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Visite interactive Lutèce

Céline

Created on October 11, 2024

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Je m'appelle Octavius. Suis-moi dans les rues de Lutèce !

Le Forum

Le forum est un ensemble architectural de plan rectangulaire situé au centre de la cité. Il est à la fois le cœur politique, économique et religieux de lutèce.

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© Alban-Brice Pimpaud/archeo3d.net

Les thermes

Les thermes sont des bains publics. Ces espaces sont composés d'une succession de salles chaudes et froides, de bassins mais également d'un gymnase. Les thermes sont dédiés à l'hygiène et au soin du corps, mais servent aussi de lieu de rencontre où l'on prend plaisir à discuter.

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© Alban-Brice Pimpaud/archeo3d.net

Les arènes

Les arènes étaient un lieu de divertissement, où l'on se réunissait pour voir des combats de gladiateurs, des chasses de bêtes sauvages et des spectacles vivants.

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© Alban-Brice Pimpaud/archeo3d.net

habiter à lutèce

Les premières habitations construites à Lutèce reprennent les techniques de l'architecture gauloise : la structure du bâtiment est composée de bois et de torchis, surmonté d'un toit de chaume.

Les Lutéciens abandonnent ensuite ces matériaux sommaires pour construire des habitations en pierre. De luxueuses demeures (domus) possèdent parfois leurs propres thermes privés, ainsi que de somptueuses fresques et des mosaïques.

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© J.-O. Guilhot, SRA de Franche-Comté

les artisans de lutèce

Artisanat du verre, céramique, tabletterie, tissage ou métallurgie : les artisans de Lutèce possèdent des savoir-faire variés.

© DHAAP

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les nécropoles

Nécropole signifie « cité des morts » en grec. C'est ainsi qu'on appelait les cimetières durant l'Antiquité. Ces grandes aires d'inhumation étaient situées à l'extérieur des villes. Lutèce comptait deux nécropoles principales, aménagées le long de deux grandes voies d'accès.

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© E. Cavanna/ DHAAP

les nécropoles

Nécropole signifie « cité des morts » en grec. C'est ainsi qu'on appelait les cimetières durant l'Antiquité. Ces grandes aires d'inhumation étaient situées à l'extérieur des villes. Lutèce comptait deux nécropoles principales, aménagées le long de deux grandes voies d'accès.

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© E. Cavanna/ DHAAP

Franchir la seine

Un pont est aménagé dès la création de Lutèce au début du Ier siècle de notre ère : construit en bois, il relie les quartiers de la rive gauche à l'île de la Cité.

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Aquarelle de Jean-Claude Golvin. Arles, musée départemental Arles Antique.© Jean-Claude Golvin/ Editions Errance

l'île de la cité

Du milieu du IIIe à la fin du IVe siècle, l'organisation de Lutèce est bouleversée. Les quartiers et les monuments de la rive gauche sont progressivement abandonnés tandis que les Lutéciens aménagent de nouveaux quartiers sur l'île de la Cité.

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L'enceinte romaine

Une fortification est construite autour de l'île de la Cité entre 308 et 360. À cette époque, les peuples germains mènent régulièrement des raids contre les cités de l'Empire romain. Ce climat de violence est sans doute à l'origine de l'aménagement d'un rempart à Lutèce. Les habitants quittent progressivement les quartiers de la rive gauche pour venir s'abriter derrière les hauts murs de la Cité.

Construction de l'enceinte de la Cité. Aquarelle de Jean-Claude Golvin. Arles, musée départemental Arles Antique.© Jean-Claude Golvin/ Editions Errance

Bienvenue à Lutèce

Nous sommes en 310. Constantin a été proclamé empereur il y a bientôt 4 ans. Le jeune souverain souhaite mieux connaître le vaste territoire placé sous son autorité. Il décide d'envoyer des hommes de confiance dans plusieurs cités gauloises. L'émissaire Octavius est ainsi chargé de se rendre à Lutèce : il doit visiter la ville, observer ses lieux emblématiques et rédiger un compte-rendu pour l'empereur. Accompagne Octavius dans Lutèce, visite les différents lieux dans l'ordre indiqué et aide-le à réaliser son rapport en remplissant la fiche qui t'a été donnée.

