-vous maintenant ?
Des observations microscopiques sur place
Tharushi commence à perdre patiente. Vous devriez réfléchir davantage !
Envoyer les échantillons à Paris pour analyse génétique
Tharushi commence à perdre patiente. Vous devriez réfléchir davantage !
Les deux
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Très bonne stratégie !
Au microscope on pourra déjà voir les maladies parasitaires comme le paludisme !Mais les analyses à Paris sont nécessaires pour détecter bactéries et virus.
Test API
Pas de maladie parasitaire
Le patient 1 a le paludisme
Retour au départ
Des patients ont une autre maladie parasitaire
Le patient 3 a le paludisme
Le patient 2 a le paludisme
Détecter les gros parasites
Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose
Détecter les virus
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
Observer les échantillons
Plusieurs patients ont le paludisme
Frottis sanguin du patient n°1 Frottis sanguin du patient n°2 Frottis sanguin du patient n°3
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Ce patient a bien le paludisme !
On peut effectivement voir des Plasmodium au milieu des globules rouges.Mais Tharushi est en désaccord avec un autre patient. Regardez de nouveau !
Test API
Pas de maladie parasitaire
"Vous êtes illogique !", s'agace Tharushi. Nous avons tous les deux vu qu'un des patients était porteur du parasite responsable du paludisme.
Le patient 1 a le paludisme
"Il a le paludisme oui", s'exclame Tharushi, mais à mon avis ce n'est pas le seul !"
Retour au départ
Des patients ont une autre maladie parasitaire
"Je ne suis pas d'accord", affirme Tharushi, je ne vois que du plasmodium dans les échantillons et aucun autre parasite en forme de vers."
Le patient 3 a le paludisme
"Je ne suis pas d'accord avec vous", soupire Tharushi, on ne voit pas de plasmodium dans le sang de ce patient"
Le patient 2 a le paludisme
"Il a le paludisme oui", s'exclame Tharushi, mais à mon avis ce n'est pas le seul !"
Détecter les gros parasites
Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose
Détecter les virus
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
Observer les échantillons
Plusieurs patients ont le paludisme
docde mission
Frottis sanguin du patient n°1 Frottis sanguin du patient n°2 Frottis sanguin du patient n°3
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Tharushi est en désaccord total avec vos observations
Regardez de nouveau ! Et n'oubliez pas de vérifier les moyens de détection des gros parasites sur votre téléphone.
Test API
Pas de maladie parasitaire
"Non !", s'agace Tharushi. "On voit clairement des parasites chez certains des patients !"
Le patient 1 a le paludisme
"Il a le paludisme oui", s'exclame Tharushi, mais à mon avis ce n'est pas le seul !"
Retour au départ
Des patients ont une autre maladie parasitaire
"Je ne suis pas d'accord", affirme Tharushi, "je ne vois que du plasmodium dans les échantillons et aucun autre parasite en forme de vers."
Le patient 3 a le paludisme
"Je ne suis pas d'accord avec vous", soupire Tharushi, "on ne voit pas de plasmodium dans le sang de ce patient"
Le patient 2 a le paludisme
"Il a le paludisme oui", s'exclame Tharushi, mais à mon avis ce n'est pas le seul !"
Détecter les gros parasites
Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose
Détecter les virus
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
Observer les échantillons
Plusieurs patients ont le paludisme
docde mission
Frottis sanguin du patient n°1 Frottis sanguin du patient n°2 Frottis sanguin du patient n°3
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Tharushi est en désaccord total avec vos observations
Regardez de nouveau ! Et n'oubliez pas de vérifier les moyens de détection des gros parasites sur votre téléphone.
Test API
Pas de maladie parasitaire
"Non !", s'agace Tharushi. "On voit clairement des parasites chez certains des patients !"
Le patient 1 a le paludisme
"Il a le paludisme oui", s'exclame Tharushi, mais à mon avis ce n'est pas le seul !"
Retour au départ
Des patients ont une autre maladie parasitaire
"Je ne suis pas d'accord", affirme Tharushi, "je ne vois que du plasmodium dans les échantillons et aucun autre parasite en forme de vers."
Le patient 3 a le paludisme
"Je ne suis pas d'accord avec vous", soupire Tharushi, "on ne voit pas de plasmodium dans le sang de ce patient"
Le patient 2 a le paludisme
"Il a le paludisme oui", s'exclame Tharushi, mais à mon avis ce n'est pas le seul !"
Détecter les gros parasites
Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose
Détecter les virus
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
Observer les échantillons
Plusieurs patients ont le paludisme
docde mission
Frottis sanguin du patient n°1 Frottis sanguin du patient n°2 Frottis sanguin du patient n°3
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Oui !
A Negombo il y a du paludisme !Les patients 1 et 2 présentent des Plasmodium dans leur sang, ils sont donc porteurs de cette maladie.Ce qui concorde avec la présence de l'anophèle que vous aviez détectée dans les échantillons d'eau.
Reprendre l'hélicoptère vers Nuwara-Eliya
Vous avez déjà visité Nuwara-Eliya. Vous pouvez reprendre l'hélicoptère pour rentrer à Colombo.
Retour au départ
N'oubliez pas de noter vos résultats dans votredocument de mission
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
L'hélicoptère militaire atterrit à Columbo
Direction les montagnes et la ville de Nuwara-Eliya
Direction le Nord et la ville de Negombo
Avez-vous bien visité les deux villes ?Si ce n'est pas le cas vous ne pourrez pas finir cette aventure !Le pilote vous offre une dernière chance de visiter la ville manquante.
Vous retournez à la mission en attente des résultats de Paris
Retour au départ
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Retour à la mission
En attendant les résultats de Paris, vous passez les jours suivantsà analyser des échantillons d'eau et de sang.Vos premières conclusions sont confirmées.Deux jours après les résultats des analyses des laboratoires parisiens arrivent !
Prenez donc connaissances des résultats
Retour au départ
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Commencer par les tests génétiques
Analyse des résultats
Test API
Paris a effectué un test API et un test génétique sur chaque échantillon
Commencer par les test API
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Détecter les gros parasites
Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose
Détecter les virus
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
docde mission
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Certains ont le ChikV
Analyse génétique
Test API
Retour au départ
Test génétiques
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
docde mission
Télécharger les résultats du test ChikV
Résultats obtenus pour la détection du CHIKV virus responsable du Chikungunya Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché
Photo des notes sur les maladies communes
Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose
Télécharger les résultats du test DENV
Résultats obtenus pour la détection du DENV virus responsable de la dengue Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché
Tharushi et les docteurs Sri Lankais attendent votre verdict. Votre réputation est en jeu !
Certains ont le DENV
Les deux virus circulent
Alors... ?
Aucun des deux virus présent
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Certains ont le ChikV
Il semblerait que vous ayez tort...
Test API
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Test génétiques
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
docde mission
Télécharger les résultats du test ChikV
Résultats obtenus pour la détection du CHIKV virus responsable du Chikungunya Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché
Photo des notes sur les maladies communes
Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose
Télécharger les résultats du test DENV
Résultats obtenus pour la détection du DENV virus responsable de la dengue Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché
Les docteurs vous regardent d'un air méprisant tandis que Tharushi vous encourage
Certains ont le DENV
Tharushi sent que vous allez faire une erreur et vous fait un signe discrètement. Peut-être devriez vous revoir les résultats et la fiche d'identification des virus.
Les deux virus circulent
Tharushi sent que vous allez faire une erreur et vous fait un signe discrètement. Peut-être devriez vous revoir les résultats et la fiche d'identification des virus.
Alors... ?
Aucun des deux virus présent
Tharushi sent que vous allez faire une erreur et vous fait un signe discrètement. Peut-être devriez vous revoir les résultats et la fiche d'identification des virus.
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
A Negombo
Analyse génétique
Test API
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Test génétiques
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
docde mission
Télécharger les résultats du test ChikV
Résultats obtenus pour la détection du CHIKV virus responsable du Chikungunya Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché
Photo des notes sur les maladies communes
Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose
Télécharger les résultats du test DENV
Résultats obtenus pour la détection du DENV virus responsable de la dengue Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché
Tharushi et les docteurs Sri Lankais attendent votre verdict. Votre réputation est en jeu !
A Nuwara-Eliya
Exact - mais dans quelle ville ?
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Il semblerait que vous ayez tort...
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Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
docde mission
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Résultats obtenus pour la détection du CHIKV virus responsable du Chikungunya Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché
Photo des notes sur les maladies communes
Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose
Télécharger les résultats du test DENV
Résultats obtenus pour la détection du DENV virus responsable de la dengue Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché
Les docteurs vous regardent d'un air méprisant tandis que Tharushi vous encourage
Alors... ?
