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Les paramètres vitaux
Croix-Rouge Comp.
Created on August 29, 2025
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Transcript
Les paramètres vitaux
Bonjour à toutes et tous !!
Ce cours théorique est prévu pour une durée de 1h30. Vous trouverez sur ce support les contenus à connaître. A vous de vous en saisir à votre rythme ! Avant d’aborder ce cours, des apports sous forme de vidéos sur la fonction cardiaque et la fonction respiratoire vous sont proposés. Nous remobiliserons vos connaissances sous forme de test via un wooflash le 9 septembre. Une mise en pratique de la prise des paramètre vitaux est prévue le 10 septembre.
Objectifs pédagoqiques
A l'issue de ce cours vous serez capable de :
- Connaître la définition et les normes des paramètres vitaux.
- Savoir mesurer et interpréter les paramètres vitaux courants.
- Appliquer la principale conduite à tenir en cas d’anomalie.
- Respecter les règles d’hygiène et de sécurité lors de la mesure.
Plan du cours
1. Introduction : Quelques révisions Point législation Généralités 2. Les paramètres vitaux : La temperature corporelle La fréquence cardiaque La pression artérielle La fréquence respiratoire La saturation en oxygène 3. La traçabilité.
Pour chaque paramètre nous aborderons : la définitionles normes et ses variations les facteurs pouvant modifier le paramètre les indications de mesure les méthodes de mesure et le matériel.
Introduction
Quelques révisions, point législation, généralités
Révisons avec quelques vidéos ...
La fonction cardiaque
(Durée : 3 minutes 53) « Au cœur des organes: cœur et vaisseaux », INSERM
(Durée : 3 minutes 40) « Au cœur des organes: la respiration », INSERM
Fonction respiratoire
Point législation :
Article R. 4311-5 du code de santé publique : « Dans le cadre de son rôle propre, l'infirmier ou l'infirmière accomplit les actes ou dispense les soins suivants visant à identifier les risques et à assurer le confort et la sécurité de la personne et de son environnement et comprenant son information et celle de son entourage » « Recueil des observations de toute nature susceptibles de concourir à la connaissance de l'état de santé de la personne et appréciation des principaux paramètres servant à sa surveillance : température, pulsations, pression artérielle, rythme respiratoire, volume de la diurèse, poids, mensurations, évaluation de la douleur… »
Législation suite...
Article R. 4312-28 du code de la santé publique : « L'infirmier ou l'infirmière peut établir pour chaque patient un dossier de soins infirmiers contenant tous les éléments relatifs à son propre rôle et permettant le suivi du patient ». Article R. 4312-29 de code de la santé publique : « L'infirmier ou l'infirmière communique au médecin prescripteur toute information en sa possession susceptible de concourir à l'établissement du diagnostic ou de permettre une meilleure adaptation du traitement en fonction de l'état de santé du patient et de son évolution » . L'infirmière a donc une obligation légale de détecter toute anomalie et de transmettre toute information déterminante au diagnostic médical.
Généralités
Avant de commencer...
J’informe le patient du soins ou acte sur sa personne (code de déontologie) J’obtiens son consentement avant de réaliser le geste (loi du 4 mars 2002). Je vérifie le bon état de fonctionnement du matériel afin d’avoir des mesures fiables. Lavage des mains avant et après le soin. Nettoyage du matériel et rangement dans un endroit propre.
Le patient doit être au repos pendant au moins 10-15 min
Les paramètres vitaux
La température, le rythme cardiaque, la tension artérielle, la fréquence respiratoire, la saturation en oxygène
Les paramètres vitaux c'est quoi ?
C'est un ensemble de mesures indispensables qui fournissent un aperçu de l'état de santé global du patient. Ces indicateurs clés comprennent des éléments tels que la température corporelle, le rythme cardiaque, la fréquence respiratoire, la pression artérielle, la saturation en oxygène. C'est grâce à eux que nous pouvons repérer une éventuelle anomalie et ainsi mettre en oeuvre les interventions infirmières nécessaires.
