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Isabelle FERREIRA

Created on June 5, 2024

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REVISIONS BPH

Programme de Terminale

Programme de première

cours

Sommaire révision première

anatomie
1-Organisation et fonctionnement intégré de l'être humain
niveau d'organisation
organe à molécule

3-Appareil digestif et nutrition

3-Appareil digestif et nutrition

2-Appareil locomoteur et motricité
influx nerveux
muscle strié
squelette
système nerveux
3-Appareil digestif et nutrition
anatomie du tube digestif
aliments nutriments
equilibre alimentaire
absorption
digestion
anatomie activité mécanique

4-Appareil cardiovasulaire et circulation sanguine

insuffisance coronarienne
activité electrique
régulation cardiaque
vaisseaux
Techniques explorations

ANATOMIE ET HISTOLOGIE DE L’APPAREIL RESPIRATOIRE

5-Appareil respiratoire et échanges gazeux

LES PATHOLOGIES RESPIRATOIRES

ANATOMIE ET HISTOLOGIE DE L’APPAREIL RESPIRATOIRE

ORGANISATION DE L’APPAREIL RESPIRATOIRE

Circulation pulmonaire

ORGANISATION DE LA BARRIERE ALVEOLO-CAPILLAIRE

L’air arrive au niveau des poumons dans les alvéoles pulmonaires, qui sont séparés des capillaires sanguins par une seule couche de cellules épithéliales : les pneumocytes I. La présence de surfactant (sécrété par les pneumocytes II) maintient les alvéoles ouvertes. La grande surface alvéolaire, sa finesse, sa grande irrigation sanguine et la présence du surfactant permettent d’assurer les échanges gazeux.

ECHANGES GAZEUX

AU NIVEAU DES ALVEOLES PULMONAIRES (HEMATOSE)

HISTOLOGIE DES VOIES RESPIRATOIRES -Les voies respiratoires inférieures, de la trachée aux bronchioles, sont des tuyaux rigides. Au cours de son trajet, l’air est réchauffé, humidifié et filtré. -La paroi de ces voies présente plusieurs couches : - Une muqueuse (tissu épithélial) constituée de cellules ciliées et de cellules à mucus. Le mucus, évacué naturellement par la toux grâce à des cils, sert à piéger les particules et les micro-organismes inspirés ; -du tissu cartilagineux, jusqu’aux bronches, qui maintient les voies respiratoires ouvertes pour permettre le passage de l’air ; -du tissu musculaire qui permet des phénomènes de bronchoconstriction et bronchodilatation.

HISTOLOGIE DES VOIES RESPIRATOIRES -Les voies respiratoires inférieures, de la trachée aux bronchioles, sont des tuyaux rigides. Au cours de son trajet, l’air est réchauffé, humidifié et filtré. -La paroi de ces voies présente plusieurs couches : - Une muqueuse (tissu épithélial) constituée de cellules ciliées et de cellules à mucus. Le mucus, évacué naturellement par la toux grâce à des cils, sert à piéger les particules et les micro-organismes inspirés ; -du tissu cartilagineux, jusqu’aux bronches, qui maintient les voies respiratoires ouvertes pour permettre le passage de l’air ; -du tissu musculaire qui permet des phénomènes de bronchoconstriction et bronchodilatation.

TRANSPORT DU DIOXYDE DE CARBONE DANS LE SANG -Le CO2 gaz très soluble dans le plasma, est transporté sous différentes formes : dissous dans le plasma, fixé sur des protéines, dont l’hémoglobine, sous forme d’ions hydrogénocarbonates. -Sa fixation sur l’hémoglobine se fait sur un autre site que celui de l’O2 : les globines. DEVENIR DU DIOXYGENE DANS L’ORGANISME Le dioxygène est ensuite distribué aux cellules. Il diffuse des capillaires vers les cellules. Dans la mitochondrie, il permet la production d’énergie par respiration cellulaire. Le dioxyde de carbone produit diffuse des cellules vers le sang pour être éliminé au niveau des alvéoles pulmonaires.

