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Jamais je n'aurai 20 ans
Jaime Martín
18 juillet 1936 : le jeune gouvernement espagnol des républicains, issu de l'alliance des partis de gauche, est renversé par les troupes du général Franco, plongeant le pays dans trois années de guerre civile puis presque quarante de dictature répressive. Pour Isabel, courageuse couturière, ce sera également le début d'une vie nouvelle, faite de lutte et de résistance. Proche du syndicat anarchiste CNT qu'elle a rejoint quelques mois auparavant, elle va devoir prendre la fuite au côté de son futur mari, Jaime, l'un des leaders de leur cellule locale.
PecosaJaime Martín s'inspire de son histoire familiale et nous raconte dans Jamais je n'aurai 20 ans ce qu'il advint de ses grands-parents pendant et après la guerre civile espagnole. Cette histoire personnelle, familiale, intime, révélée au compte-goutte par ses proches à la demande de l'auteur est symptomatique d'une époque tumultueuse, dans laquelle elle s'inscrit au fer rouge. Elle débute en 1936 à Melilla, sur les pas d'Isabel, la grand-mère couturière qui apprend à lire et à écrire auprès de jeunes militants anarchistes, et qui doit s'enfuir à Barcelone à la suite du coup d'état et des représailles qu'il engendre.
JamiKJe dois avouer que je connaissais très mal la guerre civile espagnole. Ce récit raconte la vie d'un jeune couple dans cette tourmente et dans les années de franquisme qui ont suivi. Il nous raconte les horreurs, la cruauté, sans pathos exagéré, comme un témoignage, sans fioritures, et aussi sans concessions.
VexianaJe dois avouer que je connais que très vaguement la guerre civile espagnole. Quelques grandes lignes, un tableau de Picasso et quelques films. Cette BD me faisait de l'oeil depuis sa sortie, la couverture est très engageante, le titre des plus interpellant, je m'étais promis de la lire…c'est chose faite et c'est une sacrée claque !
SebUne belle histoire familiale, celle de l'auteur, traversée par la guerre civile espagnole. Ses grands-parents maternels, issus d'un milieu pauvre s'étaient engagés du côté républicain. C'est la grande histoire à travers la petite qu'il nous est permis de suivre ici. À travers un dessin tendre et des couleurs émouvantes, nous suivons ce terrible conflit, ravageur à plus d'un titre, à commencer par toutes celles et ceux qui ont cru en l'espoir d'un monde libre et humain.
tchouk-tchouk...J'ai été un peu déçue car je m'attendais à un récit sur la guerre d'Espagne alors qu'au final celle-ci est très survolée, très peu développé et pas du tout expliquée. L'accent est vraiment mis sur les personnages et leur vécu, principalement après la victoire des fascistes. On voit surtout comment Isabel, douée pour les affaires, monte son commerce et le fait prospérer, pour devenir une des familles les plus riches. C'est assez intéressant mais par moment... je me suis presque ennuyée. le tout me laisse un sentiment mitigé.
BlueEdenL'histoire est assez compliqué à suivre dans le sens où il n'y a pas de transition entre les différents morceaux de l'histoire. J'ai toutefois beaucoup apprécié l'idée de rendre hommage aux grands-parents de l'auteur avec des illustrations. Concernant les personnages, j'ai eu beaucoup de mal à m'y attacher vraiment. Je ne sais pas si c'est le format ou la manière dont l'histoire est contée.La fin de cet album offre un très beau message.Concernant les personnages, j'ai eu beaucoup de mal à m'y attacher vraiment. Je ne sais pas si c'est le format ou la manière dont l'histoire est contée. La fin de cet album offre un très beau message.
Ruptures
Laure Sirieix, Lauri Fernández
En pleines révisions du bac, María quitte précipitamment Paris pour se rendre à Barcelone au chevet de sa grand-mère Carmen hospitalisée d'urgence, complètement désorientée. En cherchant à l'aider, María et son père découvrent dans le désordre de son appartement une correspondance qui met à jour un obscur secret… Dans les années 50, la pétillante Carmen a été envoyée à la prison de Les Corts alors qu'elle était enceinte. Qu'est devenu ce bébé ? Pourquoi ni María ni son père n'ont-ils jamais entendu parler de cet enfant ?...
AnaPour toutes celles et ceux qui ne connaissent pas l'ampleur de ce scandaleux trafic chez nos voisins espagnols, découvrir vite cette BD que je ne me lasse pas d'offrir... et qui émeut à chaque fois son destinataire !
F.G.Une histoire intime qui s'appuie sur des faits réels et historiques (précisés en annexe) et dévoile un pan de la grande Histoire contemporaine espagnole peu ou pas connue... À découvrir !
Anne-LaureUn scandale ahurissant porté par une histoire très touchante. Les notes historiques permettent de bien comprendre que la fiction s’appuie sur des faits tristement réels et qui font écho avec l’actualité…
ProfeJ'ai été un peu déçue car je m'attendais à un récit plus profond sur un sujet aussi grave qu'est celui des bébés volés du franquisme. La fin était prévisible dès les premières pages.Je n'ai pas accroché non plus aux graphismes même si le choix des couleurs est intéressant quand on connait la période historique.
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El Abismo del olvido
Paco Roca
Paco Roca viaja a nuestro pasado con El Abismo del olvido para recuperar junto al periodista Rodrigo Terrasa la historia réal de Leoncio Badía - joven republicano obligado a trabajar de sepulturero - de José Celda - fusilado y enterrado en una fosa común, ejemplo de las decenas de miles de españoles que fueron represaliados de forma salvaje por en regimen franquista - y de Pepica Celda - hija de José, que tenía 8 años cuando mataron a su padre y, ya octogenaria, espera poder recuperar por fin sus restos para restaurar su dignidad.
CristinaGrandísimo el trabajo de Paco Roca. Una historia muy dura y muy necesaria en estos tiempos,contada de una manera muy honesta. El dibujo impecable como nos tiene acostumbrados.
Narci1980Una obra brutal que solo sabe hacer Paco Roca, trazando un dibujo de línea clara pero que permea la piel hasta llegar a emocionarte. Imprescindible para los amantes de los tebeos y de la historia.
Sara CavalléPara no olvidar esa triste página de nuestra historia reciente. Triste pero contenta de tener este comic tan maravillosamente ilustrado y guionado. Ojalá Pepica cumpla sus deseos.
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Cuerda de presas
Jorge García, Fidel Martínez
Los relatos que componen Cuerda de presas recrean la vida de las presas políticas españolas durante los primeros años de la dictadura franquista. Cada historieta transcurre en una cárcel distinta (de Les Corts en Barcelona a la prisión de Ventas en Madrid, pasando por muchas otras), componiendo así un mosaico que denuncia las atrocidades de la represión en la posguerra. Inmersas en esa atmósfera asfixiante, las mujeres son el protagonista, y el dolor y la rabia los únicos sentimientos permitidos. A lo largo de estas historias, y pese a todas las imposiciones imaginables, las presas recobran una a una las palabras que importan: las del afecto, la amistad y la solidaridad.