A Negombo
A Nuwara-Eliya
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Le 1
Analyse génétique
Test API
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Test génétiques
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
docde mission
Télécharger les résultats du test ChikV
Résultats obtenus pour la détection du CHIKV virus responsable du Chikungunya Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché
Photo des notes sur les maladies communes
Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose
Télécharger les résultats du test DENV
Résultats obtenus pour la détection du DENV virus responsable de la dengue Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché
Tharushi et les docteurs Sri Lankais attendent votre verdict. Votre réputation est en jeu !
Le 2
Exact - mais quel patient ?
Le 1 et le 2
Le 3
Le 1 et le 3
Les 3
Le 2 et le 3
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Il semblerait que vous ayez tort...
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Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
docde mission
Télécharger les résultats du test ChikV
Résultats obtenus pour la détection du CHIKV virus responsable du Chikungunya Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché
Photo des notes sur les maladies communes
Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose
Télécharger les résultats du test DENV
Résultats obtenus pour la détection du DENV virus responsable de la dengue Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché
Les docteurs vous regardent d'un air méprisant tandis que Tharushi vous encourage
Alors... ?
Le 1
Tharushi sent que vous allez faire une erreur et vous fait un signe discrètement. Peut-être devriez vous revoir les résultats et la fiche d'identification des virus.
Le 2
Tharushi sent que vous allez faire une erreur et vous fait un signe discrètement. Peut-être devriez vous revoir les résultats et la fiche d'identification des virus.
Le 1 et le 2
Tharushi sent que vous allez faire une erreur et vous fait un signe discrètement. Peut-être devriez vous revoir les résultats et la fiche d'identification des virus.
Le 3
Le 1 et le 3
Tharushi sent que vous allez faire une erreur et vous fait un signe discrètement. Peut-être devriez vous revoir les résultats et la fiche d'identification des virus.
Les 3
Tharushi sent que vous allez faire une erreur et vous fait un signe discrètement. Peut-être devriez vous revoir les résultats et la fiche d'identification des virus.
Le 2 et le 3
Tharushi sent que vous allez faire une erreur et vous fait un signe discrètement. Peut-être devriez vous revoir les résultats et la fiche d'identification des virus.
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Les patients de Nuwara-Eliya
Analyse bactérienne par test API
Test API
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docde mission
Photo des notes sur les maladies communes
Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose
Télécharger les résultats du test API
Résultats obtenus pour la détection de bactérie par le test API en utilisant la galerie API 10S Résultats concernant la ville de Negombo Les résultats sont identiques pour les trois patients Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya Les résultats sont identiques pour les trois patients
Tharushi et les docteurs Sri Lankais attendent votre verdict. Votre réputation est en jeu !
Les patients de Nebomgo
Les patients des deux villes
Alors, quels patients sont porteurs d'une bactérie ?
Aucun des patients
Application d'analyse des test API
Application d'interprétation des tests API Mode d'emploi Dans l'application vous devez :
- Sélectionner la galerie utilisée pour le test.
- Indiquer pour chaque puits du test les résultats en cochantremarque : lorsque vous cocher, un code couleur correspondant aux résultats du test permet de vérifier votre réponse:
- - (présence du marqueur à détecter) ;
- + (absence du marqueur à détecter) ;
- ou ? si le marqueur n'a pas été vérifié
- Le résultat s'affiche :
- Une bactérie est détectée : la personne porte cette bactérie
- Plusieurs bactéries sont envisagées : le test donne des probabilités pour chaque bactérie
- Aucun nom n'est donné : le test est négatif. L'individu porteur d'aucune des bactéries détectables par le test.
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Les patients de Nuwara-Eliya
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Les docteurs vous regardent d'un air méprisant tandis que Tharushi vous encourage
Les patients de Nebomgo
Tharushi sent que vous allez faire une erreur et vous fait un signe discrètement. Peut-être devriez vous revoir les résultats et la fiche d'identification des virus.
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Test génétiques
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
docde mission
Photo des notes sur les maladies communes
Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose
Télécharger les résultats du test API
Résultats obtenus pour la détection de bactérie par le test API en utilisant la galerie API 10S Résultats concernant la ville de Negombo Les résultats sont identiques pour les trois patients Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya Les résultats sont identiques pour les trois patients
Application d'analyse des test API
Application d'interprétation des tests API Mode d'emploi Dans l'application vous devez :
- Sélectionner la galerie utilisée pour le test.
- Indiquer pour chaque puits du test les résultats en cochantremarque : lorsque vous cochez, un code couleur correspondant aux résultats du test permet de vérifier votre réponse:
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Salmonella pullorum
Analyse bactérienne pas test API
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Exact - mais quelle bactérie ?
Salmonella Typhi
Application d'analyse des test API
Test génétiques
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
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Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose
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Escherichia coli
Proteus vulgaris
Une autre bactérie
Leptospira interrogans
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Test génétiques
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docde mission
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Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose
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Salmonella pullorum
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Salmonella Typhi
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Leptospira interrogans
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Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
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Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose
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Salmonella pullorum
Tharushi sent que vous allez faire une erreur et vous fait un signe discrètement. Peut-être devriez vous revoir les résultats et la fiche d'identification des virus.
Salmonella Typhi
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Il s'agit en effet de la bactérie Salmonella typhi.
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docde mission
Une rapide recherche sur le site de l'Organisation Mondiale de la Santé devrait vous renseigner sur cette bactérie.
N'oubliez pas de noter vos résultats dans votredocument de mission
Site del'OMS
Information sur la bactérie Salmonella Typhi Principaux faits
- La fièvre typhoïde est une infection potentiellement mortelle due à la bactérie Salmonella typhi. Elle se propage habituellement par l’eau ou les aliments contaminés.
- On estime que, chaque année, de 11 à 20 millions de personnes contractent cette maladie et que de 128 000 à 161 000 en meurent.
- Les symptômes sont les suivants: fièvre prolongée, fatigue, céphalées, nausées, douleurs abdominales, constipation ou diarrhée. Certains patients peuvent présenter une éruption cutanée. Dans les cas sévères, elle peut entraîner des complications sérieuses, voire la mort.
- On peut traiter la fièvre typhoïde au moyen d’antibiotiques, même si les résistances croissantes à différents types de ces médicaments compliquent le traitement.
- On a utilisé pendant de nombreuses années 2 vaccins préventifs. Un nouveau vaccin conjugué, conférant une immunité de plus longue durée, a été préqualifé par l’OMS en décembre 2017.
- La fièvre typhoïde est très répandue dans les endroits où l’eau potable et l’assainissement font défaut. L’accès à l’eau potable et à des moyens d’assainissement adéquats, l’éducation sanitaire, le respect des bonnes pratiques d’hygiène chez les personnes qui manipulent des aliments et la vaccination sont autant de moyens efficaces de lutter contre la fièvre typhoïde.
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Pas encore ! Allons voir les tests génétiques
Excellente analyse !
Avez-vous identifié la maladie de chaque patient et tout noté dans votre carnet de mission ?
Pas encore !Allons voir les test API
Pas encore ! Retournons sur le terrain prélever du sang
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Oui ! Il ne reste plus qu'à prévenir l'ambassadeur
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Vous prenez le taxi
Vous arrivez bientôt à l'ambassade, où l'ambassadeur vous accueille en personne.
"Alors cher ami, avez-vous pu identifier les épidémies en cours ?"
Confiant dans vos déductions, vous répondez par l'affirmative.
"Parfait ! il n'y a plus qu'à prévenir Paris.Comme je vous l'avais dit au début de votre mission, nous allons devoir remplir ce formulaire codé."
Vous lancez l'application du formulaire
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L'ambassadeur vous guide
EnterCode
"Entrez le 9 pour indiquer qu'il s'agit d'une épidémie"
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L'ambassadeur s'impatiente
EnterCode
"Suivez un peu ! J'ai dit d'entrer le 9 pour signaler une épidémie"
FAUX
"Veuillez appuyez sur Reset pour recommencer."
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L'ambassadeur s'impatiente
"Vous avez appuyez sur entrée trop tôt. Il va falloir tout recommencer !"
"Veuillez appuyez sur Reset."
En attente de validation
Code épidémique de l'application du ministère des affaires étrangères
MERCI
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L'ambassadeur vous guide
VOIRCodeEPI
Code épidémique de l'application du ministère des affaires étrangères
"Entrez maintenant le code épidémique pour chaque patient dans l'ordre que je vais vous donner"
"D'abord le patient n°1 de Negombo."
