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magaliandrieu
Created on September 14, 2025
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Transcript
C’était une lugubre nuit ….. novembre. Mon œuvre était terminée, je la contemplai.………. anxiété, je manipulai les instruments qui devaient lui insuffler la vie. Quelques minutes s’écoulèrent. Chaque bruit …... la maison me faisait tressaillir. Quatre heures du matin sonnèrent lorsque je vis enfin s’ouvrir l’oeil vitreux et jaune de ce nouvel être mais il commença ….. respirer péniblement. Une émotion abominable me saisit alors car son teint était très jaune, ses artères et ses muscles frissonnaient ………. sa peau. Ah ! Quelle horreur venais-je de commettre ? Je compris que c’était trop tard. Je venais …. créer un malheureux parce que personne n’oserait jamais l’approcher, certains même, …....……. sa laideur, voudraient le tuer ! Celui-ci ne pourrait que me le reprocher. Je savais déjà que sa vie serait atroce, la nôtre même, devrais-je dire : ni lui, ni moi ne nous en sortirions indemnes.
C’était une lugubre nuit de novembre. Mon œuvre était terminée, je la contemplai.………. anxiété, je manipulai les instruments qui devaient lui insuffler la vie. Quelques minutes s’écoulèrent. Chaque bruit …... la maison me faisait tressaillir. Quatre heures du matin sonnèrent lorsque je vis enfin s’ouvrir l’oeil vitreux et jaune de ce nouvel être mais il commença ….. respirer péniblement. Une émotion abominable me saisit alors car son teint était très jaune, ses artères et ses muscles frissonnaient ………. sa peau. Ah ! Quelle horreur venais-je de commettre ? Je compris que c’était trop tard. Je venais …. créer un malheureux parce que personne n’oserait jamais l’approcher, certains même, ….....……. sa laideur, voudraient le tuer ! Celui-ci ne pourrait que me le reprocher. Je savais déjà que sa vie serait atroce, la nôtre même, devrais-je dire : ni lui, ni moi ne nous en sortirions indemnes.
C’était une lugubre nuit de novembre. Mon œuvre était terminée, je la contemplai.Avec anxiété, je manipulai les instruments qui devaient lui insuffler la vie. Quelques minutes s’écoulèrent. Chaque bruit …... la maison me faisait tressaillir. Quatre heures du matin sonnèrent lorsque je vis enfin s’ouvrir l’oeil vitreux et jaune de ce nouvel être mais il commença ….. respirer péniblement. Une émotion abominable me saisit alors car son teint était très jaune, ses artères et ses muscles frissonnaient ………. sa peau. Ah ! Quelle horreur venais-je de commettre ? Je compris que c’était trop tard. Je venais …. créer un malheureux parce que personne n’oserait jamais l’approcher, certains même, …....……. sa laideur, voudraient le tuer ! Celui-ci ne pourrait que me le reprocher. Je savais déjà que sa vie serait atroce, la nôtre même, devrais-je dire : ni lui, ni moi ne nous en sortirions indemnes.
C’était une lugubre nuit de novembre. Mon œuvre était terminée, je la contemplai.Avec anxiété, je manipulai les instruments qui devaient lui insuffler la vie. Quelques minutes s’écoulèrent. Chaque bruit dans la maison me faisait tressaillir. Quatre heures du matin sonnèrent lorsque je vis enfin s’ouvrir l’oeil vitreux et jaune de ce nouvel être mais il commença ….. respirer péniblement. Une émotion abominable me saisit alors car son teint était très jaune, ses artères et ses muscles frissonnaient ………. sa peau. Ah ! Quelle horreur venais-je de commettre ? Je compris que c’était trop tard. Je venais …. créer un malheureux parce que personne n’oserait jamais l’approcher, certains même, …....……. sa laideur, voudraient le tuer ! Celui-ci ne pourrait que me le reprocher. Je savais déjà que sa vie serait atroce, la nôtre même, devrais-je dire : ni lui, ni moi ne nous en sortirions indemnes.
C’était une lugubre nuit de novembre. Mon œuvre était terminée, je la contemplai.Avec anxiété, je manipulai les instruments qui devaient lui insuffler la vie. Quelques minutes s’écoulèrent. Chaque bruit dans la maison me faisait tressaillir. Quatre heures du matin sonnèrent lorsque je vis enfin s’ouvrir l’oeil vitreux et jaune de ce nouvel être mais il commença à respirer péniblement. Une émotion abominable me saisit alors car son teint était très jaune, ses artères et ses muscles frissonnaient ………. sa peau. Ah ! Quelle horreur venais-je de commettre ? Je compris que c’était trop tard. Je venais …. créer un malheureux parce que personne n’oserait jamais l’approcher, certains même, …....……. sa laideur, voudraient le tuer ! Celui-ci ne pourrait que me le reprocher. Je savais déjà que sa vie serait atroce, la nôtre même, devrais-je dire : ni lui, ni moi ne nous en sortirions indemnes.
C’était une lugubre nuit de novembre. Mon œuvre était terminée, je la contemplai.Avec anxiété, je manipulai les instruments qui devaient lui insuffler la vie. Quelques minutes s’écoulèrent. Chaque bruit dans la maison me faisait tressaillir. Quatre heures du matin sonnèrent lorsque je vis enfin s’ouvrir l’oeil vitreux et jaune de ce nouvel être mais il commença à respirer péniblement. Une émotion abominable me saisit alors car son teint était très jaune, ses artères et ses muscles frissonnaient sous sa peau. Ah ! Quelle horreur venais-je de commettre ? Je compris que c’était trop tard. Je venais …. créer un malheureux parce que personne n’oserait jamais l’approcher, certains même, ……....…. sa laideur, voudraient le tuer ! Celui-ci ne pourrait que me le reprocher. Je savais déjà que sa vie serait atroce, la nôtre même, devrais-je dire : ni lui, ni moi ne nous en sortirions indemnes.
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