Juan FuentesUna serie de historias encadenadas nos van mostrando las diferentes cárceles de esa España negra, donde las condiciones inhumanas fueron desgastando a las perdedoras de una guerra monstruosa. Pero algunas resistieron, vinieron de la nada y se mantuvieron en pie.
NataliaBrutal, imprescindible y necesario.
YaizaMagistral.
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La Balada del norte, tomo 1
Alfonso Zapico
Madrid, 1933. Tristán Valdivia, periodista sin periódico, editor sin éxito y amante sin ilusión, abandona la capital para volver al norte. Allí le espera su padre, el marqués de Montecorvo. Son tiempos difíciles para el país, inmerso en las convulsiones de la II República, y el viejo aristócrata debe mantenerse a la cabeza de su feudo particular: la Compañía Minera del Noroeste. De la negrura de los valles mineros de Asturias surgen personajes luminosos, y bajo el ruido atronador de las minas de carbón se escucha el susurro de una canción antigua. Los viejos y nuevos tiempos chocan brutalmente poniendo a prueba al protagonista, pronto a la Humanidad entera.
RetseEsta ambiciosa novela, por lo grande, nos da a conocer la vida de la minería asturiana y su historia en los años 30 del siglo XX. Desde dos perspectivas diferentes, la de los trabajadores de la mina y la de los aristócratas dueños de la Compañía Minera del Noroeste. Los hechos se desarrollan durante la II República, en un país convulso, en el que estalla la Revolución de 1934 en Asturias con una huelga general de la minería.
Marga71El autor nos lleva de la mano a través de la revolución en Asturias y en los brazos de la relación entre Isolina, hija de minero y Tristán, el señorito burgués.Esta novela gráfica reflea de forma real y sublime un accidente en la mina y sus efectos en la sociedad del momento. El silencio que provoca, el dolor y sobre todo la impotencia se ve reflejada en sus viñetas.
AketzaNovela gráfica que trata un periodo de la historia del que no se ha escrito lo suficiente, y que en los libros de estudio lo tocan como mucho de pasada, el de las revueltas mineras durante la segunda república. Desde los dos puntos de vista, el de los mineros y el de sus jefes, sin tomar partido, solo mostrando la realidad cruda como era nos llega esta gran historia. Muy buen comic con un dibujo más que correcto y con momentos muy emotivos. La historia de amor aunque puede parecer la típica de estos casos también está muy bien. Una novela que te hará reir y llorar.
CompradorLa historia está bien hilada, pero carece totalmente de ritmo y está relatada desde un punto de vista tremendamente subjetivo. Evidentemente esto le dará igual al lector del ala correspondiente. En cuanto a encuadernación, papel y demás: paupérrimo; papel de muy alto grosor y bajo gramaje que en menos de un par de años estará lleno de marcas de humedad por la porosidad,
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Regreso al Edén
Paco Roca
A partir de una foto familiar de 1946, Paco Roca dibuja un fresco sobre la España de la posguerra a través de una de aquellas familias humildes con serios problemas para acceder al sustento, obligada a acudir por sistema al mercado negro para hacerse a duras penas con una alimentación básica diaria. Trufada de referentes autobiográficos, Paco Roca da un paso más con Regreso al Edén en su búsqueda de la memoria. Emocional y equilibrada, plena de recursos gráficos y soluciones narrativas de primer nivel, Paco Roca plantea su obra más ambiciosa como creador completo.
SandraSeguraCuando una lectura te hace llorar es que te ha calado hondo. Gracias a Paco Roca por introducirme en la novela gráfica. Encantada con este libro.
José Miguel Sencillamente extraordinaria. Recuperar la historia de nuestro pasado, los ecos de tiempos duros y terribles, con personajes humildes y sencillos. Una obra honesta y muy entrañable.
Pepa NavarroSiempre maravilloso Paco Roca, desde sus ARRUGAS hasta REGRESO AL EDÉN, pasando por LOS SURCOS DEL AZAR. Escritor e ilustrador importante, que aporta un valor añadido al género y un saber hacer indiscutible. ¡Gran autor! Novela muy recomendable
MyriamLos dibujos son buenos, muy gran trabajo para tan pobre historia
AngelBuena e interesante historia sobre la España de posguerra de la madre del autor, pero carece de la fuerza y la profundidad propia de otros de sus relatos. El diseño de su dibujo sigue siendo extraordinario.
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Lorca, un poeta en Nueva York
Carles Esquembre
Una novela gráfica sobre uno de los dramaturgos españoles más importantes: Federico Garcia Lorca.Es el verano de 1929 y a bordo del transatlántico Olympic se encuentra Federico Garcia Lorca y su destino es la colosal ciudad de Nueva York. Durante esa época, Lorca, se verá envuelto en una profunda crisis existencial que inevitablemente afectará a su obra. Junto a él, el lector podrá descubrir los rincones de una ciudad en plena ebullición y las pasiones que esta despierta en poeta.
MifugaEs una novela gráfica que recoge la aventura americana del creador, movido por el desamor de Emilio, que le abandona, harto de las acusaciones de aprovechar la fama de Lorca para impulsar su carrera como escultor. Este hecho resquebraja la vida del poeta, que se siente perseguido por ese amor no correspondido en sus sueños y en la travesía en barco, lejos de España y lejos de él.
LoretoUna novela gráfica que narra de forma un tanto surrealista la estancia de Federico García Lorca en Nueva York. Tras un desengaño amoroso y ser rechazado por sus amigos Salvador Dalí y Luis Buñuel, Lorca viaja a Nueva York con la excusa de aprender inglés. Allí se encuentra con una ciudad enorme, un microcosmos en sí mismo, una máquina casi impersonal que aliada con sus personales pesadillas le provocan un éxtasis creativo así como un deseo inmenso de volver a sus orígenes. Son pocas páginas, pero que muestran perfectamente las obsesiones y temores del poeta granadino.
OlenkaEste cómic me ha hecho "entender" un poco el libro de Lorca, el cual leí hace unos años y ya que no soy muy dada a la poesía, he de admitir que estaba perdida, tanto surrealismo y no iba conmigo. En este cómic donde se narra un poco el viaje de Lorca lo pones en contexto.
MaperloNo he leído nada de este escritor universal. No me van los clásicos, pero la verdad es que este comic está bastante bien porque creo que plasma lo que sentía y cómo lo sentía. Lo que vivía y cómo se sentía en este mundo y en la época en la que vivía.Es un cómic corto que se lee bastante rápido.
RossymUna mirada del paso del poeta y dramaturgo Federico García Lorca por Norteamérica, donde a través de su obra podemos deducir que no encontró la armonía que esperaba encontrar, sino que fue espectador de una sociedad moderna deshumanizada y mecánica de New York, una urbe corrompida por las desigualdades e injusticias sociales. Fue en este contexto donde se interesa especialmente por la comunidad de los habitantes de Harlem por quienes siente una gran simpatía e inclinación por la opresión de que eran objeto en aquellos días.
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Cuatro poetas en guerra
Ian Gibson, Quique Palomo
¡La novela gráfica sobre las voces poéticas de una generación! En las emotivas páginas de esta obra, Quique Palomo adapta la obra de Ian Gibson, en la que trazan un certero recorrido por las vidas de cuatro magníficos poetas de nuestro tiempo: Federico García Lorca, Antonio Machado, Miguel Hernández y Juan Ramón Jiménez, en un estudio estremecedor sobre la lealtad a la causa republicana de cuatro de las mejores voces poéticas de la España del siglo XX, represaliada con la muerte en el exilio, el fusilamiento sin juicio y la muerte en la cárcel.
