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Presentation HP1 C5

Ana Danann

Created on November 13, 2024

Pour lire l'histoire d'Harry Potter à l'école des sorciers aux plus jeunes.

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Transcript

Il ne voulait pas ouvrir les yeux et se retrouver dans son placard mais ...

Le lendemain matin, Harry se réveilla mais n'osait pas ouvrir les yeux.

Il ne savait pas s'il avait rêvé de ce Hagrid ou si tout était réel.

Résigné, Harry ouvrit les yeux et vit Hagrid endormi sur le canapé.

Bien évidemment, c'était la tante Pétunia qui venait le réveiller.

Harry aperçut un hibou qui tapait d'une patte au carreau de la fenêtre et portait un journal dans son bec.

Harry se leva en hâte, il éprouvait une telle sensation de bonheur qu'il avait l'impression de sentir son corps flotter comme un ballon.

Hagrid dit à Harry qu'il trouverait de l'argent sorcier dans l'une des poches de son manteau.

Poches d'Hagrid

Harry laissa entrer le hibou, l'oiseau déposa le journal sur Hagrid et attendit d'être payé.

Le hibou en voulait cinq noises. Harry lui donna cinq pièces en bronze et le hibou s'en alla.

Hagrid le rassura : ses parents lui avaient laissé un petit héritage qui était bien gardé chez Gringotts, la banque des sorciers.

En tournant d'autres pièces dans ses mains, Harry sembla soudain préoccupé, comme si le bonheur qu'il avait ressenti, venait de crever comme un ballon..

Aujourd'hui, il allait partir avec Hagrid à Londres pour acheter ses fournitures scolaires mais il n'avait pas d'argent.

Et ce n'était certainement pas l'oncle Vernon qui allait accepter de payer pour tout ça.

Harry demanda des précisions sur cette banque.

Puis Hagrid proposa à Harry de se mettre en route.

Dehors, le ciel était clair à présent et la mer étincelait sous le soleil.

Hagrid, comment avez-vous fait pour arriver jusqu'ici ?

D'après Hagrid, il faudrait être fou pour essayer de voler quoi que ce soit chez Gringotts, c'était l'endroit le plus sûr au monde, mis à part Poudlard peut-être.

La Banque Gringotts était dirigée par des gobelins.

Le géant lui confia qu'il était venu jusqu'à l'île en volant mais qu'ils allaient en partir à l'aide de la barque qui l'avait amené lui et les Dursley.

Maintenant qu'il avait récupéré Harry, Hagrid n'avait plus trop le droit de faire de magie.

Néanmoins, il tapota le bord de la barque de la pointe de son parapluie rose et le bateau fila aussitôt vers le rivage.

Harry profita du trajet pour poser de nouvelles questions, il en avait tellement qu'il était difficile de résister.

Hagrid avoua à Harry qu'il avait toujours rêvé d'avoir un dragon

Il se demandait pourquoi il fallait être fou pour essayer de voler quelque chose chez Gringotts.
Puis, lorsque Hagrid qui lisait son journal, La Gazette du sorcier, marmonna que le Ministère de la Magie avait encore fait des bêtises, Harry s'étonna.
Ministère de la magie?
Gringotts ?

Pour pouvoir aller à Londres, Harry et Hagrid prirent le train.

Pendant le trajet, Harry analysa la liste des fournitures à acheter qu'il y avait avec sa lettre.
Fourniture ?

Il se demanda où il allait bien trouver tout ça.

Lorsqu'ils entrèrent à l'intérieur, tout le monde sembla connaître Hagrid qui leur disait bonjour.

Hagrid s'arrêta devant un minuscule bâtiment entre une librairie et une boutique de disques.

Harry n'était jamais allé à Londres.
Pourtant la rue dans laquelle ils marchaient lui paraissait aussi ordinaire que les passants qui les entouraient.

D'après la pancarte, c'était le Chaudron Baveur.

Lorsque le barman reconnut Harry, un silence s'installa dans l'établissement.

Soudain tout le monde se leva pour venir lui serrer la main.

Par le ciel... Harry Potter... Quel honneur !

Tous les regards étaient tournés vers lui .

Je suis Doris Crockford, Mr Potter, c'est extraordinaire de vous voir enfin.

Je suis très fier de faire votre connaissance.

Soyez le bienvenue, Mr Potter. Bienvenue parmi nous

J'ai toujours rêvé de vous serrer la main. Je suis si ému.

