portrait déporter

Déportation d'un résistant :

Circonstances de l’arrestation :

Parcours en déportation

• Arrêté à Bougenais le 4 mars 1943 par la S.P.A.C.
• Pour avoir participé à la distribution de tracts, au collage d’affiches et au sabotage de la production (ralentissement des cadences) ainsi qu’à de légers sabotages sur les hydravions Arado
• Reconnu dans un groupe suspects, ils sont plusieurs membres de la S.N.C.A.S.O. a être arrêté en même temps
• Emprisonnés 4 jours à Nantes au Château des ducs, ils sont envoyés à Compiègne

• S.P.A.C : Le service de police anticommuniste, spécialisées dans la répression des groupes comme les communistes, les francs-maçons et les Juifs

Arrestation

Kommando : Unité de travail forcé qui peut dépendre d'un camp de concentration principal

Déportation

• Le 16 avril (convoi I.93), ils sont envoyés à Mauthausen où ils arrivent le 18
• Là - bas, Jules GUILLOTEAU retrouve Fouché, Marcel Thomazeau, Henri Lamont, François Desmichel et Jean Aubineau ( d'autres résistants )
• Puis il est envoyé au Kommando de Gusen matricule (52) le 10 mai, et y meurt le 4 aout 1943
• Il est dit "mort en déportation" c'est à dire que la cause du décès n'est pas expliqué de façon explicite

• Entreprise de construction aéronautique fondée en 1936
• Fabrique ses propres appareils et pièces d'avions lors de la 2nd guerre mondiale

• Pression continue par les occupants pour construire plus de matériels qui amène certains ingénieurs comme Jules GUILLOTEAU à prendre des contacts durables avec la Résistance, la France libre et les Alliés pour résister contre l'occupation Allemande

Front national de la S.N.C.A.S.O :

Naissance : 21 aout 1906 à CHANTENAYMort : 8 aout 1943 en AutricheBio avant guerre : Homme marié, père de 1 enfant, il travaille à la S.N.C.A.S.O.S.N.C.A.S.O. : Société nationale des constructions aéronautiques du Sud-Ouest

Biographie

Jules Ludovic Eugène Guilloteau

Parcours avant déportation

Il est interné à Nantes, puis à Compiègne jusqu’au 16 avril 1943 ou lui et ses compagnons y restent 1 mois avant de savoir vers ou ils sont déportés