TRANSPORT DU DIOXYGENE DANS LE SANG https://www.youtube.com/watch?v=uxbOCOK027M -Le dioxygène est transporté dans le sang, fixé (98%) sur les ions ferreux de l’hémoglobine des globules rouges et 2% dissout dans le plasma. -En fonction des conditions du milieu l(voir TD) ’hémoglobine fixe ou libère du dioxygène. Certains facteurs influencent cette fixation : élévation du pH, baisse de la température ou du PCO2 favorisent la fixation d’O2. Au contraire baisse de pH, augmentation de la température ou de pCO2 (exemple un effort physique) favorisent la libération de O2. L’hémoglobine s’adapte aux besoins en O2 de l’organisme.

LES PATHOLOGIES RESPIRATOIRES

LES TECHNIQUES D’EXPLORATION RESPIRATOIRE Les techniques d’exploration respiratoire, que sont la radiographie, la scanographie et la fibroscopie, ont un intérêt dans le diagnostic de cancers mais aussi d’infections pulmonaires. -La radiographie est un examen rapide de première intention. -La scanographie permet d’obtenir des informations plus précises sur la taille, la localisation et la nature de l’anomalie. -La fibroscopie permet une visualisation directe des muqueuses bronchiques ainsi que le prélèvement de fragments de tissus dans le but de les analyser en laboratoire d’anatomopathologie (biopsie). -La spirométrie permet une analyse fonctionnelle des capacités respiratoires du patient. Cette technique mesure les volumes respiratoires échangés au cours d’une inspiration et d’une expiration. Elle permet de suivre l’évolution de pathologies respiratoires ainsi que l’efficacité des traitements. Document : Radiographies du thorax ; scanographie du thorax ; Fibrobronchoscopie

L’ASTHME -L’asthme est une maladie caractérisée par une inflammation des bronches et des bronchioles. C’est une pathologie chronique évoluant par crises lorsque le sujet est au contact avec des facteurs déclenchants tels qu’une mauvaise qualité de l’air, la fumée de tabac, les pollens ou encore les poils d’animaux. -Le diagnostic de l’asthme repose sur une spirométrie. Le patient asthmatique présente une capacité respiratoire inférieure à 70% par rapport à un sujet sain. -Le principal traitement de l’asthme se compose d’un bronchodilatateur, afin de dilater les muscles bronchiques , et d’un anti-inflammatoire, afin de réduire l’inflammation et faciliter le passage de l’aire.

LES CONSEQUENCES PATHOLOGIQUES DU TABAGISME

Respiratoire -Hypersécrétion de mucus et destruction des cils = toux, expectorations, dyspnée, surinfection bactérienne ; -les substances irritantes responsables des affections respiratoires (bronchite chronique évoluant vers l’insuffisance respiratoire).

Substances irritantes :

goudron : Les goudrons qui sont cancérigènes des cancers des voies aériennes (et digestives supérieures si associé à l’alcoolisme : cancers de la langue ou de l’œsophage).

nicotine : La nicotine, qui atteint en 7 secondes les récepteurs cérébraux où elle se fixe. Elle est responsable de la dépendance au tabac car elle stimule ou module la libération de nombreux neurotransmetteurs. Elle a un effet stimulant et antidépresseur. La nicotine entraîne une augmentation de la fréquence cardiaque (tachycardie), favorise les thromboses, l’athérosclérose et ses complications : artérite des membres inférieurs, angor, infarctus du myocarde.

Monoxyde de carbone : Le monoxyde de carbone, qui est un facteur d’hypoxie car il se lie à l’hémoglobine prenant la place du dioxygène et forme la carboxyhémoglobine. Il se lie également à la myoglobine des cellules musculaires, principalement cardiaque, réduisant la capacité à l’effort. L’hypoxémie, due au monoxyde de carbone, provoque une hypoxie à l’effort.

EXPLORATION DES VOLUMES PULMONAIRES

Présentation de la spirométrie La spirométrie est un test médical consistant à mesurer à l'aide d'un appareil les volumes et débits d'air qu'un patient est capable d'inspirer et expirer. L'analyse des résultats aide à poser le diagnostique de différentes pathologies pulmonaires. https://www.youtube.com/watch?v=eKXlT4ya8BA

DEFINITION La spirométrie mesure les différents volumes d’air échangés pendant un cycle respiratoire (inspiration et expiration) = mesure de la capacité respiratoire. Résultat sous forme de courbe. INTERET Cette technique donne des indications sur la mécanique respiratoire. Elle est utilisée dans les bilans pneumologiques pour dépister une maladie pulmonaire ou confirmer un diagnostic, pour évaluer et suivre l’efficacité d’un traitement ou lors d’un suivi postopératoire. PRINCIPE Le sujet souffle ou aspire dans un spiromètre relié à un capteur, lui même relié à l’ordinateur. On obtient le résultat sous forme de graphe : le spirogramme.