AlbaBuenísima.
José MiguelMuy emotivo. Nuestros mejores poetas sufrieron los avatares de unos tiempos tristes y convulsos. Pero, al margen de sus azarosas vidas, nos han dejado un legado de valor incalculable, su obra literaria pervive y pervivirá para siempre en nuestros corazones.
ElixabeteHe conocido más de estos maravillosos autores de nuestra historia y literatura. Sus duras intervenciones en la guerra y las dificultades reales que hubo. Un dibujo cuidado y muy interesante.
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Una mujer, un voto
Alicia Palmer
Mari Luz, una joven de provincias, llega a Madrid para trabajar como cigarrera en la Real Fábrica de Tabacos. Allí conocerá a Justi y a otras cigarreras que le abrirán los ojos y la introducirán en la lucha por sus derechos, entre ellos, el de voto para la mujer. Una mujer, un voto describe el complejo proceso político por el que la mujer consiguió este derecho en la España de 1931, así como la personalidad y el papel que desempeñó en este logro Clara Campoamor y la toma de consciencia política y la peripecia personal de Mari Luz. Es un homenaje a todas las mujeres que lucharon por el voto femenino a principios del siglo XX.
SaínzaUna forma de adaptar todos los pasos que las mujeres han necesitado dar para poder conseguir ser votantes de pleno derecho, avanzando de la boca de ilustres como Victoria Kent o Clara Campoamor.
PacoLectura ideal si queréis conocer la otra mitad de la Historia que no aparece en los libros de texto. Siempre hay una lucha detrás de los derechos conquistados que merece la pena ser recordada.
JessicaMuy recomendable! Sin duda lo recomiendo para las que nos gustan los cómics y más explicandos hechos reales.
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Las Agujas y la pluma
Caroline Tournadre Sánchez
Una historia de amor entre una modista y un periodista madrileño que empieza cuando estalla la guerra civil. Entre quiebras y reencuentros la tensión sube a lo largo del relato. Vera Paredes y Rafael Delmonte, 30 años en 1936, viven en el Madrid de la República, tienen éxito, con el trabajo y con los amores, hasta el 18 de julio… El lector reconocerá personajes históricos y acontecimientos de la guerra, y surge a lo largo de la novela el ambiente del Madrid de los años 30-40.
Claudia-98Me gustó mucho la personalidad de la protagonista Vera, mujer moderna y libre. El ambiente del Madrid de los años 30 está muy bien. Con esta novela viajamos en el tiempo y la historia de amor es muy bonita
Juancarlos77Novela entretenida que se lee rápido y además bien documentada, sobre la guerra civil y las personas que en el día a día influyeron y sufrieron ese oscuro periodo de la historia española. He disfrutado con la lectura de este libro que me ha acompañado durante las vacaciones de este verano. Muy recomendable.
JoseLo leí de un tirón, está muy bien escrito y muy entretenido. Nos sumerge en el pasado, con referencias históricas, y con una historia muy bonita
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María la Jabalina
Cristina Durán y Miguel A. Giner Bou
María Pérez Lacruz, conocida como María la Jabalina, fue la última mujer asesinada por el franquismo en la Comunidad Valenciana. En 1942, con tan solo 25 años, fue fusilada en El Terrer, el tristemente conocido muro de Paterna (Valencia). La joven anarquista de las Juventudes Libertarias había crecido alrededor de la fábrica del Puerto de Sagunto, donde se respiraba el ambiente de la lucha obrera. Con tan solo 18 años tuvo el valor de alistarse como miliciana en la Columna de Hierro, donde ejerció como enfermera. Fue probablemente la primera mujer herida en la guerra civil. Durante la represión de la posguerra fue delatada, detenida y acusada injustamente de delitos que nunca pudo haber cometido.
AmelieEl libro está bien hecho, solamente cabe destacar que los anarquistas se llamaron "compañeros", mientras l@s autores del libro usan la palabra "camaradas" que se usaba entre los comunistas.
Lolaœuvre remarquable qui met en lumière la mémoire individuelle de manière poignante et inspirante.Chaque page est un véritable chef-d'œuvre visuel qui transporte le lecteur dans l'univers de Maria, rendant son histoire encore plus vivante et touchante. J'ai adoré chaque dessin, chaque détail graphique qui enrichit le récit. Bravo aux créateurs pour ce travail exceptionnel qui honore la mémoire individuelle avec tant de talent et de sensibilité. Un véritable coup de cœur !
VanessaCreo que es un buen homenaje a la protagonista. Lectura necesaria aunque se te encoja el corazón en algunos momentos
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El Ala rota
Antonio Altarriba - Kim
La madre de Petra murió al dar a luz a su hija, y con la desgracia, su propio padre intentó matarla. Desde entonces Petra tiene el brazo inmóvil ahora, en sus últimos días de vida, su hijo, Antonio Altarriba, descubre que ella lo ha mantenido en secreto. La percepción de Antonio cambia radicalmente y entonces, reconstruye la historia de su madre, mujer devota y sufridora, que ha sido maltratada por un país dominado por hombres.
Rodrigue PlazaMe encantó El Arte de Volar y ahora he disfrutado mucho leyendo El Ala Rota. El ritmo, los personajes y los ambientes hacen que uno "se meta" completamente en las historia. Es genia
Rioual InèsIncreíble, dibujos muy bonitos, historia emocionante, contexto histórico interesante, me ha gustado muchísimo.
Francisco JoséEs una obra de primera categoría. Aprta una visión muy esclarecedora de lo que vivieron las generaciones que sufrieron la guerra civil y la subsiguiente dictadura, especialmente desde la óptica de las mujeres. Recomendable para las nuevas generaciones.
Monica VarelaMe ha gustado bastante, pero sin embargo al lado de la primera parte de esta novela, El arte de volar, es un relato bastante inferior y de mucho menos valor histórico.
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Los Surcos del azar
Paco Roca
Una historia apasionante y olvidada sobre la contribución española en la Segunda Guerra Mundial que ha logrado hacerse con el favor de los lectores y la crítica nacional e internacional, de la que se han vendido en castellano más de 49.000 ejemplares, y se ha editado ya en otros seis países: Francia, Alemania, Italia, Holanda, Portugal y EE.UU. La mayoría de los hombres que componían La Nueve tenía menos de 20 años cuando en 1936 cogieron las armas por primera vez para defender la República española. Ninguno sabía entonces que los supervivientes ya no las abandonarían hasta ocho años después, y que en la noche del 24 de agosto de 1944 serían los primeros en entrar en París.
José VincenteExcelente relato en cómic de una parte de nuestra historia que desconocía. Narrado de forma amena e instructiva y con el dibujo claro y personal de Paco Roca. Muy recomendado.