Le professeur Quirrell enseignait à l'école de sorcellerie Poudlard. Il avait l'air nerveux et il bégayait.

Un jeune homme au teint pâle s'avança, visiblement nerveux. L'une de ses paupières était agitée de tics.
Hagrid présenta le professeur Quirrell à Harry.
Il s'en souvient ! Vous avez entendu ! Il s'en souvient !
Je suis si honoré de faire votre connaissance, Mr Potter. Je m'appelle Diggle, Dedalus Diggle.
Je vous ai déjà vu. Vous m'avez salué un jour dans un magasin.

Hagrid l'entraina hors du bar, dans une petite cour entourée de mur où il n'y avait que des poubelles et quelques mauvaises herbes.

Les autres clients du bar n'avaient pas l'intention de laisser le professeur accaparer Harry et Hagrid eut toutes les peines du monde à se faire entendre.

Il sortit son parapluie rose et commença à tapoter sur des briques dans un ordre bien précis.

Les briques se mirent à trembler puis à bouger par magie.

Au-delà, une rue pavée serpentait devant eux à perte de vue.

L'ouverture s'élargit jusqu'à se transformer en une arcade suffisamment grande pour permettre à Hagrid de passer.

Bienvenue sur le Chemin de Traverse.

Il y avait toute sorte de magasins : des boutiques pour les robes de sorciers, les chaudrons, les ingrédients pour les potions, les grimoires et bien d'autres.

Ils passèrent devant une boutique où des garçons de l'âge de Harry observaient un nouveau modèle de balai volant : le Nimbus 2000.

Harry était stupéfait.

C'était la banque Gringotts.

Harry se retrouva devant un grand bâtiment blanc.

Ils passèrent une première porte gardée par un gobelin en tenue écarlate.

Puis ils se retrouvèrent devant une autre porte sur laquelle était gravé ces mots :

Il sortit également une lettre écrite par Albus Dumbledore à propos de quelque chose dans le coffre 713.

Harry demanda ce que c'était, mais Hagrid ne pouvait rien dire, c'était secret, une affaire concernant Poudlard.

Hagrid se présenta à l'accueil et sortit une clé puis il annonça au gobelin que Harry Potter voulait retirer de l'argent.

L'endroit était rempli de gobelins et de sorciers.

Tous les trois s'installèrent et le wagonnet les emporta.

C'était comme des montagnes russes dans un labyrinthe et ça rendait Hagrid malade.

C'était rempli de voies ferrées avec des wagonnets.

Accompagné par un gobelin du nom de Gripsec, Harry et Hagrid descendirent dans les sous-sols de la banque.

Tout d'abord, ils parcoururent un labyrinthe de galeries tortueuses en tournant sans cesse, à droite, à gauche, sans que Gripsec ait besoin de manoeuvrer le wagonnet qui semblait connaître son chemin.

Harry avait du mal à y croire ! Pendant tout ce temps, une petite fortune l'attendait dans les sous-sols de Londres ! Si l'oncle Vernon et la tante Pétunia l'avaient su ...

Harry découvrit avec stupéfaction des monceaux d'or, d'argent et de bronze qui s'entassaient dans une chambre forte.

Enfin, le wagonnet s'arrêta devant le coffre-fort d'Harry.

Gripsec ouvrit la porte.

Argent sorcier

Ils repartirent dans le labyrinthe en s'enfonçant encore davantage dans les entrailles de Gringotts.

Si quiconque d'autre qu'un gobelin essayait d'ouvrir cette porte, il serait aspiré au travers et deviendrait prisonnier de la chambre forte.

Ils passèrent au-dessus d'un ravin et Harry se pencha pour scruter les profondeurs mais Hagrid le ramena en arrière par la peau du cou.

Harry lui demanda si la banque vérifiait de temps en temps s'il y avait quelqu'un à l'intérieur et Gripsec répondit tous les dix ans environ, avec un sourire mauvais.

La porte du coffre 713 n'avait pas de serrure, Gripsec caressa la porte du bout des doigts et celle-ci disparut par magie.

Harry pensait qu'il y avait un fabuleux trésor dans un coffre aussi bien protégé.

Seul un petit paquet enveloppé dans du papier kraft était posé sur le sol.

Hagrid le prit et le mit dans une poche au fond de son manteau.

Après une dernière session de wagonnet, ils sortirent de la banque, sous un soleil éclatant qui les fit cligner des yeux.