- Capacité vitale (CV) : volume d’air totale pouvant être échangé. 2-A l’aide des indications fournies, retrouver l’addition qui permet de calculer la capacité vitale. - Capacité vitale forcée ( CVF ) : volume d’air expulsé lors d’une inspiration forcée suivie d’une expiration forcée. La CVF est une expiration forcée. Le patient est assis ou debout. Il inspire à fond et expire le plus fort possible tout l’air de ses poumons dans le spiromètre. - Volume expiratoire maximal-seconde (VEMS ) : volume d’air expulsé pendant la première seconde d’une expiration forcée. Obtenu après une inspiration forcée. - L’indice de Tiffeneau L'indice de Tiffeneau est le rapport VEMS/CVF exprimé en pourcentage. Ce rapport est d’environ 80% chez le sujet normal. Autrement dit, un sujet normal expire 80% de sa capacité vitale dans la première seconde d'une expiration forcée. Chez un patient asthmatique cet indice est diminué.

01

présentation du matriel et des images

02

jeux ...J

Video et principe

03

Tu verifies tes connaissances

RADIOGRAPHIE

04

Terminologie

lPRODUITS DE CONTRASTE
LE MATERIEL
les images obtenues

LA FIBROSCOPIE APPLIQUEE A L'EXPLORATION DIGESTIVE

VIDEO

Matériel

IMAGES OBTENUES

PATHOLOGIES

Principe physique
Test toi !!!!!

LA SCANOGRAPHIE

Principe ?

comparaison scanographie et radiographie

MATERIEL

images+exo

Start

scintigraphie

1.Materiel

2-Principe

3-Images obtenues

4- Je me teste !!!!

Echographie et doppler

Materiel

Principe

obstetricale
rectocolite

Images

Exercices pour vérifier mes connaissances

Remplir fiche papier

Le materiel

On applique une sonde (émettrice et receptrice d'ultrasons au dessus de la zone à visualiser. Le résultat est observer sur un moniteur.

echographie cardiaque

Doppler

echographie obstetricale

Sonde émettrice et receprice d'ultrasons balaye la zone
principe physique
texte à trou
vidéo echographie du foie

Principe

Echographie couplée au Doppler
Echographie cardiaque

LE MUSCLE STRIE, LA CELLULE MUSCULAIRE ET LA CONTRACTION MUSCULAIRE

-Le muscle présente une organisation hiérarchisé. Il est formé d’un ensemble de cellules très allongées appelées myocytes ou fibres musculaires, disposées parallèlement les unes aux autres et regroupées en faisceau de fibres. -La cellule musculaire est une cellule spécialisée formé à son tour par un assemblage de myofibrille, elles-mêmes formées par l’alternance de myofilaments d’actine et de myosine. C’est cette alternance de myofilaments qui donne un aspect strié aux myocytes. -L’unité structurale de contraction est le sarcomère, une portion des myofibrilles formées par l’alternance de 2 protéines ou myofilaments d’actine et de myosine. Le sarcomère est délimité par 2 stries Z.

COMMANDE DE LA CONTRACTION MUSCULAIRE Les neurones moteurs déclenchent la contraction musculaire. Ils transportent un message électrique (potentiel d’action) qui se transmet à la membrane musculaire (potentiel d’action musculaire) par une structure spécialisé : la synapse ou jonction neuromusculaire.

Organisation d’une fibre musculaire

CONTRACTION MUSCULAIRE -A la suite de la fixation du neurotransmetteur sur la cellule musculaire, les filaments d’actine et de myosine s’accrochent. Puis ils coulissent les uns sur les autres, entrainant le raccourcissement du sarcomère, donc de la cellule et du muscle. -Ce processus consomme de l’énergie. L’énergie est produite à partir du glucose et du dioxygène dans les mitochondries. Le myocyte est donc riche en mitochondries et en glycogène, qui sert de réserve de glucose. -L’arrêt de la contraction est dû à l’arrêt de l’influx nerveux et à l’élimination du neurotransmetteur. Les myofilaments se détachent et reprennent ainsi leur position initiale.

