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REP OUTILS POUR PENSER V2
PIERRE PAUL GAGNE
Created on April 7, 2025
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PIERRE PAUL GAGNÉ NORMAND LEBLANC
MENU PRINCIPAL
À propos de ce guide
Cartographie mentale et d'organisation graphique
Planification de structuration de la pensée
En apprendre plus sur la pensée visuelle et la pensée stratégique
Outils d'aide à la métacognition et la réflexion
Références- ouvrages
- articles
- liens web
Un guide-en-ligne à l'usage des intervenants en éducation.
Gabarits à imprimer
NOUVEAU
Les scripts cognitifs, la métacognition et la gestion des apprentissages
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VERSION EN DÉVELOPPEMENT
Outils de cartographie mentale et d'organisation graphique
Sous- idée 1
Sous- idée 2
Sous- idée 3
OP-01
OP-02
OP-03
Sketchnoting
Diagramme de Venn
OP-04
OP-05
Outils d'aide à la métacognition et à la réflexion
Gestion et allocation des ressources cognitives
Pensée inversée (Flip Thinking)
OP-18
OP-16
OP-17
OP-15
Journal de mes apprentissages
Langage intérieur vocabulaire de gestion
Questions métacognitives
OP-22
OP-21
OP-20
OP-19
Créer une analogie
Exemples
- Les analogie permettent de comprendre un concept abstrait en le comparant à quelque chose de plus familier.
- L’utilisation des analogies est un puissant levier pour augmenter le degré de compréhension des élèves. En comparant un concept abstrait à une réalité concrète ou familière, la métaphore permet de rendre l’information plus accessible et mémorable.
- Elle crée des ponts entre le connu et l’inconnu, facilitant ainsi l’assimilation des notions complexes. Enseignée explicitement, cette stratégie stimule l’imagination, la pensée analogique et la flexibilité cognitive.
- Elle encourage également les élèves à reformuler les idées avec leurs propres repères. En mobilisant à la fois l’émotion et la réflexion, la métaphore enrichit la compréhension en profondeur et favorise l’engagement cognitif.
Pour expliquer le rôle de la mémoire à long terme, on peut dire qu'elle fonctionne comme un "grand classeur bien organisé ».
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En savoir plus
Outils de planification et de structuration de la pensée
Scénarisation cognitive
Grilles de questionnement
Algorithme
Double codage
Qui? Quand? Ou ?
Comment? Pourquoi?
+ SEGMENT LANGAGE «SCRATCH»
OP-09
OP-07
OP-08
OP-10
FlashCards
Ligne de temps
Story-board
Mode d'emploi.Me déplacer sur ma ligne de temps.
OP-14
OP-11
OP-13
OP-12
Allocation et gestion des ressources cognitives
- Le modèle Réflecto, conçu par Pierre Paul Gagné, est un outil pédagogique qui aide les élèves à prendre conscience de leurs processus cognitifs et exécutifs lorsqu’ils réalisent une tâche. Ce modèle repose sur l’idée que les ressources cognitives comme l’attention, la mémoire de travail, ou la planification sont limitées, et qu’il est essentiel d’apprendre à les allouer efficacement pour optimiser l’apprentissage. Réflecto propose une scénarisation cognitive de la tâche : avant, pendant et après l’action. L’élève est invité à anticiper, obser-ver, analyser et ajuster ses stratégies, en se posant des questions clés à chaque étape.
- Ce modèle s'inscrit pleinement dans une perspective méta-cognitive, car il rend explicites les opérations mentales mobi-lisées et favorise une réflexion consciente sur l’action. En aidant l’élève à se décentrer de la tâche pour observer sa propre manière d’apprendre, Réflecto soutient le dévelop-pement de compétences essentielles : l’auto-observation, l’auto-questionnement et l’autorégulation. Il devient ainsi un levier puissant pour construire une posture réflexive, amé-liorer la gestion des erreurs, et favoriser le transfert des stratégies vers de nouvelles situations. L’utilisation régulière de Réflecto en remédiation et en classe contribue donc à former des apprenants stratégiques, autonomes et efficaces, capables de mobiliser leurs ressources de façon intention-nelle.
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Créer une carte mentale
- La carte mentale est une représentation arborescente d'une idée centrale à partir de laquelle rayonnent des branches liées à des sous-idées.
- Le carte mentale est un outil visuel puissant facilitant l’appren-tissage en structurant l’information de manière claire et hiérarchisée.
- Enseignée explicitement aux élèves, elle permet de mieux organiser leurs idées, de faire des liens entre les concepts et de favoriser la mémorisation.