Ils se dirigèrent vers la boutique qui s'appelait :

Avant d'entrer dans la boutique, Hagrid lui demanda d'y aller seul.

Madame Guipure, Pret-à-porter pour mages et sorciers

Il n'avait pas du tout supporté les wagonnets et voulait aller prendre un petit remontant au Chaudron Baveur.

pour l'uniforme d'Harry.

Le garçon déclara que Poudlard devrait être réservé uniquement aux enfants de vieilles familles de sorciers et pas aux enfants de moldus.

Harry entra et commença à faire des essayages.

Un peu plus tard, Harry aperçut Hagrid à travers la vitrine qui l'attendait avec une énorme glace.

Il en profita pour mettre un terme à la conversation sans lui répondre et sortit de la boutique.

Un autre garçon de son âge était aussi là pour son uniforme.

Le garçon au teint pâle et au nez en pointe entama la conversation.

Le garçon semblait savoir qu'il travaillait à Poudlard et le comparait à un domestique.

Harry parlait peu, répondant : oui, non ou "mmm" au garçon qui évoquait Quidditch, Serpentard et Poufsouffle.

A mesure que les essayages avançaient, Harry le trouvait de plus en plus antipathique.

Harry ne comprenait pas grand chose.

Alors qu'il lui demandait son nom, Harry termina ses essayages.

Il a dit que ...

Après avoir acheté de l'encre, des plumes et du parchemin, Harry parla à Hagrid du garçon au teint pâle rencontré chez Madame Guipure.

Tous les deux allèrent ensuite chez Fleury & Bott pour acheter les manuels scolaires.

Puis , ils se dirigèrent vers la boutique de chaudron.

4 maisons

Et enfin, ils passèrent un peu de temps chez l'Apothicaire.

Harry en bégaya de reconnaissance. On aurait dit le professeur Quirrell.

Il continuèrent leurs emplettes dans les boutiques qui s'alignaient le long de la rue et bientôt, il ne resta plus que la baguette magique à acheter.

Mais avant ça, Hagrid emmena Harry dans le magasin de hiboux pour lui acheter son cadeau d'anniversaire : une chouette aux plumes blanches comme la neige.

Il commença à observer Harry, à prendre les mesures de tous ses membres avec un mètre-ruban.

A leur entrée, Hagrid se mit dans un coin et Harry attendit.

Lorsque Mr Ollivander se présenta, il reconnut de suite Harry Potter.

Ils se rendirent chez Ollivander, le meilleur fabriquant de baguettes magiques, selon Hagrid.

Lorsqu'il observa sa cicatrice, il s'excusa.

Ollivander lui parla de ses parents, des baguettes qu'il leur avait vendues, avec tout le détail de leur composition.

Ollivander avoua que c'était lui qui avait vendu la baguette responsable de cette cicatrice, une baguette magique très puissante.

Pendant que le mètre-ruban continuait de le mesurer, Ollivander expliqua à Harry que chaque baguette choisissait son sorcier.

Chaque baguette de chez Ollivander renferme des substances magiques très puissantes, Mr Potter.

Nous utilisons du poils de licorne, des plumes de phénix ou des ventricules de coeur de dragons.

Et de même qu'on ne trouve pas deux licornes, deux phénix ou deux dragons exactement semblables,

il n'existe pas chez Ollivander deux baguettes qui soient identiques.

Lorsqu'il termina ses mesures, il partit chercher des boites disposées dans la boutique.

Harry commença d'essayer une par une les baguettes magiques.

Etrange, très étrange ...

Il les prenait, les agitait mais rien ne se passait et il se retrouva bientôt avec une montagne de boites à côté de lui, aucune ne lui convenait.

Lorsqu'il l'agita, Harry ressentit une étrange chaleur au bout de ses doigts et aussitôt une étincelle jaillit de l'extrêmité.

Il finit par essayer une baguette magique en bois de houx et plume de phénix qui mesurait 27,5 centimètres.

Après tout Voldemort aussi avait fait de grandes choses, terribles, mais de grande envergure.

Ollivander promit un bel avenir à Harry.

Harry frissonna puis paya les sept gallions que coutait la baguette et sortit de la boutique avec Hagrid.

Hagrid le rassura en lui disant qu'il allait apprendre très vite à Poudlard, tout le monde commençait au même niveau. Hagrid lui assura également qu'il serait très heureux là-bas.

En fin de journée, sur le chemin de retour chez les Dursley, Harry confia à Hagrid qu'il n'était pas sûr d'être à la hauteur, il ne connaissait rien à la magie.