ALIMENTS et NUTRIMENTS *Les aliments sont constitués de nutriments nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme. L’analyse de la composition nutritionnelle des aliments permet de distinguer différents types de nutriments en fonction de la quantité nécessaire à l’organisme : -les macronutriments (glucides, lipides, et protides), biomolécules nécessaire en grande quantité ; -les micronutriments, nécessaires en petites quantités, parmi lesquels on distingue les vitamines et les minéraux. *Un polymère est une molécule formée de l’enchainement de plusieurs unités de base. Une unité de base est appelée monomère.

* LIPIDES

Macronutriments

Micronutriments -Les vitamines : composés organiques nécessaire à l’organisme en petite quantité. Elles sont classées en fonction de leur solubilité dans l’eau (vitamine hydrosolubles : C ou B) ou dans les lipides (vitamines liposolubles A,D,E et K). Les vitamines sont indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. -Les minéraux comme le calcium, le magnésium, le fer : interviennent dans de nombreux processus physiologiques. Le fer est indispensable pour le transport du dioxygène, le calcium pour le tissu osseux etc…. Importance de répartition de l’eau dans l’organisme -L’eau représente 60% de la masse corporelle. Elle se répartit dans 2 compartiments les liquides intracellulaires et les liquides extracellulaires. -L’eau permet le transport des éléments qui circulent dans le sang, les réactions chimiques d’hydrolyse, la mise en solution des molécules (rôle de solvant). -Les macronutriments possèdent des propriétés différentes vis-à-vis de l’eau. Les glucides et les protides sont principalement hydrophiles et les lipides hydrophobes.

Equilibre alimentaire

Besoins de l’organisme Pour assurer le bon fonctionnement de l’organisme, les cellules ont 3 types de besoins précis permettant d’assurer 3 rôles : -Bâtisseur : renouvellement des cellules, croissance ……. -Energétique : motricité, production de chaleur…. -Fonctionnel : molécule nécessaire au fonctionnement de l’organisme. • Les besoins sont qualitatifs car les cellules utilisent des molécules précises qu’elles ne savent pas fabriquer. L’alimentation doit donc contenir ces molécules : des vitamines, des sels minéraux, des acides gras et des acides aminés essentiels (au nombre de 8). • Mais ils sont aussi quantitatifs, les cellules nécessitant des quantités précises par jour : _ micronutriments (moins de 1 g /jour) : vitamines, minéraux ; _ macronutriments (plus de 1g/jour) : acides aminés, acides gras, ose. L’énergie provient de l’oxydation des nutriments (1Kcal = 4,20 KJ) Sachant que : 1g de glucide apporte 17 KJ 1g de lipide apporte 38 KJ 1g de protide apporte 17 KJ Equilibre alimentaire *Les besoins varient en fonction de l’état physiologique de l’individu, en particulier l’âge, le sexe, l’activité physique, la grossesse ou certaines pathologies. *Pour être en bonne santé, apports et besoins doivent s’équilibrer. Obésité, un déséquilibre d’excès d’apport

Carences un déséquilibre de manque d’apports • Les carences correspondent au manque d’un ou de plusieurs types de nutriments nécessaire à l’organisme. • Il faut distinguer : -les carences quantitatives globales : manque de tous les nutriments (ex : anorexie, marasme). -Les carences qualitatives : manque d’un nutriments spécifique (ex : le Kwashiorkor est une carence en acides aminés essentiels, le rachitisme est une carence en vitamine D).