- En représentant les notions sous forme de schéma avec des mots-clés, des couleurs et des images, les cartes mentales stimulent l’attention, la créativité et les fonctions exécutives.
- Cette stratégie aide les élèves à planifier, résumer ou réviser efficacement un contenu. Progressivement guidés, ils devien-nent autonomes dans leur utilisation, ce qui améliore leur compréhension et leur réussite scolaire.
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Créer une carte conceptuelle
- Contrairement à la carte mentale, la carte conceptuelle met en lien les concepts entre eux avec des connecteurs logiques (ex. : "provoque", "nécessite"). Elle est utile pour représenter des relations complexes. Exemple : en sciences, pour com-prendre la digestion, l'élève peut relier les organes, les enzy-mes et les étapes du processus avec des flèches explica-tives.
- La carte conceptuelle est un outil d’apprentissage visuel qui permet de représenter les relations entre différentes notions de manière structurée.
- Enseignée explicitement aux élèves, elle favorise la compréhension en profondeur, l’analyse et l’organisation logique des idées.
- Chaque concept est inscrit dans un encadré, relié à d’autres par des flèches annotées, créant ainsi un réseau de signifi-cations.
- Cette approche encourage les élèves à réfléchir, à faire des liens pertinents et à clarifier leur pensée. Utilisée en classe pour introduire, explorer ou réviser un thème, la carte conceptuelle soutient le développement des fonctions exécutives et renforce l’autonomie des apprenants.
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Créer un diagramme de Venn
Exemples
- Le diagramme de Venn est un outil visuel en forme de cercles qui se recoupent. Il est utilisé pour identifier des différences et des similarités entre deux concepts.
- Le diagramme de Venn aide les élèves à comparer et à comprendre des concepts en identifiant leurs points communs et leurs différences.
- Composé de cercles qui se chevauchent, il permet de visualiser clairement les intersections entre deux ou plusieurs notions.
- Utilisé comme support d’apprentissage explicite, le diagramme de Venn encourage l’analyse, la catégorisation et la structuration de l’information.
- Cet outil favorise la compréhension en profondeur, surtout dans des contextes où les élèves doivent établir des liens entre des idées proches.
En français, comparer deux personnages de roman pour identifier leurs traits communs et distinctifs.
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Exemples
Tableau comparatif
- Le tableau comparatif permet de mettre en parallèle deux ou plusieurs éléments sur différents critères.
- Le tableau comparatif s'avère efficace pour soutenir la compréhension en aidant les élèves à organiser et pour analyser l’information de façon structurée.
- En disposant les éléments à comparer selon des critères précis, il facilite l’identification des ressemblances et des différences.
- Enseigné explicitement, cet outil développe la capacité de catégoriser, synthétiser et faire des liens logiques entre les concepts. Il est particulièrement utile lors de l’étude de notions proches ou opposées.
- Le tableau comparatif favorise l’attention sélective, la mémoire de travail et la pensée critique, tout en renforçant l’autonomie de l’élève face à des contenus complexes ou abstraits.
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EXEMPLE
Créer une ligne de temps
Cet outil est particulièrement utile dans le contexte d'un production écrite. Ce type d'activité exige la gestion temporelle des événements du récit .
Enseigner aux élèves à créer une ligne de temps est une activité pédagogi-que puissante qui renforce à la fois leurs compétences en organisation et leur compréhension des événements. Voici comment procéder, suivi des bénéfices cognitifs associés : Comment enseigner la création d’une ligne de temps: Introduction du concept : Expliquer ce qu’est une ligne de temps (repré-sentation graphique des événements dans l’ordre chronologique). Choix d’un thème : Histoire, biographie, évolution d’un phénomène, étapes d’un projet, etc. Collecte d’informations : Les élèves identifient les événements-clés, leurs dates, et les contextes associés. Organisation chronologique : Placer les événements dans l’ordre, en veillant à l’espacement proportionnel selon la durée. Ajout de détails : Inclure des descriptions, des images ou des liens pour en-richir la ligne de temps. Analyse et discussion : Encourager à dégager des relations de cause à ef-fet, des périodes charnières, ou des évolutions marquantes.
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Mode d'emploi pour me déplacer sur ma ligne de temps.
