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Commencer

Qualité et Sécurité alimentaire en Nutrition Animale

  • Je commence et je termine la formation
  • Je fais toutes les diapositives et je réponds aux questions
  • Je planifie la séance en amont dans mon agenda
  • Je ne me laisse pas happer par mon quotidien

Les règles de la formation

Appliquer les bonnes pratiques pour limiter les risques
Prendre conscience des origines et risques qu’ils peuvent engendrer
Identifier les familles de dangers dans l’alimentation animale

Objectif du E-learning

3- Lorsque vous lancez une vidéo, pensez à garder la souris dessus et de mettre en pleine écran. Une fois la vidéo terminée, appuyez sur la touche [Échap] pour continuer la formation

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Fonctionnement du E-learning

Module 5 : Les bases zootechniques
Module 4 : Le risque malveillance
Module 3 : Socle Technique « Nourri sans OGM <0,9% »
Module 2 : Points d’attention, points critiques et bonnes pratiques associées
Module 1 : Présentation d'Oxyane élevage

Sommaire

Module 1

Présentation d'Oxyane Pôle Élevage

SOREAL
CHALEINS
UCABIO
SNA
SOFRAGRAIN
DNA

Les spécificités de chaque site

Module 2

Les risques sanitaires en alimentation animale et les bonnes pratiques

Comprendre et appliquer les bonnes pratiques à tous les niveaux du processus de fabrication

Appréhender la notion de risque et identifier les points d'attention et points critiques à chaque étape de fabrication

Identifier les dangers de la sécurité sanitaire des aliments pour animaux et leurs sources

Objectifs du module

6) Le bon sens et les mesures de surveillance
5)Les bonnes pratiques à chaque étape de fabrication
4) Les mesures de maitrise/surveillance ?
3) Les points d'attention et les points critiques
2) L'HACCP
1) Les dangers et les risques en alimentation animale

Sommaire

Les notions de danger et de risque

  • Présence de corps étrangers : boulons, vis, verre, feraille...
  • Substances dopantes
  • Médicament / anticoccidien
  • Pesticides
  • Mycotoxines
  • Résidus de nettoyage et de maintenance
  • OGM
  • Salmonelle
  • Entérobactéries
  • Autres bactéries (Listeria)
  • Moisissures
  • Spores butyriques
  • Virus
  • Nuisibles

Les dangers physiques

Les dangers chimiques

Les dangers biologiques

Les 3 principaux types de dangers en alimentation animale :

Les dangers en alimentation animale

  • Les matières premières
  • Emballages
  • Nuisibles
  • Déchets
  • Salmonelle, listeria
  • Contamination des outils de production, des élevage et possibilité de transmission à l'homme
  • Incident en élevage sur les animaux : refus de s'alimenter ; effet sur la reproduction (porc, volaille, lapin), troubles digestif, avortement, mortalité liée au maladie virale...

Risques

Origines

Les risques liés aux dangers biologiques

  • Mycotoxines

Dangers

  • Les matières premières (céréales)
  • Emballages
  • L'énergie utilisée pour la production (eau, air)
  • Les lubrifiants
  • Accumulation dans les différents tissus chez l'animal puis chez l'homme :
    • Plomb et mercure : foie et rein
    • Dioxine : graisse, lait et oeufs

Risques

Origines

Les risques liés aux dangers chimiques

  • Matières premières
  • Emballages
  • Matériel de fabrication
  • Maintenance
  • Incident en élevage sur les animaux et/ou le matériel

Risques

Origines

Les risques liés aux dangers physiques

Selon le niveau de criticité du risque, on définit des points d'attention et des points critiques

A chaque étape de fabrication, on détermine la probabilité d'un danger et sa gravité : on évalue le risque

Hazard Analysis and Critical Control Point : Analyse des dangers et définition des points critiques

L'HACCP

Points critiques pour la maîtrise Mesures de surveillance continue Une perte de maîtrise de l'étape entraînera automatiquement une non-conformité du produit fini Exemple : traitement thermique

Points d'attention Mesures de surveillance ponctuelle Une perte de maîtrise de l'étape est susceptible d'entraîner une non-conformité du produit fini Exemple : dosage d'intrants