*L’obésité est un excès de tissu adipeux. Ce trouble nutritionnel est en très forte augmentation dans les pays en voie de développement. Il favorise l’apparition de nombreuses maladie. *Les conséquences possibles sont les suivantes : -à court terme : troubles articulaire, perte de l’estime de soi, mal être ; -à long terme : troubles cardiovasculaires, diabète de type 2, certains cancers… • L’obésité est généralement estimée par l’IMC (indice de masse corporelle), calculé par la formule suivante : IMC = Poids / (Taille) au carré, avec le poids en Kg et la taille en mètre. Il est ensuite comparé à des valeurs de références qui varient selon l’âge et le sexe. • L’obésité est plurifactorielle. Elle est favorisée par des facteurs endogènes (génétique, pathologies ….) et des facteurs exogènes (déséquilibre alimentaire, sédentarité, facteurs socioculturels etc…….). • Le traitement nécessite ne prise en charge globale du patient. Il est basé sur des mesures hygiéno-diététique (activité physique associée à la réduction des apports caloriques), auxquelles peut s’ajouter un traitement médicamenteux visant à limiter les apports énergétiques. En cas d’échec de ces 2 approches, une chirurgie visant à diminuer le volume de l’estomac peut être envisagée.

Equilibre alimentaire

Obésité, un déséquilibre d’excès d’apport

Carences : un déséquilibre de manque d’apports

ANATOMIE DE L’APPAREIL DIGESTIF ANATOMIE DE L’APPAREIL DIGESTIF *L’appareil digestif permet la digestion, c'est-à-dire la transformation des aliments en substances plus simples (les nutiments), utilisables par les cellules. Il assure également leur absorption, c'est-à-dire leur passage dans l’organisme à partir de la lumière du tube digestif. Enfin, il sert à l’élimination hors du corps des matières non absorbables sous forme de matière fécale. *Il est composé de 2 grandes parties qui ont chacune une fonction : -Le tube digestif est un ensemble d’organe creux, qui vont de la bouche à l’anus, où passent les aliments en cours de transformation. Même s’ils sont à l’intérieur du corps, ils sont en relation directe avec le milieu extérieur (ils appartiennent au milieu extérieur). -Les glandes annexes sont un ensemble d’organes sécréteurs qui déversent dans le tube digestif leurs sécrétions exocrines, les sucs digestifs, qui permettent le fonctionnement de l’appareil digestif. La vésicule biliaire stoccke la bile produite par le foie.

HISTOLOGIE DU TUBE DIGESTIF La paroi du tube digestif est constituée de 4 couches distinctes qui sont, de la lumière du tube à l’extérieur : -La muqueuse, structure humide qui est composée de 3 couches. L’épithélium (pavimenteux ou cylindrique), simple ou pluristratifié en fonction de sa localisation et de sa fonction, est en contact direct des aliments. Le chorion, couche de tissu conjonctif lâche sous-épithélial et qui le soutient, est limité par des cellules musculaires lisses : la musculaire muqueuse. -La sous-muqueuse, constituée de fibres de collagène et de fibres élastiques (tissu conjonctif) et de vaisseaux sanguins et de nerfs. -La musculeuse comprend 2 ou 3 couches musculaires (au niveau de l’estomac), dont l’orientation est liée à leur fonction. -L’Adventice ou la séreuse : entoure et protège l’organe.

STRUCTURE ET FONCTION DE LA PAROI DES ORGANES DU TUBE DIGESTIF Le tube digestif, de l’œsophage à l’anus, à une structure histologique commune avec les 4 tuniques : muqueuse, sous-muqueuse, musculeuse et adventice. Selon les organes du tube digestif, il existe cependant des différences importantes de calibre et de structure de la muqueuse qui font que ces organes possèdent des fonctions spécifiques. L’épithélium de l’œsophage est stratifié car le bol alimentaire abime la muqueuse alors que l’épithélium gastrique est simple car le chyme est une bouillie épaisse qui n’abime pas la paroi (diamètre important de l’estomac).

TECHNIQUES D’EXPLORATION DE L’APPAREIL DIGESTIF - La technique la plus répandue pour observer in vivo le tube digestif est la fibroscopie (voir Fiche). -Elle consiste a introduire par les voies naturelles, un fibroscope muni d’une fibre optique et d’une lumière froide. Elle permet d’obtenir en direct des images en couleur de l’intérieur du tube digestif. -Cet examen non toxique doit être réalisé sous anesthésie par un médecin spécialiste, après un lavement et dans des conditions aseptiques (instruments stérilisés). Il peut également être couplé à des petites interventions (ablation) et des prélèvements s de tissus (biopsie). -La fibroscopie n’est pas sans danger, les complications sont rares mais elles existent : risque de perforation de la paroi digestive, d’hémorragie et d’infections nosocomiales (infections contractées à l’hôpital). Il y a également des risques liés à l’anesthésie locale ou générale. -Le tube digestif peut être observé en radiographie après absorption d’un produit de contraste très dense. La qualité d’image est moins bonne que pour la fibroscopie.

