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Prix folio

Mael Jouve Caujolle

Created on March 7, 2025

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Transcript

La sorcière
Le royaume désuni
Petite soeur
Les jours viennent et passent
La grande ourse
Croire aux fauves

Prix folio

Résumé du livre : Le 25 août 2015, Nastassja courrait lorsqu’elle tombe nez à nez avec un ours. Aussi surpris l’un que l’autre, aucun des deux ne prendra la fuite, ils montrent les dents et se battent, s’étreignent dangereusement. L’ours lui vole une partie d’elle-même : son visage est défiguré, sa mâchoire brisée sous la morsure de l’ours. À partir de ce moment, elle est confrontée aux médecins russes et aux accusations d’espionnage dont l’armée russe la soupçonne : qui survit à l’attaque d’un ours ? Elle pensait son calvaire terminé lorsque son retour en France a été programmé. Mais ce n’était que le début d’une lutte médicale franco-russe, puis celle entre les hôpitaux français eux-mêmes. Malgré cela, Nastassja se questionne sur la part d’ours en elle et les raisons de sa rencontre avec l’animal. Elle cherche les réponses à ses questions afin d’achever sa reconstruction. Tout au long du récit elle nous raconte sa reconstruction après l'attaque.

Biographie de l'auteur : Nastassja Martin a grandit dans les Alpes avant de rejoindre Paris pour ses études d'anthropologie à l'École des hautes études en sciences sociales. À 23 ans, elle rejoint les Gwich'in, société de chasseurs-cueilleurs, en Alaska, pour réaliser une thèse. En 2016, elle publie Les Âmes sauvages, le récit de son expérience en Alaska . En août 2015, elle se trouve dans les montagnes du Kamtchatka, en Sibérie pour réaliser une étude anthropologique auprès des Évènes, elle est attaquée par un ours. L'animal la défigure, elle perd un morceau de sa mâchoire. S'ensuivent des mois d’hospitalisation en Russie, puis à Paris. De cette expérience, elle écrit un récit qui sort en librairie en octobre 2019. Croire aux fauves raconte sa rencontre avec l'ours, sa renaissance et sa vision animiste du monde. Véritable succès de vente, l'ouvrage a connu sept réimpressions à ce jour.

Bonjour, Aujourd’hui je vais vous présenter le livre « Croire aux fauves » de Nastassja Martin. Ce livre relate une histoire vraie, celle de l’autrice et narratrice, une anthropologue Française partie en mission dans les montagnes du Kamtchatka à l’est de la Russie. Au cours de cette expédition elle fait une rencontre peu ordinaire, un ours, qui l’attaque, la défigure, avant de s‘enfuir, lui laissant miraculeusement la vie sauve. L’ours a détalé sous le coup de piolet qu’elle a réussi à lui infliger. Le récit commence en août 2015 juste après l’attaque. Nastassja Martin, Nastia dans le livre est grièvement blessée, la mâchoire fracassée, sa jambe labourée par les griffes. S’ensuivra pour la jeune femme un long et douloureux parcours pour se rétablir physiquement mais aussi pour se reconstruire mentalement. Il commence à l’hôpital en Russie où elle subira une opération au visage en urgence puis en France après un rapatriement où on lui changera la plaque mandibulaire mise en Russie. Une fois guérie et reconstruite mentalement, elle ne rêve que d’une chose, repartir là où son itinéraire s’est arrêté lors de la rencontre avec l’ours qualifiée d’« évènement ». Ce récit est fascinant avec ses nombreux flash-back nous informant sur sa vie d’avant, ses nombreux rêves nocturnes dans lesquels, la bête ressurgit. Tout cela est très intriguant et inhabituel. Ce qui est très surprenant et incroyablement instructif à la fois, c’est d’apprendre la signification que les Russes donnent à ses rêves. En effet à travers ce livre, on acquiert des connaissances très enrichissantes concernant les croyances et traditions russes. Je vous les laissent découvrir en lisant cet incontournable récit. Quelle formidable leçon de vie de la part d’une personne qui a réchappé à la mort, qui est une miraculée et qui nous confie tout au long du livre ses pensées, ses angoisses et émotions… un récit magnifique, émouvant, bouleversant et incroyablement bien écrit. « Croire aux fauves », la leçon d’un instant...d’un instinct de survie. Nastia fait preuve d’un grand courage car au lieu de rester auprès de ses proches, elle retourne en Russie comme si il ne s’était rien passé pour peut-être retrouver le fauve ? Qui sait.... Pour conclure : « Croire aux fauves », c’est croire à tout, à l’impossible. Je vous conseille ce magnifique livre.