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L'ambassadeur vous guide
VOIRCodeEPI
Code épidémique de l'application du ministère des affaires étrangères
"Ensuite entrez le code EPI pour le patient n°1 de Nuwara-Eliya."
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L'ambassadeur vous guide
VOIRCodeEPI
Code épidémique de l'application du ministère des affaires étrangères
"Ensuite entrez le code EPI pour le patient n°1 de Nuwara-Eliya."
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L'ambassadeur vous guide
VOIRCodeEPI
Code épidémique de l'application du ministère des affaires étrangères
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"Ensuite entrez le code EPI pour le patient n°1 de Nuwara-Eliya."
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L'ambassadeur vous guide
VOIRCodeEPI
Code épidémique de l'application du ministère des affaires étrangères
***
"Ensuite entrez le code EPI pour le patient n°2 de Negombo."
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L'ambassadeur vous guide
VOIRCodeEPI
Code épidémique de l'application du ministère des affaires étrangères
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"Ensuite entrez le code EPI pour le patient n°2 de Negombo."
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L'ambassadeur vous guide
VOIRCodeEPI
Code épidémique de l'application du ministère des affaires étrangères
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"Ensuite entrez le code EPI pour le patient n°2 de Nuwara-Eliya."
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VOIRCodeEPI
Code épidémique de l'application du ministère des affaires étrangères
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"Ensuite entrez le code EPI pour le patient n°2 de Nuwara-Eliya."
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L'ambassadeur vous guide
VOIRCodeEPI
Code épidémique de l'application du ministère des affaires étrangères
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"Ensuite entrez le code EPI pour le patient n°3 de Negombo."
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VOIRCodeEPI
Code épidémique de l'application du ministère des affaires étrangères
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"Ensuite entrez le code EPI pour le patient n°3 de Negombo."
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Code épidémique de l'application du ministère des affaires étrangères
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"Ensuite entrez le code EPI pour le patient n°3 de Nuwara-Eliya."
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L'ambassadeur vous guide
VOIRCodeEPI
Code épidémique de l'application du ministère des affaires étrangères
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"Ensuite entrez le code EPI pour le patient n°3 de Nuwara-Eliya."
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Retour au départ
OK
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L'ambassadeur vous guide
VOIRCodeEPI
Code épidémique de l'application du ministère des affaires étrangères
"Maintenant validez en appuyant sur OK."
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L'ambassadeur vous guide
VOIRCodeEPI
Code épidémique de l'application du ministère des affaires étrangères
"Maintenant validez en appuyant sur OK."
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L'ambassadeur est inquiet
En attente de validation
Code épidémique de l'application du ministère des affaires étrangères
"Le code que vous avez entré ne correspond pas aux conclusions que vous m'avez données."
MERCI
"Veuillez appuyez sur Reset pour recommencer."
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OK
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L'ambassadeur est soulagé
En attente de validation
Code épidémique de l'application du ministère des affaires étrangères
"Parfait ! Les informations ont été transmises. Il ne me reste plus qu'à les valider"
Il sort son propre téléphone et valide vos conclusions
MERCI
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Le risque des évacuations sanitaires
Le sourire de l'ambassadeur est rayonnant et chaleureux.
"Vous avez effectué un travail remarquable en très peu de temps. Recevez les remerciements de la France."
Il reprend un air sérieux.
"Cependant, il reste une dernière question à traiter : nous avons des ressortissants français atteints à Negombo et à Nuwara-Eliya. Il faut pouvoir évaluer le risque pour le pays d'éventuelles évacuations sanitaires."
En route pour votre dernier défi !
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Le risque des évacuations sanitaires
L'ambassadeur vous rappelle que les évacuations sanitaires sont des transferts de malades pour les traiter dans nos hôpitaux.Il faut donc déterminer s'il y a risque de transmission de chacune des maladies présentes ici sur le sol français.
Traiter le cas des evasan atteints de paludisme
"Nous laissons à votre disposition des données sur la situation des vecteurs de ces maladies en France.N'hésitez pas à consulter tous les documents auxquels vous avez eu accès ces derniers jours pour tirer vos conclusions."
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Risque épidémique des Evasan Palu
Carte
Lepto
La leptospirose au Sri Lanka Publié le 12 mai 2019 à 08h27 – Par Claude HENGY Au Sri Lanka, les autorités sanitaires ont notifié une augmentation du nombre de cas de leptospirose, depuis le début de l'année dans le pays.
- Du 1er janvier au 30 avril, l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé a notifié 1464 cas, dont 12 décès.
- Cela se compare à 1294 cas notifiés au cours de la même période en 2018.
- Les villes ayant notifié le plus grand nombre de cas cette année sont Ratnapura (259 cas), Kalutara (205 cas) et Galle (122 cas). La capitale Colombo a notifié 70 cas.
- dans la mesure du possible, se protéger par le port de bottes et de gants lors d'une activité à risque (agriculture, élevage, jardinage, pêche en eau douce, ramassage d‘ordures) ;
- éviter de se baigner en eau douce et de laver son linge en rivière lorsqu'on est porteur de plaies (ou à défaut protéger les plaies en utilisant des pansements imperméables) ;
- limiter les contacts des muqueuses avec l'eau (port de lunettes de natation) ;
- éviter de marcher pieds nus ou en chaussures ouvertes sur des sols boueux ou dans les eaux de ruissèlement ;
- consulter sans délai un médecin en cas d'apparition des symptômes en lui signalant l'activité à risque pratiquée.
Palu
Dengue
Près de 5 000 cas de fièvre dengue, en janvier, au Sri lanka Publié le 29 jan. 2019 à 17h55 – Par Jacques MORVAN Au Sri Lanka, selon l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé, les responsables de la santé ont notifié 4 825 cas de dengue au cours des quatre premières semaines de 2019. Au moins deux décès liés à la dengue ont étés notifiés. Toutefois ce total est inférieur au nombre de cas signalés au cours de la même période de janvier 2018 avec 7 278 cas. Colombo a enregistré le plus grand nombre de cas (1182 cas), suivi de Jaffna (900 cas) et de Gampaha (465 cas). Rappels sur la dengue La dengue, maladie virale due au virus de la Dengue (4 sérotypes) de la famille des Flaviviridae, transmise par une piqûre de moustique, se manifeste le plus souvent par un syndrome grippal (fièvre, douleurs musculaires, parfois éruption cutanée). La dengue peut évoluer en forme grave hémorragique. La prise d'aspirine est formellement déconseillée. Il n'existe pas de traitement médicamenteux préventif disponible contre la dengue. Il n'existe pas de traitement spécifique contre le virus. Pour les touristes européens, la prévention de la dengue passe donc par la lutte contre son vecteur Aedes albopictus. Le moyen le plus efficace pour combattre ce moustique est d'éliminer ses lieux de ponte (soucoupes, petits récipients, déchets, réservoirs, vases, pneus, etc.). Il est conseillé aux voyageurs de se protéger des piqûres de moustique. Il convient de respecter les mesures habituelles de lutte anti-vectorielle : port de vêtements couvrants ; répulsifs anti-moustiques, contenant du DEET, sur la peau découverte ; vêtements et moustiquaire imprégnés d'insecticide pour la sieste et la nuit ; les personnes qui utilisent un écran solaire doivent appliquer le répulsif 20 minutes après l'écran solaire. Afin d'éviter au maximum la dissémination du virus de la dengue sur le territoire métropolitain, devant une fièvre d'apparition brutale et des douleurs articulaires ou musculaires dans les 15 jours qui suivent le retour d'un voyage en zone à risque, il faut consulter son médecin au plus vite en signalant son voyage. Source : Outbreak News Today.
SVT
Épidémie
Focus sur l'épidémie de Chikungunya à la Réunion
- Article de France Info
Briefing
Test API
Grippe espagnole
Test génétiques
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
docde mission
Retour au départ
Photo des notes sur les maladies communes
Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose
Photo des notessur la vie des moustiques
La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques
Détecter les gros parasites
Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose
La fièvre typhoïde
Information sur la bactérie Salmonella Typhi Principaux faits
- La fièvre typhoïde est une infection potentiellement mortelle due à la bactérie Salmonella typhi. Elle se propage habituellement par l’eau ou les aliments contaminés.
- On estime que, chaque année, de 11 à 20 millions de personnes contractent cette maladie et que de 128 000 à 161 000 en meurent.