La température
Définition :
La température définit le degré d'agitation des particules qui composent un système. Elle se mesure en degré Celsius °C
« C’est le degréde chaleur du corps »
Lorsqu’elle est normale c’est qu’il y a un équilibre entre la chaleur produite (thermogénèse) et la chaleur perdue (thermolyse) : c’est l’homéothermie. L’ensemble des processus qui va permettre de la maintenir est la thermorégulation
La norme et ses variations
Lorsque la température est normale on dit que la personne est apyrétique (= absence de fièvre). Une température normale se situe entre 36°C et 38°C. Entre 37,5°C et 38°C on parle de fébricule Au dessus de 38°C, on parle d’hyperthermie (ou fièvre). En dessous de 36°C, on parle d’hypothermie.
La température normale est de 37°C mais on considère qu’elle est dans les normes quand elle se situe entre 36°C et 38°C.
Risque de décès : Température au-delà de 41,5°C Température en dessous de 30°C
Les facteurs pouvant la modifier
Le moment de la journée : plus basse le matin, plus haute le soir (le rythme circadien) Les hormones : plus haute après l’ovulation chez la femme. L’état émotionnel : plus haute en situation de colère, pleurs, stress. L’effort : plus haute en cas d’activité musculaire ou intellectuelle, lors de la digestion, … L’âge : plus basse chez la personne âgée. Pathologique : plus haute en cas d’infection, de déshydratation, …
Indications : Pourquoi la mesure t-on ?
- Avoir une valeur de référence à l’arrivée de la personne à l’hôpital.
- Evaluer, chez le nouveau-né, la bonne adaptation au milieu extra utérin.
- Rechercher une hyperthermie ou une hypothermie.
- Suivre l’évolution d’une maladie et/ou l’efficacité d’un traitement.
Les méthodes de mesure et le matériel
La mesure auriculaire
Elle se fait au niveau de l’oreille. On introduit l’embout du thermomètre tympanique, protégé d’un étui à usage unique, dans le conduit de l’oreille. La mesure est fiable si l’embout est bien inséré. La mesure est rapide (quelques secondes). Cette mesure est moins fiable chez le nouveau-né en raison de la petitesse du conduit auditif. De ce fait, elle n’est pas du tout utilisée chez le nouveau-né prématuré
Les méthodes de mesure et le matériel
La mesure cutanée
Elle se fait dans le pli axillaire (sous les aisselles) ou inguinal (à l’aine) avec un thermomètre électronique. La mesure est un peu plus longue (2 à 5 minutes). Le résultat peut parfois être augmenté de 0.5 à 0.7°C (à voir en fonction du protocole du service). Il est possible de mesurer la température sur le front avec un thermomètre à cristaux liquides mais c’est une mesure moyennement fiable.
Les méthodes de mesure et le matériel
La mesure rectale
C’est une méthode qui n’est pas préconisée en première intention car il y a un risque important de blessure de la muqueuse anale. Cette mesure, à l’aide d’un thermomètre électronique, ne se fait qu’en cas de doute sur une mesure réalisée par un autre mode.
Les méthodes de mesure et le matériel
Autres méthodes de mesure :
Mesure buccale : peu fiable car dépend de ce que la personne a ingéré avant : aliment chaud ou froid. Mesure vaginale : très rare. Mesure centrale : par sonde thermique. Cet usage est réservé à des services très techniques comme le bloc opératoire ou la réanimation.
La fréquence cardiaque
Définition :
C’est le soulèvement perçu par le doigt qui palpe une artère superficielle.
Le pouls reflète la fréquence de contraction du cœur, c'est-à-dire le rythme cardiaque. Lors de la contraction du cœur (éjection du sang du ventricule gauche du cœur dans l’aorte), il y a un choc sur la paroi des artères. C’est ce choc qu’on perçoit. Il permet de calculer le nombre de contractions sur une minute. La fréquence cardiaque se mesure en pulsations par minute ou battements par minute.