LA DIGESTION La digestion transforme les aliments en nutriments -La digestion est l’ensemble des transformations subies par les aliments afin de les rendre assimilables par l’organisme. Elle permet de passer des aliments aux nutriments. -Pour permettre la digestion, les différents organes de l’appareil digestif réalisent des actions mécaniques et/ou chimiques. L’eau, les sels minéraux et les vitamines ne subissent pas de transformation biochimique au cours du passage dans l’appareil digestif : ils sont suffisamment petits pour être assimilés sans être digérés. Au contraire, les polymères doivent être digérés pour être assimilés.

*la digestion mécanique permet une fragmentation grossière des aliments par broyage, brassage ; *le péristaltisme correspond aux mouvements qui permettent aux aliments de progresser le long du tube digestif ; *la digestion chimique ou biochimique correspond à l’hydrolyse de molécules grâce aux enzymes des sucs digestifs. Suite à la digestion, on obtient des molécules suffisamment petites pour passer au travers de la paroi de l’intestin et rejoindre les cellules de tout le corps via la circulation sanguine. LES ENZYMES SONT RESPONSABLES DE LA DIGESTION CHIMIQUE -La digestion chimique fait intervenir de nombreux enzymes. -Une enzyme est une protéine qui catalyse (accélère) une réaction biochimique. Chaque enzyme est spécifique d’un substrat et catalyse une seule réaction. -L’action d’une enzyme dépend de la température et du pH du milieu. -Les réactions biochimiques intervenant dans la digestion sont toutes des réactions d’hydrolyse, c'est-à-dire des réactions dans lesquelles une molécule d’eau permet la rupture de liaisons covalentes : Enzyme Hydrolyse : Substrat+H2O Produit LE MICROBIOTE INTESTINAL Le tube digestif contient un grand nombre de micro-organisme non pathogènes qui participent, entre autres fonctions, à la digestion des fibres alimentaires et à la régulation de l’appétit.

ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT DU CŒUR

LE CYCLE CARDIAQUE ET SES PARAMETRES Le cycle cardiaque se décompose en 5 grandes phases :

LES PARAMETRES CARDIAQUES • Le cycle cardiaque est caractérisé par 3 paramètres : -la fréquence cardiaque FC qui correspond au nombre de battement (de cycle) par minute ; -le volume d’éjection systolique VES correspond au volume de sang expulsé par le ventricule à chaque cycle. Il correspond à la différence entre le volume maximal contenu dans le ventricule (volume télédiastolique VTD) et le volume minimal que renferme le ventricule (volume télésystolique VTS). -le débit cardiaque D qui correspond au volume de sang expulsé par le cœur par minute. DC (L.min-1) = volume d’éjection systolique (L) x FC . Sa valeur de référence varie entre 5 et 8 L.min-1

ABSORPTION INTESTINALE ABSORPTION INTESTINALE * L’absorption intestinale correspond au passage des nutriments issus de la digestion à travers la « paroi » de l’intestin pour atteindre le milieu intérieur qui est constitué des différents liquides de l’organisme (sang, lymphe). La muqueuse intestinale présente des particularités structurales (la structure de la paroi intestinale est bien adaptée à sa fonction) : - Elle a une très grande surface d’échange grâce aux nombreux replis (valvules conniventes, villosités et microvillosités : 250 m2 un terrain de tennis !!!!!!!!) ; -elle est constituée d’une seule couche de cellules, les entérocytes au niveau de la muqueuse (très fin) ; -elle est très vascularisé : réseau de capillaires sanguins et lymphatiques (chylifère) très développés.

