CCA-BTP - FormCFA (Chapitre 4)

Chapitre 4

Comprendre la genèse des ruptures de contrat d'apprentissage

Existe-t-il des profils d'apprenti·e·s en rupture ?Comment accompagner les apprenti·e·s dans leur parcours de formation ?

Chapitre 4

Les ressorts de la socialisation : apports théoriques

Chapitre 5

Prévenir et accompagner la rupture : les leviers d'intervention

Chapitre 6

Mettre en place le dispositif DevenirPro dans son CFA

SOMMAIRE DE LA FORMATION

Chapitre 1

Présentation du dispositif DevenirPro

Chapitre 2

Mettre au travail ses représentations

Chapitre 3

Que dit la recherche scientifique sur la genèse des ruptures de contrat ?

Apports théoriques

Les ressorts de la socialisation

Chapitre 4

SOMMAIRE DU CHAPITRE 4

Partie 1

Présentation de la socialisation plurielle et active

Partie 2

Devenir Adulte : les enjeux de la relation à l'autre à l'adolescence

Partie 3

Devenir un·e professionnel·le de metier : le rôle de l'organisation

Interstructuration du sujet et des institutions Le développement humain se produit dans l’entrelacs de déterminations historiques, sociales, intersubjectives, cognitives et subjectives. L’individu construit du sens à partir de cette complexité, en réinterprétant activement son environnement.

La pluralité de la socialisation se manifeste dans la diversité - des milieux de vie, - des groupes d'appartenance - des contextes et œuvres culturelles rencontrés par le sujet. Ce polymorphisme culturel est considéré comme une condition nécessaire à la personnalisation, c’est-à-dire à la possibilité pour l’individu de créer du sens et de dépasser les conformismes sociaux

La socialisation active implique que le sujet : - n’est pas passif dans son développement. - interprète et analyse son environnement social, au lieu de subir mécaniquement des pressions normatives - n’est pas un produit de la société mais un acteur de sa propre subjectivation. Rejet de l'idée d'une séparation entre les processus d’individuation et d’intégration sociale : les deux sont entrelacés dans une dialectique sociale et symbolique, médiée par autrui et les systèmes symboliques de la culture

Partie 1

Présentation de la socialisation plurielle et active

Monde scolaire

Une approche globale de la situation de l'apprenti·e Des socialisations plurielles interdépendantes

Monde adulte

Monde du travail

Monde adolescent

Milieu de la formation

Le sujet

Milieu familial et amical

Milieu professionnel

Conflits Les conflits (de normes, de valeurs, de sens) sont considérés nécessaires au développement. Permettent au sujet de questionner le donné, de se distancier des injonctions normatives et d'entrer dans une dynamique de subjectivation. Pour que ces conflits soient constructifs (et non destructeurs), ils doivent être contenus dans un cadre qui garantit la continuité identitaire. Ce sont ces tensions qui rendent possible une dynamique d’appropriation créatrice du social.

Acculturation Ensemble des processus par lesquels le sujet intériorise des éléments culturels, Cette intériorisation est active et signifiante. Ne se limite pas à l’adoption passive de normes sociales Implique une négociation et une appropriation différenciée selon les sphères de vie (familiale, scolaire, professionnelle…). Indissociable de la personnalisation : les deux sont en tension dialectique, le sujet construisant du sens entre les déterminations sociales et ses propres projets

PersonnalisationProcessus de création et d’invention à travers lequel le sujet tente de dépasser les conformismes. Implique une interrogation sur le sens des conduites d’adaptation. Produit du travail du sujet, rendu possible sous certaines conditions : la pluralité des expériences culturelles (polymorphisme culturel) et des conflits non traumatiques. Traduit la capacité du sujet à se situer dans des rapports sociaux, à produire du sens et à se reconnaître comme membre d’une communauté.

Différents concepts-clés (1)

Différents concepts-clés (2)

Voir le chapitre sur la socialisation de Malrieu (1996) "La personnalisation chez l'adolescent" (Je me suis surtout servi de l'HDR Capdevielle) En ressortir des questions

Création Capacité du sujet à produire du sens inédit, à inventer des formes d’adaptation qui ne se réduisent pas à la conformité. Cette créativité psychique est socialement située, elle naît de tensions, de contradictions, de conflits, mais aussi de l’accompagnement et de la reconnaissance. S’observe dans des actes parfois perçus comme des «dysfonctionnements» (rupture, transgression) mais qui sont en réalité des solutions subjectives à des impasses identitaires ou sociales.