La norme et ses variations
Chez l’adulte, la norme est comprise entre 60 et 100 pulsations par minute. (Pour les enfants, les normes vont de 95 à 140 ppm en fonction de l’âge) Au dessus de 100 pulsations par minute, on parle de tachycardie. En dessous de 60 pulsations par minute, on parle de bradycardie.
La norme et ses variations
Au-delà du chiffre, il faut aussi évaluer : La qualité du pouls c’est-à-dire son intensité la force du soulèvement. Celui-ci doit être bien frappé. Mais il peut être filant, faible et dans ce cas il est important d’alerter. Le rythme : il doit être régulier. Quand le rythme est irrégulier, on parle d’arythmie.
Les facteurs pouvants la modifier
L’âge : l’enfant a un pouls plus rapide, la personne âgée a un pouls plus lent. L’état émotionnel : plus élevée en situation de colère, pleurs, stress. L’effort : plus élevée en cas d’activité musculaire, lors de la digestion, … La température corporelle : plus élevée en cas d’hyperthermie. Les traitements et/ou maladies : l’insuffisance cardiaque ou la déshydratation, par exemple, modifient la fréquence cardiaque. Les excitants : thé, caféine, drogues…
Les indications : pourquoi la mesure t-on ?
- Avoir une valeur de référence à l’entrée de la personne.
- Suivre l’évolution d’une maladie ou rechercher une maladie
- Contrôler l’efficacité d’un traitement et surveillance d’effets secondaires éventuels
- Détecter des complications post examen ou post intervention chirurgicale.
Les méthodes de mesure et le matériel
Mesure périphérique : Elle se fait au niveau de l’artère radiale car c’est l’endroit le plus facilement accessible. Il faut placer son index et son majeur à la base du pouce de la personne, au bord externe du poignet. En exerçant une légère pression, on sent le soulèvement, le pouls. Il faut alors compter le nombre de pulsations ressenties sur 1 minute.
Le matériel nécessaire se compose d’une montre avec trotteuse
Les méthodes de mesure et le matériel
Mesure automatique : Lorsque la personne est reliée à un moniteur cardiaque, le pouls s’affiche sur l’écran de contrôle.
Fréquence cardiaque
Les méthodes de mesure et le matériel
Mesure centrale : Elle est réservée aux situations d’urgence. La fréquence cardiaque se mesure au niveau de l’artère carotide (base du cou) ou de l’artère fémorale (pli inguinal).
Mesure thoracique : Elle est réalisée par le médecin à l’aide d’un stéthoscope.
La tension artérielle
Définition :
La tension artérielle correspond à la pression exercée par le sang sur la paroi des artères. Elle se mesure en millimètre de mercure mmHg
Définition suite :
La pression artérielle s’exprime donc avec 2 chiffres : Le premier chiffre correspond à la contraction du cœur et à l’éjection du sang dans les artères : c’est la systole . Le deuxième chiffre correspond à la phase de relâchement/repos du cœur : c’est la diastole.
La norme et ses variations
Au dessus de 140 en systole (1er chiffre) et/ou 90 en diastole (2ème chiffre), on parle d’hypertension artérielle. Les deux chiffres de la tension ont leur importance. - Au dessus de 140/90 mmHg, on parle d’hypertension artérielle - En dessous de 90/60mmHg, on parle d’hypotension
La norme se situe entre 90/60 mmHg et 140/90 mmHg
Les indications : pourquoi la mesure t-on ?
- Avoir une valeur de référence à l’arrivée à l’hôpital de la personne.
- Suivre l’évolution d’une maladie
- Contrôler l’efficacité d’un traitement ou les effets secondaires
- Détecter des complications post examen ou post intervention chirurgicale.
