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Transcript

Walid,Marius,Yanis

PRESENTATION

Droit de vote

Autorisation du droit de vote des étrangers depuis la Révolution française .

START

Conclusion

sommaire

INTRODUCTION

Arguments "Pour"

Arguments "contre"

introduction

Depuis la Révolution française, la question du suffrage universel est soulevée, mais il est réservé aux citoyens français. Bien que le principe d'égalité soit mis en avant, il ne s'applique qu'à ceux qui détiennent la nationalité française. Avec l'arrivée de la IIIᵉ République en 1870, le sujet de l'intégration et des droits des étrangers commence à être discuté en politique, même si le droit de vote demeure exclusif aux citoyens français. Sous la Ve République, les progrès sont lents et limités. Une avancée significative se produit en 1992 avec le traité de Maastricht, qui permet aux citoyens de l'Union européenne vivant en France de voter aux élections municipales, mais pas aux élections nationales, ni aux étrangers hors de l'Union. Depuis lors, la question d'accorder le droit de vote aux étrangers non-européens lors des élections locales est souvent débattue, mais elle reste un sujet délicat et controversé.

Arguments

Graphique

+ info
+ info

Pour:

3. Alignement avec l'évolution des sociétés européennes : Plusieurs nations européennes, comme la Suède et le Danemark, ont permis aux résidents étrangers de voter lors des élections locales. Les défenseurs du droit de vote pour les étrangers en France pensent que le pays devrait s'inspirer de ces exemples pour être en accord avec les pratiques démocratiques en Europe.

4. Position de certains partis politiques : Le Parti socialiste (PS) et des partis de gauche tels que "La France Insoumise" ont soutenu l'idée d'accorder le droit de vote aux étrangers, surtout sous la présidence de François Mitterrand et durant le mandat de François Hollande. Bien que cette proposition n'ait jamais été mise en œuvre, elle demeure un point clé du programme de ces partis.

1. **Principe d’égalité** : Les partisans de cette initiative soutiennent que l'intégration des étrangers nécessite l'égalité des droits. Ils pensent que les étrangers, en particulier ceux qui vivent en France depuis longtemps, devraient avoir la possibilité de participer aux décisions locales qui les affectent directement. Les exclure du vote reviendrait à leur refuser une voix dans la gestion de la société où ils résident.

2. **Renforcement de l'intégration** : La participation aux élections est perçue comme un moyen d'améliorer l'intégration des étrangers en France. Autoriser les résidents étrangers à voter les impliquerait davantage dans la vie civique et faciliterait leur inclusion sociale.Des organisations telles que la **Ligue des droits de l’homme** et **SOS Racisme** se battent pour cette ouverture, affirmant que la participation des citoyens est essentielle pour renforcer la cohésion sociale.

contre:

3. Voie de la naturalisation : Les opposants soulignent que les étrangers peuvent devenir citoyens français par le biais de la naturalisation, ce qui leur donne accès aux mêmes droits que ceux des citoyens nés en France, y compris le droit de vote. Ils pensent que cette option est plus appropriée et favorise une meilleure intégration.

1. Souveraineté nationale : L'argument principal est souvent celui de la souveraineté. Pour les opposants, seuls les citoyens français devraient avoir le droit de voter, car ils représentent la nation. Ils estiment que la citoyenneté est liée aux droits politiques.

2. Risques de communautarisme : Certains redoutent que le droit de vote des étrangers, surtout dans certaines villes, entraîne un vote basé sur des communautés, ce qui pourrait créer des divisions au lieu de favoriser l'intégration. Cet argument est souvent soutenu par des partis de droite comme "Les Républicains" et des mouvements nationalistes comme le "Rassemblement National".

conclusion
Le droit de vote des étrangers en France soulève une tension entre égalité et souveraineté. Les partisans y voient un outil d’intégration et une reconnaissance des contributions des étrangers à la société, en s’appuyant sur des exemples européens. Les opposants, eux, défendent une citoyenneté exclusive, indissociable des droits politiques, et redoutent des risques de communautarisme. Malgré des avancées comme le traité de Maastricht en 1992, le sujet reste controversé, reflétant des visions divergentes de la citoyenneté et de l’identité nationale. Ce débat, entre ouverture et tradition, demeure une fracture idéologique en France.

Merci !

'When you give a boring presentation, you only hear the snores of your audience and there's so much text that there's no room for even a single image.' -Genially

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