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Salut, tu peux m'aider ? Mon patron a disparu
Wedrik Lebrun
Created on March 28, 2025
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Transcript
Merci ! Regarde mon calepin, il te donnera les premières informations sur mon patron.
Salut, tu peux m'aider ? Mon patron a disparu
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Code : Le tennis de table ne se joue pas en claquette, c'est un contrat.
Code : première lettre de chaque mot en majuscule
- Pour mon premier, le cinéma en est le septième
- Mon deuxième est une note de musique
- Mon dernier est une boisson chaude ou glacée
- Mon tout se fait ici.
- Mon premier est de bonne espérance.
- Mon deuxième est la deuxème syllabe du contraire de grand
- Mon troisième est le contraire de la mort
- Mon dernier est le même que le dernier précédent
- Mon tout te prive de tes libertés
- Mon premier est ce dans quoi tu dors
- Mon deuxième la cinquième lettre de l'alphabet
- Mon tout est un endroit
- Mon premier est dans en anglais
- Mon deuxième est une insulte
- Mon troisième est le contraire d'habillé
- Mon tout, je ne le connais pas
Messieurs, Je prends un grand risque en vous écrivant, mais vous êtes le seul qui semble écouter. Ici, sur la plantation, nous ne sommes pas des hommes, seulement des bras qui saignent et des corps qui tombent. Sur cette photo vous pouvez voir Paul Descamps debout demandant l’autorisation de parler en privé avec Hoang auprès du contre-maître le 1er juin 1908. Chaque jour, avant l’aube, nous marchons pieds nus jusqu’aux hévéas. Le sol est détrempé, glissant de boue et de sang. Nous coupons l’écorce avec des gestes précis, mais si la main tremble, le contremaître frappe. Certains tombent, épuisés par la chaleur ou la fièvre, mais ici, tomber signifie disparaître. Le paludisme nous ronge, la dysenterie nous affaiblit. Les fièvres brûlent nos entrailles, et pourtant, il faut continuer. On nous avait promis un salaire, mais ce que l’on nous donne à la fin du mois suffit à peine à payer l’impôt. Nous sommes toujours endettés, enchaînés à cette terre qui nous tue lentement. Ceux qui tentent de fuir sont ramenés à coups de bâton, parfois plus. Le silence est la seule protection ici. Mais moi, je refuse de me taire. J’ai vu ce qu’ils cachent. Si vous voulez savoir, cherchez là où l’odeur de la mort est plus forte que celle du caoutchouc. Je prie pour que cette lettre vous parvienne avant qu’il ne soit trop tard.
file:///C:/Users/wedri/OneDrive/Applications/Bureau/Escape%20Game/%C3%89tape%202/Rapport%20%C3%A9conomique.pdf
code : ville
Paul Descamps
Saigon, 1908. Paul Deschamps, un fonctionnaire français chargé de superviser les travaux d’urbanisation de la ville, a disparu. La rumeur dit qu’il enquêtait sur des pratiques douteuses au sein de l’administration coloniale. Que lui est-il arrivé ?
(Le contremaître français, visiblement agacé, vous rétorque.)"Paul Deschamps ? Ah, celui-là ! Un vrai fouineur, toujours à poser des questions, à noter des trucs dans son carnet comme s'il voulait réécrire les règles ! Il n’avait rien à faire ici. Il devait partir. Nous avons déjà assez de travail sans qu’un bureaucrate vienne nous chercher des histoires." "Il voulait parler à un indigène, un certain Hoang. Je ne sais pas de quoi ils ont discuté, mais croyez-moi, ce n'était pas une bonne idée. Depuis, ce Hoang a aussi disparu. Rien d’étonnant, ces gens-là partent parfois sans prévenir… ou bien ils tombent malades et on ne les revoit plus. C’est la vie ici. Vous feriez mieux de ne pas trop creuser, vous aussi." (Il lance un regard insistant, avant de s’éloigner, manifestement peu enclin à en dire davantage.) Code : L6 M4
"Nous n'avons pas chercher plus loin. Votre ami a certainement disparu après cette vive altercation avec des indigènes."
Une fois lu, passez à la page suivante : en écrivant le dernier lieu où vous pensez que Paul a disparu : Hotel / Port / Plantation
"Rapport d'enquête. Fait le : Mois de juin Par : / Signature : Agent en charge Une altercation a éclaté dans un endroit de la plantation d’hévéas de Bien Hoa, impliquant un Européen et plusieurs ouvriers indigènes. D’après les témoins, l’Européen en question semblait agité et aurait été frappé lors d’une dispute. Témoignage anonyme : "L’homme n’était pas un habitué des lieux. Il a posé des questions étranges sur les conditions de travail et les punitions. Une dispute a éclaté, et il a reçu un coup. Mais il a fui avant que nous puissions l’identifier." L'Européen, un français, blanc, vêtu d'un long manteau et d'un chapeau, semble être Mr Descamps selon le témoignage d'une personne anonyme. Aucune plainte n’a été déposée, et aucun blessé n’a été signalé à l’hôpital de Saigon."
Rapport du 1er mars 1908 Objet : Situation sanitaire sur les plantations d’hévéas Monsieur le Directeur, Suite à ma visite dans plusieurs concessions agricoles près de Saigon, j’ai constaté une propagation alarmante de la fièvre paludéenne et de la dysenterie parmi les travailleurs indigènes. Les conditions d’hygiène déplorables et l’absence d’infrastructures médicales aggravent la situation. • Paludisme : Plus de 40 % des ouvriers présentent des symptômes (fièvre, sueurs, convulsions). La stagnation de l’eau dans les bassins de récolte favorise la prolifération des moustiques. • Dysenterie : Propagation rapide due à la consommation d’eau souillée. La mortalité est particulièrement élevée chez les travailleurs les plus faibles. • Autres infections : Tuberculose et malnutrition généralisée. Malgré ces constats, il m’a été ordonné de limiter la distribution de quinine aux seuls Européens et personnels administratifs. Le coût élevé des traitements et la nécessité de garantir la santé des cadres coloniaux justifient cette mesure. Enfin, un fonctionnaire du gouvernement, Paul Descamps, m’a récemment sollicité pour obtenir des données précises sur ces épidémies. Je lui ai remis un dossier détaillé. Cependant, peu après, j’ai reçu l’ordre de la part de l’administration centrale d’enterrer cette enquête et de cesser tout échange avec lui. Respectueusement, Dr. Louis Garnier Institut Pasteur de Saigon
Anagramme : "Des pote picole" Code : dernier mot
Note manuscrite retrouvée dans le bureau du Dr. Louis Garnier : "Il est venu poser trop de questions. Il a vu les dossiers. Il a compris que les chiffres étaient maquillés. Je lui ai dit de chercher au niveau du 10 – 17 – 44 – 71
On toc à la porte. pour l'ouvrir il faut la clé, elle est dans la chambre ! Elle est essentielle pour ouvrir la porte !
À M. Paul Deschamps Monsieur, Je sais que vous cherchez des réponses. Vous vous posez des questions sur ce qui se passe sur les chantiers et dans les plantations. Si vous voulez la vérité, venez ce soir au port, près des entrepôts des Messageries Maritimes, à 22h ce jour. Venez seul. Un ami qui veut vous aider.
Registre de l'hôtel. Daté du 4 juin 1908 Signé : Mr le Directeur cachet :