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Présentation bureau multi-chemin
Mariama Gardet
Created on November 14, 2024
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Transcript
Au travail et dans les études.
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l'evolution de la place de la femme
2.
3.
1.
l'évolution de l'éducation et de la parité homme-femme
La féminisation des métiers: le parcours d'hélène darroze
l'égalité salariale, un enjeu central
conclusion
introduction
Dans quelle mesure l'évolution de la place de la femme au travail et dans les études reflète-t-elle des progrès vers l'égalité entre les sexes.
L'évolution de la place des femmes dans le travail et les études reflète des changements profond dans la société. Au cours des deux derniers siècles, les femmes sont passées de rôles traditionnels centrès sur un côté domestique à une participation plus importante dans tous les secteurs professionnels et éducatif.
« Les droits des femmes sont les droits humains. » – Hillary Clinton
introduction
- Situation au XIXe siècle.
- Émergence de l'éducation formelle.
- Fin du XIXe siècle et début du XXe siècle.
- Le XXe siècle et les avancées significatives.
- Éducation contemporaine.
l’évolution de l’éducation des filles depuis le XIXe siècle
la parité homme/ femme au travail
Depuis plusieurs années, l’État français s’engage activement en faveur de la mixité et de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. Ces efforts ont donné lieu à l’adoption de nombreuses lois imposant aux entreprises des règles précises. Voici un aperçu des principales obligations légales actuelles en matière de mixité et d’égalité professionnelle.
les obligations légales
La féminisation d’un nombre de participants et de métiers varie dans certaines régions. Ces dernières comprennent :
Au cours du vingtième siècle, et en particulier après la Seconde Guerre mondiale, les femmes s’infiltrèrent graduellement dans le marché du travail. Les raisons incluent l’émergence des femmes et du domicile, avec celle de l’habillement, le résultat de l’action des femmes, des transformations légales, et des fondements de l’économie un certain nombre de nécessite souvent deux revenus d’un ménage.
La féminisation d’un métier ou d’une profession se réfère généralement à la croissance du nombre de femmes dans une activité implicative comme masculin, étant donné que l’emploi du personnel masculin dynamique et/ou les qualités sociales pour commencer.
la féménisation des métiers
la féménisation des métiers
La féminisation d’un certain nombre de participants est un symptôme du changement en ce qui concerne l’égalité des sexes. Outre le devoir d’intégration de la perspective des femmes dans toutes les domaines, la répartition des prêts au trésor aux ressources professionnelles. Dans l’étrange chose, la feminisation des participants a causé des traits et des tournures innovants dans les entreprises, faisant que toutes les personnes et les équipes À quand remonte l’effort auquel on peut s’accrocher ? D’une manière binômiale, un certain nombre d’entreprises se sont déjà féminisées rapidement. considérablement ou sous peu.
la féménisation des métiers
née le 23 février 1967 à Mont-de-Marsan
Chef cuisinière française cumulant six étoiles au guide Michelin
Hélène Darroze incarne la féminisation des métiers dans la gastronomie, un domaine historiquement dominé par les hommes. Chef étoilée à plusieurs reprises, elle a su briser les stéréotypes de genre en s'imposant parmi les plus grands noms de la cuisine. À travers son succès international et sa médiatisation, notamment dans des émissions comme "Top Chef", elle est devenue une source d'inspiration pour de nombreuses femmes, démontrant que l'excellence féminine peut prospérer dans des secteurs longtemps réservés aux hommes, tout en contribuant à ouvrir la voie pour la prochaine génération de cheffes.
Hélène Darroze
L’égalité salariale, bien qu’elle soit inscrite dans la loi depuis longtemps, reste encore un objectif difficile à atteindre. En France, les femmes gagnent en moyenne 22 % de moins que les hommes sur une base brute annuelle. De plus, en moyenne, un homme gagne 2 898 euros net par mois contre 2 508 pour une femme. Même lorsqu’on compare des postes équivalents avec des qualifications et des expériences similaires, il reste un écart salarial inexpliqué, estimé entre 5 et 9 %.
l'égalité salariale
Pour corriger ces inégalités, des dispositifs ont été mis en place, comme l’index d’égalité professionnelle, qui est obligatoire pour les entreprises de plus de 50 salariés depuis 2019. Cet index mesure les écarts de salaire entre les hommes et les femmes, l’accès aux promotions, les augmentations, et la parité parmi les 10 plus hauts salaires de l’entreprise. Les entreprises qui obtiennent une note inférieure à 75/100 doivent prendre des mesures pour améliorer leur situation, sous peine de sanctions financières.
