1. Retirer le titre à Mussolini2. Exposition digitale permanente explicative par ex. mettre celle-ci en ligne ! 3. Donner un d.h.c à Winsch !
faire plus de recherches sur les personnalités "admirées" de notre pays et alors de prendre conscience de la responsabilité de nos actions.
Quelles autres actions pourraient-elles être entreprises par l'Université ?
Retirer le titre, l'attribution et le retrait auront le même poids dans l'histoire, mais on aura retiré la décoration à un personnage et une histoire qui ne le méritent pas.
Mettre en évidence les recherches et travaux d'étudiant.es qui ont traité de l'antifascisme à l'Unil. Par exemple dans les sections d'histoire et d'italien.
Il faut retirer le titre, faire suivre tout ce travail de mémoire par une action courageuse et plus que jamais nécessaire dans ce climat, démontrer la force de nos valeurs en en faisant une force agissante politique.
Non ! Et il est d'ailleurs important de reconnaitre que ce n'est pas le cas. L'action mémorielle permet de reconnaitre les erreurs, de les assumer et de travailler à ce que de telles erreurs ne se reproduisent pas.
C'est un très bon début ! L'information et le partage, l'accès aux archives de notre passé pour toutes et tous sont essentiels !
Une action mémorielle peut-êlle réparer les torts du passé ?
Non, par contre les honneurs doivent être retirés lorsqu'ils sont éthiquement insoutenables. Mussolini a sa place dasn les livres d'histoire, musées et exposition. Pas dans les registres honorifiques de l'Unil. Icompréhensibles...
Je dirais qu'elle tend vers une réparation au même titre que la justice restaurative, même si elle ne répare par vraiment les dires, etc. c'est déjà mieux que rien !
Malheureusement pas. Mais elle peut quand même contribuer à éviter de faire des choses pareilles à l'avenir, du moins sensibiliser les gens au sujet.
Non, il peut être retiré mais assumé. Le retirer serait une bonne manière de se faire pardonner mais il serait temps de ne plus le cacher malgré la honte.
Non, au vu des circonstances dans lesquelles cette décision a été prise, c'est bien que l'université était, à l'époque, déjà mal à l'aise. Cela produirait au contraire une position forte de la part de l'université vis-à-vis de ce passé délicat.
Retirer un titre honorifique équivaut-il à effacer le passé ?
Non, ce titre que Mussolini a reçu peut rester dans les archives, être repris dans les manuels scolaires. Il doit par contre être retiré des titres honorifiques de l'Unil. Je pense qu'il est resté bien assez longtemps. Il faut le retirer !
Non ! C'est plutôt un acte de respect pour les milliers de partisan italiens qui ont vu la mort avec le fascisme. C'est une façon de reconnaitre qu'il y a eu erreur, et qu'il y a eu erreur parce que la Suisse n'était pas neutre comme elle aime l'afficher.
Oui, effacer un bout de l'histoire dont les générations futures n'auront plus connaissance, alors les mêmes erreurs pourront être commises. Un apprentissage doit sortir de cette action.
Au vu de la résurgence des mouvements d'extrême droite ainsi que les idées véhiculées par l'Unil, autrement dit une idée de démocratie. Nous ne pouvons qu'admettre que ce titre n'a plus lieu d'être, il ne l'a jamais été.
Je trouve intéressant de. parler de Mussolini car il fait partie de notre passé et que le fascisme fait encore partie de notre vie actuelle. Je trouve que de continuer à parler du fascisme et du passé, cela aide à ne pas refaire les même erreurs.
Il est essentiel de contextualiser, mettre en lumière pour comprendre et se souvenir. Pouvoir s'excuser et reconnaitre les victime dans certains cas.
Retirer des titres honorifiques ou déboulonner des statues n'est pas une solution. On ne peut et ne doit pas gommer le passé. il faut au contraire expliquer, contextualiser.
Je partage l'idée d'une contextualisation aux sujets "inconfortables" du passé. Toutefois cette prise de position ne doit pas être liée juste au sujets du passé ! Il faut réfléchir de la même manière aux enjeux plus contemporains.
Que retenons-nous de l'histoire et des erreurs du passé ? Peu de choses vraisemblablement, lorsque l'on voit toutes ces guerres et ces dictateurs qui gouvernent. Dommage...
Réparer non, comprendre - assumer - remettre en question - questionner - relier au présent - mettre en lumière une époque et ses travers à différents niveaux, oui !
Non, pas de paix sans justice. La mémoire est nécessaire mais pas suffisante...
NON ! Pas si on l'explique pourquoi on le fait. Effacer le passé reviendrait à effacer toutes les traces du titre honorifique. Or, ce n'est pas le cas.