ABSORPTION DE L’EAU -Environ 8 à 9 L d’eau par jour passent dans le tube digestif. L’eau provient de notre alimentation mais aussi de notre propre corps, notamment des sécrétions (salive par exemple). - L’eau se déplace par un phénomène appelé l’osmose (passif). Ce déplacement par osmose se fait toujours du milieu le moins concentré (= milieu hypotonique) vers le milieu le plus concentré jusqu’à équilibre. Ainsi, l’absorption de l’eau dépend des autres molécules. -90% de l’absorption de l’eau se fait au niveau du jéjunum et de l’iléon après que les autres nutriments ont été absorbés. LES 2 VOIES D’ABSORPTION INTESTINALE DES NUTRIMENTS Selon la nature des molécules, il existe 2 voies d’absorption possible : -La voie sanguine pour l’eau, les minéraux, les molécules hydrophile comme les glucides simples et les acides aminés ; -La voie lymphatique pour les molécules hydrophobes comme les acides gras et le glycérol.

En jaune = la lymphe En bleu = le sang non oxygéné PASSAGE A TRAVERS DES ENTEROCYTES * Absorption de l’eau, des minéraux et des molécules hydrophiles (glucides et acides aminés) : -traversée des membranes grâce un transporteur au niveau des membranes apicales et basales ; -passage direct dans la circulation sanguine. * Absorption des molécules hydrophobes, les acides gras : -diffusion sans transporteur à travers la membrane plasmique au niveau du pole apical. -association dans le cytoplasme avec des protéines pour former des lipoprotéines appelées chylomicrons ; -passage des chylomicrons dans la circulation lymphatique car trop gros pour passer dans la sang.

LA MALABSORPTION -Dans de nombreuses pathologies, la fonction d’absorption peut être altérée suite à une modification de la lumière intestinale, comme par exemple l’intolérance au lactose par manque de lactase ou lors d’une infection bactérienne ou virale …… -Dans la plupart des cas ces maladies se manifestent par des diarrhées importantes et peuvent conduire à des carences. En effet, les mouvements d’eau au sein de l’intestin (osmose) étant dépendants de l’absorption des autres nutriments, une malabsorption va entrainer un passage de l’eau vers la lumière intestinale et donc des diarrhées. - La diffusion des solutés précède la diffusion d’eau. Sachant que les solutés diffusent d’un milieu hypertonique vers un milieu hypotonique jusqu'à équilibre des 2 milieux. -L’eau se déplace par un phénomène appelé l’osmose. Ce déplacement par osmose se fait toujours du milieu le moins concentré vers le milieu le plus concentré.

ACTIVITE ELECTRIQUE CARDIAQUE • Le cœur est un organe musculaire capable de se contracter seul sans l’intervention du du système nerveux : c’est l’automatisme cardiaque de cellules particulière possible grâce à la présence de cellules particulières formant le tissu nodal. Ces cellules sont capables de s’autoexciter (auto dépolariser), provoquant la contraction des myocytes. • Si l’un des foyers du tissu nodal est défaillant, les autres peuvent aussi prendre le relais et se dépolariser mais à un rythme plus lent. • L’organisation de ce tissu permet une contraction synchronisée des cavités cardiaques, mais non simultanée. En effet, les oreillettes se contractent avant les ventricules pour permettre à ces derniers de se remplir totalement. • L’activité électrique du cœur peut être analysée à l’aide d’un électrocardiogramme ou ECG. Il consiste à placer des électrodes à la surface de du patient pour mesurer les dépolarisation et repolarisation des différentes cavités.

N’oubliez pas que l’activité électrique précède et déclenche l’activité mécanique.

CIRCULATION DU SANG DANS LES VAISSEAUX

• L’appareil circulatoire est composé du cœur et des vaisseaux organisés en 2 circulations : -La circulation pulmonaire qui assure l’hématose (oxygénation) du sang et l’élimination du C02 ; -La circulation systémique qui assure le transport du sang entre le cœur et les organes. • Les artères transportent le sang du cœur vers les organes, les veines ramènent le sang des organes vers le cœur. • Les échanges entre le sang et les tissus se font au niveau des capillaires sanguins.

HISTOLOGIE DES VAISSEAUX • Les artères et les veines sont organisées en 3 couches : -la couche la plus interne est l’intima, formée d’un épithélium de revêtement et, d’un tissu conjonctif sous-jacent ; -la couche intermédiaire ou média, est formée d’un tissu musculaire lisse + fibre élastique ; -la couche externe est un tissu conjonctif appelé adventice. • La paroi des capillaires se limite à l’intima constituée d’une seule couche de cellule endothéliales.

