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日本の年中行事 maj
Lucas Stalder
Created on March 31, 2025
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Transcript
日本の年中行事
12月31日~1月1日
1月1日~3日
1月8日
12月28日
11月15日
1月12日
8月13日~16日
2月3日
7月7日
3月3日
5月5日
3月21日~
お盆/おぼん
C’est à partir de l’époque d’Edo (1603-1868) qu’est née la tradition d’honorer sa famille défunte. C'est l’une des fêtes les plus populaires de l’année après le Nouvel An. Pendant cette période qui tombe au milieu des vacances scolaires, la famille se réunit et dans de nombreuses régions sont organisées les danses Bon Odori afin d’accueillir, de calmer et de raccompagner les esprits. Même si elles ont perdu leur signification d’origine pour devenir de joyeuses célébrations de l’été, ces danses sont aujourd’hui encore organisées dans les temples et sur les places des villages. Beaucoup d’entreprises accordent à leurs employés quelques jours de vacances à cette occasion.
端午の節句/たんごのせっく
5月5日は男の子の日です。男の子の初孫が生まれると、その子のおじいさんやおばあさんが鯉のぼりを贈ります。家にかざります。鎧や兜をかざったりもします。
節分/せつぶん
Originaire de Chine, la tradition de lancer des haricots (mamemaki) pour faire fuir les forces néfastes, introduite au VIIIe siècle à la cour de Heian, est aujourd’hui un rite populaire ancré dans tout le Japon. Ce rite consiste à éparpiller des haricots en criant « Les démons dehors ! Le bonheur dedans ! » Le geste symbolise le lancer de projectiles sur des sortes d’ogres, représentants du mal, pour les chasser. C’est normalement le chef de famille qui est censé effectuer le rituel, mais du fait de son aspect ludique, c’est souvent toute la famille qui y participe. Après avoir lancé les haricots, on les ramasse et on en mange le même nombre que son âge. Une variante veut qu’on mange un haricot de plus que le nombre d’années vécues, pour devenir plus robuste et éviter d’attraper des rhumes.
お正月飾り/おしょうがつかざり
Le kadomatsu, objet décoratif fait de branches de pins et de bambous, est placé sur le seuil des maisons qui ont été nettoyées de fond en comble durant le dernier jour de l’année pour accueillir le Toshigami. Un shimekazari, une cordelette de paille tressée, est suspendu au-dessus de la porte des maisons pour chasser les mauvais esprits et, à l’intérieur, un kagami mochi, composé de deux gâteaux de riz ronds superposés et surmontés d’une orange daïdaï, vient orner l’autel des ancêtres.
お花見/おはなみ
桜は日本の国の花です。東京の近くで桜が一番きれいなときは3月下旬〜4月上旬です。 桜の下でお花見をよくします。
成人式/せいじんしき
Le Seijin-shiki est une tradition qui remonte à l’époque de Nara (710-794). Le Seijin-shiki moderne est presque toujours organisé un jour férié (Seijin no hi) instauré en 1948. Les femmes sont parées de sublimes Furisode (kimono aux manches longues) et se coiffent spécialement pour l’occasion. La plupart des hommes sont en costume, mais on peut en trouver qui opte pour un kimono. Depuis le 1er avril 2022, l’âge de la majorité a été descendu à 18 ans (alors qu’il était auparavant fixé à 20 ans depuis 1876). C’est néanmoins toujours à partir de 20 ans que l’on peut intégrer le système de retraite nationale. De même, l’interdiction de boire et de fumer reste inchangée jusqu’à 20 ans, tout comme les jeux d’argent et les paris légaux.
鏡開き/かがみびらき
Ce jour-là, on retire les pâtes de riz « en forme de miroir » (kagami mochi) du petit autel shintô ou bouddhique de la maison où ils avaient été déposés en guise d’offrande après quoi, on les mange et on prie pour que la nouvelle année soit harmonieuse. On désigne ce rituel sous le nom de « bris de miroir » (kagami biraki).
初詣/はつもうで
La première visite de l’année dans un sanctuaire est un important rituel appelé hatsumôde. Les gens viennent y prier pour une année heureuse, inscrivent leurs souhaits sur des tablettes votives ema, ou en profitent pour tirer des omikuji, des petits papiers qui décident de la chance de la nouvelle année. Le sanctuaire Meiji Jingu (Tokyo), le temple Naritasan Shinshôji (Narita) et le temple Kawasaki Daishi (Kawasaki) sont les trois lieux sacrés les plus fréquentés du 1er au 3 janvier chaque année, avec plus de trois millions de visiteurs chacun pendant ces trois jours.
大晦日/おおみそか
Le dernier jour de l’année (ômisoka), les habitants de l’Archipel consacrent traditionnellement leur temps aux préparatifs du Nouvel An. Ils font le « grand ménage » (ôsoji) de la maison et des provisions pour le shôgatsu. Le soir, ils mangent des nouilles de sarrasin (soba) qui sont censées leur assurer longévité et prospérité. Vers minuit, la grande cloche de tous les temples bouddhiques sonne cent huit fois pour annoncer la fin de l’année et pour éliminer cent huit « passions » (bonnô) qui affectent les êtres humains (joya no kane).
雛祭り/ひなまつり
Le hina matsuri est une fête dont le but était de souhaiter le bonheur des filles. L’autel de poupées dressé à cette occasion est décoré de fleurs de pêchers dont la floraison a lieu précisément à cette saison et auxquelles on prête le pouvoir de chasser les mauvais esprits. Les poupées sont souvent achetées à la naissance d’une fille. Cependant, dans certaines familles, elles sont transmises de génération en génération ou emportées par la fille au moment de son mariage. Trésor familial, c’est l’un des meubles de décoration les plus beaux et les plus luxueux de la culture japonaise.
七夕祭り/たなばたまつり
Appelée aussi « Fête des étoiles », cette festivité correspond à la période de l’année où les étoiles Véga et Altaïr, et la Voie lactée entre les deux, sont particulièrement belles à observer dans le ciel au sud. Lorsque Tanabata a été transmis de Chine au Japon à l'époque de Nara (710-794), il consistait en une cérémonie de cour durant laquelle les nobles s’adonnaient à la poésie en admirant les étoiles. Mais au cours de l'époque d’Edo (1603-1867), la coutume s’est élargie à tout le peuple, et une tradition véritablement japonaise est née, consistant à écrire un voeu sur une carte et à l’accrocher à un long bambou.
七五三/しちごさん
Le 15 novembre, les Japonais célèbrent la fête du Shichi go san (littéralement, « sept, cinq, trois »). Ce jour-là, les fillettes de sept et trois ans et les garçonnets de cinq et trois ans revêtent une tenue traditionnelle et ils se rendent à un sanctuaire shintô en compagnie de leur famille. Cette célébration a pour but de remercier les divinités d’avoir protégé les enfants et de leur demander de continuer à les garder en bonne santé.