Les facteurs pouvant la modifier
L’âge : l’enfant a une pression artérielle plus basse, la personne âgée a une pression artérielle plus haute. L’état émotionnel : plus élevée en situation de colère, pleurs, stress, douleur, … L’effort : plus élevée en cas d’activité musculaire, lors de la digestion, … Les traitements et/ou maladies : une maladie cardiaque, une maladie rénale, ou une hypercholestérolémie, par exemple, modifient la pression artérielle. La morphologie La grossesse (volémie augmentée)
Les méthodes de mesure et matériel
Précautions particulières :
On ne mesure pas la pression artérielle sur un bras :
- Perfusé
- Fracturé, Opéré
- Hémiplégique
- Curetage ganglionnaire
- Porteur d’une fistule artério veineuse
J'adapte toujours le brassard à la morphologie de la personne sous peine d’obtenir des chiffres erronés.
Les méthodes de mesure et matériel
Le matériel pour une prise de TA manuelle :
Un brassard gonflable relié à une « poire » et à un manomètre gradué en millimètres de mercure (mmHg), adapté à la taille de la personne
Un stéthoscope.
Les méthodes de mesure et matériel
- Dénuder le bras de la personne
- Positionner le brassard sur le bras de la personne en faisant coïncider la marque indicative du brassard et l’artère humérale. Le brassard est positionné à environ 2-3 centimètres au dessus du pli du coude.
- S’assurer que le manomètre est bien à « 0 ».
- Fermer la valve de la poire.
- Mettre le stéthoscope sur les oreilles, branches vers l’avant.
- Positionner le stéthoscope sur l’artère humérale en dessous du brassard.
- Gonfler le brassard jusqu’à environ 30 mm Hg au dessus de la mesure habituelle de la personne (exemple : si la personne a habituellement 140/90, il faudra gonfler le brassard jusqu’à 170 mm Hg).
- Dévisser la valve tout doucement pour que l’air s’échappe lentement.
- Ecouter le 1er bruit et relever la mesure en même temps sur le manomètre (systole).
- Ecouter le dernier bruit et relever la mesure en même temps sur le manomètre (diastole).
Les méthodes de mesure et le matériel
Pour mieux comprendre...un petit tuto !!
ça donne quoi quand on écoute ?
Les méthodes de mesure et le matériel
Méthode automatique :
C’est la méthode la plus courante en milieu hospitalier. Elle se réalise avec un tensiomètre automatique. Je n’ai pas besoin de stéthoscope dans ce type de mesure.
- Dénuder le bras de la personne.
- Positionner le brassard sur le bras de la personne en faisant coïncider la marque indicative du brassard et l’artère du pli du coude. Le brassard est ainsi positionné environ à 2-3 centimètres au dessus du pli du coude.
- Mettre en route le cycle de mesure.
- Relever les chiffres qui s’affichent à la fin de la mesure.
Il existe aussi des systèmes qui mesurent la pression artérielle au poignet. Ils sont plutôt réservés à un usage privé. Leur fiabilité est moyenne.
La fréquence respiratoire
Définition :
La respiration est un ensemble de mouvements qui aboutit au gonflement (inspiration) et au dégonflement (expiration) des poumons. Le but de la respiration est l’enrichissement du sang en oxygène et l’élimination du gaz carbonique. La fréquence respiratoire correspond au nombre de mouvements respiratoires (inspiration + expiration) sur 1 minute.
Elle se mesure en nombre de mouvements respiratoires par minute (mouvements/min) ou en cycle par minute
La norme et ses variations
Chez l’adulte, les normes sont entre 12 à 20 mouvements par minute. (Pour les enfants, les normes vont de 15 à 40 mvt/min en fonction de l’âge). En dessous de 12 mouvements par minute, on parle de bradypnée. Au dessus de 20 mouvements par minute, on parle de tachypnée. L’absence de mouvements respiratoires est appelée apnée.