Partons du principe qu’un élève stratégique est un ap-prenant totalement engagé dans des actions cogni-tives qui exigent la mobilisation des habiletés au niveau de la mémoire, de l'allocation judicieuse des ressources attentionnelles et de la planification. À cet effet, la pratique clinique nous laisse croire que d'en-seigner explicitement à l'élève comment naviguer sur sa ligne de temps contribue significativement à la contribution du développement des habiletés méta-cognitives.La démarche de résolution d'un problème ou de l'exé-cution d'une tâche complexe est étroitement associée à un segment temporel que plusieurs élèves maîtrisent mal. Le concept de la «ligne du temps» constitue à cet effet un outil fort utile qui peut être utilisé dans des contextes aussi variés que la recherche de solutions à un conflit interpersonnel, la résolution d’un problème de mathématique ou la planification d’une recherche. La méta-stratégie est la même, il n’y a que contenu à traiter qui diffère. L'infographie ci-contre décrit les actions cognitives que l'apprenant doit mettre en oeuvre pour chacun des seg,ments Passé (mémoire) -Présent (attention)-Futur (planification).
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Comment créer un sketchnote.
Enseigner aux élèves comment créer des sketchnotes présente de nombreux avantages. Cette stratégie active mobilise à la fois la pensée visuelle et verbale, renforçant ainsi la com-préhension et la mémorisation grâce au double codage. Elle aide les élèves à structurer l'information, à hiérarchiser les idées-clés et à établir des liens entre les concepts. En dessinant et en écrivant, ils s'engagent davantage dans le traitement cognitif du contenu. De plus, cette approche favorise la concentration, stimule la créativité et rend les apprentissages plus motivants. Enfin, elle développe des compétences utiles en prise de notes, synthèse et communication visuelle.
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Référence bibliographique
Grilles de questionnement
L’utilisation d’une grille de questionnement joue un rôle clé dans le développement de la com-pétence métacognitive des élèves. En structu-rant la réflexion, elle encourage les apprenants à prendre du recul sur leur démarche, à expliciter leurs stratégies, et à évaluer l’efficacité de leurs choix. Ce type de grille guide l’élève à travers quatre différentes phases: planification, mise en œuvre auto-évaluation et ajustement, ce qui favorise la prise de conscience de ses propres processus cognitifs. En répondant aux questions de la grille, l’élève apprend progressivement à se poser les bonnes questions de manière autonome, dé-veloppant ainsi un dialogue intérieur réflexif. Cet outil soutient également l’intervenant dans l’accompagnement personnalisé de l’élève, en identifiant les obstacles et les leviers cognitifs. Ainsi, la grille de questionnement devient un vé-ritable levier d’apprentissage autorégulé, fondé sur l’analyse, la prise de conscience et l’ajus-tement continu.
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Storyboard
Utiliser un story-board aide les élèves à structurer leurs idées de manière visuelle et séquentielle. Cet outil favorise la clarté dans l’organisation d’un récit, d’un exposé ou d’un projet en représentant chaque étape à l’aide d’images, de mots-clés ou de dialo-gues. Il stimule la planification, l’expression créative et la mémoire visuelle. Le story-board renforce égale-ment la cohérence et la logique dans la construction d’un discours ou d’un récit. En plus de soutenir la compréhension globale d’un sujet, il encourage les élèves à anticiper, à réviser et à ajuster leurs productions avant la réalisation finale.
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Scénarisation cognitive
Lorsqu’il s’agit de résoudre un problème, les processus mentaux mis en oeuvre peuvent être assez bien illustrés par un concept emprunté au monde de l’informatique : « la programmation par objets ». Dans la conception de pro-grammes informatiques, les programmeurs écrivent des procédures types qu’ils réutilisent dans la création d’applications différentes. Ces applications utilisent des fonctions ou des procédures souvent similaires : une boucle de prise de décision, une routine d’affichage à l’écran, etc.é Cette procédure cognitive s'inscrit dans un contexte d'économie cognitive, (écrire une seule procédure qui pourrait être réutilisée telle quelle) et de flexibilité (pouvoir la modifier en fonction des exigences de la tâche prescrite). La scénarisation cognitive se rapproche avantageusement de ce concept, en ce sens qu’on peut définir un certain nombre d’étapes de traitement (sensoriel ou cognitif) qui peuvent être utilisées dans un nombre infini de contextes. Grâce à l’outil de scénarisation, l’intervenant pourra multiplier les occasions pour que l’apprenant puisse s’appropprier les habiletés cognitives associées à ces «objets cognitifs» et les manipuler. Celui-ci découvrira ainsi qu’il peut les utiliser dans un très grand nombre de situations. La démarche proposée vise également à développer chez l’apprenant des habiletés de gestion exécutive. Un élève qui apprend à bien gérer les processus mentaux utiles à la réalisation de ses projets saura comment faire pour « réussir à réussir » parce qu’il aura « appris à apprendre ». Ceci facilitera d’autant le transfert vers d’autres situations d’apprentissage parce qu’il aura développé un plus haut degré de flexibilité cognitive.
