Want to create interactive content? It’s easy in Genially!
CLM Mag online 21
Uuinan Pascale
Created on June 4, 2025
Start designing with a free template
Discover more than 1500 professional designs like these:
Transcript
Collège La Mennais
mag-on line
165 ans de présence mennaisienneA l'origine, un homme, jEAN-mARIE DE LA mENNAIS
21
nº
octobre 2025 - 2026
Sommaire
L'APPEL DU LARGE
Vers les colonies des Antilles, d'Afrique...
Vers Tahiti
EDITO
LA PAROLE EST AUX ELEVES, AUX FRERES, AUX ENSEIGNANTS
QUELQUES PHOTOS
Les petits interviews des élèves
Personnes et lieux de l'époque à Tahiti
Les petits interviews des Frères
DES LIEUX COMMEMORATIFS ET RELIGIEUX AU CLM DE PAPEETE
Le micro trottoir des enseignants
Un plan pour se repérer
L'HISTOIRE DU FONDATEUR, JEAN-MARIE DE LA MENNAIS
AUJOURD'HUI, UN RESEAU MENNAISIEN MONDIAL
Une histoire qui débute à Saint-Malo ...
Un réseau pour instruire, éduquer et évangéliser
Qui se poursuit dans un engagement religieux ...
Le réseau en chiffres et en carte
Et sur une réflexion sur l'enfance et la jeunesse
Les objectifs du réseau
La rencontre de deux Frères
Quelle vision Jean-Marie de la Mennais a-t-il sur l'instruction et l'éducation ?
Title 1
A l'origine, un homme
EDITO
165 ans d'existence, c'est le nombre d'années d'existence du collège-lycée La Mennais. Et ce n'est pas rien. C'est l'un des plus anciens établissements scolaires de Tahiti. L'un des plus renommés aussi. A l'origine , un homme d'exception. Un breton, de foi catholique, qui a consacré sa vie à la congrégation et aux écoles qu'il a créées. Il n'aura pas vu l'établissement scolaire de Tahiti, ni même suivi son évolution. En 1860, l'année d'arrivée des quatre Frères de la congrégation mennaisienne, Jean-Marie de La Mennais rend son dernier souffle. Ce vingt-et-unième numéro du Mag on line rend hommage au fondateur. Les élèves de 4èmeG ont co-écrit avec leur professeure d'histoire quelques articles relatant le parcours de Jean-marie de la Mennais et la vivacité de son oeuvre qui perdure à travers le monde. Avant, ils sont allés à la rencontre des élèves, des frères et de quelques professeurs pour des petits interviews. BONNE LECTURE
Portrait de l'abbé Jean-Marie de La Mennais peint en 1827 par Jean-Baptiste Paulin Guérin
Interviews réalisés par Clara Bechonnet de 4èmeD
Pour toi, que représente La Mennais ?
Pourquoi as-tu choisi La Mennais ?
Réponses de 4 élèves de 5ème, 1 élève de 4ème, 2 élèves de 3ème, 1 élève de 1ère et 1 élève de Terminale
Survolez les icônes pour lire les réponses
Mon frère étudie ici.
Interviews réalisés par Clara Bechonnet de 4èmeD
Que dirais-tu de La Mennais ?
Connais-tu le fondateur de La Mennais, si oui que sais-tu à propos de lui ?
Réponses de 4 élèves de 5ème, 1 élève de 4ème, 2 élèves de 3ème, 1 élève de 1ère et 1 élève de Terminale
Survolez les icones pour lire les réponses
Interview des Frères et des catéchistes
Pour vous que représente le collège-lycée La Mennais ?
Beaucoup d’élèves nous ont dit que le CLM est trop strict. Qu’en pensez-vous ?
"La Mennais est ma maison qui m’a accueilli en 2nd. Quand je vois les bâtiments de La Mennais je pense aux Frères qui se sont succédés ici." Frère Xavier
"A La Mennais, nous sommes comme des coureurs qui voulons gagner la course. Si nous n’étions pas aussi stricts nous ne gagnerions pas la course. Cette exigence est donnée car il faut pouvoir atteindre la simplicité plus tard." Frère Xavier
"C’est le 1er établissement de Jean-Marie de La Mennais à Papeete." Frère Désille
Quel(s) caractère(s) donneriez-vous à La Mennais ?
