Tête de cheval blanc
presentation
lieu d'exposition
contexte historique
Théodore Géricault (1791-1824) est un peintre français du romantisme. Passionné par les chevaux et les scènes de guerre, il connaît le succès très jeune avec Officier de chasseurs à cheval. Son œuvre la plus célèbre est Le Radeau de la Méduse (1819). Mort à seulement 32 ans, il a marqué l’histoire de l’art par la force et l’intensité de ses peintures.
intentions de l'artiste
couleurs, lumières et espaces
1815
huile sur toile
60 x 50 cm
Le blanc est dominant. Les zones d’ombre sont rendues avec des gris bleutés ou bruns très doux, accentuant les contours des muscles et des veines.Les yeux sont souvent plus foncés (brun ou noir), créant un point focal expressif. La lumière accentue la tridimensionnalité, donnant au cheval une présence presque sculpturale. La lumière contribue également à l’intensité dramatique : elle souligne la nervosité du cheval, la tension dans les yeux et la crispation des naseaux. Le cadrage serré et l’absence de contexte spatial situent le spectateur très près du sujet, comme dans une observation anatomique directe ou un portrait vivant. L’espace autour du cheval est volontairement restreint, créant un effet dramatique et intime : on ressent la tension et l’énergie du cheval sans distraction.
Tête de cheval boa,c
Sasha HENIQUE
Created on September 22, 2025
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Tête de cheval blanc
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lieu d'exposition
contexte historique
Théodore Géricault (1791-1824) est un peintre français du romantisme. Passionné par les chevaux et les scènes de guerre, il connaît le succès très jeune avec Officier de chasseurs à cheval. Son œuvre la plus célèbre est Le Radeau de la Méduse (1819). Mort à seulement 32 ans, il a marqué l’histoire de l’art par la force et l’intensité de ses peintures.
intentions de l'artiste
couleurs, lumières et espaces
1815
huile sur toile
60 x 50 cm
Le blanc est dominant. Les zones d’ombre sont rendues avec des gris bleutés ou bruns très doux, accentuant les contours des muscles et des veines.Les yeux sont souvent plus foncés (brun ou noir), créant un point focal expressif. La lumière accentue la tridimensionnalité, donnant au cheval une présence presque sculpturale. La lumière contribue également à l’intensité dramatique : elle souligne la nervosité du cheval, la tension dans les yeux et la crispation des naseaux. Le cadrage serré et l’absence de contexte spatial situent le spectateur très près du sujet, comme dans une observation anatomique directe ou un portrait vivant. L’espace autour du cheval est volontairement restreint, créant un effet dramatique et intime : on ressent la tension et l’énergie du cheval sans distraction.