Points d'attention et points critiques

Autres indicateurs qualité : réclamations clients…

Plans de contrôle analytique : vérification de la conformité nutritionnelle et sanitaire des productions

Contrôles de routines : vérification en cours de fabrication

Des mesures de surveillance existent pour vérifier l’efficacité des bonnes pratiques, et pour justifier de l’efficacité de l’HACCP

Les enregistrements existants permettent de justifier du bon respect des bonnes pratiques

Le respect des bonnes pratiques et des procédures permet de limiter l’apparition d’un risque et d’assurer la conformité des produits finis

Les bonnes pratiques d’hygiène et de fabrication constituent les mesures de maîtrise des risques

Un risque se maîtrise et une étape se surveille

Mélangeur

Matières premières liquide

Matières premières en sac

Refroidisseur

Presse

Broyeur

Doseur

Silo

Réception des Matières Premières

Broyage

Mélange

Refroidissement

Chargement VRAC

Livraison

Conditionnement

Granulation

Réception des Matières Premières

Achats des matières premières et approvisionnements

Dosage

Stockage

Les bonnes pratiques à chaque étape de fabrication

Mélangeur

Matières premières liquide

Matières premières en sac

Refroidisseur

Presse

Broyeur

Doseur

Silo

Réception des Matières Premières

Broyage

Mélange

Refroidissement

Chargement VRAC

Livraison

Conditionnement

Granulation

Réception des Matières Premières

Achats des matières premières et approvisionnements

Dosage

Stockage

Les bonnes pratiques à chaque étape de fabrication

Mélangeur

Matières premières liquide

Matières premières en sac

Refroidisseur

Presse

Broyeur

Doseur

Silo

Réception des Matières Premières

Broyage

Mélange

Refroidissement

Chargement VRAC

Livraison

Conditionnement

Granulation

Réception des Matières Premières

Achats des matières premières et approvisionnements

Dosage

Stockage

Les bonnes pratiques à chaque étape de fabrication

Mélangeur

Matières premières liquide

Matières premières en sac

Refroidisseur

Presse

Broyeur

Doseur

Silo

Réception des Matières Premières

Broyage

Mélange

Refroidissement

Chargement VRAC

Livraison

Conditionnement

Granulation

Réception des Matières Premières

Achats des matières premières et approvisionnements

Dosage

Stockage

Les bonnes pratiques à chaque étape de fabrication

Contrôle des aliments fabriqués Remontée de toute anomalie

Intrants Produits finis Déchets

Nettoyage et désinfection réguliers des mains Tenue de travail propre et dédiée à l’usine Manger, boire, fumer et vapoter aux endroits dédiés, en dehors de la zone de production

Une vigilance permanente :

Respect des flux de produits et identification claire :

Hygiène personnelle :

Du bon sens

Autres points de surveillance : températures de granulation, agréage à réception…

En externe : pour vérifier en laboratoire la conformité par rapport à l’attendu ou par rapport aux exigences réglementaires

En interne : pour vérifier la conformité par rapport à l’attendu

!!! ECHANTILLONS !!!

Les mesures de surveillance

Toutes les étapes de fabrication sont à maîtriser via les bonnes pratiques pour assurer une qualité marchande , sanitaire et nutritionnelle des aliments

Points critiques Mesures de surveillance continue

Points d'attention Mesures de surveillance ponctuelle

L'HACCP : Analyse des dangers et définition des points critiques
Les 3 familles de danger pour la sécurité sanitaire : biologique; chimique ; physique

Recap

Module 3

Socle Technique « Nourri sans OGM <0,9% »

Prendre conscience des bonnes pratiques liées aux aliments pour filières « nourri sans OGM <0,9% » notamment en usine mixte

Distinguer les matières premières OGM

Identifier la notion d’OGM

Objectifs du module

6) Mesures de surveillance
5) Mesures de maîtrise
4) Les exigences du STNO
3) Maîtrise du risque OGM
2) Matière Première à Risque et Matière Première Sensible
1) Introduction : Qu'est ce qu'un OGM ?