Résumé du livre : Zita aurait dû être bergère sur une estive des Pyrénées, comme ses ancêtres. Le déclin du pastoralisme, la réintroduction des ours et ses bons résultats scolaires en ont décidé autrement. Ingénieure agronome, elle enchaîne les contrats à travers le monde, expatriée de l’agro-industrie. Cinq ans après son départ, Zita rentre à Ossèse, la ferme de ses parents située dans un fond de vallée ariégeois. Elle retrouve sa vie avec les bêtes l'estive et Petite-Mère, son aïeule. Un soir, au café du village, elle rencontre Pierrick, un citadin. Leur histoire d’amour sera celle de la maturité, celle où Zita s’installe dans un bel appartement avec vue sur la Garonne. Mais Pierrick n’y est pas seul. Il y a aussi sa petite Inès et souvent Émilie, son ancienne compagne. Zita se retrouve vite à l’étroit dans le costume de belle-mère qu’on veut lui tailler. Un jour d’automne, le cadavre de l’ours Anis est retrouvé sur l’estive où paissent les brebis de sa famille. Une balle est plantée entre les yeux du plantigrade. Pour Pierrick, Émilie et Inès, le braconnier n’est qu’un pitoyable assassin. Le silence de Zita brise peu à peu l’entente cordiale des habitants des villes et des montagnes. Tiraillée entre deux mondes, elle doit faire un choix entre la proie et le prédateur. Zita et Pierrick finiront par se séparer et Zita continuera à vivre sa vie en Ariège avec les gens qu' elle aime.

Biographie de l'auteur : Née en 1985, Maylis Adhémar a grandi dans un petit village du Tarn au sein d'une famille catholique traditionaliste de quatre filles. Elle écrit des histoires et des pièces de théâtre depuis l'enfance. Elle obtient un bac agricole dans l'idée de devenir bûcheronne. Après un master d'histoire, elle part en Patagonie puis effectue de nombreux stages dans la presse. Elle a également été professeure de français en Chine. Depuis 2010, elle vit à Toulouse où elle est journaliste indépendante et anime des ateliers d'écriture et d'initiation au journalisme pour les jeunes en territoires ruraux. Maylis Adhémar est mère de deux enfants.

Portrait chinois de l'auteur

Si j’étais une qualité, je serai la résilience.

Si j’étais un défaut, je serai la jalousie.

Si j’étais un héros/héroïne, je serai Zita.

Si j’étais un pays, je serai la France.

Si j’étais un animal, je serai un ours.

Si j’étais un objet, je serai un bâton de berger.

Si j’étais une fleur, je serai la fleur du genêt

Si j’étais une couleur, je serai la couleur orange.

Si j’étais un rêve, je serai une scène qui se déroulerait dans les montagnes Pyrénéennes.

Biographie de l'auteur : Marie NDiaye, une auteure française d’origine sénégalaise. Née en 1967 à Pithiviers, en France, NDiaye a grandi dans une famille d’écrivains et d’intellectuels. Dès son plus jeune âge, NDiaye a montré un talent exceptionnel pour raconter des histoires. Elle a remporté son premier concours d’écriture à l’âge de 12 ans et depuis lors, elle n’a jamais cessé d’écrire. Son premier roman, « Quant au riche avenir », a été publié en 1985, alors qu’elle n’avait que 18 ans. Depuis lors, elle a écrit de nombreux romans, pièces de théâtre et scénarios, recevant de nombreux prix prestigieux pour son travail. « La Sorcière », l’un des romans les plus célèbres de NDiaye.

Résumé du livre : C’est une famille dans laquelle on est sorcière de mère en fille. La grand-mère, lorsqu’elle s’en donne la peine, est un véritable génie ; mais elle préfère ne pas trop exercer son art, demeurer aux yeux de tous une employée modèle, une femme ordinaire. Maud et Lise, les petites-filles, sont, comme leur aïeule, de sacrées magiciennes. Dès leurs premières larmes de sang, signe de leur don, elles se sont avéréew exellentes. Il n’y a que Lucie, la mère, à n’être pas très douée et à se sentir progressivement dépassée. Car elle ne peut pas changer le cours des choses. Son fluide devient aussi pâle que le sang de navet qui coule de ses paupières. Elle ne voit presque plus rien de l’avenir. Sa voisine Isabelle la tyrannise. Pierrot, son mari, la quitte et lui vole son argent. Sa mère prend un vieil amant ennuyeux et son père devient vaguement escroc. Rien ne va plus chez Lucie la sorcière, perdue dans son lotissement pour cadres moyens, à l’orée d’une ville de province où rien n’arrive que l’ennui. Ses filles partent en volant comme des oiseaux et elle ne les revoit plus jamais. Elle finit par aller travailler dans une école tenue par Isabelle mais elle ne fait accuser de charlatanisme.