José MiguelEn mi humilde opinión, se podría tratar de una trilogía sobre la guerra civil española, la horrenda represión posterior a la guerra y los duros años de la posguerra. Me refiero a "Regreso al Edén", "El abismo del olvido" y la presente "Los surcos del azar". Tres obras maestras absolutas. Paco Roca ha realizado un ejercicio de recuperación histórica inmenso y ello, unido a un dibujo de gran calidad, da como resultado esta maravilla.
Juan C.La primera vez que te encuentras con una novela gráfica de Paco Roca te sorprende, y a medida que lo vas descubriendo su obra te enamora. Porque hace que cada una sea especial.
SandeyUna historia bien contada, con muchos detalles que desconocía. Este mundo del cómic tiene joyas como ésta que debería conocerse más, sobre todo, en institutos cuando te quieren enseñar datos históricos. A pesar de la crudeza de los hechos que narra, te sumerges y disfrutas de cada una de sus páginas que se nota que están cuidadas al detalle por los datos. Gracias, por hacerme conocer nuestra historia.
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La Guerra civil contada a los jóvenes
Arturo Pérez-Reverte ; Fernando Vicente
La Guerra Civil española contada de forma escueta, objetiva y rigurosa, sin cliches partidarios ni etiquetas fáciles."Hace casi ochenta años, entre 1936 y 1939, en tiempos de nuestros abuelos y bisabuelos, una espantosa guerra civil tuvo lugar en España. Causó miles de muertos, destruyó hogares, arruinó el país y llevó a mucha gente al exilio. Para evitar que tan desoladora tragedia vuelva a repetirse nunca, es conveniente recordar cómo ocurrió. Así, de aquella desgracia podrán extraerse conclusiones útiles sobre la paz y la convivencia que jamás se deben perder. Lecciones terribles que nunca debemos olvidar.", Arturo Perez-Reverte
AnónimoUn relato sencillo de una historia nada sencilla. ¡Fantásticas ilustraciones!
TribecaMe ha gustado, fácil de leer, y con una sencilla narrativa te atrapa, enseña y no cansa.
SandraUn libro genial para un primer acercamiento a uno de los acontecimientos más relevantes de la historia de España. Incluye actividades.
Rafael DíazEscuché en la radio que era un libro que hablaba de la guerra civil de una forma objetiva, totalmente parcial. Y pensé, es justo lo que necesito para saber algo de la historia de España sin toques partidistas. ¿Es así? Sí, pero el libro tiene pocas páginas, letra muy grande y casi todas tienen una página que está ocupada por un dibujo. Es decir, habla de algunos de los hechos más relevantes de la Guerra Civil Española pero sin entrar en detalles.
JavierNo vale el precio que tiene. Mas que partidista yo diría que es “buenista”. Además, Reverte obvia completamente el papel del sector eclesiástico como agente en el conflicto. No lo recomiendo.
Leo NavarroPartiendo de la base de mi absoluto respeto hacia Arturo, el libro me parece desilusionante pues esperaba más extensión y contenido. No obstante, con sus pinceladas sobre las causas y desenlace, sí que invita a buscar , a quien todo ignore sobre lo ocurrido, la verdad , o su verdad, en libros o documentales más extensos. En resumen, vale como pincelada pero no como obra de estudio .
El arte de volar
Antonio Altarriba- Kim
El 4 de mayo de 2001, el padre de Antonio Altarriba se arrojó por la ventana de la residencia de ancianos de Lardero. Sin embargo, su vuelo comenzó noventa años atrás. Inconformista y luchador, Altarriba padre pasó su vida aprendiendo a volar. Desde los campos de Peñaflor, las trincheras de la lucha antifranquista, la Francia del exilio o la España del dictador, Antonio desplegó suslas frente a los vientos del siglo XX. Su hijo, en la piel del padre, documenta su historia y construye una de las mejores crónicase la España del pasado siglo.
GemmaEs una bonita historia que te muestra todo lo que un hombre de aquella época tuvo que pasar y se lee rápidamente. Al final del libro sabes el por qué de la escritura del mismo y es indignante el trabajo de las instituciones de con nuestros mayores. También recalcar los dibujos de Kim que son magníficos.
José CMuy interesante. Novela gráfica seria, para adultos, con una historia impactante y soberbias ilustraciones. Una verdadera joya para amantes del género.
AlmudenaMuy bueno y muy duro, la historia te impresiona, te llega al corazón.
JorgeGuerreroZMe ha gustado este libro como ejercicio de memoria histórica, pero carece del gancho emocional que lo haga trascender a otro nivel.
TimboLa novela gráfica El Arte de Volar forma parte de numerosas obras literarias posfranquistas que rompen el silencio sobre el destino de los perdedores de la Guerra Civil Española. No obstante se ha de reconocer que el estilo de dibujar es un desastre. Si la fuerza del autor está en lo literario en vez de lo gráfico ¿por qué no decide dedicarse a una novela en vez de una novela gráfica?
LibrosPrestadosNo es éste un cómic complaciente, ni agradable, ni que deje con buen sabor de boca. Va sobre gente que tuvo que vender, traicionar u olvidar sus ideales para sobrevivir. Pero siempre es necesario que alguien nos refresque a memoria sobre el pasado reciente de España.
Todo 36-39 Malos tiempos
Carlos Giménez
Las historias de 36-39: Malos tiempos, cuatro álbumes editados aquí en un solo volumen, nos hablan de cómo vivió la gente de a pie el asedio de Madrid durante la guerra civil. Temas tan duros y complejos como el rencor, el hambre, el miedo, el sacrificio o la amistad cobran, a manos de Carlos Gimenez, un tratamiento transparente y honesto que les devuelve con creces toda su universalidad.
Paco CalderónTebeo maniqueo que relata la vida de una familia madrileña obrera durante la Guerra Civil Española. Los buenos (izquierdas) son todos ángeles, y los malos (derechas) todos demonios. Los dibujos son magistralmente espléndidos, y se ve que el autor ha hecho este monumental trabajo con algo más que talento: una denodada pasión que es imposible no aplaudirle, aunque no se esté de acuerdo con él.
RideckEste libro engloba la historia desde el inicio de la guerra hasta su finalización en pequeñas historietas escritas desde el punto de vista de su autor, quien lo vivió situaciones como las que aquí se reflejan de primera mano siendo un crío. La vida del miedo, del horror, del hambre y el desconsuelo al que fue sometido el pueblo español en una guerra civil enfrentando a hermanos, vecinos, amigos,...
NinaExcelente
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Guernica
Bruno Loth - Corentin Loth
Espagne, 1937, la ville de Guernica est ravagée par une attaque aérienne sans précédent. Ce crime de guerre entrera dans l'histoire comme le premier bombardement aérien de civils et comme la source d'inspiration pour Pablo Picasso d'un de ses tableaux les plus célèbres. Guernica de Bruno Loth, est une fenêtre ouverte sur la destinée de ceux dont la vie fut anéantie, en même temps que leur ville. Il met ce récit en parallèle avec le cheminement artistique de Pablo Picasso, qui voudrait exprimer sa rage de voir son pays ravagé par la guerre, menacé par le fascisme mais qui peine à trouver l’inspiration pour ce faire.