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Pour en apprendre davantage sur la trousse de scénarisation cognitive MétaAction
Créer un algorithme (1 de 2)
- L'algorithme est une suite d'étapes logiques à suivre pour résoudre un problème ou accomplir une tâche.
- La création d’un algorithme aide les élèves à développer leur pensée réflexive et stratégique en les amenant à décomposer un problème en étapes logiques et ordonnées.
- En concevant une suite d’actions précises pour atteindre un objectif, les élèves apprennent à planifier, anticiper les obstacles et ajuster leur raisonnement.
- Cette démarche renforce la capacité à analyser une situation, à faire des choix réfléchis et à évaluer l’efficacité d’une solution.
- Travaillée de manière explicite, la création d’un algorithme stimule la rigueur, la persévérance et l’autonomie.
- La création d'un algorithme favorise une posture active face aux apprentissages et développe des compétences transférables à diverses situations scolaires.
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MODELE T.O.T.E.
Langage SCRATCH (page suivate)
Créer un algorithme (2 de2 )
Le langage «Scratch» comme outil de développement de la pensée stratégique
Le langage-logiciel Scratch est un outil puissant pour développer la pensée stratégique chez les élèves, en particulier grâce à son interface visuelle de programmation par blocs. Conçu pour initier les jeunes à la logique informatique, Scratch stimule plusieurs fonctions exécutives essentielles à l’apprentissage : planification, flexibilité cognitive, inhibition, mémoire de travail et auto-régulation. Programmer avec Scratch oblige l’élève à anticiper une suite d’actions pour atteindre un objectif (planification), à tester différentes options ou algorithmes lorsqu’un résultat ne fonctionne pas (flexibilité), à inhiber les solutions inefficaces, et à garder en mémoire les étapes déjà programmées (mémoire de travail). De plus, l’élève apprend à s’auto-corriger en analysant les erreurs du programme, ce qui renforce la métacognition. En classe, Scratch peut être utilisé pour créer des histoires interactives, des jeux éducatifs, ou des simulations scientifiques, favorisant l’engagement et la résolution de problèmes. Par exemple, un élève peut créer un quiz mathématique avec des rétroactions animées, mobilisant logique, organisation et créativité. En remédiation cognitive, Scratch permet de renforcer les habiletés exécutives de manière ludique et motivante. Un élève présentant un TDAH peut être amené à programmer un jeu simple, en suivant une séquence structurée d’étapes, ce qui encourage la persévérance, la gestion du temps et l’auto-contrôle. L’environnement visuel et interactif de Scratch réduit la surcharge cognitive, rendant l’apprentissage plus accessible tout en stimulant des compétences transférables dans d'autres domaines scolaires.
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Double codage ( page 1 de 2)
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La théorie du double codage, formulée par Allan Paivio, repose sur l’idée que le cerveau humain traite l’infor-mation via deux canaux distincts mais complé-mentaires : le canal verbal (mots, langage) et le canal non verbal (images, représentations visuelles). En contexte de re-médiation cognitive, cette approche est particuliè-rement pertinente, car elle permet de renforcer les apprentissages en sollicitant simultanément ces deux systèmes de traitement. Concrètement, lorsqu’un élève encode une information à la fois sous forme verbale (ex. : un mot, une définition) et sous forme imagée (ex. : un dessin, un symbole), il augmente les points d’ancrage mnésique. Cela favorise non seulement la mémorisation, mais aussi la com-préhension, car l’information est traitée de manière plus riche et multisensorielle. Cette stratégie est efficace au-près d’élèves ayant des troubles des fonctions exécu-tives, notamment ceux qui présentent des difficultés de planification, d’attention, de gestion de la mémoire de travail ou d’organisation. L’intervenant en remédiation cognitive peut donc intro-duire des supports visuels, inviter l’élève à illustrer des notions, créer des cartes mentales ou utiliser des "flash-cards" illustrées. Le double codage devient alors un le-vier puissant pour activer la métacognition, faciliter l’auto-régulation et soutenir la consolidation des appren-tissages dans un cadre structuré et motivant.
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En savoir plus...
Importance et usages du double codage pour l'éducation.