Biographie de l'auteur : Marie Nimier est une écrivaine, dramaturge et parolière française née en 1957 à Paris. Fille de l’écrivain Roger Nimier, elle s’oriente très tôt vers l’art, notamment la musique et le théâtre. Son premier roman, Sirène (1985), est salué par la critique et marque le début d’une œuvre littéraire riche. Elle reçoit le prix Médicis en 2004 pour La Reine du silence. Elle écrit aussi pour la jeunesse, le théâtre et la radio, et collabore avec des artistes comme Juliette Gréco ou Eddy Mitchell en tant que parolière. En parallèle de l’écriture, elle mène des ateliers artistiques et participe à des projets scéniques. Son style mêle émotion, pudeur et engagement personnel. Elle vit aujourd’hui en Normandie.

Résumé du texte : Alice, la trentaine, se retire dans un appartement inconnu pour écrire sur son frère Mika, récemment décédé. Ils ont grandi dans une famille de comédiens, partageant une complicité fusionnelle. Cependant, une rupture survenue sept ans auparavant a mis fin à leur relation. Dans cet espace de solitude, Alice revisite leur passé commun, dévoilant les dynamiques de pouvoir et de dépendance qui ont marqué leur lien. Elle se confronte à ses propres blessures et cherche à comprendre ce qui a conduit à la séparation. Le récit alterne entre souvenirs d'enfance, réflexions personnelles et interactions avec des personnages secondaires, tels qu'une grand-mère excentrique et un peintre sensible, qui l'aident à cheminer vers la guérison

Marie Nimier marienimier.comJanvier 2025 Chère Marie Nimier, Je me permets de vous écrire pour vous faire part de l’admiration que j’éprouve après avoir refermé votre roman Petite sœur. Ce livre m’a profondément touché. Il est à la fois fort, troublant, doux, tendre et plein de finesse. J’ai particulièrement été ému par la manière et l’intensité dont vous explorez la complexité et l’ambiguïté de la relation fraternelle, une relation complexe, où se mêlent l’amour, la rivalité, et la quête d'identité. Cette relation entre les frères et sœurs, avec ses non-dits, ses silences lourds de sens, m’a rappelé certaines dynamiques familiales que l’on peut rencontrer dans la réalité. Ce que je résume de votre livre Petite Sœur, c’est l'histoire du deuil fraternel, de la reconstruction d'une femme, Alice la trentaine qui a perdu Mika, son frère auquel elle était terriblement attachée. Elle ne l’avait pas revu depuis sept ans. Elle est effondrée et décide de s’exiler au bord d’un fleuve pour écrire un livre sur lui, sur leur relation fraternelle trop complice. Elle garde l’appartement d’un inconnu en échange de deux services : nourrir le chat qui n’apparaît que deux jours avant son départ et les plantes carnivores. Le récit de son histoire fraternelle, de cet amour fusionnel, inconditionnel et intemporel entre Alice et Mika prend peu à peu une tonalité très dérangeante… Ce qui m’a frappé dès les premières pages, c’est la façon dont vous racontez l’enfance et les souvenirs. La mémoire est un personnage à part entière dans Petite sœur, une mémoire infaillible, précise qui relate énormément de souvenirs d’enfance et d’émotions vécues. Cette capacité à manipuler le temps, à faire ressurgir des moments intenses du passé, c’est précisément ce qui rend cette histoire si poignante. Tout au long de ce roman, on perçoit la narratrice comme une personne profondément marquée par la figure de la petite sœur, à la fois une source d’admiration et de rivalité. En effet, lorsqu’ils étaient enfants, adolescents puis jeunes adultes, Mika appelait et considérait Alice comme sa petite sœur alors qu’en réalité, elle était sa grande sœur. Votre écriture est d’une grande fluidité, à la fois douce et percutante, votre style quant à lui est à la fois poétique et précis. Votre roman n’est pas qu’un récit, mais une plongée dans l’intime de leur relation, l’inceste fraternel qui les conduira à se fâcher. Vous parvenez à rendre d’une grande finesse des émotions vives, des moments de fragilité. Petite sœur n’est pas simplement une histoire de frères et de sœurs, mais une réflexion sur la mémoire, l’identité et les liens qui nous unissent. Vous avez un véritable don pour donner vie à vos personnages. Je vous remercie du fond du cœur pour ce roman si riche, si humain, si intime et universel. Je vous souhaite de continuer à nourrir vos lecteurs de cette même profondeur. Avec toutes mes sincères salutations littéraires. Mael Jouve Caujolle Elève au lycée en seconde générale, inscrit au prix Folio.