Je dirais qu'elle tend vers une réparation au même titre que la justice restaurative, même si elle ne répare pas vraiment les dégâts...C'est déjà mieux que rien !
LE FASCISME ET LA VIOLENCE NE FONT LE BONHEUR DE PERSONNE !
Retirer le titre, l'attribution et le retrait auront le même poids dans l'histoire, mais on aura retiré la décoration à une personnage et une histoire qui ne le méritent pas. Attribuer une attention à celui/ceux qui ont lutté contre le fascisme, pour qu'ils/elles soient connu.es, visibles, ingrédients vivants de notre imaginaire commun plutôt que des fantômes dans l'ombre de l'histoire !
Elle permet plutôt de les contextualiser et de les visibiliser.
Oui, je le pense. On ne pourra pas effacer notre histoire et recommencer à zéro alors autat faire un maximum pour informer et condamner les erreurs de l'université et surtout de ses membres qui la représentait !
Regarder le passé par les prismes idéologiques actuels est une folie nous amenant à tromper le futur, non pas à l'aider. Assumer, retenir, avancer.
Cette expo est un débat entre la tolérance et les valeurs ! Un tel débat est-il légitime ?
Non, cela équivaut à le cacher, à ne pas assumer les actes passés. Il faut laisser le titre honorifique tout en exposant le contexte de son attribution, afin que le public puisse découvrir que le passé d'une institution n'est pas tout rose mais contient ses parts d'ombre.
Retirer le titre et faire une exposition permanente antifasciste !
Retirer le titre et continuer à informer. Clarifier comment aujourd'hui on donne le d.h.c (la procédure) et les mesures prises pour éviter de commettre à nouveau une telle erreur.
No. But it makes the pain visible and it honores teh ones who suffred. Traduction : Non. Mais cela rend la douleur visible et rend hommage à ceux qui ont souffert.
Munir tous les monuments et plaques commémoratives d'explications fournies par les historiens et relatant le contexte de l'époque. C'est absolument central.
C'est plus important et courageux d'informer et de débattre que de supprimer !
Un grand merci aux élèves, et tous les acteurs impliqués dans ce travail de mise en lumière de ce triste chapitre d'histoire, de permettre une plus grande réflexion afin de rester vigilent à l'avenir sur les dérives idéologiques.
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Created on September 15, 2025
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1. Retirer le titre à Mussolini2. Exposition digitale permanente explicative par ex. mettre celle-ci en ligne ! 3. Donner un d.h.c à Winsch !
faire plus de recherches sur les personnalités "admirées" de notre pays et alors de prendre conscience de la responsabilité de nos actions.
Quelles autres actions pourraient-elles être entreprises par l'Université ?
Retirer le titre, l'attribution et le retrait auront le même poids dans l'histoire, mais on aura retiré la décoration à un personnage et une histoire qui ne le méritent pas.
Mettre en évidence les recherches et travaux d'étudiant.es qui ont traité de l'antifascisme à l'Unil. Par exemple dans les sections d'histoire et d'italien.
Il faut retirer le titre, faire suivre tout ce travail de mémoire par une action courageuse et plus que jamais nécessaire dans ce climat, démontrer la force de nos valeurs en en faisant une force agissante politique.
Non ! Et il est d'ailleurs important de reconnaitre que ce n'est pas le cas. L'action mémorielle permet de reconnaitre les erreurs, de les assumer et de travailler à ce que de telles erreurs ne se reproduisent pas.
C'est un très bon début ! L'information et le partage, l'accès aux archives de notre passé pour toutes et tous sont essentiels !
Une action mémorielle peut-êlle réparer les torts du passé ?
Non, par contre les honneurs doivent être retirés lorsqu'ils sont éthiquement insoutenables. Mussolini a sa place dasn les livres d'histoire, musées et exposition. Pas dans les registres honorifiques de l'Unil. Icompréhensibles...
Je dirais qu'elle tend vers une réparation au même titre que la justice restaurative, même si elle ne répare par vraiment les dires, etc. c'est déjà mieux que rien !
Malheureusement pas. Mais elle peut quand même contribuer à éviter de faire des choses pareilles à l'avenir, du moins sensibiliser les gens au sujet.
Non, il peut être retiré mais assumé. Le retirer serait une bonne manière de se faire pardonner mais il serait temps de ne plus le cacher malgré la honte.
Non, au vu des circonstances dans lesquelles cette décision a été prise, c'est bien que l'université était, à l'époque, déjà mal à l'aise. Cela produirait au contraire une position forte de la part de l'université vis-à-vis de ce passé délicat.
Retirer un titre honorifique équivaut-il à effacer le passé ?