- Les symptômes sont les suivants: fièvre prolongée, fatigue, céphalées, nausées, douleurs abdominales, constipation ou diarrhée. Certains patients peuvent présenter une éruption cutanée. Dans les cas sévères, elle peut entraîner des complications sérieuses, voire la mort.
- On peut traiter la fièvre typhoïde au moyen d’antibiotiques, même si les résistances croissantes à différents types de ces médicaments compliquent le traitement.
- On a utilisé pendant de nombreuses années 2 vaccins préventifs. Un nouveau vaccin conjugué, conférant une immunité de plus longue durée, a été préqualifé par l’OMS en décembre 2017.
- La fièvre typhoïde est très répandue dans les endroits où l’eau potable et l’assainissement font défaut. L’accès à l’eau potable et à des moyens d’assainissement adéquats, l’éducation sanitaire, le respect des bonnes pratiques d’hygiène chez les personnes qui manipulent des aliments et la vaccination sont autant de moyens efficaces de lutter contre la fièvre typhoïde.
Risque faible
Risque élevé
Concernant les risques épidémiques en France, vous pensez que les evasan de malades du paludisme entrainent un :
Présence de l'anophèle en France En France hexagonale, on retrouve l'espèce Anopheles Atroparvus dont la capacité à transmettre le paludisme est extrêmement faible. Dans les DOM, on retrouve d'autres espèces d'anophèles dont la capacité à transmettre le paludisme est forte. Coupure de presse Par Le Figaro Santé Publié le 27/08/2008 à 18:36 Ils contractent le paludisme sans quitter la France Cas rarissime : un couple de Parisiens est atteint de cette maladie tropicale alors qu'il n'a pas quitté le sol français. Deux Parisiens sont atteints de paludisme, alors qu'ils n'ont pas quitté la France. Les deux jeunes gens sont hospitalisés au CHU de Nice depuis le 23 août. «Leur état de santé est en voie d'amélioration» a indiqué la Direction générale de la Santé (DGS). Les premiers signes cliniques (fièvre, maux de tête, vomissements et baisse des plaquettes sanguines) sont apparus le 18 août, cinq jours après leur arrivée dans le sud de la France. La DGS précise que le couple a séjourné à 7 kilomètres de l'Aéroport de Roissy Charles de Gaulle du 5 au 7 août. Si une recherche a été lancée autour de leur lieu de vacances, à Saint-Raphaël dans le Var afin d'écarter l'hypothèse de la présence d'un moustique vecteur du palu, il semblerait que le diagnostic de «paludisme autochtone» dit «d'aéroport» soit le plus probable. Comment un moustique peut-il être vecteur de l'infection dans un pays sain? Le paludisme est transmis à l'homme par la piqûre d'un moustique femelle, du genre Anopheles, elle-même infectée après avoir piqué un homme atteint du palu : la femelle, en prenant le repas de sang nécessaire à sa ponte, injecte le parasite à son hôte. Les mâles ne piquent pas. Il arrive qu'un Anophele infecté soit transporté dans la soute à bagage d'un avion en provenance d'un pays de zone impaludée et parvienne en zone saine, en ayant survécu au voyage. Un cas d'infection qui serait déclaré suite à la piqûre de ce moustique est appelé « paludisme d'aéroport».Les professionnels des aéroports exposés au cours d'un trajet aérien, d'une escale, ou lors de l'ouverture des containers et des bagages, ainsi que les riverains immédiats des aéroports ont le plus de chances d'être infectés. Est-ce fréquent ? Selon les autorités sanitaires, le paludisme d'aéroport est rare, puisque les derniers cas signalés datent de 1999. Entre 1977et 1999, 28 cas ont été observés France Métropolitaine, soit au maximum un cas par an. Comment lutter contre ces cas ? Des procédures de désinsectisation ont été proposées par l'OMS; en général, elles sont bien respectées par les compagnies aériennes : désinsectiser les avions, par pulvérisation d'un aérosol juste avant l'embarquement des passagers ou le décollage notamment. De nombreux pays insistent sur la nécessité d'une nouvelle désinsectisation à l'arrivée, surtout si les vols proviennent de pays à risques et si l'on a des doutes sur la façon dont les traitements sont réalisés au départ. La DGS rappelle que tous les cas de paludisme autochtones ou importés dans les départements d'Outre mer doivent faire l'objet d'une déclaration obligatoire.
Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Risque épidémique des Evasan Palu
En lisant l'article du Figaro inclus dans les notes de l'ambassade sur le paludisme en France, l'ambassadeur arrive à une conclusion différente de vous.
Retourner lire vos notes
"Vous pensez vraiment que les malades du paludisme que nous évacurions en France risqueraient de déclencher une épidémie chez nous ?Peut-être devriez-vous relire les notes sur le paludisme."
Confirmer votre expertise
Suivre l'avis de l'ambassadeur sans relire vos notes
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Vraiment ? Vous suivez l'avis de n'importe qui sans vérifier vos informations ?
Retournez donc lire vos notes pour vérifier si l'ambassadeur a raison
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Carte
Lepto
La leptospirose au Sri Lanka Publié le 12 mai 2019 à 08h27 – Par Claude HENGY Au Sri Lanka, les autorités sanitaires ont notifié une augmentation du nombre de cas de leptospirose, depuis le début de l'année dans le pays.
- Du 1er janvier au 30 avril, l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé a notifié 1464 cas, dont 12 décès.
- Cela se compare à 1294 cas notifiés au cours de la même période en 2018.
- Les villes ayant notifié le plus grand nombre de cas cette année sont Ratnapura (259 cas), Kalutara (205 cas) et Galle (122 cas). La capitale Colombo a notifié 70 cas.
- dans la mesure du possible, se protéger par le port de bottes et de gants lors d'une activité à risque (agriculture, élevage, jardinage, pêche en eau douce, ramassage d‘ordures) ;
- éviter de se baigner en eau douce et de laver son linge en rivière lorsqu'on est porteur de plaies (ou à défaut protéger les plaies en utilisant des pansements imperméables) ;
- limiter les contacts des muqueuses avec l'eau (port de lunettes de natation) ;
- éviter de marcher pieds nus ou en chaussures ouvertes sur des sols boueux ou dans les eaux de ruissèlement ;
- consulter sans délai un médecin en cas d'apparition des symptômes en lui signalant l'activité à risque pratiquée.
Palu
Dengue
Près de 5 000 cas de fièvre dengue, en janvier, au Sri lanka Publié le 29 jan. 2019 à 17h55 – Par Jacques MORVAN Au Sri Lanka, selon l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé, les responsables de la santé ont notifié 4 825 cas de dengue au cours des quatre premières semaines de 2019. Au moins deux décès liés à la dengue ont étés notifiés. Toutefois ce total est inférieur au nombre de cas signalés au cours de la même période de janvier 2018 avec 7 278 cas. Colombo a enregistré le plus grand nombre de cas (1182 cas), suivi de Jaffna (900 cas) et de Gampaha (465 cas). Rappels sur la dengue La dengue, maladie virale due au virus de la Dengue (4 sérotypes) de la famille des Flaviviridae, transmise par une piqûre de moustique, se manifeste le plus souvent par un syndrome grippal (fièvre, douleurs musculaires, parfois éruption cutanée). La dengue peut évoluer en forme grave hémorragique. La prise d'aspirine est formellement déconseillée. Il n'existe pas de traitement médicamenteux préventif disponible contre la dengue. Il n'existe pas de traitement spécifique contre le virus. Pour les touristes européens, la prévention de la dengue passe donc par la lutte contre son vecteur Aedes albopictus. Le moyen le plus efficace pour combattre ce moustique est d'éliminer ses lieux de ponte (soucoupes, petits récipients, déchets, réservoirs, vases, pneus, etc.). Il est conseillé aux voyageurs de se protéger des piqûres de moustique. Il convient de respecter les mesures habituelles de lutte anti-vectorielle : port de vêtements couvrants ; répulsifs anti-moustiques, contenant du DEET, sur la peau découverte ; vêtements et moustiquaire imprégnés d'insecticide pour la sieste et la nuit ; les personnes qui utilisent un écran solaire doivent appliquer le répulsif 20 minutes après l'écran solaire. Afin d'éviter au maximum la dissémination du virus de la dengue sur le territoire métropolitain, devant une fièvre d'apparition brutale et des douleurs articulaires ou musculaires dans les 15 jours qui suivent le retour d'un voyage en zone à risque, il faut consulter son médecin au plus vite en signalant son voyage. Source : Outbreak News Today.