Appropriation Processus par lequel le sujet investit de manière signifiante les éléments de son environnement social, symbolique ou scolaire. Suppose une activité d’intersignification, dans laquelle le sujet articule différentes sphères de sens et construit des références compatibles entre elles (ex. : scolaire et familiale). Sélective, critique et subjective, loin d’une simple conformité à la norme.

Partie 2

Devenir Adulte : les enjeux de la relation à l'autre à l'adolescence

Lien

Pour vous, qu'est-ce qu'un apprenti ?

L'orientation n’est pas uniquement une contrainte : elle peut devenir un espace de projection et de personnalisation du parcours.

Inégalités sociales et orientationLes élèves orientés vers l’apprentissage sont majoritairement issus de milieux populaires et ont souvent connu des difficultés précoces dans leur parcours scolaire. Ces facteurs sociaux jouent un rôle majeur dans leur orientation, mais leurs effets ne se comprennent qu’à partir du travail subjectif d’intersignification réalisé par les jeunes eux-mêmes

Rôle du sens de l’expérience scolaire antérieureL’orientation est souvent motivée par une volonté de rupture avec une expérience scolaire douloureuse, marquée par l’échec, le redoublement, ou le désamour pour l’école. Cette rupture peut toutefois être porteuse de sens, notamment si l’apprenti voit dans l’alternance une façon "d’apprendre autrement" et de se reconstruire une estime de soi.

Orientation subie ou choisie : une construction subjectiveL’orientation vers la voie professionnelle ou l’apprentissage est souvent décrite comme une orientation “par défaut”. Mais les individus peuvent revaloriser a posteriori leur orientation, en internalisant les motifs d’engagement, c’est-à-dire en les réinterprétant en fonction de leurs propres valeurs et buts personnels. (Brasselet & Guerrien, 2019)

Le processus d'orientation

Orientation et sentiment d'injustice

Info

De quel point regardons-nous les apprentis au CFA ?

Oubli de la figure de l’adolescent derrière celle du « travailleur »La clinique de l’adolescent est une clinique de l’idéal du moi : adolescence est une période où le jeune désire être vu et reconnu d’une nouvelle façon :- La relation à l’adulte apparaît fondamentale pour franchir ce passage (déterminante dans l’engagement ou le retrait) - La parole de l’adulte et la manière dont il est capable de reconnaître la valeur de ce qui vit l’adolescent joue un rôle fondamental : elle dit la vérité sur son être, sur son droit à exister…Formes de disqualification scolaires et sociales importantes :- Effets d’assignation. - L’apprenti est celui qui apprend mais il est aussi : « le boy du patron », « la femme de ménage », celui qui fait ce que les autres ne veulent pas faire, celui qui fait « le merdier », « celui qui fait chier » les ouvriers ; celui qui peut se faire « agresser »...Les enjeux de la reconnaissance sociale à l’adolescence- Rien n’indique à l’adolescent ce qu’il doit faire de ce nouveau corps qui lui apparaît comme étranger, ce qu’il doit faire comme homme ou femme, comme partenaire dans la rencontre avec l’autre. - C’est précisément cette expérience d’un défaut dans le savoir qui pousse le sujet à inventer une façon inédite de nommer ce qui lui arrive. - Il doit trouver une porte d’entrée dans le langage qui, au prix d’un renoncement, lui permette de bâtir un pont entre celui qu’il a été et celui qu’il est en train de devenir.

Lien vers l'article d'Hélène ?

La reconnaissance sociale : un enjeu central à l’adolescence en CFA

Une adolescence en quête de reconnaissancePériode de construction identitaire intense : l’adolescent cherche à comprendre "qui il est".Besoin vital d’être reconnu pour exister symboliquement aux yeux d’autrui.Le regard de l’adulte : un facteur d’engagement ou de repliSensibilité accrue au regard des adultes (formateurs, tuteurs, encadrants).Le manque de reconnaissance engendre désengagement, solitude, voire rupture.Reconnaissance : entre individuation et intégrationBesoin d’individuation : être vu comme unique, entendu dans sa singularité.Besoin d’intégration : se sentir légitimement membre d’un collectif professionnel.Le CFA comme espace de reconnaissance… ou de disqualificationLe statut d’apprenti invisibilise parfois la figure de l’adolescent en devenir.La qualité de la relation éducative est déterminante dans le maintien en formation.Les groupes de parole : un levier de reconnaissanceOffrent un espace de parole libre, sans jugement.Permettent de se dire, être entendu, se sentir exister en tant que sujet.Risques liés au défaut de reconnaissanceConduites de retrait, ruptures de contrat vécues comme moyens de se préserver.L’expérience de l’humiliation ou du mépris peut briser le lien au métier et au collectif.

