Libère et refonder la France 1943-1945 Badys,Enes et Erhkan

Pésentation de Charles De Gaulle

Le CNR

La capitulation

La création du concours

Libère et refonder la France

Conclusion

La création de l'onu

Sommaire

Dès février 1945, à la Conférence de Yalta, les Alliés planifiaient la réorganisation du monde et en régissaient les principes. Constatant l’échec de la Société des Nations, les pays ont fondé l’Organisation des Nations Unies (ONU), dont le rôle serait plus actif. Son but était d’arbitrer les conflits internationaux. Réunissant des représentants des toutes les nations, l’ONU constitue l’élément visant à éviter qu’une guerre comme celle-là ne se reproduise plus.

24 octobre 1945 (79 ans) La Charte des Nations unies est signée le 26 juin 1945 et entre en vigueur le 24 octobre 1945

L’élément le plus puissant de l’ONU est son conseil de sécurité formé de cinq membres permanents ayant un droit de veto (URSS, États-Unis, Chine, France, Grande-Bretagne) et des représentants des États membres.

La création de l'onu

La capitulation

8 mai : l’Acte définitif de capitulation du Troisième Reich est signé à Berlin vers 23 h 30 par le général Stumpff, l’amiral von Friedeburg et le maréchal Keitel en présence du maréchal Joukov (URSS), du général Spaatz (USA), du général Tedder (UK) et du général de Lattre de Tassigny (France)[

Le Conseil national de la Résistance (CNR), constitué le 27 mai 1943, est l'organisme qui dirige et coordonne les différents mouvements de la Résistance intérieure française pendant la Seconde Guerre mondiale, toutes tendances politiques comprises.

Composé de représentants des mouvements de résistances, des syndicats et de partis politiques opposés au gouvernement de Vichy, il est mis en place par Jean Moulin à la demande du général de Gaulle, alors chef du gouvernement de la France libre à Londres. Sa première réunion clandestine se tient le 27 mai 1943 dans un appartement à Paris, sous la présidence de Jean Moulin. Son programme, adopté en mars 1944, prévoit un « plan d'action immédiat » (c'est-à-dire des actions de résistance), mais aussi des « mesures à appliquer dès la libération du territoire », une liste de réformes sociales et économiques.

Le CNR

La création concours a était crée

Le thème du Concours national de la Résistance et de la Déportation retenu pour la commémoration de la libération du territoire national et de la victoire sur l’Allemagne nazie est l’occasion de s’interroger sur les objectifs et les cir- constances qui ont conduit les Français à retrouver leur liberté et à soutenir la construction d’une France profondément renouvelée dans ses fondations poli- tiques, économiques et sociales. La libération se prépare dans une France marquée par la dégradation des conditions de vie de la population et l’intensification des actions contre tous les ennemis désignés par l’occupant allemand, avec la collaboration de l’État français. Le débarquement est attendu et redouté à la fois car il signifie le retour de la guerre en France. Cependant, après le débarquement en Normandie le 6 juin 1944 et celui en Provence le 15 août, la joie et le soulagement l’emportent lorsque la libération arrive enfin, malgré les victimes souvent nombreuses et les absents dont on reste sans nouvelles. Le Gouvernement provisoire de la Répu- blique française qui s’installe à Paris dès la fin août, reprend en main la direction politique du pays, sur tous ses territoires, et fait de la participation de la France à la victoire un de ses objectifs prioritaires. Pour autant, et très rapidement, il veille à améliorer autant que possible les conditions de vie des Français et à réformer, non sans débats, l’organisation économique et sociale de la France. La Résistance a son programme, rédigé par le Conseil national de la Résistance, rédigé dans la clandestinité. Ces réformes sont aussi accompagnées d’un retour et d’un renforcement de la démocratie avec l’élargissement du droit de vote et d’éligibilité aux femmes et le retour des élections. Le peuple français retrouve sa souveraineté et manifeste immédiatement sa volonté en recomposant la repré- sentation politique de la Nation. Étudier cette période décisive, c’est suivre le parcours d’hommes et de femmes qui ont choisi de lutter pour libérer et rénover la France, un engagement pouvant aboutir au sacrifice de leur vie. C’est comprendre pourquoi certains sont rentrés dans l’ombre à la Libération alors que d’autres ont tenté de peser sur le cours des événements dans la France libérée. L’implication d’anciens résistants dans la vie politique, économique, sociale ou culturelle a contribué à renouveler les personnels, redéfinir les objectifs et repréciser les priorités. Mais le pouvoir de décision ultime a été redonné au peuple français et à ses représentants. La découverte des événements et des défis relevés entre 1943 et 1945 peut être une source d’inspiration pour les jeunes générations, confrontées à un monde en plein bouleversement. Malgré les difficultés à surmonter, les hommes et les femmes de France ont fait individuellement et collectivement le pari du courage et de l’audace pour libérer le territoire national puis (re)construire un pays et une société encore plus en accord avec l’idéal républicain de liberté, d’égalité et de fraternité. Sans nul doute un message et un passage de relais utiles pour aujourd’hui.

Charles de Gaulle au micro de la BBC à Londres. Ce cliché est postérieur au 18 juin 1940, car le Général porte sur sa vareuse l'insigne à croix de Lorraine[113], adoptée comme emblème de la France libre en juillet de la même année[114]. Aucune photographie n'a été prise durant la lecture de l'appel du 18 Juin[113].

né le 22 novembre 1890 à Lille (Nord) et mort le 9 novembre 1970 à Colombey-les-Deux-Églises (Haute-Marne), est un militaire, résistant, homme d'État et écrivain français.

Présentation de Charle De Gaule

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le général De Gaulle a fondé la France libre , à la Libération.

Conclusion

Le bilan de la Seconde Guerre mondiale est catastrophique : on dénombre pas moins de 60 millions de morts au total. Le bilan des camps faisait aussi frémir : 6 millions de juifs, 800 000 détenus y ont laissé la vie. 300 000 ont succombé pendant l’évacuation des camps. L’Europe était dévastée, les villes avaient grandement souffert des bombardements et des attaques par les chars d’assaut. En Allemagne, 70 % des villes étaient rasées.Immédiatement après la Libération, la France fut balayée par une vague d'exécutions, d'agressions et de dégradations de personnes soupçonnées de collaboration, notamment par l'humiliation des femmes soupçonnées de relations avec des Allemands . Des tribunaux instaurés en juin 1944 procédèrent à une épuration légale des fonctionnaires entachés d'association avec Vichy ou l'occupation militaire. Certains accusés furent condamnés à mort et passèrent devant un peloton d'exécution. Les premières élections depuis 1940 furent organisées en mai 1945 par le Gouvernement provisoire ; ces élections municipales furent les premières auxquelles les femmes purent voter.

Badys Erkhan et Enes

L’humanité était sous le choc en découvrant les horreurs des camps de concentration et d’extermination. Chacun pouvait constater l’organisation systématique de l’élimination massive des citoyens juifs. Pour une grande partie de la population européenne, la fin de la guerre ne constituait pas la fin des soucis. Des migrations massives eurent lieu, permettant aux gens de retourner chez eux : travailleurs exilés en Allemagne, déportés, survivants des camps, soldats, etc.

Tous les pays sortaient affaiblis, détruits et endettés par la guerre. Les États-Unis étaient le seul pays non endetté. Au contraire, son économie s’était r enforcée pendant la guerre. En 1945, les États-Unis possédaient les deux tiers des réserves mondiales d’or, la production industrielle avait doublé et son produit national brut (PNB) avait augmenté de 82 %. La fin de la guerre représente le début du prestige et de la domination américaine dans le monde.