SVT
Épidémie
Focus sur l'épidémie de Chikungunya à la Réunion
- Article de France Info
Test API
Grippe espagnole
Briefing
Test génétiques
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
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docde mission
Photo des notes sur les maladies communes
Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose
Photo des notessur la vie des moustiques
La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques
Détecter les gros parasites
Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose
La fièvre typhoïde
Information sur la bactérie Salmonella Typhi Principaux faits
- La fièvre typhoïde est une infection potentiellement mortelle due à la bactérie Salmonella typhi. Elle se propage habituellement par l’eau ou les aliments contaminés.
- On estime que, chaque année, de 11 à 20 millions de personnes contractent cette maladie et que de 128 000 à 161 000 en meurent.
- Les symptômes sont les suivants: fièvre prolongée, fatigue, céphalées, nausées, douleurs abdominales, constipation ou diarrhée. Certains patients peuvent présenter une éruption cutanée. Dans les cas sévères, elle peut entraîner des complications sérieuses, voire la mort.
- On peut traiter la fièvre typhoïde au moyen d’antibiotiques, même si les résistances croissantes à différents types de ces médicaments compliquent le traitement.
- On a utilisé pendant de nombreuses années 2 vaccins préventifs. Un nouveau vaccin conjugué, conférant une immunité de plus longue durée, a été préqualifé par l’OMS en décembre 2017.
- La fièvre typhoïde est très répandue dans les endroits où l’eau potable et l’assainissement font défaut. L’accès à l’eau potable et à des moyens d’assainissement adéquats, l’éducation sanitaire, le respect des bonnes pratiques d’hygiène chez les personnes qui manipulent des aliments et la vaccination sont autant de moyens efficaces de lutter contre la fièvre typhoïde.
Changer votre avis : le risque de transmission en France hexagonale est faible
Confirmer votre opinion : le risque est élevé
Après vérification, vous décidez de :
Présence de l'anophèle en France En France hexagonale, on retrouve l'espèce Anopheles Atroparvus dont la capacité à transmettre le paludisme est extrêmement faible. Dans les DOM, on retrouve d'autres espèces d'anophèles dont la capacité à transmettre le paludisme est forte. Coupure de presse Par Le Figaro Santé Publié le 27/08/2008 à 18:36 Ils contractent le paludisme sans quitter la France Cas rarissime : un couple de Parisiens est atteint de cette maladie tropicale alors qu'il n'a pas quitté le sol français. Deux Parisiens sont atteints de paludisme, alors qu'ils n'ont pas quitté la France. Les deux jeunes gens sont hospitalisés au CHU de Nice depuis le 23 août. «Leur état de santé est en voie d'amélioration» a indiqué la Direction générale de la Santé (DGS). Les premiers signes cliniques (fièvre, maux de tête, vomissements et baisse des plaquettes sanguines) sont apparus le 18 août, cinq jours après leur arrivée dans le sud de la France. La DGS précise que le couple a séjourné à 7 kilomètres de l'Aéroport de Roissy Charles de Gaulle du 5 au 7 août. Si une recherche a été lancée autour de leur lieu de vacances, à Saint-Raphaël dans le Var afin d'écarter l'hypothèse de la présence d'un moustique vecteur du palu, il semblerait que le diagnostic de «paludisme autochtone» dit «d'aéroport» soit le plus probable. Comment un moustique peut-il être vecteur de l'infection dans un pays sain? Le paludisme est transmis à l'homme par la piqûre d'un moustique femelle, du genre Anopheles, elle-même infectée après avoir piqué un homme atteint du palu : la femelle, en prenant le repas de sang nécessaire à sa ponte, injecte le parasite à son hôte. Les mâles ne piquent pas. Il arrive qu'un Anophele infecté soit transporté dans la soute à bagage d'un avion en provenance d'un pays de zone impaludée et parvienne en zone saine, en ayant survécu au voyage. Un cas d'infection qui serait déclaré suite à la piqûre de ce moustique est appelé « paludisme d'aéroport».Les professionnels des aéroports exposés au cours d'un trajet aérien, d'une escale, ou lors de l'ouverture des containers et des bagages, ainsi que les riverains immédiats des aéroports ont le plus de chances d'être infectés. Est-ce fréquent ? Selon les autorités sanitaires, le paludisme d'aéroport est rare, puisque les derniers cas signalés datent de 1999. Entre 1977et 1999, 28 cas ont été observés France Métropolitaine, soit au maximum un cas par an. Comment lutter contre ces cas ? Des procédures de désinsectisation ont été proposées par l'OMS; en général, elles sont bien respectées par les compagnies aériennes : désinsectiser les avions, par pulvérisation d'un aérosol juste avant l'embarquement des passagers ou le décollage notamment. De nombreux pays insistent sur la nécessité d'une nouvelle désinsectisation à l'arrivée, surtout si les vols proviennent de pays à risques et si l'on a des doutes sur la façon dont les traitements sont réalisés au départ. La DGS rappelle que tous les cas de paludisme autochtones ou importés dans les départements d'Outre mer doivent faire l'objet d'une déclaration obligatoire.
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Conclusion de votre aventure
Recommencer l'aventure
Vous avez brillamment identifié les trois épidémies en cours au Sri Lanka. Les autorités locales sont très heureuses de votre travail.
En revanche les précautions que vous avez conseillées pour les evasan du paludisme sont ridicules.
L'espèce d'anophèle présente en France est un trop faible vecteur du paludisme.
Votre réputation dans le milieu médical est ruinée.
And I don't give a damn 'bout my bad reputation
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Evasan des malades du paludisme
Vous expliquez à l'ambassadeur qu'il est inutile de prendre des précautions particulières pour éviter les contaminations en France hexagonale.
Traiter le cas des evasan atteints de chikungunya
En effet, l'espèce d'anophèle présente en France est très mauvaise vectrice de la maladie. Elle ne pourra donc pas se transmettre localement.En revanche, ce risque est élevé dans les DOM où l'espèce d'anophèle est différente.
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Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion
Risque épidémique des Evasan Chik
Carte
Lepto
La leptospirose au Sri Lanka Publié le 12 mai 2019 à 08h27 – Par Claude HENGY Au Sri Lanka, les autorités sanitaires ont notifié une augmentation du nombre de cas de leptospirose, depuis le début de l'année dans le pays.
- Du 1er janvier au 30 avril, l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé a notifié 1464 cas, dont 12 décès.
- Cela se compare à 1294 cas notifiés au cours de la même période en 2018.
- Les villes ayant notifié le plus grand nombre de cas cette année sont Ratnapura (259 cas), Kalutara (205 cas) et Galle (122 cas). La capitale Colombo a notifié 70 cas.
- dans la mesure du possible, se protéger par le port de bottes et de gants lors d'une activité à risque (agriculture, élevage, jardinage, pêche en eau douce, ramassage d‘ordures) ;
- éviter de se baigner en eau douce et de laver son linge en rivière lorsqu'on est porteur de plaies (ou à défaut protéger les plaies en utilisant des pansements imperméables) ;
- limiter les contacts des muqueuses avec l'eau (port de lunettes de natation) ;
- éviter de marcher pieds nus ou en chaussures ouvertes sur des sols boueux ou dans les eaux de ruissèlement ;
- consulter sans délai un médecin en cas d'apparition des symptômes en lui signalant l'activité à risque pratiquée.
Palu
Dengue
Près de 5 000 cas de fièvre dengue, en janvier, au Sri lanka Publié le 29 jan. 2019 à 17h55 – Par Jacques MORVAN Au Sri Lanka, selon l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé, les responsables de la santé ont notifié 4 825 cas de dengue au cours des quatre premières semaines de 2019. Au moins deux décès liés à la dengue ont étés notifiés. Toutefois ce total est inférieur au nombre de cas signalés au cours de la même période de janvier 2018 avec 7 278 cas. Colombo a enregistré le plus grand nombre de cas (1182 cas), suivi de Jaffna (900 cas) et de Gampaha (465 cas). Rappels sur la dengue La dengue, maladie virale due au virus de la Dengue (4 sérotypes) de la famille des Flaviviridae, transmise par une piqûre de moustique, se manifeste le plus souvent par un syndrome grippal (fièvre, douleurs musculaires, parfois éruption cutanée). La dengue peut évoluer en forme grave hémorragique. La prise d'aspirine est formellement déconseillée. Il n'existe pas de traitement médicamenteux préventif disponible contre la dengue. Il n'existe pas de traitement spécifique contre le virus. Pour les touristes européens, la prévention de la dengue passe donc par la lutte contre son vecteur Aedes albopictus. Le moyen le plus efficace pour combattre ce moustique est d'éliminer ses lieux de ponte (soucoupes, petits récipients, déchets, réservoirs, vases, pneus, etc.). Il est conseillé aux voyageurs de se protéger des piqûres de moustique. Il convient de respecter les mesures habituelles de lutte anti-vectorielle : port de vêtements couvrants ; répulsifs anti-moustiques, contenant du DEET, sur la peau découverte ; vêtements et moustiquaire imprégnés d'insecticide pour la sieste et la nuit ; les personnes qui utilisent un écran solaire doivent appliquer le répulsif 20 minutes après l'écran solaire. Afin d'éviter au maximum la dissémination du virus de la dengue sur le territoire métropolitain, devant une fièvre d'apparition brutale et des douleurs articulaires ou musculaires dans les 15 jours qui suivent le retour d'un voyage en zone à risque, il faut consulter son médecin au plus vite en signalant son voyage. Source : Outbreak News Today.