Classification de verbatims

Verbatim

Rapport au CFA

Rapport au groupe de parole

Rapport à l'entreprise

Socialisation au monde adulte (et aux pairs ?)

Classer les verbatims par processus ?

Psychologie sociale du développementRelation aux œuvres, à autrui et processus de reconnaissance réciproque : pierre angulaire du sens de l’expérience de la formation et de l’entrée dans le métier. La construction du parcours de formation de l’apprenti dépend avant tout de la possibilité qui lui est offerte de rencontrer des autrui capables de reconnaître la valeur de ce qu’il vit et de soutenir un processus d’identification/différenciation qui lui ouvre la possibilité de s’affranchir de la dépendance symbolique à l’égard d’autrui qui était la sienne jusque-là. Une boussole : comment faire des CFA des lieux de vie qui ouvrent sur la diversité, la complexité, l’interdépendance et l’intersignification des expériences et milieux de vie et mettent en œuvre une approche globale de la situation de l’apprenti Que le travail et la formation puissent avoir une fonction psychologique suppose que certaines conditions soient réunies- Attention particulière doit accordée aux conditions objectives de la socialisation en entreprise et au CFA, à l’âge de l’apprenti et à sa place dans la hiérarchie de l’entreprise

Devenir pro : fondements Une orientation épistémo-théorique et une boussole

Contrat psychologique

Relation d'emploi

Les recherches développées dans le champ de la socialisation organisationnelle ont pour objectif d’étudier les modalités d’insertion des nouveaux entrants dans une organisation de travail. Cette transition implique des dynamiques de construction identitaire ainsi que de négociation des rôles et des identités multiples. L’entrée dans l’organisation est également marquée par la construction de la relation d’emploi auquel s'associe le concept de contrat psychologique.

Partie 3

Devenir un·e professionnel·le de metier : le rôle de l'organisation

Cohen-Scali, V. (2008). Accompagnement en entreprise et intentions liées à la carrière chez des apprentis du bâtiment. Pratiques psychologiques, 14(2), 147-160.

Etape 3

Etape 2

Etape 1

Les étapes de la socialisation organisationnelle de Feldman

Socialisation anticipatrice

Elaboration par le sujet d'attentes professionnelles, plus ou moins réalistes, plus ou moins ajustées aux exigences de l’organisation

Management de son rôle

Intégration professionnelle.Capacité du sujet à maîtriser et à résoudre les injonctions qui émanent de l’organisation

Accommodation

Confrontation du sujet avec la réalité professionnelle Nécessité de régulation des "décalages" entre ses attentes et la réalité professionnelle

Point de vigilance

Importance des modalités d'information et de communication envers le jeune

"Est-ce que j’ai le droit d’avoir une place quelque part ?"

Elle concerne les apprentissages effectués par le sujet avant son entrée dans l’organisation. La principale activité du sujet est d’élaborer des attentes professionnelles, plus ou moins réalistes, plus ou moins ajustées aux exigences de l’organisation.

"Ce n'était pas ce à quoi je m'attendais"

Verbatim

Socialisation anticipatrice

Articles Ruptures des contrats d’apprentissage : quelles évolutions depuis la réforme de 2018 ? (DARES, 2024) Jeunesse et travail : le paradoxe des apprentis (Moreau, 2005)

Quatre activités clés

Clarification d rle

Stratégies actives d'insertion

Clarification du rôle

Intégration sociale

Acculturation

Maîtrise de la tâche

Accommodation

Définition Le décalage entre les attentes et la réalité professionnelle peut produire un effet négatif (insatisfaction, intention de turn-over) mais également des effets positifs (modèle du sense making de Meryl Louis). Les conduites qu’il suscite peuvent être mise en œuvre au service du travail de signification de la nouvelle situation professionnelle et stimuler le développement de stratégies actives d’insertion, c’est à dire de conduites pro-actives mises en œuvre pour se socialiser.

Article Arreter une formation professionnelle (Cohen-Scali, 2010)

Point de vigilance

Nécessité d'organiser la progression du cadre de formation

Genre du métier Style du métier

Maîtrise de la tâche

Gestes du métier

Maîtrise de la tâche

La maîtrise de la tâche passe par l’apprentissage des gestes de métier. Ces gestes résultent d’un processus d’ajustement progressif entre les exigences de la tâches (objectifs, contraintes techniques et règles de l’organisation) et les capacités et expériences du travailleur. Pour comprendre les gestes de métier, Yves Clot distingue le genre du style du métier.