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Caviglioli, O. (2019) Dual coding for teachers. John Catt Educational.
olicav.com
Double codage ( page 2 de 2)
GUIDE COMPAGNON
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Carnet de bord d’autoévaluation des habiletés métacognitives
Voici une proposition de carnet de bord d'auto évaluation des habiletés métacognitives conçu pour les élèves du primaire. Il peut être utilisé après des activités d’apprentissage (lecture, réso-lution de problème, production écrite, etc.) pour renforcer la conscience métacogntiive, la régula-tion cognitive et l’auto-ajustement. Évaluer ses habiletés métacognitives permet à l’élève de mieux comprendre comment il apprend. En prenant conscience de ses stratégies, de ses forces et de ses difficultés, il devient plus auto-nome et efficace dans ses apprentissages. Cette auto-évaluation l’aide à réguler son atten-tion, à s’ajuster face aux erreurs et à choisir des méthodes adaptées à chaque tâche. Elle favorise aussi la motivation, car l’élève voit ses progrès et comprend les liens entre ses efforts et ses résul-tats. En développant cette compétence, il apprend à apprendre, ce qui renforce sa confiance et sa réussite scolaire à long terme.
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Enseigner aux élèves à se poser des questions
Enseigner aux élèves à se poser des questions métacognitives présente de nombreux avantages pour leur apprentissage, leur autonomie et leur développement cognitif. Voici les principaux : 1. Meilleure compréhension des tâches Les élèves apprennent à clarifier les objectifs d’une tâche, à comprendre ce qui est attendu et à planifier leur approche. Exemple : « Qu’est-ce que je dois faire exactement ? » ou « Ai-je déjà fait quelque chose de similaire ? » 2. Développement de la conscience de soi Les élèves deviennent plus conscients de leurs forces, difficultés et habitudes mentales, ce qui les aide à ajuster leurs stratégies. Exemple : « Est-ce que je comprends bien ce que je lis ? » 3. Amélioration des stratégies d’apprentissage En s’interrogeant pendant la tâche, ils peuvent adapter leurs méthodes de travail, persister face aux difficultés et mieux gérer leur attention et leur temps. Exemple : « Est-ce que ma stratégie fonctionne ? » 4. Capacité à évaluer et ajuster Les questions métacognitives après la tâche favorisent l’auto-évaluation, le recul critique et l’amélioration continue. Exemple : « Qu’est-ce qui a bien fonctionné ? » ou « Que puis-je faire autrement la prochaine fois ? » 5. Plus grande autonomie et responsabilité En se posant les bonnes questions, les élèves deviennent plus indépendants, acteurs de leur apprentissage et plus engagés dans leurs progrès. 6. Transfert des apprentissages Les élèves qui développent une réflexion métacognitive sont plus aptes à transférer ce qu’ils apprennent d’une situation à une autre. Exemple : « Cette stratégie pourrait-elle m’aider en mathématiques aussi ?
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Langage intérieur et métacognition
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G.R.M.C. VERSION 0425
Répertoire de 20 diagrammes à imprimer
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EN FORMAT PDF INTERACTIF
Technique de la pensée inversée (Flip Thinking)
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Guide compagnon
La technique de pensée inversée constitue un outil puissant pour aider l’élève à mieux gérer ses appren-tissages.Cette approche provoque une prise de recul réflexive qui stimule la pensée critique et la cons-cience des comportements inefficaces. On outil fort intéressant qui contribue au développement de la compétence métacognitive
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5 étapes pour créer des FlashCards
Consignes à l'intention de l'élève
1. Choisis ce que tu veux apprendre
- Identifie un sujet précis : un mot de vocabulaire, une définition, une règle, une formule, un fait historique... Concentre-toi sur l'essentiel : une idée principale par carte.
- Prends des petites fiches en carton, ou utilise une application numérique de flashcards.
- Aie sous la main des crayons, des stylos de couleur, ou un clavier si tu es sur l'ordinateur.
- Recto (devant) : écris la question ou l'élément à retenir.
- Verso (derrière) : écris la réponse ou l'explication claire et courte.
- Utilise des mots-clés, des dessins ou des codes de couleur pour aider ta mémoire visuelle.
- Reste simple et clair : évite de surcharger ta carte.
- Utilise tes propores flashcards pour t’interroger : regarde la question ➔ essaie de répondre ➔ retourne la carte pour vérifier.
- Mélange les flashcards pour mieux mémoriser !
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Verso de la carte (Consignes)
Recto de la carte (Infographie)
Le journal de mes apprentissages
Les avantages d'utilisier un journal des apprentissages
Cliquez sur le document pour voir en grand format
Utiliser un journal d’apprentissa-ge permet aux élèves de mieux comprendre leur propre façon d’apprendre. En y notant leurs démarches, leurs erreurs, leurs réussites et leurs stratégies, ils développent leur capacité à réfléchir sur leurs actions et à ajuster leurs méthodes.
Ce retour réflexif favorise la prise de conscience des compétences acquises et de celles à améliorer. Le journal renforce aussi la mémoire en consolidant les savoirs dans le temps. Enfin, il encourage l’autonomie, la responsabili-sation et l’engagement dans les apprentissages. C’est un outil puissant pour développer les habiletés métaco-gnitives et soutenir la progression de chaque élève à son rythme.