SVT
Épidémie
Focus sur l'épidémie de Chikungunya à la Réunion
- Article de France Info
Test API
Grippe espagnole
Briefing
Test génétiques
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
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docde mission
Photo des notes sur les maladies communes
Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose
Photo des notessur la vie des moustiques
La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques
Détecter les gros parasites
Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose
La fièvre typhoïde
Information sur la bactérie Salmonella Typhi Principaux faits
- La fièvre typhoïde est une infection potentiellement mortelle due à la bactérie Salmonella typhi. Elle se propage habituellement par l’eau ou les aliments contaminés.
- On estime que, chaque année, de 11 à 20 millions de personnes contractent cette maladie et que de 128 000 à 161 000 en meurent.
- Les symptômes sont les suivants: fièvre prolongée, fatigue, céphalées, nausées, douleurs abdominales, constipation ou diarrhée. Certains patients peuvent présenter une éruption cutanée. Dans les cas sévères, elle peut entraîner des complications sérieuses, voire la mort.
- On peut traiter la fièvre typhoïde au moyen d’antibiotiques, même si les résistances croissantes à différents types de ces médicaments compliquent le traitement.
- On a utilisé pendant de nombreuses années 2 vaccins préventifs. Un nouveau vaccin conjugué, conférant une immunité de plus longue durée, a été préqualifé par l’OMS en décembre 2017.
- La fièvre typhoïde est très répandue dans les endroits où l’eau potable et l’assainissement font défaut. L’accès à l’eau potable et à des moyens d’assainissement adéquats, l’éducation sanitaire, le respect des bonnes pratiques d’hygiène chez les personnes qui manipulent des aliments et la vaccination sont autant de moyens efficaces de lutter contre la fièvre typhoïde.
Risque faible
Risque élevé
Concernant les risques épidémiques en France, vous pensez que les evasan de malades du chikungunya entrainent un :
La propagation du moustique Tigre Aedes Albopictus en France
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Risque épidémique des Evasan Palu
En regardant la carte de la propagation du moustique tigre en France, l'ambassadeur arrive à une conclusion différente de vous.
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"Vous pensez vraiment que les malades du chikungunya que vous évacurions en France ne risque pas d'y transmettre la maladie ?Peut-être devriez-vous relire les notes sur le chikungunya."
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Vraiment ? Vous suivez l'avis de n'importe qui sans vérifier vos informations ?
Retournez donc lire vos notes pour vérifier si l'ambassadeur avait raison
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Risque épidémique des Evasan Palu
Carte
Lepto
La leptospirose au Sri Lanka Publié le 12 mai 2019 à 08h27 – Par Claude HENGY Au Sri Lanka, les autorités sanitaires ont notifié une augmentation du nombre de cas de leptospirose, depuis le début de l'année dans le pays.
- Du 1er janvier au 30 avril, l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé a notifié 1464 cas, dont 12 décès.
- Cela se compare à 1294 cas notifiés au cours de la même période en 2018.
- Les villes ayant notifié le plus grand nombre de cas cette année sont Ratnapura (259 cas), Kalutara (205 cas) et Galle (122 cas). La capitale Colombo a notifié 70 cas.
- dans la mesure du possible, se protéger par le port de bottes et de gants lors d'une activité à risque (agriculture, élevage, jardinage, pêche en eau douce, ramassage d‘ordures) ;
- éviter de se baigner en eau douce et de laver son linge en rivière lorsqu'on est porteur de plaies (ou à défaut protéger les plaies en utilisant des pansements imperméables) ;
- limiter les contacts des muqueuses avec l'eau (port de lunettes de natation) ;
- éviter de marcher pieds nus ou en chaussures ouvertes sur des sols boueux ou dans les eaux de ruissèlement ;
- consulter sans délai un médecin en cas d'apparition des symptômes en lui signalant l'activité à risque pratiquée.
Palu
Dengue
Près de 5 000 cas de fièvre dengue, en janvier, au Sri lanka Publié le 29 jan. 2019 à 17h55 – Par Jacques MORVAN Au Sri Lanka, selon l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé, les responsables de la santé ont notifié 4 825 cas de dengue au cours des quatre premières semaines de 2019. Au moins deux décès liés à la dengue ont étés notifiés. Toutefois ce total est inférieur au nombre de cas signalés au cours de la même période de janvier 2018 avec 7 278 cas. Colombo a enregistré le plus grand nombre de cas (1182 cas), suivi de Jaffna (900 cas) et de Gampaha (465 cas). Rappels sur la dengue La dengue, maladie virale due au virus de la Dengue (4 sérotypes) de la famille des Flaviviridae, transmise par une piqûre de moustique, se manifeste le plus souvent par un syndrome grippal (fièvre, douleurs musculaires, parfois éruption cutanée). La dengue peut évoluer en forme grave hémorragique. La prise d'aspirine est formellement déconseillée. Il n'existe pas de traitement médicamenteux préventif disponible contre la dengue. Il n'existe pas de traitement spécifique contre le virus. Pour les touristes européens, la prévention de la dengue passe donc par la lutte contre son vecteur Aedes albopictus. Le moyen le plus efficace pour combattre ce moustique est d'éliminer ses lieux de ponte (soucoupes, petits récipients, déchets, réservoirs, vases, pneus, etc.). Il est conseillé aux voyageurs de se protéger des piqûres de moustique. Il convient de respecter les mesures habituelles de lutte anti-vectorielle : port de vêtements couvrants ; répulsifs anti-moustiques, contenant du DEET, sur la peau découverte ; vêtements et moustiquaire imprégnés d'insecticide pour la sieste et la nuit ; les personnes qui utilisent un écran solaire doivent appliquer le répulsif 20 minutes après l'écran solaire. Afin d'éviter au maximum la dissémination du virus de la dengue sur le territoire métropolitain, devant une fièvre d'apparition brutale et des douleurs articulaires ou musculaires dans les 15 jours qui suivent le retour d'un voyage en zone à risque, il faut consulter son médecin au plus vite en signalant son voyage. Source : Outbreak News Today.
SVT
Épidémie
Focus sur l'épidémie de Chikungunya à la Réunion
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Test API
Test génétiques
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
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Photo des notes sur les maladies communes
Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose
Photo des notessur la vie des moustiques
La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques
Détecter les gros parasites
Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose
La fièvre typhoïde
Information sur la bactérie Salmonella Typhi Principaux faits
- La fièvre typhoïde est une infection potentiellement mortelle due à la bactérie Salmonella typhi. Elle se propage habituellement par l’eau ou les aliments contaminés.
- On estime que, chaque année, de 11 à 20 millions de personnes contractent cette maladie et que de 128 000 à 161 000 en meurent.
- Les symptômes sont les suivants: fièvre prolongée, fatigue, céphalées, nausées, douleurs abdominales, constipation ou diarrhée. Certains patients peuvent présenter une éruption cutanée. Dans les cas sévères, elle peut entraîner des complications sérieuses, voire la mort.
- On peut traiter la fièvre typhoïde au moyen d’antibiotiques, même si les résistances croissantes à différents types de ces médicaments compliquent le traitement.
- On a utilisé pendant de nombreuses années 2 vaccins préventifs. Un nouveau vaccin conjugué, conférant une immunité de plus longue durée, a été préqualifé par l’OMS en décembre 2017.
- La fièvre typhoïde est très répandue dans les endroits où l’eau potable et l’assainissement font défaut. L’accès à l’eau potable et à des moyens d’assainissement adéquats, l’éducation sanitaire, le respect des bonnes pratiques d’hygiène chez les personnes qui manipulent des aliments et la vaccination sont autant de moyens efficaces de lutter contre la fièvre typhoïde.