Amadine GranaCette BD présente une ambiance très immersive. Comme les habitants de la ville, nous passons de l'insouciance à l'horreur. L'absence de paroles dans les scènes de bombardement suggère très bien l'idée de la vie qui s'arrête, de la paralysie des habitants par opposition à leur convivialité et leur jovialité du début.Ça se lit vite mais je ne suis pas restée sur ma faim. J'ai trouvé cette bande dessinée bien faite, ça m'a beaucoup plu.
TendanceslivresCette BD retrace avec des dessins simples et un scénario intelligent cette terrible journée d'avril 1937 qui décima le village de Guernica. La première partie dresse le portrait de la campagne Basque verdoyante, de ces jeunes nationalistes engagés, des paysans partis en guerre aussi mal chaussés qu'armés ou encore de ces femmes qui attendent le retour d'un fils ou d'un mari. La seconde partie décrit l'horreur d'un bombardement commandité par Franco en association avec Hitler et Mussolini. En filigrane de ces deux parties il y a Pablo Picasso à qui le gouvernement espagnol a commandé une oeuvre pour l'exposition universelle de 1937 à Paris. C'est une BD aussi intelligente qu'émouvante. Une habile façon de perpétuer le souvenir et de combattre l'oubli.
TotopheBruno Loth est connu pour ses oeuvres engagées en particulier sur la période précédent la Seconde Guerre Mondiale. "Guernica" est une BD qui peut parfaitement servir pour comprendre la composition du tableau de Picasso en le resituant dans un contexte historique et politique.
BoumaUne bd très intéressante qui reprend la tragique histoire de la ville basque de Guernica et comment elle a inspiré à Picasso sa toile éponyme, l'une de ses plus connues aujourd'hui. On découvre la vie quotidienne et les anonymes de cette ville traversée par les troupes républicaines qui résistent à Franco. Et en parallèle, on voit la commande faite à Picasso pour le pavillon espagnol de l'exposition universelle qui se tient à Paris. Entre drame et inspiration artistique, on comprend que les deux sont étroitement liés et que grâce au génie du peintre, personne n'oubliera jamais les atrocités du franquisme.
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El ángel de la retirada
PacoRoca - Serguei Dounovetz
La joven Victoria Valiente, hija de exiliados de la guerra civil tiene sueños en los que un soldado republicano la acompaña en 1939 por todo el recorrido de Barcelona hasta la playa de Argelès sur mer, punto final a la retirada para muchos refugiados españoles, en campos de concentración franceses.
DuncanSoy un fan incondicional de Paco Roca, he comprado en Amazon ocho o nueve de sus últimos cómics (o novelas gráficas) y quizás este no sea de sus mejores trabajos. Una chica francesa, de descendientes republicanos españoles, se plantea si obtener la nacionalidad mientras sueña y ve visiones de aquellos exiliados... Entretenido, pero no es de lo mejor. Aún así, lo recomiendo si eres muy fan de él y de su trabajo.
DemarfaEl libro está bien; la historia me ha gustado y se aprende; pero se me ha hecho muy corto. Recomiendo leer este antes de los surcos del azar.
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SánchezComo todos los libros de Paco Roca, cuando lo empiezas no lo dejas aunque un poco corto. Los fantasmas del pasado surgen para que los nietos conozcan la historia. Vous aurez compris, cette lecture ne m'a pas vraiment comblé, parce que j'ai lu avant le Poids des héros qui est un monumental chef d'oeuvre. Mais pour autant, L'Ange de la Retirada est une bande dessinée de qualité, édifiante et touchante qui aurait tout à fait sa place dans les CDI.
ClienteNo está mal para documentarse sobre los refugiados españoles en Francia, pero le falta algo. Por lo que respecta a la parte de Paco Roca, como siempre finísimo.
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Le Chant des Asturies
Alfonso Zapico
Une histoire d'Espagne vivante et incarnée : en 1934, Tristán Valdivia, journaliste sans journal et amant sans espoir, quitte la capitale pour retourner dans le nord, où l'attend son père, le marquis de Montecorvo. Le pays est plongé dans les soubresauts de la Seconde République et le vieil aristocrate tente de rester à la tête de son fief : la Northwest Mining Company. Une grande fresque en 4 volumes, best-seller en Espagne. Cette série fait revivre la vallée des Asturies alors que s'y affrontent ouvriers et patronat, militants républicains et extrême droite, sans oublier l'amour et la fraternité !
ChristinebeauCe roman graphique est passionnant … Les dessins sont impressionnants de précision, de délicatesse à la fois pour évoquer les paysages dans leurs aspects géographiques ou industriels ou les individus dans toute leur dignité. Un roman graphique remarquable…
Club_BD_LanionCette BD qui va s'étaler sur 4 tomes, décrit un fait historique méconnu de l'Espagne. Bien documentée, elle se lit avec un grand plaisir. On attend avec impatience, la suite de cette fresque. Bien documentée, elle se lit avec un grand plaisir. On attend avec impatience, la suite de cette fresque.
UmezuL'histoire permet d'expliquer la montée des tensions sociales dans l'Espagne de cette époque. Elle est magnifiée par des dessins en noir et blanc, qui donnent de la profondeur aux personnages. Un beau roman graphique, très travaillé.
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La Commode aux tiroirs de couleurs
Véronique Grisseaux - Olivia Ruiz
À la mort de Rita, surnommée « l’Abuela », sa petite-fille hérite de l’intrigante commode qui avait jadis nourri toute sa curiosité et son imagination enfantines. Le temps d’une nuit, ouvrant ses dix tiroirs, elle découvre les secrets qui ont scellé le destin de plusieurs générations de femmes, entre l’Espagne et la France, de la dictature franquiste à nos jours. D’après le brillant premier roman d’Olivia Ruiz, cet album riche et enivrant porte une fresque flamboyante sur l’exil qui a déjà conquis des centaines de milliers de lecteurs.
WinterUne jeune fille hérite de la commode aux secrets de sa grand-mère - cette femme extraordinaire qui, fuyant le Franquisme, s'est réinventée ailleurs, en France - va enfin, en ouvrant les tiroirs, ôter le voile de son histoire, pour y trouver sa place. Cette adaptation est à lire sans modération. On a l'impression de faire partie de la famille.
ErikJ'ai beaucoup aimé cette fresque familiale qui est par moment assez poignante. Il est vrai que la vie nous réserve parfois de bonnes et de mauvaises choses en fonction de notre destin individuel. Le graphisme est assez accessible avec des couleurs assez chaleureuses. Je regrette juste quelques ressemblances entre certains personnages ce qui provoquent un peu de confusion. Au final, nous avons un album de bonne qualité avec une adaptation de roman très bien retranscrite sur le format de la BD ce qui permet à un public qui ne lit jamais de livre (dont je fais partie) de pouvoir bénéficier d'une belle histoire qui nous touche en plein coeur.