"La Mennais est une main de fer dans un gant de velours." Frère Xavier
"Dans longtemps ils seront tristes de quitter la Mennais." Frère Désille
"La plupart des élèves sont bien éduqués." Frère Désille
Survolez les icones pour lire les réponses
IL RESTE UNIQUEMENT DEUX FRERES A TAHITI
165 ans
La mère de Jean-Marie, Gratienne Lorin, femme très cultivée, était la fille de Pierre Lorin, subdélégué de l'intendant de Bretagne pour Saint-Malo, charge que reprendra Pierre-Louis Robert. Les enfants La Mennais ne manquent de rien, vivent dans un bel hôtel particulier, bénéficient d'une solide instruction en théologie, en philosophie et en langues anciennes.Le père est très investi dans la vie économique, sociale et administrative de la ville. En 1782 et 1786, lors des disettes, Pierre-Louis approvisionne la ville en grains à prix coûtant, sauvant ainsi les habitants d'une famille certaine. Des lettres patentes devaient anoblir la famille. Les évènements de la Révolution française ne permettent d'enregistrer ces lettres et l'anoblissement ne se réalisa pas.
A l'origine, un homme
Une histoire qui débute dans une famille bourgeoise de Saint-Malo...
Qui est Jean-Marie de La Mennais ? Jean-Marie de La Mennais, nait le 8 septembre 1780 à Saint-Malo en Bretagne dans une grande famille bourgeoise établie dans cette ville. C'est le troisième enfant d'une fratrie de six membres, cinq garçons et une fille. Son père, Pierre-Louis Robert de La Mennais, armateur et négociant international, avait repris la maison de commerce familiale de Saint-Malo du nom de "Mennais Robert Frères et Compagnie". Il avait aussi hérité d'un domaine rural à Trivagou laissé en métayage, appelé de La Mennais. C'est ce nom qui a été rajouté au patronyme de la famille.
C'est dans cet environnement familial que la vocation religieuse et sociale de Jean-Marie de la Mennais grandit. L'engagement de son père a sans aucun doute contribué à la construction de sa personnalité. En 1813, la maison de commerce familiale fait faillite. Jean-Marie a alors 27 ans. Il est déjà prêtre.
Blason de la famille Robert de La Mennais
A l'origine, un homme
Une histoire qui se poursuit dans un engagement religieux en Bretagne
Une vocation religieuse précoce Jean-Marie de La Mennais exprime très jeune son désir d’être prête. Adolescent il assiste aux excès de la terreur lors de la révolution française. Ordonné prêtre le 25 février 1804 à Rennes, à l’âge de 24 ans, par Jean-Baptiste-Marie de Maillé de La Tour-Landry, il est nommé vicaire à la cathédrale de Saint-Malo. Il consacre tout son temps à l'accueil des paroissiens, à la confession et aux prédications lors des offices dominicaux. Un parcours religieux brillant Le 15 juillet 1810, il est nommé chanoine puis vicaire capitulaire de Saint-Brieuc en 1815, lors de la mort de l'évêque Jean-Baptiste de Caffarelli du Falga, fonction rare pour un jeune prêtre. Il occupe ce poste jusqu’en 1820. Il participe activement à la vie chrétienne de son diocèse, soutenant les monastères, réformant les séminaires et animant des missions populaires.
Carte de Bretagne avec Saint-Malo et Saint-Brieuc
Diocèse de Saint-Brieuc avec en arrière-plan la cathédrale
A l'origine, un homme
Il devient vicaire général en 1820, lorsque Mathias Le Groing de La Romagère est nommé pour administrer le diocèse de Saint-Brieuc.Le 31 janvier 1821, Monseigneur de la Romagère accepte la démisson de son vicaire général. Jean-Marie de La Mennais se destine à d'autres horizons.
Une histoire qui se poursuit dans un engagement religieux en Bretagne
Définitions : *Un vicaire : un prêtre qui assiste un curé dans ses fonctions paroissiales, le remplace en cas d'absence. *Un chanoine : un prêtre vivant en communauté collaborant avec l'évêque. *Un vicaire capitulaire : un prêtre qui a la charge temporaire d'un diocèse, dans l'attente qu'un évêque y soit nommé. *Un vicaire général : un prêtre nommé par l'évêque pour le seconder dans la direction du diocèse.