Confirmer votre avis : le risque de transmission en France hexagonale est faible
Changer votre opinion : le risque est élevé
Après vérification, vous décidez de :
La propagation du moustique Tigre Aedes Albopictus en France
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Conclusion de votre aventure
Recommencer l'aventure
Vous avez brillamment identifié les trois épidémies en cours au Sri Lanka. Les autorités locales sont très heureuses de votre travail.
En revanche, quelques années plus tard, on apprendra que le Chikungunya est arrivé en France depuis le Sri Lanka.
Vous auriez dû voir que le moustique tigre, vecteur de la maladie, était présent en France !
Votre réputation dans le milieu médical est ruinée.
And I don't give a damn 'bout my bad reputation
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Evasan des malades du chikungunya
Vous expliquez à l'ambassadeur qu'il faut prendre des précautions pour éviter les contaminations en France hexagonale.
Traiter le cas des evasan atteints de fièvre typhoïde
En effet, le moustique tigre, vecteur de la maladie est présent dans le Sud de la France hexagonale et dans les DOM.Le risque de transmission est donc élevé et il faut isoler les malades des moustiques.
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Risque épidémique des Evasan Typh
Carte
Lepto
La leptospirose au Sri Lanka Publié le 12 mai 2019 à 08h27 – Par Claude HENGY Au Sri Lanka, les autorités sanitaires ont notifié une augmentation du nombre de cas de leptospirose, depuis le début de l'année dans le pays.
- Du 1er janvier au 30 avril, l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé a notifié 1464 cas, dont 12 décès.
- Cela se compare à 1294 cas notifiés au cours de la même période en 2018.
- Les villes ayant notifié le plus grand nombre de cas cette année sont Ratnapura (259 cas), Kalutara (205 cas) et Galle (122 cas). La capitale Colombo a notifié 70 cas.
- dans la mesure du possible, se protéger par le port de bottes et de gants lors d'une activité à risque (agriculture, élevage, jardinage, pêche en eau douce, ramassage d‘ordures) ;
- éviter de se baigner en eau douce et de laver son linge en rivière lorsqu'on est porteur de plaies (ou à défaut protéger les plaies en utilisant des pansements imperméables) ;
- limiter les contacts des muqueuses avec l'eau (port de lunettes de natation) ;
- éviter de marcher pieds nus ou en chaussures ouvertes sur des sols boueux ou dans les eaux de ruissèlement ;
- consulter sans délai un médecin en cas d'apparition des symptômes en lui signalant l'activité à risque pratiquée.
Palu
Dengue
Près de 5 000 cas de fièvre dengue, en janvier, au Sri lanka Publié le 29 jan. 2019 à 17h55 – Par Jacques MORVAN Au Sri Lanka, selon l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé, les responsables de la santé ont notifié 4 825 cas de dengue au cours des quatre premières semaines de 2019. Au moins deux décès liés à la dengue ont étés notifiés. Toutefois ce total est inférieur au nombre de cas signalés au cours de la même période de janvier 2018 avec 7 278 cas. Colombo a enregistré le plus grand nombre de cas (1182 cas), suivi de Jaffna (900 cas) et de Gampaha (465 cas). Rappels sur la dengue La dengue, maladie virale due au virus de la Dengue (4 sérotypes) de la famille des Flaviviridae, transmise par une piqûre de moustique, se manifeste le plus souvent par un syndrome grippal (fièvre, douleurs musculaires, parfois éruption cutanée). La dengue peut évoluer en forme grave hémorragique. La prise d'aspirine est formellement déconseillée. Il n'existe pas de traitement médicamenteux préventif disponible contre la dengue. Il n'existe pas de traitement spécifique contre le virus. Pour les touristes européens, la prévention de la dengue passe donc par la lutte contre son vecteur Aedes albopictus. Le moyen le plus efficace pour combattre ce moustique est d'éliminer ses lieux de ponte (soucoupes, petits récipients, déchets, réservoirs, vases, pneus, etc.). Il est conseillé aux voyageurs de se protéger des piqûres de moustique. Il convient de respecter les mesures habituelles de lutte anti-vectorielle : port de vêtements couvrants ; répulsifs anti-moustiques, contenant du DEET, sur la peau découverte ; vêtements et moustiquaire imprégnés d'insecticide pour la sieste et la nuit ; les personnes qui utilisent un écran solaire doivent appliquer le répulsif 20 minutes après l'écran solaire. Afin d'éviter au maximum la dissémination du virus de la dengue sur le territoire métropolitain, devant une fièvre d'apparition brutale et des douleurs articulaires ou musculaires dans les 15 jours qui suivent le retour d'un voyage en zone à risque, il faut consulter son médecin au plus vite en signalant son voyage. Source : Outbreak News Today.
SVT
Épidémie
Focus sur l'épidémie de Chikungunya à la Réunion
- Article de France Info
Grippe espagnole
Briefing
Test API
Test génétiques
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
docde mission
Retour au départ
Photo des notes sur les maladies communes
Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose
Photo des notessur la vie des moustiques
La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques
Détecter les gros parasites
Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose
La fièvre typhoïde
Information sur la bactérie Salmonella Typhi Principaux faits
- La fièvre typhoïde est une infection potentiellement mortelle due à la bactérie Salmonella typhi. Elle se propage habituellement par l’eau ou les aliments contaminés.
- On estime que, chaque année, de 11 à 20 millions de personnes contractent cette maladie et que de 128 000 à 161 000 en meurent.
- Les symptômes sont les suivants: fièvre prolongée, fatigue, céphalées, nausées, douleurs abdominales, constipation ou diarrhée. Certains patients peuvent présenter une éruption cutanée. Dans les cas sévères, elle peut entraîner des complications sérieuses, voire la mort.
- On peut traiter la fièvre typhoïde au moyen d’antibiotiques, même si les résistances croissantes à différents types de ces médicaments compliquent le traitement.
- On a utilisé pendant de nombreuses années 2 vaccins préventifs. Un nouveau vaccin conjugué, conférant une immunité de plus longue durée, a été préqualifé par l’OMS en décembre 2017.
- La fièvre typhoïde est très répandue dans les endroits où l’eau potable et l’assainissement font défaut. L’accès à l’eau potable et à des moyens d’assainissement adéquats, l’éducation sanitaire, le respect des bonnes pratiques d’hygiène chez les personnes qui manipulent des aliments et la vaccination sont autant de moyens efficaces de lutter contre la fièvre typhoïde.
Risque faible
Risque élevé
Concernant les risques épidémiques en France, vous pensez que les evasan de malades de la fièvre typhoïde entrainent un :
Extraits du rapport de l'institut Pasteur concernant la fièvre typhoïde Les fièvres typhoïde et paratyphoïde sont des maladies infectieuses potentiellement mortelles en l’absence de traitement. Ces fièvres surviennent le plus souvent dans des zones où l’hygiène est précaire et frappent principalement les pays en voie de développement. En France, de 100 à 150 cas sont répertoriés chaque année chez des voyageurs ou des personnes originaires de zones d’endémie (Afrique, Asie, Amérique latine). Les fièvres typhoïdes et paratyphoïdes sont causées par des bactéries appartenant au genre Salmonella, mais dont le réservoir est strictement humain. Ces bactéries appartiennent au sérotype Typhi ou moins fréquemment aux sérotypes Paratyphi A, B ou C. La contamination résulte, le plus souvent de l’ingestion d’eau ou d’aliments ayant subi une contamination fécale d’origine humaine ou d’une transmission directe de personne-à-personne. Comme toutes les maladies à transmission oro-fécale, ces fièvres surviennent le plus souvent dans des zones où l’hygiène est précaire, et frappent principalement les pays en développement en Asie, en Afrique ou en Amérique Latine. La prévention repose sur la surveillance épidémiologique et la lutte contre le "péril fécal". La dissémination des bactéries peut être enrayée par : une distribution d’eau de qualité, bactériologiquement contrôlée, le traitement des eaux usées, la généralisation du tout-à-l’égout, le contrôle des zones de récolte des coquillages, la pasteurisation des aliments, beurre et lait en particulier et le respect strict des règles d’hygiène pour tous les travailleurs du milieu de la restauration. Tous ces éléments sont très surveillés en France.
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Risque épidémique des Evasan Typh
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Risque épidémique des Evasan Typh
Carte
Lepto
La leptospirose au Sri Lanka Publié le 12 mai 2019 à 08h27 – Par Claude HENGY Au Sri Lanka, les autorités sanitaires ont notifié une augmentation du nombre de cas de leptospirose, depuis le début de l'année dans le pays.