corriger ces inégalités
Plusieurs raisons expliquent ces inégalités. Tout d’abord, les femmes travaillent souvent dans des secteurs où les salaires sont moins élevés, comme l’éducation, le social ou la santé. Par exemple, une infirmière ou une enseignante sera moins bien payée qu’un ingénieur ou un cadre dans l’industrie, même si elles ont un niveau d’études comparable. De plus, les femmes sont beaucoup plus nombreuses à travailler à temps partiel : 30 % des femmes actives contre seulement 8 % des hommes. Cela s’explique en grande partie par le fait qu’elles prennent en charge une grande part des responsabilités familiales et domestiques, ce qui limite leur disponibilité professionnelle.
raisons de ces inégalités
Un autre facteur important est lié aux primes, aux augmentations et aux bonus, qui sont moins souvent accordés aux femmes. Les postes de direction, où les salaires sont les plus élevés, restent également majoritairement occupés par des hommes.
primes, augmentaions et bonus
Sources :
Nous pouvons donc en conclure que, malgré les avancées, l’égalité professionnelle reste un défi. Les femmes continuent de gagner moins que les hommes et sont sous-représentées dans les postes à responsabilité. Bien que des lois et des outils comme l’index d’égalité existent, ils ne suffisent pas à résoudre les causes profondes. Pour progresser, il faut promouvoir la transparence salariale, l’accès des femmes aux postes stratégiques, et un meilleur partage des tâches familiales.
conclusion
- https://www.retronews.fr/education/long-format/2022/06/06/sequence-pedagogique-education-filles-xix-siecle
- https://www.entreprises.gouv.fr/fr/mixite-et-egalite-professionnelle-dans-entreprises#HautDePage
- https://www.conseil-constitutionnel.fr/decision/2018/2018717_718QPC.htm
sources
Le secteur industriel
Le secteur industriel est particulièrement ciblé par des initiatives spécifiques. Le Conseil pour la mixité et l’égalité professionnelle dans l’industrie, créé en 2019, œuvre pour accroître la présence des femmes dans des fonctions opérationnelles et stratégiques. Par ailleurs, le collectif IndustriElles mobilise des professionnels pour promouvoir la mixité et servir de modèles ou mentors auprès des jeunes filles.
l'éducation
Ce champ est féminisé historiquement, principalement au niveau de la gestion publique et secondaire.
Elles doivent aussi proposer des mesures pour mieux concilier vie professionnelle et vie familiale, comme des horaires plus flexibles ou des congés parentaux mieux répartis entre les deux parents.
Pour aller plus loin, les entreprises doivent adopter des politiques favorisant la transparence salariale, pour que chacun puisse connaître les écarts de salaire et les corriger.
Cela ne résout pas tout
Cependant, même si cet outil est utile, il ne résout pas tous les problèmes. Il ne s’attaque pas directement aux causes profondes, comme le manque d’accès des femmes aux postes à responsabilité ou la répartition inégale des tâches familiales.
En 2022, seulement 28 % des postes de direction dans les grandes entreprises françaises étaient occupés par des femmes. Cette sous-représentation dans les postes stratégiques contribue à creuser les écarts salariaux globaux.
la santé
Les professions de santé comme infirmière, fourniture d’aide, soutien médical ou encore assistante sage-femme sont féminisées de cette manière.
Des services sociaux et de la gestion
Près de neuf métiers du service public et de la gestion, principalement de la gestion publique, sont aussi des structures entièrement féminines.
Définitions
- Une évolution désigne les transformations et progrès accomplis aufil du temps.
- La place des femmes fait référence au rôle, au statut et aux opportunités des femmes dans la société.
Loi Copé-Zimmermann
La loi Copé-Zimmermann de 2011 impose un quota de 40 % de femmes dans les conseils d’administration et de surveillance des grandes entreprises. Cette obligation concerne les entreprises cotées, celles ayant plus de 250 salariés ou un chiffre d’affaires supérieur à 50 millions d’euros. En cas de non-respect, les nominations non conformes sont annulées, et les jetons de présence, qui sont des rémunérations versées aux membres des conseils d’administration ou de surveillance pour leur participation aux réunions et à leurs missions au sein de ces instances dirigeantes, sont suspendus jusqu’à régularisation.