La nécropole Saint-Marcel

Cette nécropole est la deuxième grande aire d'inhumation qui se développe à Lutèce, à partir du IIIe siècle de notre ère. A la fin de l'Antiquité, les pratiques funéraires évoluent : les Lutéciens recourent de plus en plus à des sarcophages en plâtre ou en pierre pour inhumer leurs défunts. Avec le développement de la religion chrétienne, les tombes sont désormais orientées Est-Ouest.

© Découverte d'une sépulture boulevard Saint-Marcel au début du XXe siècle. © DHAAP

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La nécropole Saint-Jacques : en 2023, les archéologues de l'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) ont découvert une partie de la nécropole Saint-Jacques. 50 tombes gallo-romaines ont pu être fouillées et étudiées. Ce chantier a révélé des objets déposés dans les sépultures (verre, céramique) et a permis de préciser les modes d'inhumation en cours à Lutèce.

La basilique

Un grand bâtiment large de 34,50 m sur 69 m de long se trouvait à l'emplacement de l'actuel Marché-aux-Fleurs. Il pourrait s'agir d'une basilque, c'est-à-dire un monument destiné à accueillir les réunions publiques et les audiences judiciaires.

La basilque du Marché-aux-Fleurs. Aquarelle de Jean-Claude Golvin. Arles, musée départemental Arles Antique.© Jean-Claude Golvin/ Editions Errance
La nécropole Saint-Marcel

Cette nécropole est la deuxième grande aire d'inhumation qui se développe à Lutèce, à partir du IIIe siècle de notre ère. A la fin de l'Antiquité, les pratiques funéraires évoluent : les Lutéciens recourent de plus en plus à des sarcophages en plâtre ou en pierre pour inhumer leurs défunts. Avec le développement de la religion chrétienne, les tombes sont désormais orientées Est-Ouest.

© Découverte d'une sépulture boulevard Saint-Marcel au début du XXe siècle. © DHAAP

La nécropole Saint-Jacques : en 2023, les archéologues de l'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) ont découvert une partie de la nécropole Saint-Jacques. 50 tombes gallo-romaines ont pu être fouillées et étudiées. Ce chantier a révélé des objets déposés dans les sépultures (verre, céramique) et a permis de préciser les modes d'inhumation en cours à Lutèce.

Le Palatium

Un grand bâtiment devait probalement s'élever sur la partie ouest de l'île de la Cité. Selon les archéologues, il pourrait s'agir d'un palais. Grâce aux sources historiques, on sait que plusieurs empereurs romains ont séjourné à Lutèce à la fin de l'Antiquité. Ce palais aurait donc été leur lieu de résidence.

Fibule en or découverte dans la Seine. Cet objet devait sans doute appartenir à l'un des plus important notables du Paris antique ou à un visiteur étranger de haut rang. © Musée Carnavalet/ Ville de Paris
Sous le parvis de Notre-Dame

Des quartiers d'habitation se développent sur l'île de la Cité dès la fin du IIIe siècle. À l'emplacement de l'actuel parvis de Notre-Dame, un édifice thermal est notamment aménagé. Les vestiges de ce bâtiment sont aujourd'hui visibles dans la crypte archéologique de Paris, située sous le parvis de la cathédrale. Cet espace ouvert au public a été créé à la suite d'importantes fouilles menées de 1965 à 1970.

Les vestiges d'un quartier de Lutèce, conservés dans la crypte archéologique de Paris.© Stéphane Pierra/ Musée Carnavalet
Les marchands de l'eau

À Lutèce, la corporation des Nautes (ou bateliers) contrôle l'accès au fleuve. Ces marchands de l'eau possèdent une grande influence et financent la réalisation d'une sculpture en l'honneur de l'empereur Tibère. Les blocs de ce pillier ont été découverts sous le choeur de la cathédrale Notre-Dame au XVIIIe siècle et sont aujourd'hui exposés au musée de Cluny.

Elément du pillier des Nautes© Musée de Cluny