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Transcript

Lots Lucie et Arnault Orane

Commencent le 18 mars 1848 jusqu'au 22 mars 1848. Milan étant sous l'emprise de l'Empire Autrichien, le peuple milanais se révolte contre la nouvelle loi sur la liberté de presse ainsi que pour sa liberté:

  • intervention de l’armée sur Milan
  • arrestation et emprisonnement de militants patriotes.
  • censure complète à partir du 1er janvier 1848...
Des nationalistes décident d'organiser une manifestation populaire pour lutter contre ces nouvelles réformes :
  • Le 18 mars, la première réaction d’opposants à l’empire tombe des fenêtres et des toits (vases de fleurs, objets divers, petits meubles, matelas, tuiles...). Peu à peu, des tirs se font entendre puis des barricades se forme.
  • 19 mars, les barricades sont essentiellement défendues par des ouvriers, des artisans, des jeunes. Les sections autrichiennes se trouvent coupées les unes des autres.
  • 20 Mars, sous la pression populaire :- elle promulgue les trois décrets proposés le 18 destitution du chef de la police, ordre à la police de remettre ses armes à la municipalité, création de la garde civile; elle crée quatre comités exécutifs ( sécurité publique, finances, subsistance, défense de la ville); Le groupe d’insurgés d’Agostino Anfossi parvient sur le dôme, tenu par les chasseurs tyroliens et y déploie le drapeau tricolore italien.

Les cinq journées de Milan

  • 21 mars, un gouvernement provisoire est formé et prend contact avec le roi de Piémont Sardaigne pour qu’il intervienne à leurs côtés. L’administration autrichienne quitte la ville.
  • 22 mars, la population armée se lance à l’assaut des grandes portes de la ville et les prend (porta Tosa et porta Comasina), permettant la liaison avec les régions rurales. Vers 23 heures, le général en chef autrichien ordonne la retraite de ses troupesAvec le renfort des troupes qui accourent de Vienne, il compte repartir à l’assaut de Milan. La première guerre d’indépendance italienne va commencer.

Épisode des cinq journées par Baldassare Verazzi

Combats de barricades sur Alexanderplatz dans la nuit du 18 au 19 mars 1848. , Anonyme

Les révolutionnaires des États allemands aspirent à l'établissement des libertés politiques ainsi qu'à l'unité nationale. Dès fin février (fin des révoltes francçaise), de grandes assemblées populaires se tiennent dans des villes du Sud. Dans les semaines qui suivent, des mouvements de protestation spontanés éclatent dans une grande partie des États allemands : les insurgés érigent des barricades, rédigent résolutions, des pétitions et la grogne qui couvait depuis longtemps au sein des classes populaires s’exprime sous la forme de revendications sociales. Ce large mouvement de masse, associant dans un premier temps le peuple et la bourgeoisie, conduit à la percée politique des libéraux. Face à la pression de la rue, les monarques cèdent. Après ces événements, la bourgeoisie libérale préfère se retirer des actions révolutionnaires au profit de consultations de ses députés, au sujet des constitutions, du droit de vote, de la presse et de la liberté de réunion.

La révolution de Mars

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La révolution autrichienne de 1848 consiste en une série de soulèvements bourgeois démocratiques ou nationalistes qui s'inscrit en Autriche dans le contexte du Printemps des peuples et de la révolution de Mars. Le 13 mars, une manifestation estudiantine en Autriche mène à l’effondrement du gouvernement Metternich, un régime qui avait fermement tenu les rênes du pouvoir depuis 27 ans. Suite à une fusillade, le prince Metternich choisit l’exil. Cette insurrection enflamme les révolutions hongroise et milanaise de la même année

Les insurréctions autrichiennes

« L’Assemblée de mai » de Pavle Simić

Le peuple français érige un front contre le roi Louis-Philippe 1er. Cette insurrection ne trouve pas son origine directe dans le congrès de Vienne, contrairement à la révolution sicilienne, mais découle des crises politiques. Tout s’amorce en 1835 avec un attenta commis contre le roi car il refuse la mise en place du suffrage universel. Il applique donc les lois de Septembre sui durcissent son règne, notamment par la censure de politique et de presse. Malgré les agitations prévalentes en France, Guizot prohibe le 14 janvier 1848 un banquet destiné à clore la campagne de l’opposition. En défi à l’interdiction de ce dernier par Louis-Philippe, l’opposition le reporte au 22 février. C’est le 22 février, au matin, qu’une manifestation se déploie contre le gouvernement. Louis-Philippe, anticipant un débordement, mobilise la Garde Nationale et des barricades s’érigent. Guizot démissionne le 23 Février pour apaiser la colère, en vain : une fusillade éclate le soir même devant le ministère des Affaires Étrangères. Paris se rebelle toute la nuit. Pour esquiver un massacre, Louis-Philippe abdique et s’exile en Angleterre le 24 février. C’est dans une euphorie populaire que Lamartine déclare : « Le gouvernement actuel de la France est le gouvernement de la République ». La République est officiellement proclamée le 27 février, dans une nation vibrant d’émotions révolutionnaires.

La révolution de Février (22-24 fev 1848, Paris)

Lamartine devant l’hôtel de ville de Paris le 25 février 1848 refuse le drapeau rouge – Peinture de Félix Philippoteaux