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la liste de Schindler

nesreen iqbal

Created on March 25, 2025

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Transcript

Steven Spielberg

la liste de Schindler

Nesreen&Irina

introduction:

L’Holocauste (aussi appelé Shoah) est la persécution et l’assassinat systématique de 6 millions de Juifs, organisé par l’État nazi et ses collaborateurs de 1933 à 1945. Oskar Schindler, membre du parti nazi et riche industriel, sauve beaucoup de juifs grâce à une liste qu’il a faite, la liste des employés dont il a besoin. Réalisateur : Steven SpielbergDate de réalisation : 1993Genre : drame-fiction historique

Comment la liste de schindler montre-t-elle le fonctionnement du génocide juif et participe-t-elle à la transmission de la mémoire de la shoah ?

un film mémoire

extérmination sistématique

la mise en place progressive du génocide

Resultats des élections fédérales allemandes 1919-1938

Après sa défaite lors de la Première Guerre mondiale (1914-1918), l’Allemagne est humiliée et traverse une crise économique et politique. Cette instabilité facilite l’arrivée des nazis au pouvoir en 1933.

La montée du parti nazi et son arrivée au pouvoir 1919-1939

Le début de la guerre 1939

Les ghettos

Des centaines de ghettos sont établis à travers l’Europe centrale et de l’Est. Ils faciliteront les déportations futures vers les camps.

La « solution finale » et les centres de mise à mort

• Après la liquidation des ghettos, le génocide entre dans une phase radicale : l’extermination planifiée et industrialisée. • Les camps de travail, d’abord conçus pour exploiter la main-d’œuvre, deviennent des lieux de mise à mort. • Le camp de Plaszow, dirigé par Amon Göth, est un exemple glaçant de violence déshumanisée. • Göth incarne la cruauté d’un système où l’humain est réduit à un chiffre, un objet. • La scène où il tire sur des Juifs depuis son balcon illustre l’arbitraire et la banalisation de la mort.

L’extermination systématique : l’industrialisation de la mort

Auschwitz : l’apogée de l’industrialisation de la mort

• À Auschwitz, les convois, chambres à gaz et traitement des corps sont organisés de manière à tuer de façon systématique et efficace. • La mort devient une routine administrée, rationnalisée, dépourvue d’humanité.

https://www.youtube.com/watch?v=wBr0t4Y2GQw

https://youtu.be/HpquFSEkUTQ?si=E79o-wh_DhLbSEoD

La petite fille au manteau rouge : l’innocence sacrifiée

• La petite fille en manteau rouge, isolée dans un monde monochrome, devient le symbole de l’innocence brisée. • Ce retour du manteau, retrouvé dans un chariot de cadavres, cristallise la tragédie et l’anéantissement. • Ce moment marque un tournant pour Schindler, qui prend conscience de l’ampleur de l’horreur. • Spielberg utilise ce symbole visuel pour éveiller l’humanité dans un monde déshumanisé.

La fausse chambre à gaz : une immersion dans la terreur

• Les femmes dirigées vers une chambre à gaz, dans une scène angoissante, vivent l’incertitude de la mort imminente. • Le soulagement de l’eau qui jaillit au lieu du gaz accentue la tension : pour des millions de Juifs, il n’y eut jamais de répit. • Spielberg montre comment la peur de l’extermination faisait partie du quotidien, un piège psychologique sans échappatoire.

Un film-mémoire : inscrire la Shoah dans la conscience collective

• Un acte de mémoire, pas un simple récit. • Des victimes rendues visibles, humaines. • La « liste » donne une dignité à chaque nom. • La détresse de Schindler : la valeur d’une vie. • Des survivants réels : fiction et réalité se rejoignent. • Le spectateur devient témoin, acteur du souvenir. • La Shoah Foundation : prolonger la mémoire.
• La Liste de Schindler dépasse le récit d’un homme : un témoignage sur la Shoah. • Spielberg utilise un réalisme fort pour immerger le spectateur dans l’horreur du génocide. • Le noir et blanc donne au film un aspect documentaire, renforçant l’authenticité. • Chaque détail met en avant l’impact possible d’un seul individu face à un système de mort. • Le film rappelle notre devoir de mémoire : comprendre, transmettre, ne jamais oublier.

Conclusion

Sources