Maupassant, La peur
La bécasse
Created on September 28, 2024
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Transcript
Péripéties
cadre
Narrateur
Personnages
la peur
Première expérience de la peur
. À court d’eau et épuisés par la chaleur, ils furent soudainement saisis par un phénomène étrange: Le son du tambour indique aux Arabes qu'ils l'accompagne, que la mort etait proche. Son ami victime d'une insolation succomba, la son du tambour continuait amplifiant la terreur de la situation
Deuxième experiences de la peur
Parti chasser avec un guide ils se réfugièrent chez un garde forestier pour la nuit. Le garde, qui avait tué un braconnier deux ans auparavant, vivait dans la crainte constante de représailles. . Cette nuit-là, l’ambiance était tendue et, lorsque le chien du garde se mit à hurler, ils furent pris de panique. Le garde tira sur ce qu’il croyait être un intrus. Au matin, ils découvrirent qu’il avait tué son chien.
Lieu
À bord d’un navire première expérience avec la peur: dans le désert en Afrique deuxième expérience de la peur; en hiver dans une forêt du nord est de la France
Epoque
1882 dans la revue Le Gaulois Fin du XIXe siècle
Le capitaine
capitaine de navire
il raconte à son équipage une anecdote où il a ressenti de la peur
texte
un autre homme
l homme raconte ses 2 experiences de rencontre avec la peur
Phénomène étrange : le son d’un tambour
. À court d’eau et épuisés par la chaleur, ils furent soudainement saisis par un phénomène étrange: Le son du tambour indique aux Arabes qu'ils l'accompagne, que la mort etait proche.
Tomber de Cheval
L’ami du narrateur tomba de son cheval à cause d’une insolation. Pendant 2 heures on essaya de le réanimer... le tambour battant toujours. Ça, c’est la peur « en face de ce cadavre aimé, dans ce trou incendié par le soleil entre quatre monts de sable, tandis que l’écho inconnu jetait, à deux cents lieues de tout village français, le battement rapide du tambour. »
Refuge chez un homme qui avait tué un braconnier
Le narrateur, accompagné d'un guide, un paysan, se réfugia chez un homme qui avait tué un braconnier et vivait avec ses deux fils mariés. Il pensait que le braconnier allait venir se venger
le chien se mit à hurler,
Lorsque le chien se mit à hurler, tout le monde fut complètement angoissé ; alors on mit le chien dehors
Le cou de Fusil
Un visage se fit voir par une petite fenêtre, à ce moment l’homme tira. Tout le monde resta figé toute la nuit de peur et on n'osa bouger qu’au premier rayon de solei
Mort du chien
Le chien, mort d’une balle dans la tête.
Francisco de Goya: “Las viejas”. Oil on canvas, 161 x 125 cm, c. 1810-1812. Palais des Beaux-Arts, Lille, France