Sommaire

Les OGM utilisés sur les sites de nutrition animale : - Tourteau de soja 48 - Téguments de soja

Les OGM sont interdits de culture en Europe (sauf 1 espèce de maïs hors France). Toutefois, leur commercialisation et leur utilisation en alimentation animale sont autorisées.

soja, maïs, colza, betterave, coton, lin, pomme de terre…

Espèces OGM dans le monde

Organisme génétiquement modifié
OGM

OGM ?

Les matières premières à base de maïs, soja, colza et betterave sont à surveiller malgré la garantie contractuelle non-OGM.

Exemples : soja UE, colza UE, maïs France

MPS = Matière Première Sensible. Matière première dont l’espèce « OGM » existe et provenant d’une zone où cette espèce n’est pas cultivée. La surveillance analytique est facultative.

Exemples : maïs UE, soja import, colza import, toute MP dont l’origine est inconnue

MPR = Matière Première à Risque. Matière première dont l’espèce « OGM » existe et provenant d’une zone où cette espèce peut être potentiellement cultivée. Une surveillance analytique est obligatoire.

MPR et MPS

DNA, SOREAL et SNA : Mixité OGM et non-OGM sur site. La maîtrise va se faire sur plusieurs étapes, des achats/appros à la livraison des produits finis.

SOFRAGRAIN : Aucune matière première OGM n’est réceptionnée sur site. La maîtrise va donc être sur l’étape d’achats et approvisionnements pour éviter l’intégration d’OGM.

La maîtrise du risque va dépendre de l’activité de l’entreprise :

Le risque « OGM » concerne les aliments pour filières « nourri sans OGM <0,9% », et couverts par le STNO, pour lesquels le taux d’OGM ne doit pas dépasser 0,9%.

Maîtrise du risque OGM

Service QUALITÉ et FORMULATION

Tenir un plan de surveillance des matières premières et produits finis

Étapes de FABRICATION, de la réception à la livraison

Maîtriser les transferts inter-lots entre OGM et non-OGM <0,9%

Service ACHATS ET APPROS

Garantir le caractère « non OGM <0,9% » des matières premières utilisées pour les filières « nourri sans OGM <0,9 »

Les exigences du STNO

Ensachage ou chargement vrac

Granulation

Dosage

Réception des MP

Mesures de maîtrise

MPR = Matière Première à Risque. Matière première dont l’espèce « OGM » existe et provenant d’une zone où cette espèce peut être potentiellement cultivée. Une surveillance analytique est obligatoire.

Au-delà d’un certain nombre d’analyses non-conformes (OGM >0,9%), l’usine doit déclasser les aliments et mettre en place un plan d’amélioration.

A minima 1 analyse/an sur les MPR Des analyses sur MPS peuvent être effectuées Analyses sur produits finis : le nombre dépend du tonnage d’aliments en filière « nourri sans OGM <0,9% » fabriqué Exemple DNA : 15 analyses sur 2024

Plan de contrôle qualité :

Mesures de surveillance

= Pas de contamination des aliments garantis "nourri sans OGM <0,9%"

Mesures de maitrise Réception; dosage; granulation; ensachage/chargement vrac

Des exigences STNO sont à respecter tout au long divers étapes : Service ACHATS ET APPROS; Étapes de FABRICATION; Service QUALITÉ

OGM : Organisme génétiquement modifié ; interdit de culture en France

Recap

Module 4

Le risque malveillance

Appliquer les bonnes pratiques pour limiter le risque

Identifier les zones sensibles par rapport au risque malveillance

Comprendre le concept de malveillance

Objectifs du module

3) Les bonnes pratiques face à la malveillance
2) Cartographie des zones sensibles
1) La malveillance ?

Sommaire

Nous sommes au sein d’une filière fréquemment visée par des associations activistes (L214, RAFU)

Contamination intentionnelle des produits

Piratage informatique

Sabotage des équipements de production

Plusieurs actes sont typiques d’une malveillance :

La malveillance consiste à nuire intentionnellement à l’activité d’une entreprise.

La malveillance ?

C’est sur ces zones que la vigilance de tous doit être accrue

  • Fosses de réception
  • Verse-sacs
  • Dépotage des big-bags

Toutefois, on identifie de manière générale les points d’entrées des circuits de fabrication où les contaminations intentionnelles sont plus faciles :

Chaque site de fabrication définit ses propres zones sensibles.