Non, ce titre que Mussolini a reçu peut rester dans les archives, être repris dans les manuels scolaires. Il doit par contre être retiré des titres honorifiques de l'Unil. Je pense qu'il est resté bien assez longtemps. Il faut le retirer !
Non ! C'est plutôt un acte de respect pour les milliers de partisan italiens qui ont vu la mort avec le fascisme. C'est une façon de reconnaitre qu'il y a eu erreur, et qu'il y a eu erreur parce que la Suisse n'était pas neutre comme elle aime l'afficher.
Oui, effacer un bout de l'histoire dont les générations futures n'auront plus connaissance, alors les mêmes erreurs pourront être commises. Un apprentissage doit sortir de cette action.
Au vu de la résurgence des mouvements d'extrême droite ainsi que les idées véhiculées par l'Unil, autrement dit une idée de démocratie. Nous ne pouvons qu'admettre que ce titre n'a plus lieu d'être, il ne l'a jamais été.
Je trouve intéressant de. parler de Mussolini car il fait partie de notre passé et que le fascisme fait encore partie de notre vie actuelle. Je trouve que de continuer à parler du fascisme et du passé, cela aide à ne pas refaire les même erreurs.
Il est essentiel de contextualiser, mettre en lumière pour comprendre et se souvenir. Pouvoir s'excuser et reconnaitre les victime dans certains cas.
Retirer des titres honorifiques ou déboulonner des statues n'est pas une solution. On ne peut et ne doit pas gommer le passé. il faut au contraire expliquer, contextualiser.
Je partage l'idée d'une contextualisation aux sujets "inconfortables" du passé. Toutefois cette prise de position ne doit pas être liée juste au sujets du passé ! Il faut réfléchir de la même manière aux enjeux plus contemporains.
Que retenons-nous de l'histoire et des erreurs du passé ? Peu de choses vraisemblablement, lorsque l'on voit toutes ces guerres et ces dictateurs qui gouvernent. Dommage...
Réparer non, comprendre - assumer - remettre en question - questionner - relier au présent - mettre en lumière une époque et ses travers à différents niveaux, oui !
Non, pas de paix sans justice. La mémoire est nécessaire mais pas suffisante...
NON ! Pas si on l'explique pourquoi on le fait. Effacer le passé reviendrait à effacer toutes les traces du titre honorifique. Or, ce n'est pas le cas.
Je dirais qu'elle tend vers une réparation au même titre que la justice restaurative, même si elle ne répare pas vraiment les dégâts...C'est déjà mieux que rien !
LE FASCISME ET LA VIOLENCE NE FONT LE BONHEUR DE PERSONNE !
Retirer le titre, l'attribution et le retrait auront le même poids dans l'histoire, mais on aura retiré la décoration à une personnage et une histoire qui ne le méritent pas. Attribuer une attention à celui/ceux qui ont lutté contre le fascisme, pour qu'ils/elles soient connu.es, visibles, ingrédients vivants de notre imaginaire commun plutôt que des fantômes dans l'ombre de l'histoire !
Elle permet plutôt de les contextualiser et de les visibiliser.
Oui, je le pense. On ne pourra pas effacer notre histoire et recommencer à zéro alors autat faire un maximum pour informer et condamner les erreurs de l'université et surtout de ses membres qui la représentait !
Regarder le passé par les prismes idéologiques actuels est une folie nous amenant à tromper le futur, non pas à l'aider. Assumer, retenir, avancer.
Cette expo est un débat entre la tolérance et les valeurs ! Un tel débat est-il légitime ?
Non, cela équivaut à le cacher, à ne pas assumer les actes passés. Il faut laisser le titre honorifique tout en exposant le contexte de son attribution, afin que le public puisse découvrir que le passé d'une institution n'est pas tout rose mais contient ses parts d'ombre.
Retirer le titre et faire une exposition permanente antifasciste !
Retirer le titre et continuer à informer. Clarifier comment aujourd'hui on donne le d.h.c (la procédure) et les mesures prises pour éviter de commettre à nouveau une telle erreur.
No. But it makes the pain visible and it honores teh ones who suffred. Traduction : Non. Mais cela rend la douleur visible et rend hommage à ceux qui ont souffert.
Munir tous les monuments et plaques commémoratives d'explications fournies par les historiens et relatant le contexte de l'époque. C'est absolument central.
C'est plus important et courageux d'informer et de débattre que de supprimer !
Un grand merci aux élèves, et tous les acteurs impliqués dans ce travail de mise en lumière de ce triste chapitre d'histoire, de permettre une plus grande réflexion afin de rester vigilent à l'avenir sur les dérives idéologiques.