LydiaBA la lecture de ce bel album, j'ai eu l'estomac noué, la gorge serrée, les larmes aux yeux… et je ne pense pas que cela vienne des allergies au pollen !J'ai tout aimé dans cette BD ! Les dessins, les couleurs, le texte… Et cette histoire résonne particulièrement en moi car j'ai également des racines espagnoles du côté de mon grand-père maternel et des interrogations qui, malheureusement, resteront sans réponse…
SomJolie et sympathique adaptation du livre à succès d'Olivia Ruiz. Dans cet album au dessin assez banal, le lecteur retrouve l'histoire de la grand-mère de la chanteuse. Figure emblématique, l'aïeule incarne toutes les femmes de sa génération qui ont fui la dictature franquiste et le machinisme universel pour la France pas si accueillante que l'on pouvait l'imaginer outre-Pyrénées.Si l'histoire de toutes ces femmes mérite le respect, le scénario pêche par faiblesse et par manque de relief. Dommage.
BilodohUne version graphique d'un roman biographique à succès. Dans l'ensemble, j'ai bien aimé l'émotion des dessins qui me semblent plutôt réussis. Par contre, comme on passe rapidement d'un événement à l'autre, j'ai un peu l'impression d'être restée sur ma faim.De plus, si au départ on est dans l'Histoire avec les bouleversements de la Guerre civile espagnole, tout lien avec l'actualité cesse par la suite. Une lecture agréable, sans plus.
Eden2020J'ai été quelque peu déçue de cette lecture. Ce n'est pas nécessairement une lecture que j'aurais aimé faire sous forme de roman, aussi, je me suis lancée dans le roman graphique. Je ne sais donc pas si cela vient de ce format de lecture, mais j'ai trouvé que les actions passaient à vitesse double grand V ! Dommage car la thématique est intéressante.
L'Ombre du vent
Carlos Ruiz Zafón
Dans la Barcelone de l’après-guerre civile, « ville des prodiges » marquée par la défaite, la vie est difficile, les haines rôdent toujours. Par un matin brumeux de 1945, un homme emmène son petit garçon – Daniel Sempere, le narrateur – dans un lieu mystérieux du quartier gothique : le Cimetière des Livres Oubliés. L’enfant, qui rêve toujours de sa mère morte, est ainsi convié par son père, modeste boutiquier de livres d’occasion, à un étrange rituel qui se transmet de génération en génération : il doit y « adopter » un volume parmi des centaines de milliers. Là, il rencontre le livre qui va changer le cours de sa vie, le marquer à jamais et l’entraîner dans un labyrinthe d’aventures et de secrets « enterrés dans l’âme de la ville » : L’Ombre du Vent.
Erik76Il existe des romans qui nous happent, nous envoutent, nous emmènent loin, très loin de chez nous. C'est un voyage immobile que l'on achève avec regret. Ce sont des personnages que l'on se surprend à aimer ou à connaître comme de vieux compagnons. Ils nous émeuvent, ils nous déçoivent, ils nous font peur, ils nous déroutent. « L'ombre du vent » est de la race de ces livres, du moins me concernant. Et ils sont rares. Cette adaptation est à lire sans modération. On a l'impression de faire partie de la famille.
ManU17Sans rien dévoiler de l'intrigue, pour ne pas gâcher le plaisir des futurs lecteurs, on peut tout de même dire qu'il est question de quête de vérité et de quête d'identités au pluriel… C'est foisonnant et rocambolesque comme un roman feuilleton, c'est parfois drôle, souvent émouvant. Pour moi, L'Ombre du Vent de Carlos Ruiz Zafon est un roman friandise à déguster, avec gourmandise…
Frédérique A.Une histoire prenante ! Pleine d'humour, de dérision mais également profonde, parfois mystérieuse et angoissante...Voyage magnifique dans tous les champs de l'émotion.
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Ecoute la pluie tomber
Olivia Ruiz
Marseillette, 1977. Dans le café qui l’a accueillie, étouffée, puis révélée, Carmen pleure sa nièce chérie. À plus de quarante ans, elle se rappelle les personnages qui ont changé sa vie. Ceux qui l’ont fait plonger, l’ont remise dans le droit chemin. Ceux qui ont su percer ses failles et écouter ses désirs. Sans oublier ses soeurs, dont elle partage les stigmates de l’exil mais refuse de suivre la route. Parce qu’après tant d’épreuves, Carmen aussi veut s’inventer un destin... D’une hacienda près de Tolède à la prison madrilène de Ventas où le franquisme fait rage, en passant par un paquebot transatlantique, Olivia Ruiz nous embarque dans les tourments d’une histoire qui s’entremêle à la grande, où l’amour triomphe de la violence. Un nouveau roman chavirant.
CroquignolleOlivia Ruiz a le don de transformer en trésor tout ce qui passe entre ses mains, à laisser la source d'émerveillement la traverser pour abreuver les autres, à offrir la lumière à ceux qui s'intéressent à son univers. Cette adaptation est à lire sans modération. On a l'impression de faire partie de la famille.
AndromedaJe suis étonnée qu'un si petit roman puisse transmettre tout ça en si peu de pages. Tout n'est pas aussi bien développé comme j'aime à lire en temps normal, et de ce fait, c'est le contexte historique qui fait un peu défaut, à savoir que j'aurais aimé que les années "franquistes" et le phénomène d'immigration espagnole soient davantage approfondis, plutôt que juste plantés sans le moindre détail. En revanche, côté humain et psychologique, je n'ai rien à redire, de même pour le côté émotionnel. C'est assez intense à ce niveau-là et compense finalement cette lacune, assez minime quand j'y pense.
Cath_perrinRetrouver l'univers originale d'Olivia Ruiz et son style reste un plaisir.
Petite BichetteA la lecture des premières pages, trop de prénoms, tout est brouillon, je ne m'y retrouve pas parmi tous ces personnages féminins. Hola Olivia, c'est possible d'arrêter de faire tomber la pluie, por favor, je n'y comprends goutte ? Les invraisemblances se font légion, les personnages sont caricaturaux, je n'y ai pas cru une seconde, et la fin toute dégoulinante de sucre a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. Le récit n'a pas vraiment de structure, je n'ai pas compris où voulait m'emmener l'auteure, avec ce qui se résume à une tranche de vie de Carmen et ses soeurs. Les sujets sont effleurés, rien n'est approfondi. le tout saupoudré de mots d'espagnol pour donner une ambiance, mais cela ne suffit pas à planter un décor.
MigdalUne lecture qui dégage une impression de travail bâclé ou inachevé avec de très nombreux personnages, parfois à peine esquissés, un scénario touffu, et un chapitre Violette aux propos stigmatisants ; une lecture à oublier !
Pas pleurer
Lydie Salvayre
Deux voix entrelacées. Celle, révoltée, de Georges Bernanos, témoin direct de la guerre civile espagnole, qui dénonce la terreur exercée par les nationalistes avec la bénédiction de l’Église catholique contre les "mauvais pauvres". Celle, roborative, de Montse, mère de la narratrice et "mauvaise pauvre", qui, soixante-dix ans après les événements, a tout gommé de sa mémoire, hormis les jours radieux de l'insurrection libertaire par laquelle s'ouvrit la guerre de 36 dans certaines régions d'Espagne. Deux paroles, deux visions qui résonnent étrangement avec notre présent, comme enchantées par l'art romanesque de Lydie Salvayre, entre violence et légèreté, entre brutalité et finesse, portées par une prose tantôt impeccable, tantôt joyeusement malmenée.
Serge B.J'ai été désorienté par l'écriture inhabituelle mais le livre est fabuleux.