Cartographie des zones sensibles

  • Verrouiller son PC en cas d’absence du bureau
  • Ne pas communiquer ses identifiants et mots de passe
  • Signaler toute tentative d’obtention d’informations potentiellement confidentielles

Vigilance sur les systèmes d’information

  • Les accompagner au maximum jusqu’à leur zone d’intervention
  • Leur demander de s’inscrire au registre d’accueil et leur faire signer le plan de prévention

Vigilance sur les prestataires extérieurs

⇒ Assurer la confidentialité sur l’activité du site (prestataires intervenant pour des concurrents, cercle familial, chauffeurs, postes réseaux sociaux…)

⇒ Je signale immédiatement au responsable de site ou au responsable qualité

  • Personne étrangère à l’entreprise errant dans les bâtiments
  • Prestataire extérieure intervenant en dehors de la zone prévue
  • Personne cherchant à soutirer des informations via mail, téléphone, drone qui survole un site

Identifier et signaler des comportements suspects

  • Portes, portails, rideaux fermés
  • L’accès de l’usine est interdit aux personnes extérieures hors prestataires

Être vigilant et verrouiller au maximum les accès

Les bonnes pratiques face à la malveillance

Pour éviter cette malveillance, des bonnes pratiques sont à respecter

Chaque site à ses zones sensibles, néanmoins, des zones de contamination simples sont à retenir
La malveillance est l'action de nuire intentionnellement à l’activité d’une entreprise.

Recap

Module 8

Les bases zootechniques

Se familiariser avec les formules en place sur les usines du pôle élevage d'Oxyane.

Appréhender les exigences usines par rapport aux espèces d'animaux de rente.

Faire un lien entre les pratiques d'usines et les risques zootechniques.

Identifier les principales différences entre les espèces (besoin, Ruminants/Monogastriques)

Objectifs du module

7) Les bovins
6) Petits ruminants
5) Les chevaux
4) Les lapins
3) La volaille
2) Les porcins
1) Monogastriques et Ruminants

Sommaire

Ruminants : - Bovins - Ovins - Caprins

Monogastriques : - Chevaux - Porcs - Volailles - Lapins

Deux groupes d'espèces différentes

IMPORTANT : la présence de fines en trop forte quantité risque d’irriter les naseaux des porcs et/ou créer des problèmes respiratoires surtout chez les porcelets.

Codes formules commençant par 28 ou 29

3 Principaux types d'aliments au cours du cycle de production pour les porcs en engraissement.

Le respect des teneurs en protéines et acides aminés (ex: lysine) est essentiel avec l'augmentation des besoins nutritionnels. Les granulés doivent être d'un diamètre d'environ 4mm ou de la farine.

Diamètre des vermicelles d'environ 2,5mm. La farine est possible pour améliorer le transit.

ATTENTION à la granulométrie : Elle doit être suffisamment fine, donc présentation en miettes ou vermicelles. Le granulé doit être tendre et NON FRIABLE.

Les porcins

Granulés optimaux d’environ 4 mm de diamètre et 1 cm de longueur. Les fines en quantité trop importante peuvent entraîner des problèmes respiratoires. Veiller à la durabilité du granulé sinon gaspillage et possible refus.

Codes formules commençant par 36

PARTICULARITÉ : Caecotrophie (ingestion des crottes molles) pour en récupérer des nutriments (minéraux et vitamines)

Les lapins

  • Les poussières et, donc, la trop grande présence de fines sont à éviter car elles risquent de provoquer des problèmes respiratoires.
  • L’orge doit être concassé ou aplatie.
  • Le triticale doit être aplati.
  • Les vesces sont interdites dans les graines de protéagineux (risques intoxications).
  • Des aliments trop secs, présence de fines, diamètre non adapté, etc peuvent représenter un risque de bouchon œsophagien pour le cheval lors de l’ingestion.
  • L’humidité du produit est à contrôler afin d’éviter le développement de moisissures et de bactéries pathogènes.

