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Comprendre la cible

Culture de la communication

Un individu est-il un échantillon ?

S’agit-il de s’adresser à une personne ou à certaines de ses caractéristiques ?

L'image des "anciens"

Ex l'image des "anciens"

Quelle image dans la publicité ?

A quels types de cibles les campagnes du document 6 vous semblent-elles destinées ? Pourquoi ?

Peut-on trouver des motivations communes aux différentes cibles ?

Courant "somewhere" et "Anywhere"

A quels types de cibles les campagnes du document 6 vous semblent-elles destinées ? Pourquoi ?

Peut-on trouver des motivations communes aux différentes cibles ?

Courant "somewhere" et "Anywhere"

Quelle culture commune vise-t-elle ?

Quelle vous semble être sa cible ?

Culture commune

D'autres idées ?

Culture commune

À la suite de Coca-Cola et de Ty Jaune, Andros souhaite promouvoir sa gamme de jus de fruits dans le contexte breton.

Analysez les procédés par lesquels Coca-Cola et Ty Jaune font référence à la Bretagne.

Définissez leur positionnement par rapport à la culture bretonne.

Proposez un encart presse (quart de page) dans lequel Andros associe sa gamme de jus defruits à la Bretagne en justifiant vos choix créatifs, textuels comme visuels, au regard despositionnements de Coca-Cola et Ty Jaune.

Analysez les procédés employés ainsi que leur efficacité.

Quelles règles générales en tirez-vous ?

Influencer les comportements.

Imaginez et justifiez un dispositif efficace pour combattre le « man spreading » dans lestransports en commun.

Pourquoi peut-on parler des cultures de la communication ?

Dans le document 1, quelles valeurs Oliviero Toscani fait-il passer et comment ? Qu’est-ceque cela nous dit de l’annonceur Benetton ?

Comparez les deux visuels : quels sont leurs points communs et leurs différences ?

La publicité au service de valeurs

Pourquoi la valeur sociétale mise en avant dans cette campagne est-elle toujours d’actualité ?

Quelle est la cible visée par ces campagnes ? Justifiez votre réponse.

En quoi les codes utilisés par ces campagnes respectent les codes classiques et intemporels d’une campagne de parfum ? Vous prendrez en compte le scénario, le visuel et la musique. communs et leurs différences ?

La publicité case les codes

En quoi cette campagne casse-t-elle les codes de la publicité pour un parfum ? Vous prendrez en compte le scénario, le visuel et la musique.

Que peut-on déduire de ce positionnement ?

La publicité case les codes

Cela vous paraît-il une stratégie efficace pour toucher la cible visée ? Vous répondrez demanière dialectique à cette question.

Expliquez pourquoi Versace a choisi la gorgone Méduse comme logo et Interflora la divinité Hermès.

les marques utilisent des symboles

Après avoir visionné le clip réalisé par Bruce Saint Clair (document 6), relevez tous les élémentsfaisant référence au père Noël

les marques utilisent des symboles

Comment ce clip modernise-t-il ce symbole ?

Quelles sont les cibles de chaque document ? Que peut-on comprendre pour la cible d’Audi,si l’on se réfère à la cible classique du père Noël ?

Proposez une accroche qui pourrait accompagner la campagne d’Audi, en tenant compte desquestions précédentes.

Visionnez les deux campagnes. Cherchez le sens de « Invictus » et de l’« Olympe ». Relevezles différents éléments qui font référence à la mythologie gréco-latine et trouvez le messageque les annonceurs veulent faire passer à leurs cibles.

La publicité, une manière de revisiter la culture ?

Quels sont les points communs entre les deux clips ? Que peut-on alors déduire de ces deuxcampagnes et de la cible visée ?

Visionnez les deux campagnes. Cherchez le sens de « Invictus » et de l’« Olympe ». Relevezles différents éléments qui font référence à la mythologie gréco-latine et trouvez le messageque les annonceurs veulent faire passer à leurs cibles.

La publicité, une manière de revisiter la culture ?

Quels sont les points communs entre les deux clips ? Que peut-on alors déduire de ces deuxcampagnes et de la cible visée ?

Présentez d’autres campagnes publicitaires qui s’inspirent de mythes gréco-romains.

Que représente la fresque de Michel-Ange ? Qui sont les deux personnages dontles doigts se touchent ? Que signifie ce geste ?

La publicité, une manière de revisiter la culture ?

Que veut faire comprendre Lego en reprenant ce geste inspiré de La Création d’Adam ?

Quelle est la cible de Lego ? Pourquoi ?

Comment Luc Besson revisite-t-il ce conte et inverse-t-il son message ?

La publicité, une manière de revisiter la culture ?

. Quelle cible Chanel veut-elle toucher avec ce clip ?

Pourquoi le tableau de Manet a-t-il fait scandale lors de sa première exposition ?

