L'un dans l'autre

L'autre

>

dans

L'un

Jouer

Bienvenue dans “L'un dans l'autre” ! Dans ce jeu, les images et les mots s'entrelacent pour éveiller votre imagination. Plongez dans l'univers fascinant du cinéma surréaliste à travers de mystérieux photogrammes, semblables à des fragments de rêves. Le principe est simple : vous recevez une description poétique, inspirée par le photogramme d’un film surréaliste. Trois images apparaissent ensuite sous le texte : l’une d’entre elles est à l’origine de la description. Votre défi ? Trouver la bonne image et deviner l’inspiration derrière les mots. Saurez-vous percer les secrets cachés dans ces scènes énigmatiques ? Bonne chance, et surtout, amusez-vous bien !

Le jeu

Défi 1

3. Germaine Dulac, “La Coquille et le Clergyman”, 1928

2. Man Ray, “Emak Bakia”, 1926

1. Luis Buñuel, “Un chien andalou”, 1929

Un masque d'ombre sur la clarté fragile, Un regard fixe, mi-dément, mi-divin, Prisonnier d'un reflet brisé. Deux visages en duel, une lame de lumière les sépare. Le monde vacille entre rêve et cauchemar, L'esprit s'effrite, Et le temps suspend son souffle.

Défi 2

3. René Clair, “Entr'acte”, 1924

2. Henri d'Ursel , “La Perle”, 1929

1. Man Ray, “L'étoile de mer”, 1928

Le rêve s'immisce à travers la pensée, Une invitation à franchir la frontière entre le tangible et l'invisible Le geste silencieux évoque une histoire suspendue, Entre la douceur et l'absurde, Où le temps s'arrête pour une contemplation en clair-obscur.

Défi 3

3. Charles Chaplin, "Charlot chef de rayon (The Floorwalker)", 1916

2. Hal Roach, "Harold chez les pirates (Captain Kidd’s Kids)", 1920

1. Edward F. Cline, Buster Keaton, “Frigo déménageur (Cops)", 1922

Un homme perdu dans la foule porte son propre masque, Comme un spectre à la recherche de son identité. Autour de lui, les figures se dessinent dans l'ombre, Des silhouettes figées dans un élan d’absurdité. Qui est cet homme ? Un mime de la vie ou la vie elle-même, Prise dans le fil de son propre théâtre ?

Défi 4

3. André Delvaux, L’Homme au crâne rasé (De man die zijn haar kort liet knippen), 1965

2. Musidora représentée sur l'affiche du sixième épisode des Vampires, Louis Feuillade, 1916.

1. Luís Buñuel, "Viridiana", 1961

L'immobilité est totale, le silence n'a pas d'écho. Un corps repose, figé, comme si le temps avait cessé d'exister. Il n'y a ni respiration, ni pouls qui marque le passage des heures. Est-ce le sommeil qui l'enveloppe, Ou est-ce la mort qui l'étreint de son manteau froid ?

Continuer

Continuer

Continuer

Partie terminée Recommencer

Réessayer