Biographie de l'auteur : Jonathan Coe est un écrivain britannique né le 19 août 1961 à Birmingham, en Angleterre. Diplômé de littérature anglaise à l’Université de Cambridge, il poursuit ensuite des études de doctorat à l’Université de Warwick. Il débute sa carrière littéraire dans les années 1980, mais c’est avec La Vie très privée de Mr Sim et surtout Bienvenue au club (premier tome d’une trilogie sur l’Angleterre moderne) qu’il connaît un large succès critique et public. Reconnu pour son style mêlant satire sociale, humour et mélancolie, Coe s'intéresse particulièrement aux bouleversements politiques et culturels du Royaume-Uni, notamment à travers des fresques familiales ou des portraits de générations. Il a remporté plusieurs prix littéraires, dont le Prix du Meilleur Livre Étranger en France.

Résumé du livre : Le roman débute en mai 1945, lors de la victoire des Alliés, où la jeune Mary Clarke, fille d'un ouvrier de l'usine Cadbury, rencontre Geoffrey Lamb, fils d'un collègue de son père. En 1953, ils se fiancent et assistent ensemble au couronnement de la reine Élisabeth II, un événement qui marque le début de l'ère télévisée en Grande-Bretagne. Treize ans plus tard, le couple a trois fils passionnés de football, qui vivent intensément la victoire de l'Angleterre à la Coupe du monde de 1966. Au fil des décennies, le roman suit les membres de la famille à travers des moments clés tels que l'investiture du prince de Galles en 1969, le mariage de Charles et Diana en 1981, la mort de Diana en 1997, et le 75ᵉ anniversaire de la victoire en 2020, en plein confinement lié à la pandémie de COVID-19.

Nom : Lamb Prénom : Mary Sexe : féminin Description physique : moyenn, fine, musclée. Statut social : classe moyenne. Statut marital : Mariée avec Geoffrey Lamb. Emploi : Elle deviendra professeur d’éducation physique Lieu de vie : Elle vit à Bournville. Caractère : Elle est bienveillante, empathique, aimable et sociable Qualités : Mary et tolérante Défauts : Mary est un mère trop soucieuse et trop protectrice Peurs : Mary est toujours inquiète pour ses enfants Limites : Elle est peu intéressée par la politique. Difficultés : Lorsque Mary se remémore des évènements, des conversations lui rappelant la guerre qu’elle a vécu, elle est triste voire mélancolique. Ambitions : Toute sa vie, Mary se focalise sur le travail, le mariage, sa famille. But dans la vie : Mary se passionne pour tous les sports Valeurs : Mary est une femme conservatrice Ce qu’elle déteste : Mary déteste regarder le film Pinocchio Amicales : Mary et sa famille ont l’habitude d’inviter leurs voisins, leurs amis. Familiales : Elle aime sa famille. Amoureuses : Avant d’épouser Geoffrey, Mary a entretenu une relation amicale avec Kenneth

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Biographie de l'auteur : Hemley Boum, née en 1973 à Douala (Cameroun), est une romancière et anthropologue camerounaise. Elle a étudié les sciences sociales à Yaoundé, puis le commerce et le marketing en France. Après une carrière de plusieurs années en entreprise, elle se consacre à l’écriture. Son premier roman, Le Clan des femmes (2010), est suivi de plusieurs autres œuvres marquantes, dont Les Maquisards (2015) et Les jours viennent et passent (2020), qui lui valent plusieurs distinctions littéraires prestigieuses. En 2024 et 2025, son roman Le Rêve du pêcheur reçoit plusieurs prix, dont le Grand prix Afrique et le Prix des 5 continents de la Francophonie. Elle participe aussi à des projets collectifs comme Volcaniques et la revue IntranQu’îlité.

Résumé du livre : Le roman s’ouvre sur Anna, une femme âgée en phase terminale d’un cancer, qui se remémore son existence mouvementée au Cameroun. Elle raconte sa jeunesse marquée par la perte de sa mère en couches, une malédiction familiale brisée par la naissance d’Abi, sa fille unique. Abi, journaliste installée en France, tente de concilier vie professionnelle, vie amoureuse et responsabilités familiales. Elle recueille les souvenirs de sa mère, transformant ainsi leur relation distante en un lien profond. La troisième voix est celle de Tina, une jeune femme rescapée des camps de Boko Haram. Son récit, poignant et haletant, dévoile les mécanismes d’endoctrinement et les violences subies par les jeunes femmes dans ces camps. À travers son histoire, le roman met en lumière les défis contemporains auxquels le Cameroun est confronté, notamment la radicalisation de la jeunesse et les conflits internes

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