Article Le geste de métier: problèmes de la transmission. Clot, Y., Fernandez, G., & Scheller, L. (2007)

Le maître d'apprentissage revient sur une erreur de Robin

Point de vigilance

Necessité d'explicitation des attendus

Verbatims

La clarification du rôle désigne le processus par lequel un individu nouvellement intégré à une organisation comprend ce qu’on attend de lui. Autrement dit, il s'agit de réduire l’ambiguïté autour de son rôle professionnel, ce qui inclut :• la compréhension des tâches à accomplir,• la connaissance des attentes des supérieurs hiérarchiques,• l’identification des critères d’évaluation de la performance,• la délimitation des responsabilités,• la compréhension des limites du poste, c’est-à-dire ce qui n’est pas attendu

a modifier

Ambiguïté et conflit de rôle.Modèle de la clarification du rôle

Clarification du rôle

Article Profils d’apprenti· e· s reflétant des tensions de rôle en formation professionnelle en alternance en Suisse. Wenger, M., Sauli, F., & Berger, J. L. (2022)

Tania éprouve des difficultés à accepter ce qui n'est pas "comme chez elle".

Quels rituels d'intégration ?

Point de vigilance

L'apprenti est situé au plus bas niveau de la hiérarchie de l'entreprise

Acculturation

L’acculturation désigne le processus par lequel un individu comprend et s’approprie la culture de l’organisation dans laquelle il entre. Cela inclut les valeurs, les normes, les croyances, les pratiques, les rites, et parfois même le langage spécifique à cette organisation. Cela passe par :• La compréhension des règles implicites de l’organisation.• L’adhésion relative aux valeurs partagées• L’adoption des comportements valorisés• La maîtrise des symboles et des rituels• Se positionner dans les dynamiques sociales internes (ex. : rapports hiérarchiques, informels, réseaux d’influence).

Articles Formation professionnelle : l'apprentissage des normes de genre. Lamamra, N., Fassa, F. et Chaponnière, M. (2014)

"Mon premier patron. Première fois que je travaille pour quelqu'un. C'est quelque chose qu'on oublie pas."

Point de vigilance

Comment le maître d'apprentissage parle-t-il de son apprenti ?

Intégration sociale

L’intégration sociale désigne le processus par lequel un nouvel employé établit des relations interpersonnelles de qualité avec ses collègues, ses supérieurs hiérarchiques et, plus largement, avec les membres de l’organisation.Elle concerne :• la construction de liens sociaux (amitié, entraide, collaboration),• le sentiment d’appartenance à un groupe ou à l’organisation,• la légitimation sociale, c’est-à-dire être reconnu comme un « membre à part entière ».

Article . Les compétences transversales à partir du point de vue des formateurs et formatrices en entreprise: entre objets de formation et critères de sélection. Duc, B., Perrenoud, D., & Lamamra, N. (2018)

docu arte sur les accidents de travail dans l'apprentissage (mort d'un charpentier) ????

Fait référence à la perception des employés concernant l'équité des processus, des décisions et des traitements dans une organisation.

Justice organisationnelle

Conditions de travail

Locke (1976) définit la satisfaction au travail comme « un état émotionnel agréable ou positif résultant de l’évaluation faite par une personne de son travail ou de ses expériences au travail ». Les travaux en Psychologie du Travail se sont attachés à identifier les déterminants de la satisfaction au travail et ses conséquences pour l’organisation et le salarié.

Satisfaction au travail

Justice informationnelle

Justice procédurale

Justice distributive

Justice interpersonnelle

Déterminants et conséquences

Management de son rôle

Les conditions de travail recouvrent l’environnement dans lequel le travail est réalisé et renvoie :- aux conditions matérielles - aux conditions organisationnelles- aux conditions sociales- aux conditions psychologiques

Articles Site web de l’ANACT (Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail) Construire une identité professionnelle malgré des conditions de travail difficiles: les apprenti-es en commerce de détail en Suisse. Caprani, I., Duemmler, K., & Felder, A. (2019) rapport kergoat / capdevielle : projet observatoire de la vie apprentitaux sur les décès, accident du travail ?????????

Créer des exercices ou une question "à partir des exemples et des éléments théoriques présentés, quels pourraient être selon vous les leviers d'intervention possibles pour accompagner les apprentis"

Source : Reportage TF1 : Comment expliquer autant de ruptures ?

Retour

Exercice : La rupture dans les médias Contresens ou vérité ?