Malgré les progrès réalisés, des inégalités entre filles et garçons persistent au début du XXIe siècle. Par exemple, les filles affichent souvent des ambitions professionnelles moins élevées, en partie à cause des stéréotypes véhiculés par les manuels scolaires, où les femmes célèbres restent peu représentées. Si elles réussissent mieux à l’école, elles sont moins nombreuses dans les filières STEM (sciences, technologie, ingénierie et mathématiques). Certaines structures éducatives échappent encore à la mixité, comme les maisons d’éducation de la Légion d’honneur, internats publics réservés aux descendantes des personnes décorées de la Légion d’honneur, ou des internats privés non mixtes. Cependant, des initiatives encouragent les filles à investir des domaines scientifiques et techniques pour réduire ces inégalités.
Au XIXe siècle, l’éducation des filles est jugée accessoire par rapport à celle des garçons. Elle est principalement orientée vers les rôles domestiques, renforçant l’idée que la place des femmes est au foyer. Les jeunes filles des milieux populaires ne reçoivent souvent aucune instruction formelle et commencent à travailler dès leur enfance, tandis que celles des classes supérieures bénéficient parfois d’une éducation limitée, centrée sur la musique ou les arts. Les religieuses prennent en charge la plupart des enseignements, inculquant des valeurs chrétiennes et des compétences pratiques.
hillary clinton
Des lois ont été adoptées dans de nombreux pays pour garantir l’accès à l'éducation des filles. Par exemple, en France, la loi du 28 mars 1882 sur l'enseignement primaire obligatoire affirme l'obligation de l'enseignement primaire pour les enfants des deux sexes, de 6 à 13 ans. Le XXe siècle est marqué par des progrès significatifs dans l’éducation des filles, notamment après la Seconde Guerre mondiale. La nécessité d’une main-d’œuvre qualifiée pousse davantage de femmes à poursuivre des études secondaires et supérieures. En 1976, la mixité scolaire devient enfin la règle en France, brisant une barrière symbolique majeure. Cependant, même dans cette période de transition, les stéréotypes genrés perdurent : les programmes restent différenciés selon les sexes, et les filles sont encore sous-représentées dans des domaines comme les sciences et les technologies.
La loi du 17 août 2015
La loi du 17 août 2015 oblige les entreprises à organiser une négociation annuelle sur l’égalité professionnelle et la qualité de vie au travail. Par ailleurs, la loi du 4 août 2014 encourage le partage des responsabilités parentales, notamment via une réforme du congé parental, et impose la parité dans des secteurs tels que les fédérations sportives et les mutuelles.
Dans les années 1870-1880, les universités commencent à ouvrir leurs portes aux femmes, une avancée importante portée par le mouvement féministe. Cependant, les inégalités persistent dans les programmes scolaires : les filles sont formées à la couture et à la cuisine, tandis que les garçons étudient le latin, la philosophie ou les sciences. La mixité est particulièrement controversée, les opposants avançant des arguments sur les différences “d’intelligences” et les dangers pour les normes sociales. Ces résistances retardent une réelle égalité dans l’éducation, malgré les efforts pour élargir les horizons des jeunes filles.
Différents cas
Les obligations légales varient selon la taille des entreprises. En effet, les entreprises de 50 salariés ou plus doivent publier un « index de l’égalité femmes-hommes », depuis la loi du 5 septembre 2018 et mettre en place des actions correctives si leur score est inférieur à 75/100. Les entreprises de plus de 1 000 salariés ont des obligations supplémentaires, comme la publication annuelle des écarts de représentation hommes-femmes parmi leurs cadres dirigeants et leurs instances dirigeantes. Mais cinq lois principales structurent ces règles. Parmi elles, la loi du 24 décembre 2021, visant à accélérer l’égalité économique et professionnelle, renforcant les exigences en matière de transparence et de représentation des femmes dans les postes de direction. Les entreprises doivent notamment s’assurer de l’égalité salariale pour des travaux de valeur égale et promouvoir un accès équitable à la formation.
Les premières réformes en faveur de l’éducation des filles apparaissent dans les années 1830, mais c’est avec la IIIe République que l’alphabétisation féminine devient une priorité, car cette période est marquée par une volonté de construire un état laïc, moderne et démocratique. Des écoles publiques pour filles, comme le lycée Fénelon à Paris, sont créées malgré une opposition virulente des milieux conservateurs et religieux. La République française (1887) rapporte que des journaux comme Le Figaro dénoncent l’ouverture de lycées pour jeunes filles, accusant ces établissements de corrompre les mœurs ( ils craignaient que l'instruction des jeunes filles leur donne des idées d'émancipation qui remetteraient en question les normes traditionnelles). Ces critiques reflètent la peur de voir les femmes accéder aux mêmes savoirs que les hommes, bien qu’il soit précisé que le but de ces écoles est de former des Françaises “intelligentes” capables d’élever leurs enfants et d’épauler leurs maris.