Eimeo Huck, élève de 4èmeD
Photos de la cathédrale du diocèse Saint-Brieuc
A l'origine, un homme
De nouveaux horizons : instruire, éduquer...
Former les prêtres uniquement est insuffisant. Il pense aussi à l'instruction des laïcs en fondant deux congrégations enseignantes, en créant les collèges de Tréguier et Dinan. Ceux-ci sont fréquentés par les enfants des familles aisées.
Former les prêtres, instruire les laïcs
L'épisode révolutionnaire a mis à mal l'Eglise catholique. Durant la terreur, la politique de déchristianisation faite par les plus radicaux a mené à la fermeture de lieux de culte, à la vente de chapelles, à la destructions d'objets liturgiques, à l'abdication volontaire ou forcé des ministres de culte. La Bretagne n'a pas été épargnée. La formation des prêtres en a souffert. Durant ses vicariats entre 1815 et 1820, Jean-Marie de La Mennais se consacre très rapidement à la formation des prêtres. Ceux-ci sont au plus près de la population. Il fonde un collège pour les études des futurs prêtres, participe à la création des séminaires. Il enseigne lui-même la théologie.
S'intéresser aux délaissés de Bretagne
La Bretagne, province essentielllement rurale. avec des ilôts de richesse est frappée par la pauvreté. Le commerce pratiquée dans les ports est en crise.Jean-Marie de la Mennais est affecté par le spectacle de cette Bretagne appauvrie, déchirée socialement et politiquement. Les plus faibles, spécialement les enfants, sont abandonnés. Certains tombent dans la délinquance. Il est alors persuadé que l'éducation joue un rôle essentiel dans la lutte contre la délinquance. Il veut se consacrer aux enfants et aux jeunes.
A l'origine, un homme
En 1922, la congrégation est reconnue par ordonnance royale. En 1824, la nouvelle congrégation s'installe à Poërmel dans le couvent des Urselines alors désaffecté. Il y a dix novices. En 1825, ce nombre est multiplié par dix.
Une rencontre décisive
Gabriel Deshayes et Jean-Marie de La Mennais
En 1817, une rencontre permet à Jean-Marie d'aller vers ses nouveaux horizons. Un autre prêtre breton de la commune d'Auray, vicaire général de Vannes, dans le Morbihan, Gabriel Deshayes, fait au même moment une démarche similaire. Il a 50 ans et a déjà ouvert des écoles pour les enfants du peuple des campagnes. Il est au service des pauvres, des délaissés, des plus fragiles, prisonniers, chômeurs, sourds, muets, aveugles. Il aide Jean Marie de La Mennais dans sa vocation. Ensemble, ils créent l'acte de fondation des Frères de l'Instruction Chrétienne dont le but est de former des maîtres chrétiens et d'ouvrir des écoles dans les campagnes bretonnes...là où il n'y en a pas.
Portrait du frere Deshayes
Carte avec la localisation de Ploermel
A l'origine, un homme
De nouveaux horizons : instruire, éduquer
Le couvent des Urseline à Ploermel
« Dans nos écoles, on forme l’homme tout entier, son cœur aussi bien que son esprit »Phrases de Jean-Marie de le Mennais
Sculpture de Jean-Marie de La Mennais à Saint-Brieuc
Raitea Ortas, élève de 4èmeD
A l'origine, un homme
Vision de l'éducation des jeunes de Jean Marie de La Mennais
La congrégation des frères de La Mennais a contribué à généraliser l’enseignement primaire en Bretagne. A la fin de la vie de Jean-Marie de La Mennais, l’institut compte 852 Frères et 349 écoles en Bretagne. Pour Jean-Marie de la mennais, l'école doit développer toutes les potentialités de l'enfant pour constituer une personnalité forte et équilibrée. Elle doit le préparer à son avenir et lui donner le moyen de s'intégrer dans la société et d'en devenir un membre actif. Raitea Ortas, Heiva Cartron, élèves de 4èmeD
L’école, parce qu’elle est un lieu de savoirs, donc d’apprentissages, un lieu de vie, donc d’expériences, concourt à donner aux jeunes les moyens de leur liberté. Elle les accompagne dans leur développement intellectuel, physique, spirituel. C'est éduquer les enfants de manière « intégrale »
A l'origine, un homme
L'appel du large : le début de l'internationalisation de la congrégation
La congrégation est très occupée en Bretagne avec toutes ses écoles. Aussi, Jean-Marie de La Mennais ne songe pas aux territoires français lointains au-delà des mers. C'est le gouvernement français qui fait appel aux frères de Plöermel. En 1836, l'amiral Duperré, ministre de la Marine, demande à Jean-Marie de la Mennais d'organiser l'enseignement primaire dans les Antilles françaises. D'abord hésitant, celui-ci décide de relever le défi. En 1837, cinq frères partent en Guadeloupe, puis en 1839 en Martinique, bravant la fièvre jaune des climats tropicaux. Il faut préparer l'émancipation pacifique des esclaves dans les colonies. En 1841, deux nouveaux frères arrivent à Saint-Louis, au Sénégal. Ils éduquent et soignent. La tâche est ardue en Afrique.