- Du 1er janvier au 30 avril, l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé a notifié 1464 cas, dont 12 décès.
- Cela se compare à 1294 cas notifiés au cours de la même période en 2018.
- Les villes ayant notifié le plus grand nombre de cas cette année sont Ratnapura (259 cas), Kalutara (205 cas) et Galle (122 cas). La capitale Colombo a notifié 70 cas.
- dans la mesure du possible, se protéger par le port de bottes et de gants lors d'une activité à risque (agriculture, élevage, jardinage, pêche en eau douce, ramassage d‘ordures) ;
- éviter de se baigner en eau douce et de laver son linge en rivière lorsqu'on est porteur de plaies (ou à défaut protéger les plaies en utilisant des pansements imperméables) ;
- limiter les contacts des muqueuses avec l'eau (port de lunettes de natation) ;
- éviter de marcher pieds nus ou en chaussures ouvertes sur des sols boueux ou dans les eaux de ruissèlement ;
- consulter sans délai un médecin en cas d'apparition des symptômes en lui signalant l'activité à risque pratiquée.
Palu
Dengue
Près de 5 000 cas de fièvre dengue, en janvier, au Sri lanka Publié le 29 jan. 2019 à 17h55 – Par Jacques MORVAN Au Sri Lanka, selon l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé, les responsables de la santé ont notifié 4 825 cas de dengue au cours des quatre premières semaines de 2019. Au moins deux décès liés à la dengue ont étés notifiés. Toutefois ce total est inférieur au nombre de cas signalés au cours de la même période de janvier 2018 avec 7 278 cas. Colombo a enregistré le plus grand nombre de cas (1182 cas), suivi de Jaffna (900 cas) et de Gampaha (465 cas). Rappels sur la dengue La dengue, maladie virale due au virus de la Dengue (4 sérotypes) de la famille des Flaviviridae, transmise par une piqûre de moustique, se manifeste le plus souvent par un syndrome grippal (fièvre, douleurs musculaires, parfois éruption cutanée). La dengue peut évoluer en forme grave hémorragique. La prise d'aspirine est formellement déconseillée. Il n'existe pas de traitement médicamenteux préventif disponible contre la dengue. Il n'existe pas de traitement spécifique contre le virus. Pour les touristes européens, la prévention de la dengue passe donc par la lutte contre son vecteur Aedes albopictus. Le moyen le plus efficace pour combattre ce moustique est d'éliminer ses lieux de ponte (soucoupes, petits récipients, déchets, réservoirs, vases, pneus, etc.). Il est conseillé aux voyageurs de se protéger des piqûres de moustique. Il convient de respecter les mesures habituelles de lutte anti-vectorielle : port de vêtements couvrants ; répulsifs anti-moustiques, contenant du DEET, sur la peau découverte ; vêtements et moustiquaire imprégnés d'insecticide pour la sieste et la nuit ; les personnes qui utilisent un écran solaire doivent appliquer le répulsif 20 minutes après l'écran solaire. Afin d'éviter au maximum la dissémination du virus de la dengue sur le territoire métropolitain, devant une fièvre d'apparition brutale et des douleurs articulaires ou musculaires dans les 15 jours qui suivent le retour d'un voyage en zone à risque, il faut consulter son médecin au plus vite en signalant son voyage. Source : Outbreak News Today.
SVT
Épidémie
Focus sur l'épidémie de Chikungunya à la Réunion
- Article de France Info
Briefing
Grippe espagnole
Test API
Test génétiques
Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue
docde mission
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Photo des notes sur les maladies communes
Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose
Photo des notessur la vie des moustiques
La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques
Détecter les gros parasites
Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose
La fièvre typhoïde
Information sur la bactérie Salmonella Typhi Principaux faits
- La fièvre typhoïde est une infection potentiellement mortelle due à la bactérie Salmonella typhi. Elle se propage habituellement par l’eau ou les aliments contaminés.
- On estime que, chaque année, de 11 à 20 millions de personnes contractent cette maladie et que de 128 000 à 161 000 en meurent.
- Les symptômes sont les suivants: fièvre prolongée, fatigue, céphalées, nausées, douleurs abdominales, constipation ou diarrhée. Certains patients peuvent présenter une éruption cutanée. Dans les cas sévères, elle peut entraîner des complications sérieuses, voire la mort.
- On peut traiter la fièvre typhoïde au moyen d’antibiotiques, même si les résistances croissantes à différents types de ces médicaments compliquent le traitement.
- On a utilisé pendant de nombreuses années 2 vaccins préventifs. Un nouveau vaccin conjugué, conférant une immunité de plus longue durée, a été préqualifé par l’OMS en décembre 2017.
- La fièvre typhoïde est très répandue dans les endroits où l’eau potable et l’assainissement font défaut. L’accès à l’eau potable et à des moyens d’assainissement adéquats, l’éducation sanitaire, le respect des bonnes pratiques d’hygiène chez les personnes qui manipulent des aliments et la vaccination sont autant de moyens efficaces de lutter contre la fièvre typhoïde.
Changer votre avis : le risque de transmission en France hexagonale est faible
Confirmer votre opinion : le risque est élevé
Après vérification, vous décidez de :
Extraits du rapport de l'institut Pasteur concernant la fièvre typhoïde Les fièvres typhoïde et paratyphoïde sont des maladies infectieuses potentiellement mortelles en l’absence de traitement. Ces fièvres surviennent le plus souvent dans des zones où l’hygiène est précaire et frappent principalement les pays en voie de développement. En France, de 100 à 150 cas sont répertoriés chaque année chez des voyageurs ou des personnes originaires de zones d’endémie (Afrique, Asie, Amérique latine). Les fièvres typhoïdes et paratyphoïdes sont causées par des bactéries appartenant au genre Salmonella, mais dont le réservoir est strictement humain. Ces bactéries appartiennent au sérotype Typhi ou moins fréquemment aux sérotypes Paratyphi A, B ou C. La contamination résulte, le plus souvent de l’ingestion d’eau ou d’aliments ayant subi une contamination fécale d’origine humaine ou d’une transmission directe de personne-à-personne. Comme toutes les maladies à transmission oro-fécale, ces fièvres surviennent le plus souvent dans des zones où l’hygiène est précaire, et frappent principalement les pays en développement en Asie, en Afrique ou en Amérique Latine. La prévention repose sur la surveillance épidémiologique et la lutte contre le « péril fécal ». La dissémination des bactéries peut être enrayée par : une distribution d’eau de qualité, bactériologiquement contrôlée, le traitement des eaux usées, la généralisation du tout-à-l’égout, le contrôle des zones de récolte des coquillages, la pasteurisation des aliments, beurre et lait en particulier et le respect strict des règles d’hygiène pour tous les travailleurs du milieu de la restauration. Tous ces éléments sont très surveillés en France.
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Conclusion de votre aventure
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Vous avez brillamment identifié les trois épidémies en cours au Sri Lanka. Les autorités locales sont très heureuses de votre travail.
En revanche les précautions que vous avez conseillées pour les evasan de la fièvre typhoïde sont ridicules.
La qualité du traitement de l'eau en France et les habitudes sanitaires rendent la transmission par les eaux infectées très improbable.
Votre réputation dans le milieu médical est ruinée.
And I don't give a damn 'bout my bad reputation
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Evasan des malades de la fièvre typhoïde
Vous expliquez à l'ambassadeur qu'il est inutile de prendre des précautions particulières pour éviter les contaminations de fièvre typhoïde en France hexagonale.
Bravo ! Il n'y a plus qu'à conclure votre aventure
En effet, la maladie se transmet lorsqu'elle passe des excréments de l'individu dans l'eau.Or le traitement normal des eaux en France permet d'éliminer la bactérie et les habitudes sanitaires de la population rendent cette situation très improbable.
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Bravo !
Vous avez gagné le droit de partir en vacances !
Vous avez su identifier les trois épidémies en courset évaluer correctement les risques pour la France !
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La police a été appelée en réaction à vos actions violentes
L'ambassadeur réussira à vous faire sortir de prison et à dissiper le malentendu
Mais vous ne pourrez jamais reprendre votre mission
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Votre incompétence fait peur auxSri LankaisSous prétexte de visiter des villages touchés, ils vous embarquent dans un grand tour du Sri Lanka
Vous passez 1 mois à découvrir les merveilles archéologiques et culturelles du pays
Mais vous ne pourrez jamais reprendre votre mission
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