Compléments

Revenir aux leviers mis en avant par Devenir Pro

Déplacer son regard : les leviers d'intervention possible

Réseau professionnel

Le monde adulte

Ses pairs

Milieu de la formation

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Le sujet

Milieu familial et amical

Milieu professionnel

Des socialisations professionnelles plurielles

Adolescence Clinique de l'idéal du moi Soutenir la constructrion de la personne

Phase 2 Entrer en apprentissage : deux contextes de formation

Socialisation au travail

Intégrer la sphère professionnelle

Socialisation des organisations

Normes et valeurs de l'entreprise

Socialisation du métier

Devenir membre d’un collectif de travail voir à une communauté de pratiques

Socialisation au monde adulte

Sécuriser la transition école/travail

Retour à l'index

Accès article

Accès article

Accès article

L'impact de la socialisation au travail sur les ruptures de contrat d'apprentissage.

Le parcours d'Isaline

Verbatim

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Socialisation au travail

Définition Habituation aux logiques de la sphère professionnelle relatives à l’organisation et à la division du travail ainsi qu’aux conditions de travail et d’emploi (Moreau)

Articles Arrêter une formation par alternance (Capdevielle, 2015) La socilisation des apprentis (Rochat & Lamamra, 2004) Contrat d’apprentissage, les raisons de la rupture (CEREQ, 2010)

Accès article

Comme le conclut si bien la voix-off "travailler d'accord, mais vivre aussi".

Robin quitte le foyer familial

Verbatim

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Socialisation au monde adulte

Définition Participe par la transmission de connaissances plus générales aussi bien à la transition école-travail mais aussi adolescence-âge adulte (Lamamra)

Articles ? ? ? ? ? ?

Accès article

La jeune femme éprouve des difficultés à accepter ce qui n'est pas "comme chez elle".

Tania la résistante

Verbatim

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Socialisation du métier

Définition Transmission et intégration de savoirs, savoir-faire et savoir-être ainsi qu’à des normes et valeurs propres à un domaine professionnel (Dubar)

Articles ? ? ? ? ? ?

Accès article

Le jeune homme découvre les codes de l'entreprise dans laquelle il va effectuer son apprentissage.

Verbatim

Le premier jour d'Evgueni

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Socialisation à l'organisation

Définition Familiarisation avec les normes et valeurs de l’entreprise dans laquelle la formation se déroule (Kergoat) Valeurs et objectifs de l’organisation, les valeurs et normes du groupe de travail, les compétences requises pour faire le travail (Perrot)

Articles ? ? ? ? ? ?

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Verbatim

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Citations

Philippe, menuisier : « La relation là, elle est bien quoi. Jamais, enfin normale quoi. Dès que j’ai pas compris, il m’explique. Même s’il y a un cours que j’ai pas compris à la Chambre des Métiers, ça je l’avais jamais vu mais la semaine dernière il m’a expliqué quoi Il essaie de s’occuper de moi le maximum possible et le mieux possible alors le travail que je fais, j’essaie de le faire bien. C’est pareil à midi, il m’a invité au resto et je m’y attendais pas quoi »

Les relations avec les autres membres de l’organisation

Yann, pâtissier : « Avec le patron, ça se passe vraiment bien. Toujours, s’il a besoin de moi que c’est mon jour de repos, s’il le veut ben il me fait travailler et je fais un autre jour de repos. On parle toujours de tout, de tout, même pour les semaines et tout. On parle de tout. C’est quelque chose qui vous semble important ? Oui, avec le patron de parler oui parce qu’avec l’autre patron, je parlais pas du tout. Je savais rien. Tandis qu’avec ce patron, je sais ce qui va arriver. Je sais tout, presque. Parce que déjà, il m’a tout expliqué. Déjà quand je suis rentré, il m’a tout montre : « là c’est les vestiaires, là ». Il m’a tout montré partout et je savais qu’il avait l’air gentil parce que je l’avais vu deux, trois fois déjà (…) Et voilà, on a parlé et tout s’est bien passé et puis ça se passe bien. Ça se passe très bien. Le maître d’apprentissage, il est gentil. Il m’apprend très bien. Il n’y a rien à dire. Ils sont ouverts. Ils parlent beaucoup. Ils parlent de l’entreprise en général. Ils parlent pas entre employés et moi apprenti je reste tout seul. Ils parlent de tout. Même si on doit se réunir tous là pour parler. Parce que c’est une grande pâtisserie. On est 7. Si on doit se réunir, il me le dit et je vais avec eux. On parle de tout, de l’entreprise. »

François, pâtissier : « Ils parlaient pas. Ils parlaient pas. Le matin, ils disaient à peine bonjour. Et puis la patronne, elle faisait rien pour me motiver. Au contraire, elle me faisait tout pour me démotiver. Vous avez eu des soucis relationnels ? Oui, voilà. Surtout avec la patronne. Le patron lui ça allait. Mais c’était plutôt elle. Elle était toujours sur mon dos alors que je faisais rien. J’essayais d’appendre. Elle était toujours sur mon dos. Donc ça m’a pas aidé ça ».