ATTENTION substances dopantes et médicaments (se référer à la formation STNE)

Présentation des aliments :

Gros bouchons (7-8mm de diamètre) Granulés 4mm de diamètre Mash Floconnés

Les chevaux

ATTENTION à la présence de cuivre dans les formules ovines (incompatibilités) => mortalité.Déséquilibre protéines/énergie = risque d’acidose (augmentation de l'énergie qui fait baisser le pH dans rumen, amenant un déséquilibre) => baisse production, mortalité. Minéraux essentiels : Calcium et phosphore (squelette, production laitière…). Présence de fines = risque problèmes respiratoires surtout pour les jeunes et irritation naseaux => risque sous consommation, refus, mortalité

Présentation aliments :

- Il est possible de mettre du vermicelle aux jeunes car cela limite les risques d’étouffement et habituent à manger du sec en remplacement du lait maternel.- Granulés. - Mash

3 types de besoinle mash pour les femelles : - Entretien (pas en production) - Gestation (grossesse) - Lactation (production de lait)

Petits ruminants

ATTENTION : veaux très sensibles aux problèmes respiratoires et digestifs (fines, etc.) Déséquilibre protéines/énergie = risque acidose : altération de la flore microbienne digestive + pollution air

Présentation aliments :

- Granulés (environ 4mm de diamètre) - Mash

Les bovins

Jean-Pierre Coffe

"L'erreur que l'on commet c'est de vouloir transformer les habitutdes alimentaires de l'homme alors qu'il faudrait plus simplement revenir à une alimentation saine pour les animaux"

Merci de votre attention !

Automatisme des circuits pour éviter les mélanges et les contaminations croisées, avec vigilance des équipes opérationnelles Maintenance préventive des équipements Plan de lutte contre les nuisibles

Respect des procédures de rengrènement / recyclage Utilisation de matériel dédié pour certains intrants (médicaments) Fermeture des sacs et big-bags de matières premières Nettoyage et désinfection de l’environnement de production et des équipements

Respect des formules Gestion des écarts de dosages Traçabilité des produits dosés Respect des règles d’incompatibilités

Dosage

Plan de lutte contre les nuisibles

Maintenance préventive des équipements

Automatisme des circuits pour éviter les mélanges et les contaminations croisées, avec vigilance des équipes opérationnelles

Nettoyage et désinfection de l’environnement de production et des équipements

Respect des procédures de rengrènement / recyclage

Respect des règles d’incompatibilités

Broyageet Mélange

Facteur antinutritionnel : substance présente dans certains aliments, qui réduit ou inhibe l'absorption et l'utilisation des nutriments essentiels par notre organisme. (lalanguefrançaise.com)

ATTENTION aux facteurs antinutritionnels (FAT) contenus par exemple dans le soja, un traitement thermique est nécessaire !

Grand intestin

Petit intestin

Oesophage

Bouche

Estomac

estomac

Un seul

Monogastrique

Plan de lutte contre les nuisibles

Maintenance préventive des équipements

Nettoyage et désinfection de l’environnement de production et des équipements

Automatisme des circuits pour éviter les mélanges et les contaminations croisées, avec vigilance des équipes opérationnelles

Traçabilité et identification des produits

Chargement VRAC

Etablissement vétérinaire

Bio distrib, labels, ionisés

+ agrément salmonelle

Certifications :

Big bag

Vrac

Sac

Cahiers des charges spécifiques :

Conditionnements :

Multi-espècesMajorité volailles

Espèces :

Multi-présentation

Présentation :

125 000 tonnes

Tonnage annuel moyen :

Descriptif de l'usine

Certaines espèces végétales (soja, maïs…) ont subi des modifications d’ADN artificielles pour que les cultures soient plus résistantes aux contraintes extérieures (climat, ravageurs…) ou plus rentables

Plan de lutte contre les nuisibles

Maintenance préventive des équipements

Automatisme des circuits pour éviter les mélanges et les contaminations croisées, avec vigilance des équipes opérationnelles

Nettoyage et désinfection des zones de stockage

Purges des circuits et points zéros des zones de stockage

Stockage

Plan de lutte contre les nuisibles

Maintenance préventive des équipements

Nettoyage et désinfection de l’environnement de production et des équipements

Automatisme des circuits pour éviter les mélanges et les contaminations croisées, avec vigilance des équipes opérationnelles