L'année suivante, Saint-PIerre et Miquelon reçoivent des frères pour les mêmes missions. En 1843, c'est au tour de la Guyanne. L'internationalisation de la Congrégation est en marche.
En 1848, la maison mère de Ploërmel reçoit cinq religieux anglais pour former les Frères de l'instruction chrétienne d'Angleterre. L'Espagne, l'Italie ouvrent leurs portes. En 1886, des Frères s'installent au Canada.
A l'origine, un homme
« Mercredi dernier, 17 octobre, le vaisseau mixte Duguay-Trouin, portant le pavillon du contre-amiral Larrieu, est entré dans notre port, vers 4 heures su soir. C’est la première fois qu’un vaisseau français paraît dans les eaux océaniennes, et c’est une preuve, entre mille autres, de la sollicitude du gouvernement de l’Empereur pour les intérêts de ses possessions d’outre-mer » (Le Messager de Tahiti n°42 du 21 octobre 1860).
L'appel du large : vers Tahiti
Le 17 octobre 1860 les 4 Frères de Ploërmel , Alpert Ropert, Arsène Guillet, Hilaire Toublanc et Eubert Robic arrivent à Tahiti pour développer l’instruction et l’éducation Chrétienne à la demande du ministre de la Marine. Ils sont accueillis par l'évêque. En 1863, les Marquises voient débarquer de nouveaux frères à Taiohae
Title
Album photo
Étienne Florentin Jaussen, dit Tepano (1815- 1891) est un missionnaire français, premier évêque et introducteur du catholicisme à Tahiti. Il est nommé vicaire apostolique de Tahiti (1848) et débarque à Papeete le 16 février 1849. L'île est alors entièrement aux mains des protestants.
Portrait de la reine de Tahiti par Sébastien Charles Giraud, en 1851. Elle accueille les frères de Ploermel le 18 octobre 1860, à leur arrivée à Tahiti.
Photot èque
Album photo
Bois gravé représentant une vue de Papeete depuis les hauteurs, paru dans The illustrated Australian news for home readers, Albert Charles Cooke en 1867. On peut imaginer l'environnement découvert par les quatre frères de Ploërmel à leur arrivée.
Album photo
Le 5 décembre 1860, les quatre frères ont ouvert une petite école très modeste du côté de la mairie de Papeete appelée l’Ecole des Frères. En 1882, l’école est transférée dans la vallée de la Mission, à Papeete puis en 1948 grâce à Monseigneur Mazé, le Collège La Mennais est officiellement inauguré.
Carte postale de Francis Homes représentant une vue du Quartier du Commerce où les frères occupent un local pour dispenser la classe de 1861 à 1882. Plusieurs magasins sont utilisés comme classes, le rez-de-chaussée de la maison sert de dortoir aux pensionnaires. L'étage est occupé par les Frères et le réfectoire. La cour longe les quais.
Album photo
Elèves et parents attendent à l’extérieur de l’école de Papeete, photographie estimée entre 1880 et 1900. Le lieu est inconnu mais cela donne une idée de l’organisation et la vie à l’école.
Album photo
Ecole des frères de Ploermel en 1948 au complet
Album photo
Aujourd'hui avec tous les élèves du collège-lycée portant une couleur par niveau de classe.