« J’ai arrêté plus tôt parce que finalement, on faisait des cuisines (…). On utilisait beaucoup de contreplaqué. On utilisait du stratifié. C’était un truc. Moi, je m’attendais à toucher du bois, justement à faire. J’ai découvert. Enfin, disons que l’image du métier d’ébéniste que je me suis fait était pas la même. Même si c’était évident que ça allait pas être la même que je me suis fait. Là, il y avait une énorme différence. C’était du genre, des meubles qu’il achetait, qu’on re-décomposait à certains endroits pour pouvoir replacer. Il y avait plus le travail manuel non plus enfin qui m’intéressait finalement. Beaucoup de machine. » -> En lien avec l’évolution du métier. Stéphane Ebéniste « Comment avez-vous choisi votre employeur ? Ben en fait, on n’en a pensé qu’un seul. C’était celui là. C’était mon oncle, il habite à côté, enfin il a l’entreprise à côté. Votre patron, c’est votre oncle ? Non pas du tout. Il travaille. C’est un ouvrier dans le. C’est un plaquiste qui est dans l’entreprise en face et qui m’a dit que si je voulais partir dans la plomberie, que lui c’était un super patron (…) Ouais qu’il connaissant et puis même j’y fait confiance, et puis j’y suis allé et puis j’y suis très bien. » Anthony, électricien

- La recherche d’information sur son travail, les attentes, la culture d’entreprise et les collègues par l’observation, le questionnement des collègues et du supérieur ou la consultation de la documentation interne.- La recherche de Feed-back en sollicitant des retours sur sa performance ou son comportement afin de s’adapter et de s’améliorer- Le réseautage - La participation aux activités sociales- La construction de la relation avec le chef- La négociation de changements dans le travail (en lien avec les conditions de travail ou avec le travail en lui-même). Ces conduites pro-actives peuvent viser à se changer soi-même, à changer l’environnement de travail ou à agir sur la relation et peuvent être des leviers pour l’intégration dans l’entreprise.

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Citations

Stéphane, ébeniste : « La place d’un apprenti ? C’est pas facile ça. (…) Je sais pas, c’est un peu aussi celui qui va prendre la relève. Celui qui arrive qui ne connaît pas, que. Enfin, je sais pas. Je pense que c’est l’entreprise qui doit essayer de l’intégrer, et pour lui apprendre, pour apprendre un peu les secrets mêmes du métier et après que ce soit lui qui a son tour, qui prenne un apprenti »

Les gestes de métier sont donc le résultat d’une interaction entre le "genre" (ce qui est socialement établi) et le "style" (ce que chaque individu apporte de singulier). Les gestes de métier peuvent inclure :- Les gestes techniques : Ce sont les actions physiques ou manuelles directement liées à la réalisation des tâches du métier. Par exemple, un artisan peut avoir des gestes spécifiques pour manipuler ses outils, un cuisinier pour préparer un plat- Les gestes cognitifs : Ce sont des gestes liés à la prise de décision, la réflexion, ou la gestion de situations complexes. - Les gestes sociaux : Ces gestes incluent les interactions avec d’autres personnes dans le cadre du travail, comme la communication avec les collègues ou les clients. Ils sont souvent essentiels dans des métiers où le relationnel joue un rôle central (par exemple, dans le secteur des soins ou du service).

Les gestes du métier

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Verbatim

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Citations

(Vayre, 2019)

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Citations

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Citations

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Verbatim

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Verbatim

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Verbatim

On est un peu les boys des employeurs Parce qu’on est pas non plus des chiens. Il faut pas nous prendre pour des chiens Comment dire on est. Je sais pas comment dire. On est surtout là pour faire au début les mauvaises tâches quoi et après. C’est comme ça que je le vois. Et après on est surtout là pour faire les mauvaises tâches au départ et puis au fur et à mesure après qu’on apprend, on fait des trucs. A la fin normalement on doit arriver à s’en sortir presque pas tout seul mais quasi tout seul. Il faut quand même quelqu’un qui regarde derrière nous parce qu’on est apprenti.Ça reste des tâches du métier ? Voilà ça reste des tâches du métier que si on n’est pas là ils le feront eux aussi. Mais ils nous le donnent à nous puisque ça les débarrasse du mauvais boulot. Cédric, menuisier / éléctricien

Justice procédurale

Definition

"???

Verbatim

Elle se réfère à la perception de l'équité des processus utilisés pour prendre des décisions. Les employés se demandent si les procédures qui mènent à des décisions (par exemple, pour les promotions ou les évaluations) sont justes, transparentes et cohérentes.