La norme et ses variations
Au-delà du chiffre, il faut aussi évaluer : Les mouvements : mouvements profonds ou superficiels, faciles ou forcés Le rythme : régulier ou irrégulier, La présence éventuelle de bruits associés : râles, respiration sifflante La coloration des téguments (peau,ongles, lèvres) : rosée, cyanosée (coloration bleutée).
Ici on voit une coloration bleutée des lèvres et des extrémités
Les facteurs pouvant la modifier
L’âge : l’enfant a une fréquence respiratoire plus rapide. L’état émotionnel : plus élevée en situation de colère, pleurs, stress, douleur, … L’effort : plus élevée en cas d’activité musculaire, lors de la digestion, … ou au contraire plus basse en cas de sommeil. Les traitements et/ou maladies : un traitement sédatif ou un asthme, par exemple, modifient la fréquence respiratoire. L’altitude : plus on gagne en altitude, plus on perd en oxygène dans l’air.
Les indications : pourquoi la mesure t-on ?
- Avoir une valeur de référence au début de l’hospitalisation : à l’arrivée du patient.
- Suivre l’évolution d’une maladie et/ou l’efficacité d’un traitement
- Détecter des complications post examen ou post intervention chirurgicale
Les méthodes de mesure et le matériel
Méthode manuelle :
Pour mesurer de façon manuelle une fréquence respiratoire, il faut une montre avec une trotteuse.
L’idéal est de mesurer la fréquence respiratoire d’une personne sans qu’elle s’en aperçoive car le fait de se savoir observé peut augmenter la fréquence respiratoire. Il faut compter tous les mouvements inspiratoires (= soulèvements du thorax) sur 1 minute. On ne comptabilise pas les expirations sinon cela double le nombre et fausse la mesure.
Cela fait 1 mouvement respiratoire
Les méthodes de mesure et le matériel
Méthode automatique :
Si la personne est reliée à un moniteur cardio-respiratoire, la fréquence respiratoire s’affiche sur l’écran de contrôle.
Fréquence respiratoire
La saturation en oxygène
Définition :
La saturation en oxygène indique la quantité d’oxygène que transporte le sang. Elle est exprimée en pourcentage.
La norme et ses variations
Un individu en bonne santé à une saturation comprise entre 95 et 100 % Entre 90 % et 94 % c'est insuffisant En dessous de 90 % on parle d’hypoxie
Les facteurs pouvant la modifier
- L'âge : vieillissement physiologique
- Certaines pathologies pulmonaires : Insuffisants respiratoires, BPCO...
- L'altitude : moins d'oxygène en altitude
- La température et l'humidité de l'air
Les indications : pourquoi la mesure t-on ?
- Avoir une valeur de référence au début de l’hospitalisation : à l’arrivée du patient.
- Suivre l’évolution d’une maladie et/ou l’efficacité d’un traitement
- Détecter des complications post examen ou post intervention chirurgicale
Les méthodes de mesure et le matériel
Une seule méthode possible
A l’aide d’un oxymètre de pouls (ou saturomètre). L’oxymètre de pouls est doté d’un capteur sous forme de pince qu’il suffit de placer à une extrémité du corps : un doigt de main ou de pied, ou encore un lobe d’oreille.
L'oxymètre de pouls envoie des faisceaux de lumière à travers la peau pour mesurer la quantité d'oxygène dans le sang
La traçabilité
La traçabilité...C'est quoi ?
La traçabilité consiste à consigner par écrit, dans des registres ou des dossiers, le maximum de choses.
Pourquoi on trace les paramètres vitaux ? Pour suivre l’évolution de l’état de votre patient. Pour permettre et assurer la continuité des soins. Selon le fonctionnement des services : Dans le dossier informatisé OU Notée sur une feuille de surveillance papier
Bravo ! Vous voilà parvenu(e) au terme de ce cours !! N’hésitez pas à y revenir régulièrement !
Prochaines étapes :
- Remobilisation de connaissances via wooflash en distanciel le mardi 9 septembre de 9h à 10h30
- Mise en pratique le 10 septembre matin.