LatinaCe n'est pas peu dire que j'ai adoré ce livre ! Mêlant souffle héroïque et intimité, euphorie et désespoir, courage et abnégation, il mérite amplement son prix Goncourt. Il offre une langue qui épouse la pensée de chacun, une langue vraie, naturelle, spontanée, qui fait frissonner et languir, qui exalte, qui fait aimer l'Espagne, son passé et son présent, sa terre, ses gens.
Odile R.Un livre exceptionnel qui nous rappelle le prix de la liberté, la lâcheté de ceux qui ferment les yeux sur l'horreur, le courage de ceux qui les ouvrent et la fragilité de ceux qui fuient la(les) dictature(s)
Amélie L.Une réelle déception pour ce livre dont je ne comprends pas l’attribution du prix Goncourt. Le récit est désordonné au point que l’on ne parvient pas à entrer dans l’histoire. Tout est confus, les dialogues s’entremellent dans une mise en page penible. Mêlant le présent et le passé, le récit de la protagoniste narré par sa fille, le récit de Bernanos tantôt en français tantôt en espagnol (non traduit) et dans un francespagnol d’une femme mélangeant les 2 langues. Je suis allée jusqu’au bout sans joie et avec maintes maintes plaintes. Je ne recommande pas !
JmoloLe thème, la montée du communisme et du franquisme, le lieu, un village retiré au fin fond de l'Espagne, le style d'écriture, un mélange de français avec une touche d'espagnol, étaient autant d'atouts pour me séduire. Mais voilà, très vite, le plaisir de lire s'est transformé en enfer du déchiffrage. Tout d'abord, la présentation des personnages sur trois générations est un imbroglio qui aurait nécessité un arbre généalogique en préambule. L'abus de l'écriture en "frangnol", amusante au début pour un bilingue franco-espagnol, devient vite d'une lourdeur pesante. Bref, j'ai "tenu" jusqu'à la page 50, et ne comprends toujours pas comment un tel livre a pu obtenir le prestigieux Prix Goncourt...
Joelle75Pour un Goncourt, vraiment décevant. L'arrière-plan historique n'est pas objectif, la langue très désagréable à lire. Même pour une hispanisante comme moi, (l'auteur fait parler sa mère avec des fautes et intègre des mots espagnols), il n'y a aucun plaisir de lecture. Quant à l'histoire, je n'ai pas accroché du tout.
Seule
Denis Lapière - Ricard Efa
Quand la vie d'une fillette de six ans et demi est bouleversée par la guerre... En pleine guerre civile espagnole, Lola va devoir apprendre à se débrouiller seule lorsqu'elle voudra rejoindre ses parents. Denis Lapière et Ricard Efa signent un récit poignant en choisissant de raconter les ravages de la guerre du point de vue d'une enfant.
Serge B.La guerre est cruelle, y compris (surtout ?) aux yeux d'un enfant qui ne peut en comprendre les raisons. Elle brise des familles et des vies, même lorsqu'on lui survit (plus encore dans le camp des vaincus).La vie de Lola en est un exemple, malheureusement pas isolé. Et cette histoire pourrait être transposée en d'autres lieux et d'autres temps plus proches de nous. La douceur du graphisme et des couleurs contraste avec la dureté du récit, sans toutefois en atténuer la portée. J'ai notamment apprécié la sobriété des traits et les visages très expressifs - celui de Lola en particulier.Une bande dessinée émouvante.
ZilizCet album montre les dégâts d'une guerre en général, et à hauteur d'enfant en particulier : familles séparées, violence et mort aux portes, chaos, exil, terreur.Coup de coeur pour cette histoire à la fois intemporelle, universelle, et bien ancrée dans l'Histoire espagnole.
Bidule62Empruntée par hasard, pour ses jolis dessins, cette BD m'a bcp plu. Tout y est sensible, la guerre (d'Espagne) à hauteur d'enfant. En un mot, vous l'aurez compris, cette BD m'a bouleversée.... Pour son histoire et la mienne....
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Le Piège
Felipe H. Cava - Federico del Barrio
1945. Les attentats et assassinats qui secouent Madrid trouvent un écho dans la bande dessinée pourtant très conventionnelle que publie en feuilleton Enrique Montero, un ancien républicain communiste. Ses anciens amis demandent au dessinateur de reprendre du service pour aider à piéger l'un des leurs qui enfreint les consignes du parti... Mais Enrique ne veut ni résister ni survivre en trahissant : il voudrait avant tout oublier. Le Piège rend hommage aux auteurs de BD de l'après-guerre et ressuscite, dans une ambiance volontairement oppressante, une page noire de l'histoire espagnole.
BMRCe qui frappe en premier lieu dans le Piège, ce sont les dessins en noir et blanc, en noir surtout avec de grands aplats très graphiques. Certains dessins sont de véritables prouesses. Avec en prime, une idée astucieuse : le scénario du Piège met en scène ... un dessinateur de BD et on a donc bien sûr droit à "la BD dans la BD". le héros prépare un épisode des aventures d'un super-héros en prise avec un affreux méchant. Les dessins de cette nouvelle BD s'intercalent dans la BD elle-même. Les dessins de la BD en création sont clairs et naïfs, les dessins de la vraie vie sont noirs et oppressants. Peu à peu, au fil des pages, les deux histoires se rapprochent ou se répondent ...
Damien R. L'histoire est noire, oppressante exactement comme le signale la quatrième de couverture. Le dessin est très recherché : on est dans le noir et blanc à l'état pur, alors les auteurs jouent sur les formes, parfois fantastiques, et le trait, tantôt au pinceau, à l'aquarelle, et tantôt en ligne claire (pour les passages où on est dans la Bd de l'auteur présenté). Le scénario est complexe, machiavélique tant on ne sait plus qui manipule vraiment qui.
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Dolores
Bruno Loth
Déroutée par la soudaine capacité de sa mère, pourtant sujette à des trous de mémoire, à parler espagnol, Nathalie s’interroge : pourquoi veut-elle se faire appeler Dolorès ? Et d’où proviennent ses cauchemars persistants dans lesquels se côtoient les fascistes, Franco et un mystérieux bateau ? Pour répondre à ces questions, Nathalie décide d’enquêter sur le passé de sa mère, en Espagne. L’occasion pour elle de découvrir, et de nous faire découvrir, l’histoire de ce pays et les profonds changements qu’il a connus au cours du siècle dernier... Du 28 janvier au 15 février 1939, plus de 500 000 républicains espagnols tentent de fuir Franco et la guerre civile. Parmi eux, au moins 70 000 enfants atteindront la France. Est-ce là l’exil forcé que connut Marie, la mère de Nathalie avant son arrivée à l’orphelinat de Montpellier ?
GouelanUne BD qui parle de reconstruction après un traumatisme, de mémoire, de souvenirs qui ressurgissent au milieu de cauchemars, de familles dispersées, d'hommes, d'enfants et de femmes, qui tentent de rester en vie malgré les tempêtes de l'Histoire. Une approche de la Guerre d'Espagne, tout en parcourant l'Espagne contemporaine agitée par les mouvements sociaux et politiques, qui me donne envie d'en savoir davantage sur cette page de l'Histoire.