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Document créé par Marina Ardouin.. psychopédgogue
En apprendre plus sur la pensée visuelle et stratégique (1 de 7)
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En apprendre plus sur la pensée visuelle et la pensée stratégique (2 de 7)
ACTIVITÉS PENSÉE STRATÉGIQUE
ACTIVITÉS PENSÉE VISUELLE
En apprendre plus sur la pensée visuelle et la pensée stratégique (3 de 7)
ACTIVITÉS PENSÉE VISUELLE ET TRANSFERT
Comment transférer ces compétences aux apprentissages scolaires ? Organisation cognitive : Apprendre aux élèves à systémati-quement utiliser des cartes mentales pour structurer leur compré-hension de nouvelles notions. Stratégies d’étude : Enseigner aux élèves comment faire du sketchnoting lors de révisions ou présentations orales pour mieux retenir l’information. Préparation d’examens : Encourager la création de schémas visuels pour réviser efficacement des chapitres complexes en sciences ou mathématiques. Synthèse écrite et orale : Utiliser des storyboards pour organiser et présenter clairement des textes narratifs ou informatifs. Compréhension approfondie : Intégrer les métaphores visuelles en classe pour expliquer clairement des concepts abstraits. Analyse critique : Former les élèves à observer attentivement et analyser visuellement des données scientifiques, des documents historiques ou des œuvres littéraires. Ces activités renforcent non seulement la pensée visuelle, mais développent aussi la capacité des élèves à transférer ces stratégies à divers contextes d’apprentissage scolaire.
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En apprendre plus sur la pensée visuelle et la pensée stratégique (4 de 7)
LA TECHNIQUE DU «FLOW»
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En apprendre plus sur la pensée visuelle et la pensée stratégique (5 de 7)
FONDEMENTS COGNITIFS
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Guide compagnon
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En apprendre plus sur la pensée visuelle et la pensée stratégique (6 de 7)
Visual Thinking Strategies (VTS)
Visual Thinking Strategies (VTS) est une méthode pédagogique qui utilise l'observation d'œuvres d’art pour développer des compétences de pensée critique, de communication et de collaboration. Élaborée par Abigail Housen et Philip Yenawine, cette approche repose sur trois questions clés : Que voyez-vous ? Qu’est-ce qui vous fait dire cela ? Que pouvons-nous ajouter ? Ces questions invitent les élèves à observer attentivement, à formuler des hypothèses étayées par des preuves visuelles, et à écouter les idées des autres. À travers ce processus, les élèves apprennent à justifier leurs opinions, à affiner leur langage, à faire preuve de flexibilité cognitive et à construire leur pensée de manière rigoureuse et collaborative. Sur le plan scolaire, les VTS favorisent le développement des fonctions exécutives, en particulier l’inhibition (éviter les jugements rapides), la mémoire de travail (retenir plusieurs éléments visuels) et la flexibilité (reconsidérer ses idées). Elles renforcent également la compréhension en lecture, en entraînant à faire des inférences, à détecter des intentions, à contextualiser une information. Enfin, les VTS créent un climat sécurisant où l’erreur devient source d’exploration, ce qui soutient la métacognition et l’engagement actif des élèves dans leurs apprentissages.
Suggestion EurekArt est ouvrage-outil étroitement associé à cette méthode pédagogique, pouvant servir de pré-texte au développement de la pensée visuelle des élèves.
En apprendre plus sur la pensée visuelle et la pensée stratégique (7 de 7)
Les outils de la pensée visuelle en classe
Les outils de pensée visuelle en classe permettent aux élèves de structurer leur raisonnement en repré-sentant graphiquement les liens entre idées, con-cepts et faits. En favorisant la clarté, l’organisation et la synthèse de l’information, ils soutiennent l’appren-tissage dans divers contextes pédagogiques. La schématisation conceptuelle, forme la plus courante, facilite la compréhension, la mémorisation et l’ex-pression écrite. Ces outils s’adressent à tous les élèves, mais sont particulièrement utiles à ceux en difficulté. Leur efficacité dépend d’une planification soignée, d’un enseignement explicite, d’une person-nalisation adaptée et d’une intégration aux principes de la conception universelle de l’apprentissage (CUA) et de la réponse à l’intervention (RAI). Utilisés de manière différenciée, ils favorisent la partici-pation, l’autonomie, la métacognition et l’évaluation formative.