Ouvrir

Avant de quitter Harry et qu'il ne retourne chez les Dursley, Hagrid lui donna une enveloppe.

A suivre ...

Chapitre 6 : Rendez-vous sur la voie 9 .

3/4

Gringotts, la banque des sorciers

Fondée et dirigée par des gobelins.

Les gobelins n'ont pas leur pareil pour jeter des sorts. On dit même que ce sont des dragons qui gardent la salle des coffres.

Garrick Ollivander se rappelait de chaque baguette qu'il avait vendue, et le phénix sur lequel avait été prélevé la plume pour la conception de cette baguette, avait également fourni une autre plume pour une autre baguette magique.

Curieux, vraiment, comme les choses se produisent. Souvenez-vous, c'est la baguette qui choisit son sorcier, pas le contraire...

Il était étrange que cette baguette fut destinée à Harry, quand on sait que sa soeur lui avait fait cette cicatrice.

Harry avoua qu'il aimerait bien jeter un sort à Dudley à l'occasion. Hagrid lui répondit que ce n'était pas une mauvaise idée, mais que malheureusement c'était interdit. Il ne devait utiliser la magie dans le monde des moldus qu'en cas d'extrême urgence.

Hagrid dut presque trainer Harry pour l'arracher à Sorts et contre-sorts (ensorcelez vos amis et stupéfiez vos ennemis avec les sortilèges de Crâne chauve, Jambencoton, Langue de plomb et bien d'autre encore) par le professeur Vindictus Viridian.

Harry n'eut pas non plus la permission d'acheter un chaudron en or ("Il faut qu'il soit en étain" assura Hagrid).

Elle contenait son billet de train pour Poudlard :

Départ le 1er septembre de la gare de King's Cross à Londres.

Professeur Quirinus Quirrell

Il exerce les fonctions de professeur de défense contre les forces du Mal à l'école de sorcellerie Poudlard.

Une rumeur dit qu'il a peur de tout, même de ses élèves, depuis qu'il a rencontré des vampires et des harpies dans la Forêt-Noire.

Puis ils allèrent faire un tour dans la boutique de l'Apothicaire qui fascina Harry en dépit de l'odeur pestilentielle qui y régnait, un mélange d'oeufs pourris et de choux avariés.

Des tonneaux contenant des substances gluantes s'alignaient sur le sol.

Pendant que Hagrid demandait les ingrédients de base nécéssaires à la fabrication de potions, Harry examina des cornes argentées de licornes à 21 Gallions pièces.

Disposés sur des étagères, on voyait des bocaux remplis d'herbes, de racines séchées et de poudres brillantes.

Des plumes d'oiseaux, des crochets de serpents, des serres de rapaces pendaient du plafond.

Argent sorcier

Hagrid l'aida à remplir un sac de pièces tout en lui expliquant :

Harry interrogea Hagrid sur les propos du garçon au teint pâle.

Hagrid se moqua de lui et affirma que les origines ne voulaient absolument rien dire. Lily, la mère d'Harry, venait d'une famille moldue et elle était l'une des meilleures élèves de Poudlard à l'époque.

Hagrid lui expliqua que le Quidditch était le sport préféré des sorciers, un peu comme le football pour les moldus, mais qu'il se joue sur des balais et que trois balles différentes sont utilisées.

Harry interrogea Hagrid sur les propos du garçon au teint pâle.

Serpentard et Poufsouffle sont les noms de deux maisons de Poudlard. En tout, il y en a quatre. Tout le monde dit que les cancres sont nombreux à Poufsouffle.

Harry pensa avec résignation qu'il irait à Poufsouffle. Hagrid le rassura : "Mieux vaut Poufsouffle que Serpentard. Tous les sorciers qui ont mal tourné sont passés par Serpentard." Comme Voldemort, il y a bien des années.

Le manteau du géant semblait être constitué uniquement de poches ...

  • des trousseaux de clés,
  • du produit contre les limaces,
  • des pelotes de ficelle
  • du parchemin, une plume et de l'encre
  • des bonbons à la menthe,
  • des sachets de thé, une bouilloire,
  • des loirs
  • et des pièces

On y trouvait :

Ministère de la Magie

Gouvernement magique du Royaume Uni qui veille à garder secret le monde magique. Le ministre de la Magie en est le plus haut responsable.

Le ministre de la magie s'appelle Cornélius Fudge.