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Citations

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Verbatim

Les enjeux de la reconnaissance sociale à l'adolescence Le rapport au savoir et au travail Une clinique de l'idéal du moi

Le sujet

Différents processus à l'œuvre

La relation d'emploi

La relation d’emploi peut être définie comme l’ensemble des interactions entre un employeur et un employé, structurées par un cadre formel (contrat de travail, conditions de travail) et informel (attentes réciproques, climat social, dynamiques de pouvoir). Elle ne se réduit pas à des dimensions économiques et porte dans une large mesure sur des composantes socio-émotionnelles. -> En psychologie du travail, le concept de contrat psychologique* (Denise Rousseau, 1995) est central pour comprendre la relation d’emploi.

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Verbatim

Le 9 janvier 2023, au Sénat, Prisca Kergoat, chercheuse et professeure des universités à l'Université Toulouse Jean Jaurès et directrice du laboratoire CERTOP, présente les résultats de sa recherche sur les élèves de lycées professionnels et les apprentis. Roger Chudeau, député, s'adresse à la chercheuse concernant la réforme de l'enseignement professionnel en France. Il exprime des inquiétudes quant au projet de réforme du gouvernement, soulignant que la voie professionnelle fait partie du patrimoine national et doit être traitée avec précaution. Il critique la réforme Blanquer, estimant qu'elle a nui à l'enseignement professionnel. L'intervenant souligne que le véritable problème réside dans l'orientation des élèves, souvent perçue comme une orientation par défaut. Il suggère que la réforme devrait se concentrer sur le collège plutôt que sur le lycée professionnel. En réponse, Prisca Kergoat reconnaît les problèmes d'orientation et le sentiment d'injustice ressenti par de nombreux élèves. Elle souligne cependant la nécessité de réformer l'orientation professionnelle et de revaloriser les métiers pour que l'orientation ne soit plus perçue comme un choix par défaut.

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Citations

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Citations

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Citations

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Verbatim

C’est une envie aussi. C’est d’avoir l’indépendance, de gagner son argent. C’est vrai, c’est mieux, je trouve. Vous auriez pu partir peut-être en lycée professionnel ? Ouais aussi mais. Pourquoi l’apprentissage du coup ? Ben, je sais pas, parce que je trouvais qu’une semaine à l’école et après au boulot c’était pas mal (…) Ouais de plus demander à papa etmaman des sous, tout ça.Pascal, mécanicien Pourquoi avez-vous voulu faire un apprentissage ? Parce que je préférai commencer à travailler, parce que je crois que j’aurai eu beaucoup de problèmes après en cours, si j’avais commencé par exemple un BEP ou, je sais pas, une seconde générale ben j’aurais pas pu. Donc j’ai commencé un CAP. Samuel, pâtissier

Insérer des verbatims en lien avec les ruptures dues à la socialisation au travail

Verbatim

"Les horaires déjà, c’était pas évident. Le métier non plus et puis, je me suis trompé. J’hésitais entre les deux et puis bon j’ai préféré plomberie.Il y a pas beaucoup de temps libre déjà. Ce n’est pas commode.Quatre heures du matin. Je faisais douze heures, treize heures et après je dormais tout l’aprèsmidi et les week-ends, c’était pareil. Donc après, le temps libre, le week-end, tout ça, on ne pouvait pas sortir. Le métier, je le voyais pas comme ça quoi. C’est-à-dire ? L’ambiance et tout ça, c’était pas. Au niveau de l’ambiance, j’espérais autre chose.Ben, j’ai dit que je m’étais trompé de métier puis bon l’ambiance tout ça c’était pas fait pour moi quoi." François, patissier / plombier

J’ai arrêté plus tôt parce que finalement, on faisait des cuisines (…). On utilisait beaucoup de contreplaqué. On utilisait du stratifié. C’était un truc. Moi, je m’attendais à toucher du bois, justement à faire. J’ai découvert. Enfin, disons que l’image du métier d’ébéniste que je me suis fait était pas la même. Même si c’était évident que ça allait pas être la même que je me suis fait. Là, il y avait une énorme différence. C’était du genre, des meubles qu’il achetait, qu’on re-décomposait à certains endroits pour pouvoir replacer. Il y avait plus le travail manuel non plus enfin qui m’intéressait finalement. Beaucoup de machine.Ils sont obligés de faire des choses à la main qui vont beaucoup plus vite que régler une machine. C’est pour ça que j’ai arrêté et quand j’ai arrêté je ne savais pas du tout où j’allais.Il y a un moment où je me suis vraiment disputé avec mon patron donc lui il m’a dit : « bon ça arrive. Je te laisse deux semaines pour réfléchir ». Une semaine parce qu’on avait le lycée juste après. « Je te laisse une semaine pour réfléchir et après si tu te plais pas, ça sert à rien. Il était gentil comme ça. Il comprenait. Et donc, j’ai arrêté sans savoir où j’allais.J’en ai vu un. Je suis allé voir. Quand j’ai vu les meubles qu’il faisait, j’ai : « ah, c’est chouette ». Et en fait, c’est pas ça qu’il faisait Enfin, il faisait plus. Lui aussi, il regrettait de ne plus pouvoir faire ça.Il y a une période de tension avant [la rupture] donc je leur en parlais [aux parents] et puis en fait, c’est arrivé d’un coup. On s’est énervé. Je suis parti au milieu de la journée. Je l’ai rappelé après et j’ai dit : « bon ben voilà, je souhaiterai arrêter ».Stéphane, ébéniste