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RÉFÉRENCES Pensée visuelle et stratégique
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Bibliographie d'arti- cles et d'ouvrages sur lʼimportance de la pensée visuelle dans les apprentis- sages scolaires
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Les outils de planification et de structuration de la pensée jouent un rôle clé dans l’optimisation de la compréhension des élèves. En organisant l’information de manière visuelle et logique — par des cartes mentales, des tableaux comparatifs, des algo-rithmes ou des schémas — l’apprenant peut clarifier ses idées, repérer les liens entre les concepts et hiérarchiser les informations. Ces outils agissent comme des supports externes qui allègent la charge cognitive, facilitent l’intégration des savoirs et soutiennent la mémorisation. En les utilisant, l’élève passe d’une réception passive à une construction active de la connaissance, ce qui favorise une compréhension en profondeur. Pour enseigner explicitement l’utilisation de ces outils, il est essentiel de modéliser la démarche. L’enseignant peut commencer par (1) penser à voix haute, (2) en expliquant pourquoi et (3) comment il choisit un outil selon le type de tâche. (4) Ensuite, il guide les élèves dans la co-construction d’un exemple collectif avant de leur proposer des exercices autonomes avec rétroaction. L’élève apprend ainsi à sélectionner l’outil approprié, à structurer sa pensée de manière stratégique, et à évaluer l’efficacité de son choix. L’intégration régulière de ces outils dans les tâches scolaires contribue à développer leur automatisation et leur transfert dans de nouveaux contextes d’apprentissage.
Un organisateur graphique est un outil visuel qui permet de représenter, structurer et relier des idées ou des informations. Il se présente sous diverses formes Utilisé en contexte scolaire, il aide l’élève à visualiser les liens logiques entre les concepts, à organiser sa pensée et à structurer ses con-naissances de manière claire et cohérente. En classe, l’élève peut s’en servir avant l’apprentissa-ge, pour activer ses connaissances antérieures, pendant, pour prendre des notes de façon struc-turée, ou après, pour synthétiser l’information. L’organisateur graphique favorise la compréhen-sion en rendant l’abstrait plus concret, en mettant en évidence les relations entre les idées, et en faci-litant la mémorisation grâce à une représentation visuelle. Il soutient également la métacognition, car il incite l’élève à réfléchir à sa façon de comprendre et d’organiser l’information. En utilisant cet outil, l’élève développe des stratégies efficaces pour apprendre, mieux comprendre des textes com-plexes, résoudre des problèmes et préparer ses productions écrites ou orales. Il devient ainsi un apprenant plus autonome, capable de structurer et de transférer ses connaissances dans divers contextes d’apprentissage.
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Le « mind mapping » ou carte mentale est une technique de représentation visuelle des idées et des concepts et peut présenter une grande quantité de données en un coup d’œil. La carte mentale améliore l'organisation de la pensée en structurant visuellement les informations, ce qui aide à clarifier sa réflexion et à mieux organiser ses idées réflexion et à mieux organiser ses idées. La carte mentale peut servir à représenter des concepts ou des idées, prendre des notes, résumer une réunion, un texte ou un livre, préparer un rapport ou préparer un texte à écrire. La carte mentale représente aussi une excellente façon de prendre des notes ou d’établir un résumé de texte. Elle se présente sous forme d’un diagramme ramifié à partir d'un sujet central, avec des branches qui représentent les différentes idées et associations, organisée en une hiérarchie qui leur donne du sens. La carte mentale peut comprendre des mots, du texte, des ima-ges, des liens logiques ou procéduraux. Il peut être organisé en utilisant des formes des couleurs, des grandeurs de textes ou d’images. Cet outil stimule la créativité par sa structure ouverte et non linéaire; elle encourage la pensée créative et l'exploration de nouvelles associations d'idées. La carte mentale est une représentation du territoire qui n’est pas le territoire lui-même.
Cette technique de prise de notes a été développée par le psychologue anglais Tony Buzan entre les années 1960 et 70
Pour l'apprentissage, l’utilisation d’une carte mentale permet de visualiser les liens entre les différents éléments d'un sujet, ce qui aide à mieux comprendre les concepts et à les retenir plus facilement. Ainsi, la carte mentale facilite la compréhension et la mémorisation. L’établissement d’une carte mentale favori-se l'apprentissage actif en engageant acti-vement l'apprenant dans la construction de sa compréhension du sujet. Dans l'en-semble, la carte mentale s'avère être un outil puissant pour stimuler l'apprentissage en profondeur, en exploitant les avantages de la pensée visuelle et en encourageant un engagement actif des élèves. .