Maîtrise du débit de fabrication pour assurer le bon refroidissement des produits

Refroidissement

Vérification des nettoyages des contenants Vérification de l’adéquation des documents de réception avec le produit attendu Automatisme des circuits pour éviter les mélanges et les contaminations croisées, avec vigilance des équipes opérationnelles Traçabilité et identification des produits à réception Nettoyage des fosses de réception Présence d’une grille sur les fosses de réception Système d’aspiration sur les fosses de réception Vérification de l’adéquation du produit réceptionné avec les spécifications internes (contrôle/agréage à réception) Maintenance préventive des équipements Plan de lutte contre les nuisibles

Réception

Etablissement vétérinaire

Bio distributeur, Labels

Certifications :

Big bag

Vrac

Cahiers des charges spécifiques :

Conditionnements :

Multi-espècesMajorité ruminants

Espèces :

Multi-présentation

Présentation :

80 000 tonnes

Tonnage annuel moyen :

Descriptif de l'usine

Big bag

Vrac

Certifications :

Conditionnements :

Multi-espècesMajorité ruminants

Espèces :

  • Granulés
  • Extrudés
  • Floconnés
  • Aplatis

Présentations :

30 000 tonnes

Tonnage annuel moyen :

Descriptif de l'usine

Etablissement vétérinaire

Labels

Certifications :

Vrac

Cahier des charges spécifiques :

Conditionnements :

VolaillesMajorité ponte

Espèces :

Farine

Présentation :

45 000 tonnes

Tonnage annuel moyen :

Descriptif de l'usine

Exemples :

  • Tourteau de soja PCR import = MPR
  • Gluten de maïs Europe = MPR
  • Maïs Ukraine = MPR
  • Tourteau de colza gras France = MPS
  • Pulpe de betterave Europe = MPS
  • Blé France = ni une MPR, ni une MPS car le blé OGM n’existe pas

Labels

Cahier des charges spécifiques :

Multi-présentation

Big bag

Vrac

Sac

Certifications :

Conditionnements :

Multi-espècesMajorité volailles

Espèces :

Présentations :

20 000 tonnes

Tonnage annuel moyen :

Descriptif de l'usine UCABIO

Plan de lutte contre les nuisibles

Maintenance préventive des équipements

Extrusion

Automatisme des circuits pour éviter les mélanges et les contaminations croisées, avec vigilance des équipes opérationnelles

Respect des règles d’incompatibilités

Granulation

Possèdent 4 « estomacs » dont un seul réalise la digestion chimique (caillette).La rumination est la remontée des aliments "trop gros" par l'oesophage dans la bouche pour qu'ils soient remâchés et redigérés par la suite.Les fibres sont essentielles au bon fonctionnement digestif.

Ruminants

  • Certification « sécurité sanitaire » des fournisseurs (RCNA, GMP+, FCA…)
  • Evaluation annuelle et revue des fournisseurs
  • Spécifications sur fiches techniques et/ou contrats d’achats
  • Pour les consommables : aptitude au contact alimentaire des produits utilisés (sacherie, produits de nettoyage, produits de maintenance…)
  • Certification des transporteurs et vérification des nettoyages des contenants

Achats des matières premières et approvisionnements

Traçabilité et identification des produits Désinfection des camions vrac, avec maintenance préventive Bonnes pratiques des chauffeurs et transporteurs : biosécurité, respect des consignes de livraison…

Livraison

Mélange de matières premières ou en l'état

Vrac

Sac

Certifications :

Conditionnements :

Multi-espècesMajorité Basse-cour

Espèces :

Présentations :

9 000 tonnes

Tonnage annuel moyen :

Descriptif de l'usine

Traçabilité et identification des produits Contrôle des poids des produits conditionnés Automatisme des circuits pour éviter les mélanges et les contaminations croisées, avec vigilance des équipes opérationnelles Nettoyage et désinfection de l’environnement de production et des équipements Maintenance préventive des équipements Plan de lutte contre les nuisibles

Conditionnement

Se référer :

  • Aux procédures internes, disponibles aux postes, sur les affichages, ou sur demande au service qualité
  • Aux fiches récapitulatives des Points d’Attention et CCP

Selon les sites, les procédures peuvent varier