. Comment Yves Saint Laurent revisite il ce tableau, dans leur visuel (personnages,lieu, lignes, couleurs…) et dans leurs intentions ? Dans quel but ?

. Comment Dior revisite-il ce tableau, dans leur visuel (personnages,lieu, lignes, couleurs…) et dans leurs intentions ? Dans quel but ?

Art et publicité : qui inspire qui ?

Comment Ikea et Renault se servent-ils de Tetris pour faire passer son message ?

Les deux marques utilisent-elles le visuel de Tetris de la même façon ? Justifiez.

Publicité et culture de masse

Publicité et stéréotype

Publicité et stéréotype

Publicité et stéréotype

Publicité et stéréotype

La vieillesse se doit d’être jeune, souriante, dynamique, peut-être transgressive, en tout cas dynamique, bref, elle doit se faire pardonner sa fâcheuse proximité avec la mort. Dans un monde où il n’y a plus que de la « fin de vie », où les personnes « décèdent » parce que leur « pronostic vital » a été malencontreusement (nulle fatalité ici) « engagé », les signes du déclin sont malvenus ; à la différence de la mort violente qui, par son intrusion inopinée, magnifie le cours sécurisé de la vie. On demande donc aux représentations de la vieillesse, quelles qu’elles soient (le papy rigolo, la grand-mère bienveillante, la vieille bique impertinente, l’athlétique couple de retraités pétulants de santé), de conforter le culte de l’éternelle jeunesse qui nous rapproche heureusement des dieux de l’Olympe. La sortie fin mai 2024 du magazine d’Antoine de Caunes Vieux, avec sa signature « Le magazine qu’on finira tous par lire » qui, tout en prétendant « assumer » la vieillesse en nie la réalité, est emblématique de cette attitude. Son créateur, âgé de 70 ans, affirme : « Ce qui m’intéresse, c’est aujourd’hui. Bien que vieux, j’ai l’impression d’avoir l’appétit et l’appétence d’un môme de 20 ans ». Quand les vieux se racontent des histoires, ce ne sont pas des histoires de vieux.

on ne s’adresse jamais à un individu dans sa globalité, plutôt à telle ou telle motivation socialement construite qui le pousse à désirer et à agir. On ne s’adresse jamais à une personne, mais à un aspect de cette personne : si l’on souhaite vous vendre des équipements sportifs, il s’agit de s’adresser au sportif ou à la sportive qui est en vous et non à vos opinions politiques ou culinaires. L’utilisation des datas montre bien que des individus très différents peuvent avoir des motivations communes : les utilisateurs de trottinettes électriques appartiennent très rarement à la catégorie des seniors, mais ils peuvent être cadres urbains pressés, jeunes banlieusards éloignés des transports… ou ruraux soucieux de faire comme à la ville. Raisonner en termes de motivations conduit à prendre en compte un ou plusieurs des différents aspects, des différentes composantes d'un individu et à s’interroger sur la pertinence d’approches types persona qui souvent débouchent sur la construction de cohérences forcées.

N’oublions pas que la personnalisation des produits et des services, rendue possible par les progrès de l’informatique, débouche sur un marketing de la différence qui s’appuie sur la valorisation de l’individu pour lui vendre, plus cher, des produits censés lui correspondre. S’agissant de communication, on peut situer l’individu à l’intersection de plusieurs groupes sociologiquement définis.

Si la proximité de l’enfant avec l’homme qui pourrait être son grand-père, telle que la met en scène Ghirlandaio, est tout à fait possible, voire courante aujourd’hui, la figure du patriarche a disparu avec le patriarcat, sa laideur et tout particulièrement sa difformité semblent exclues. Notre époque, qui aime à célébrer la différence et se veut inclusive, borne étroitement dans les faits le champ du visuellement acceptable : un nez comme celui-ci ne pourrait apparaître dans une campagne de communication. La lassitude dépeinte par Schiele, quant à elle, trouverait immédiatement sa place dans une campagne de solidarité, tant la solitude et l’attitude méditative sont couramment pathologisées. Le vieil homme seul ne saurait être que l’illustration d’une situation à rectifier. Dans une société de la distraction, l’âge n’a sa place que s’il s’insère dans le flux du loisir, si possible actif et toujours partagé. Quant à l’autoportrait d’Anguissola, il témoigne d’un temps révolu où la femme âgée était l’austère gardienne des mœurs et de l’ordre. Cette solidité éthique est incompatible avec la souplesse demandée aujourd’hui aux âges et aux personnes.Entre la sveltesse glacée d’Isabelle Huppert et les rondeurs de Mamie Nova, il n’y a plus de place pour la rude grand-mère tricotant au coin du feu ou surveillant ses petits-enfants avec l’exigence hiératique de celle qui s’efface lentement mais ne lâche rien.

Propositions : « À votre tour de vous offrir le cadeau de vos rêves ! » « Le père Noël a beaucoup de chance cette année. Et vous ? »