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Pour en apprendre davantage
À propos des relations entre le langage intérieur et la métacognition
Le langage intérieur joue un rôle central dans le développement des habiletés métacognitives, car il permet à l’élève de dialoguer avec lui-même pour planifier, réguler et évaluer ses actions men-tales. Lorsqu’un apprenant se parle intérieurement, il peut clarifier ses intentions, formuler des stratégies, anticiper des difficultés ou encore évaluer ses progrès. Ce discours intérieur soutient l’autorégulation en rendant visibles ses pensées, facilitant ainsi la prise de recul nécessaire à l’autoé-valuation. En structurant sa pensée par des mots, l’élève apprend à mieux comprendre ses processus cognitifs, à en prendre cons-cience, puis à les ajuster en fonction des exigences de la tâche. L’enseignement explicite de cette compétence encourage les élèves à verbaliser leurs démarches mentales, à nommer leurs erreurs, et à développer une posture réflexive. Ainsi, le langage intérieur devient un outil puissant de pilotage de l’apprentissage et un levier fondamental pour développer la métacognition
- Enseigner explicitement l’usage d’outils d’aide à la métacognition et à la réflexion permet aux élèves de mieux se connaître en tant qu’apprenants et d’adopter des stratégies efficaces. Il s’agit d’abord de faire découvrir ces outils à travers une modélisation : l’enseignant pense à voix haute, montre comment il utilise un journal de bord, une grille d’autoévaluation ou un guide de questionnement pour planifier, surveiller et évaluer sa démarche. Ensuite, les élèves sont accompagnés dans l’appropriation progressive de ces outils par des activités guidées, puis autonomes, avec des moments de retour réflexif.
- Après une tâche de lecture, l’élève peut remplir une fiche « Avant-Pendant-Après » pour expliciter ses stratégies : "Qu’est-ce que je sais ? Qu’est-ce que j’ai compris ? Que dois-je clarifier ?".
- En mathématiques, il peut utiliser une carte mentale pour structurer les étapes de résolution ou une grille pour évaluer l’efficacité de sa stratégie.
- En production écrite, un outil de relecture métacognitive permet de repérer les erreurs fréquentes et de planifier les corrections.
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En géométrie – Révision des propriétés des figures But : Organiser visuellement les caractéristiques ses formes géométriques. Nœud central : Figures géométriques Branches principales : Triangles → isocèle, équilatéral, scalène, propriétés des angles. Quadrilatères → carré, rectangle, losange, trapèze. Cercles → rayon, diamètre, corde, arc. Polygones réguliers → nombre de côtés, angles. En production écrite – Planification d’un récit But : Structurer les idées avant l’écriture. Nœud central : Mon histoire. Branches principales : Personnages → héros, méchant, secondaires. Lieu → forêt magique, ville, école. Début → situation initiale. Problème → obstacle ou conflit. Déroulement → actions, rebondissements. Fin → résolution, leçon.
Dans une recherche sur les animaux – Exposé documentaire But : Organiser les informations collectées sur un animal. Nœud central : Le panda géant Branches principales : Habitat → forêts de bambous en Chine. Alimentation → bambou, parfois petits animaux. Comportement → solitaire, grimpe bien. Reproduction → 1 ou 2 petits, gestation Menaces → déforestation, braconnage Protection → réserves, programmes internationaux.
LE SKETCHNOTE DANS L'ÉDUCATION: LE GUIDE PRATIQUE POUR LES ENSEIGNANTS
Salt, Sonia (2024). Illustrathink (éditeur)
Le Sketchnote dans l' Éducation: Guide Pratique pour Enseignants" est un ouvrage essentiel pour les enseignants souhaitant introduire le sketchnoting dans leur pratique pédagogique. Divisé en trois modules, le livre offre une approche complète et pratique du sujet. Dans le premier module, les lecteurs découvrent les fondements du sketchnoting, des origines de cette méthode aux principes fonde-mentaux qui la sous-tendent. En mettant en lumière les avantages du sketchnoting dans l'apprentissage, notamment son impact sur l'en-gagement des élèves, ce module établit les bases nécsaires à une compréhension approfondie du sujet. Le deuxième module explore les techniques avancées de sketch-noting, offrant aux enseignants des conseils pratiques sur la struc-turation des sketchnotes, l'utilisation de cadres, de flèches et de con-necteurs, ainsi que la création de hiérarchies visuelles et de points de repère. Il plonge également dans la psychologie des couleurs et leur utilisation efficace dans le sketchnoting. Dans le dernier module, les lecteurs découvrent comment intégrer le sketchnoting dans leur enseignement quotidien. Des sujets tels que la planification de leçons basées sur le sketchnoting, la formation con-tinue des enseignants, la création de ressources pédagogiques et le partage des réussites et des bonnes pratiques sont abordés. Ce module offre des conseils pratiques pour une intégration réussie du sketchnoting en classe.
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