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Présentation Colette
Vanessa
Created on November 28, 2024
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Transcript
réalisé par: Stephant flora, Vanessa Guillaume, Camille denigot, Mathilde Herry ainsi que Maritza belliot
colette
Page 1, ligne 4 à 8
"Je ne peux pas m'empecher de rire en constatant combien tout les Parisiens sont fiers d'habiter Paris, les vrais parce qu'ils assimilent cela à un titre nobiliaire, les faux parce qu'ils s'imaginent avoir monté en grade."
Sido
Sido
"...l'orgeuil d'habiter une demeure ancienne, honorée, close de partout, mais que l'on peut ouvrir à tout moment sur ses greniers aérés, son fenil empli, ses maîtres façonnés à l'usage et à la dignité de leur maison."page: 38-39 ligne: 42 à 46
"Art of small hands"
"RED FLOWER"
Reproduction du style de gorgia o'keeffe par des enfants (2009)
"-tout chaud jardin se nourissait d'une lumière jaune, à tremblements rouges, ce violet, mais je ne pourrais dire si ce rouge, ce violet dépendaient, dépendent encore d'un sentimental bonheur ou d'un éblouissement optique."-Sido; Colette. page 49, ligne 289-293
Gorgia O'KEEFFE (1919)
Sido
Page 67, ligne 757 à 765
-Mais tu as donc l'air bete aujourd'hui, ma fille!... D'ailleurs tu es beaucoup plus jolie quand tu as l'air bete. C'est dommage que cela t'arrive si rarement. Tu peche deja comme moi, par excès d'expression. J'ai toujours l'air, quand j'égare mon dé, d'avoir perdu un parent bien aimé... Quand tu prends l'air bete, tu as les youx plus grands, la bouche entrouverte, et tu rajeunis... A quoi pense s-tu?
"... -Ce pauvre grond loup gris, sec, affamé, sous le soleil de plomb... D'ailleurs j'étais avec mon premier mari. C'est lui aussi, mon premier mari, qui en chassant a vu un renard noyer ses puces. Une touffe d'herbes entre les dents, le renard est entré le derrière le premier, peu à peu, peu à peu, dans l'eau, jusqu'au museau...Paroles innocentes, enseignements maternels que donnent aussi, à leurs petits, l'hirondelle, la mère lièvre, la chatte... Récits délicieux ,dont mo père ne retenait qu'un mot: "mon ancien mari", et il appuyait sur "Sido" ce regard bleu gris dans lequel personne n'a jamais pu lire..."-Sido; Colette. page 87, ligne 293-304
Jules- Joseph Colette
Sido
"j'y puisai à mon tour ,dans cet héritage immatériel,au temps de mes débuts.Est-ce là que je pris le goût fastueux d'écrire sur les feuilles lissees, de belles pâte, et de ne les points ménager ?"
Page: 103 Ligne: 701 à 704
Sido
Frère et soeurs de colette
"Leur farouche humeur n'était pas toujours innocente.L'âge qu'on dit ingrat ,qui étire douloureusement les corps enfantins ,exiges des holocaustes. Il fallait à mes frère une victime . Ils élurent un camrade de collège , que les vacances ramenaient dans le canton voisin "Page 123 ligne 466-471
Mathilde de Morny (Missy)
page 147, ligne 1 à 3
Les vrilles de la vignes
"Pour M...Laisse moi. Je suis malade et méchante, comme la mer. Resserre autour de mes jambes ce plaid, mais emporte cette tasse fumante qui fleurre le foin mouillé, le tilleul, la violette fade... Je ne veux rien, que détourner la tête et ne plus voir la mer"
Colette
Les vrilles de la vigne
"Je t'ai parlé sans doute d'un pays de merveilles, où la saveur de l'air enivre?... Ne le crois pas ! N'y va pas : tu le chercherais en vain."Page 151 Ligne 114 à 117
Les vrilles de la vigne
"Il y a pis.Il y a le momment où vous ne souffrirez presque plus. Oui ! Presque guérie c'est alors que vous serez "l'âme en peine " , celle qui erre, qui cherche elle ne sait quoi, elle ne veut se dire quoi...A cette heure -là les reprises du mal sont bénignes,et par une étrange compensation, les trêves se font abominables,d'un vide vertigineux et fade qui chavire le coeur ..." Page : 229 Ligne: 197 à 204
Les vrilles de la vigne
"une dernière danse tragique me mettre aux prises avec la mort, mais je ne lutterai que pour succomber avec grâce. Que les dieux m'accordent une chute harmonieuse, les bras joints au-dessus de mon front, une jambe pliée et l'autre étendue,comme prête à franchir, d'un bond léger, le seuil noir du royaume des ombres..."
chanson de la danseuse,page 266
Page 273, music-halls, 225-227
les vrilles de la vigne
"On songe à une portée de chatons orphelins, qui se serrent pour se tenir chaud..."
Page 285 Ligne 8-10
Les vrilles de la vigne
"Nous étions sorties pour comtempler la neige,la vraie neige et le vrai froid, raretés parisiennes, occasions, presque introuvables, de fin d'année,..."
Page 296 ligne 1 à 5
Les vrilles de la vigne
" Á ton âge, si j'avais mis de la poudre et du rouge à lèvres,et de la gomme aujx cils, que m'aurait dit ma mère?Tu crois joli, ce bariolage, ce ... ce masque de carnaval,ces... ces exagérations qui te vieillissent"
salon de cosmétique de Colette
Les vrilles de la vigne
"Nous détenons des gammes à enivrer un peintre. L'art d'accomoder les visages, l'industrie qui fabrique les fards, remuent presque autant de millions que la cinématographie. Plus l'époque est dure à la femme, fièrement, s'obstine à cacher qu'elle en patit." Page : 298 Ligne: 51 à 56