Winter-J'ai trouvé cette bande dessinée très intéressante par son contenu, les dessins sont beaux et explicites. Cela faisait un bon moment que je voulais en apprendre plus sur la guerre civile espagnole et désormais c'est chose faite ! Je vous conseille vivement Dolorès, vous ne serez pas déçus !
Myriam3Passant par les souvenirs d'une vieille dame sénile, cette bande dessinée est très émouvante mais aussi un rappel de ce qui se passe actuellement à nos frontières. le livre aurait mérité d'être plus dense tant il est dans la volonté de dire ce qui s'est passé il y a moins de cent ans, près d'ici. La fin me semble un peu bâclée, un peu trop rapide, mais j'ai bien envie d'aller jeter un coup d'oeil sur Ermo, une première publication de Bruno Loth sur la guerre d'Espagne.
Erik-Ce sont tout ces pénibles moments qui resurgissent à la fin de la vie d'une vieille dame dans un hospice pour personne âgée. Sa fille va tenter de voir pourquoi elle parle en espagnol alors qu'elle ne l'avait jamais fait. Elle remonte les traces du passé de tout un peuple. On aurait sans doute aimé une plus grande interaction entre la fille et la mère par rapport à cela. C'est plutôt l'Histoire qui prend le dessus sur le drame personnel. J'ai eu un peu de mal pour m'attacher à ces personnages. A vrai dire, je n'y suis pas parvenu.Pour le reste, la mémoire d'événements tragiques est sans doute nécessaire pour se construire.
BillUn roman qui mêle réminiscences de la guerre civile et combat actuel de Podemos au point de brouiller les pistes et de donnait un résultant qui n'est satisfaisant ni du point de vue historique ni du point de vue politique contemporaine.C'est dommage, il avait bien commencé !
floUne bande dessinée qui permet d'en apprendre un peu plus sur la guerre civile espagnole. Cependant, l'histoire -peu réaliste- n'est qu'un prétexte pour raconter l'Histoire : c'est un peu lourd et fastidieux, voire parfois tiré par les cheveux. Sans compter qu'au final on n'apprend pas grand chose sur cette guerre. Bref, une lecture agréable et rapide mais pas mémorable.
Rêves oubliés
Léonor de Récondo
Quand il arrive à Irun où il espère rejoindre sa famille, Aïta trouve la maison vide. En ce mois d'août 1936, le Pays Basque espagnol risque de tomber entre les mains des franquistes. Aïta sait que ses beaux-frères sont des activistes. Il parvient à retrouver les siens à Hendaye. Ama, leur trois fils, les grands-parents et les oncles ont trouvé refuge dans une maison amie. Aucun d'eux ne sait encore qu'ils ne reviendront pas en Espagne. Être ensemble, c'est tout ce qui compte: au fil des années, cette simple phrase sera leur raison de vivre, malgré le danger, la nostalgie et les conditions difficiles.En 1939, quand les oncles sont arrêtés et internés au camp de Gurs, il faut fuir plus loin encore. La rumeur du monde plane sur leur vie frugale, rythmée par le labeur quotidien : les Allemands, non loin, surveillent la centrale électrique voisine, et les oncles libérés, poursuivent leurs activités clandestines.
Marina53Léonor de Récondo nous plonge dans ces rêves oubliés avec délicatesse et poésie. Par une écriture tout en finesse, ce roman pudique fait la part belle aux sentiments et émotions de ces êtres à la fois fragiles et déterminés et offre une très belle leçon d'histoire sur ces exilés espagnols.
Viou1108-AkaCe roman a la pureté du cristal, la douceur d'une caresse. Tout en retenue, il raconte, dans un contexte terrible, un amour tellement solaire qu'il parvient à atténuer la douleur de la perte des racines et des rêves. Que dire de plus sinon que tout ceci ne serait rien sans le talent de l'auteur, qui nous fait cadeau d'une écriture aérienne et délicate, touchée par la grâce, qui parle au coeur.
Annette55Une écriture aérienne, délicate,sensible, retenue, sans emphase qui donne à ce court roman une pureté et une douceur qui touchent au coeur,, un petit bijou de narration, superbe, empreinte d'une grande pudeur qui laisse deviner la profondeur des sentiments, une luminosité et une paix qui font du bien dans ce contexte de bruit de guerre, de dictature et de temps troublé....des pages pleines de tendresse, d'amour et de nostalgie, une devise: "Etre ensemble c'est tout ce qui compte"...."Combien d'amours volées dans cette guerre?" Troisième ouvrage lu de cette auteure musicienne.....que du bonheur..
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Les Secrets de Ciempozuelos
Almuneda Grandes
1954. Le jeune psychiatre Germán Velázquez revient en Espagne pour travailler à l’asile pour femmes de Ciempozuelos, à la périphérie de Madrid. Après avoir fui la victoire des nationalistes en 1939, Germán a vécu quinze ans en Suisse, chez un psychiatre juif lui-même en exil. À Ciempozuelos, Germán retrouve une patiente qui l’avait fasciné, enfant, quand son père la soignait : Aurora Rodríguez Carballeira, paranoïaque qui a assassiné sa propre fille. Il y fait également la connaissance d’une aide-soignante, María Castejón, à qui doña Aurora a appris à lire et à écrire. Attiré par María qui le repousse, Germán la soupçonne de cacher de nombreux secrets. Âmes-sœurs désireuses de fuir leurs passés respectifs, Germán et María aspirent à se donner une nouvelle chance, mais ils vivent dans un pays humilié, où les péchés deviennent des délits, et où la religion et la morale officielle camouflent abus et exactions.
ghislainemota500 pages pour dénoncer des horreurs, pour peindre des portraits hallucinants de bonté comme la famille Goldstein ou de cruauté représenté par le père Armenteros. Un livre pour "la mémoire de femmes privées de liberté". Un livre qui m'a d'autant plu touché lorsque je pense au sort de ma grand-mère, fille- mère dans les années 1940. Une vie de paria, de misère et de honte.Un livre éclairant comme un "phare".
ZephyrineAlmudena Grandes mêle admirablement l'histoire, la grande, aux destins chaotiques de ses personnages. Elle fait la part belle à la condition des femmes qui, sous le joug de la religion et des hommes, doivent être irréprochables. Elle aborde aussi le sujet de l'homosexualité, considérée comme une maladie et traitée comme telle. L'écriture d'Almudena Grandes est fluide, ample et l'histoire se déroule avec clarté malgré de nombreux retours en arrière. La psychologie de ses personnages et l'observation, le décryptage social et politique font de ce récit un grand roman. J'ai été emportée par cette fresque, véritable kaléidoscope d'une époque dont on a encore beaucoup à apprendre.
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Citrouille_meUn roman qui était prometteur avec une ambiance bien particulière et le thème de la psychiatrique dans l'Espagne des années 50, qui est exploité de manière pertinente, avec des passés difficiles qui refont surface et un contexte historique bien dépeint.Je reconnais tout à fait le potentiel de ce livre, qui est vraiment bon sur beaucoup de points. Mais j'ai eu beaucoup de mal à accrocher, et je l'ai trouvé vraiment long par moment. Je n'en garderais donc pas un souvenir impérissable malgré ses qualités indéniables.