Justice informationnelle

Definition

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Verbatim

Elle se réfère à la perception que les employés ont de l'équité des informations fournies par l'organisation. Cela inclut la transparence dans la communication des raisons des décisions organisationnelles et la manière dont ces informations sont partagées.

Insérer des citatations des articles de la biblio proposée

Citations

Léné, A. (2017). L’évolution du contrat psychologique d’apprentis du supérieur. Management & Avenir, 94(4), 57-77.

Le contrat psychologique

Denise Rousseau (1989) définit le contrat psychologique comme un ensemble de croyances individuelles concernant les termes et conditions d'un échange réciproque entre l'individu et l'organisation. Contrairement au contrat formel, il est implicite et subjectif, basé sur des promesses et des obligations et il génère un sentiment de violation en cas de brèche ou de rupture. Un contrat psychologique bien géré renforce l'engagement organisationnel, la satisfaction au travail et la performance. Une violation peut entraîner du cynisme, de l'absentéisme ou même du turnover.

Justice interpersonnelle

Definition

« Un jour, je faisais une saignée. J’avais dépassé un peu : « oh, hé gogole va. Gros con. Fils de pute une fois ». « Ah, c’est ça ». J’ai fait mon sac. Je l’ai pris. Je me casse chez moi. J’ai dit « ils me reverront pas ». C’est l’apprenti quoi, on peut l’agresser et puis voilà »Pierre, électricien

Verbatim

Elle concerne la manière dont les employés sont traités par les managers et les autres membres de l'organisation. Cela inclut le respect, la dignité et la courtoisie dans les interactions.

Remplacer par des verbatims d'apprentis à qui on ne parle pas (voir les mécaniciens) Envisager un exercice à partir de verbatim ?

Eric Plaquiste « Je l’ai appelé et je lui ai dit que je voulais arrêter, que ça me plaisait plus et que je voulais faire un autre métier. Parce que quand je suis arrivé chez lui, je lui ai dit que moi je voulais faire plaquiste et il me dit : « ouais moi, je fais plâtrier ». Il faisait un peu de placo mais pas beaucoup. Et moi voilà, ça m’a pas plu alors je lui dis que j’arrêtais » -> En lien avec l’activité de l’Entreprise.Philippe Menuisier « Chacun a un rôle dans l’entreprise et puis l’apprenti ben dès qu’il y a un peu de travail bon il le fait et puis dès qu’il y a rien, il fait rien. » -> en lien avec l’organisation de l’activité Stéphane, ébeniste : « Enfin, moi je les vois pas comme des collègues. Je les vois comme maîtres d’apprentissage quand même. Et je pense qu’eux c’est pareil aussi. Je suis apprenti quand même mais c’est l’apprenti qui fait partie de l’équipe. Mais, c’est bien justement qu’ils me voient comme apprenti aussi puisque je suis apprenti. » -> en lien avec le statut dans l’entreprise

Justice distributive

Definition

"Encore apprenti, parce qu’on connaît pas très bien les métiers mais quand on le connaît, pour la paie qu’on a c’est clair que, quand on sait faire le métier, normalement c’est pas bon quoi, la paie et tout, par rapport à la paie La première année on apprend oui. Après moi, je trouve qu’au bout de la deuxième année on sait faire quoi le métier."Eric, plaquiste

Verbatim

Elle concerne la perception de l'équité des résultats ou des récompenses (salaires, promotions, ressources) attribués aux employés. Les individus comparent souvent ce qu'ils reçoivent à ce qu'ils estiment mériter par rapport à d'autres dans des situations similaires.

L'enjeu de l'adolescence La clinique de l'idéal du moi Le rapport au savoir et au travail

Le sujet dans sa subjectivité

Différents processus à l'œuvre

Insérer des citatations des articles de la biblio proposée

Citations