La Mennais à Papeete
Photot èque
Un lieu de vie et d'histoire
Fondée vers l’an 1860, le collège n’était avant que de simples petits bâtiments situés proches de la mairie de Papeete. Il sera déplacé plus tard vers l'emplacement actuel. Le lycée-collège La Mennais, traditionnellement appelé l'école des Frères, est un établissement scolaire privé catholique de Papeete en Polynésie française qui accueille plus de 2 000 élèves du secondaire. Il est situé dans le quartier de la Mission et s'étend sur cinq hectares.
Toatea Herlemme, Manatea Heaux, Keanu Keane, Orava Fiatte Vahirua, élèves de 4èmeD
La Mennais à Papeete
Photot èque
Le réseau mennaisien
Le réseau mennaisien
Instruire, éduquer, évangéliser
C’est un ensemble d’établissements qui enseigne dans le monde entier les mêmes valeurs, qui éduque et forge des futurs femmes, hommes et citoyens. L'éducation voulue par Jean-Marie de la Mennais n'est pas seulement une instruction intellectuelle ou une formation professionnelle. Fondée sur l'Évangile, elle a l'ambition de construire la fraternité et de chercher à atteindre chacun dans toutes les dimensions de son être. L'objectif est d'instruire tout en élevant moralement et spirituellement, en cultivant la liberté et la responsabilité. Aujourd'hui, cette tradition perdure avec des laïcs et des religieux investis dans une éducation inclusive, respectueuse des singularités de chacun et nourrie par l'esprit de fraternité.
Informations recueillies les élèves de 4èmeD, Miliani Greig, Eileen Lai foo, Ange Charles sur le site du réseau mennaisien, lamennais.org
Le réseau mennaisien
Un réseau international
Le réseau mennaisien en chiffres
En France, on compte 300 frères pour 2 700 enseignants et 900 administratifs laïcs, qui partagent les valeurs et les projets mennaisiens. Le réseau mennaisien, c’est d’abord 35 068 élèves, 76 établissements rien qu’en France de la maternelle au post-bac. (31 écoles primaires, 32 collèges, 17 lycées et 12 pôles post-bac). Dans le monde ce sont 125 000 élèves sur les 5 continents, dans 26 pays répartis dans 200 établissements écoles, collèges, lycées, internats, établissements d’enseignement supérieur et des centres d'œuvres éducatives.
Voici une liste de tous les pays où l’on peut trouver une trace du réseau mennaisien :Afrique Bénin – Congo RDC – Côte d’Ivoire – Kenya – Ouganda – Sud Soudan – Rwanda – Sénégal – Tanzanie – Togo Amérique Argentine – Bolivie – Canada – Chili – États-Unis – Haïti – Mexique – Uruguay Asie Indonésie – Japon - Philippines Europe Espagne – France - Italie-Royaume-Uni- Océanie Polynésie française Tahiti - Marquises
Le réseau mennaisien
1. Cohérence et cohésion : Construire une communauté éducative unie, où la cohérence entre les paroles et les actes est essentielle pour atteindre les objectifs et maintenir une véritable cohésion sociale et personnelle. 2. Prendre soin : Mettre l'accent sur le bien-être des individus, en renforçant la relation humaine et la solidarité, tout en prenant en compte les fragilités de chacun pour favoriser un environnement de soutien et de bienveillance. 3. Singularités et différences : Accueillir et valoriser la diversité des élèves, en adaptant l'enseignement aux besoins individuels et en encourageant l'épanouissement de chaque personne dans le respect des différences. 4. Motivation par l'implication : Favoriser l'engagement des élèves en les rendant acteurs de leur apprentissage et de leur développement, en encourageant l’expérimentation, la responsabilisation et la construction collective.
Les 4 objectifs du réseau
Pour conclure voici les quatre objectifs principaux qui ont traversé les siècles et marqué des milliers d’enfants et qui continueront d’éduquer des jeunes pousses.
RETROUVEZ LE PROCHAIN NUMERO A LA RENTREE DES VACANCES DE NOVEMBRE SUR LA JOURNEE ET LA SOIREEDE LA CELEBRATION DES 165 ANS DU COLLEGE-LYCEE LA MENNAIS
Vous souhaitez partager vos photos ou témoignages ? Ecrivez-nous !
Title 1
mauru'uru !
Nous écrire : Mme BERROU Mareva m.berrou@clm.ddec.pf Mme CRUCHET Pascale cdil@clm.ddec.pf
www.clm.ddec.pf