LA PRESSION SANGUINE La pression sanguine est la force exercée par le sang sur la paroi des vaisseaux. La pression artérielle, ou tension artérielle correspond à la pression sanguine dans les artères de la circulation systémique. Elle est généralement mesurée au niveau de l’artère du bras à l’aide d’un brassard relié à un manomètre et d’un stéthoscope. • La pression sanguine n’est pas constante, elle oscille entre une valeur maximale obtenue au moment de l’éjection du sang par le cœur : la pression systolique, et une valeur minimale obtenue lorsque le cœur est relaché : la pression diastolique. • La pression systolique normale est de 120 mmHg. La pression diastolique normale est de 80 mmHg. On parle d’hypertension lorsque la pression systolique est durablement supérieure à 140 mmHg ou la pression diastolique à 90 mmHg. • L’hypertension est une des premières causes qui diminuent l’espérance de vie. Elle favorise les maladies cardiovasculaires et rénales. Elle est favorisée par l’âge par les régimes trop riches en sel et matières grasses, le tabagisme, le diabète, l’obésité et des facteurs génétiques. Elle peut être traitée par des mesures hygiéno-diététiques ou la prise de médicaments. • On parle d’hypotension lorsque la pression systolique est inférieure à 90 mmHg.

Sens du sang

FONCTIONS DES VAISSEAUX * Les artères : -Les grosses artères (élastique) ex : artère aorte : Elles transforment un flux de sang discontinu (systole /diastole) en flux de sang continu, ce qui permet d’irriguer en continu les organes ; -Les petites artères (artérioles) : propriété de vasomotricité (vasoconstriction et vasodilatation) et cela permet d’irriguer les organes en fonction de leurs besoins. * Les veines : réservoir de sang car grand diamètre ; permet le retour veineux grâce à la présence de valvules (empêchent le reflux) et de muscles striés. * Les capillaires : permettent les échanges avec les tissus.

REGULATION CARDIAQUE LA NATURE DE LA REGULATION -L’activité cardiaque est en permanence régulée pour répondre aux besoins de l’organisme, par exemple lors d’une activité physique ou lors de situations pathologique (hémorragie). -La régulation de cette activité fait intervenir le système nerveux autonome. Celui-ci comprend 2 composantes : le système parasympathique et le système sympathique, qui présentent des activités opposées, quand l’un est activé, l’autre doit être inhibé et réciproquement. -LES ACTEURS DE LA REGULATION NERVEUSE Cette boucle de régulation, comme tout arc réflexe, fait intervenir : -des récepteurs (1), ici des barorécepteurs sensibles à des variations de pression artérielle et localisés au niveau des carotides et de l’aorte ; -des nerf sensitifs (2) (ou afférents), les nerfs de Hering et de Cyon, qui véhiculent l’influx nerveux des récepteurs vers les centres nerveux ; -des centres nerveux (3), localisés au niveau du bulbe rachidien et de la moelle épinière, qui reçoivent l’information, la traitent et réagissent en prenant « une décision » ; -des nerfs moteurs (4) vague et cardiaque, qui transmettent la décision prise par les centres nerveux jusqu’à l’organe effecteur ; -l’organe effecteur (5), ici le cœur, qui exécute l’ordre reçu afin de répondre ou corriger le stimulus.

-Les nerfs moteurs agissent sur le cœur en libérant des neurotransmetteurs différents : -le nerf vague libère de l’acétylcholine qui ralentit l’activité cardiaque ; -le nerf cardiaque libère de la noradrénaline qui, au contraire, accélère l’activité cardiaque. -Entre les 2 centres nerveux (sympathique et parasympathique) il y a une inhibition pour empêcher l’activation simultanée des 2 systèmes. Au repos, seul le nerf vague est actif et ralentit le cœur. Le nerf cardiaque est quant à lui inhibé. DEUX SITUATIONS PHYSIOLOGIQUES -Quand la pression artérielle diminue (hémorragie par exemple), le cœur s’accélère pour compenser la baisse de pression et approvisionner correctement les organes.

-Au contraire (schéma inverse de ci-dessus) quand la pression artérielle augmente, la fréquence cardiaque diminue, ce qui a pour conséquence de réduire cette pression dont une augmentation excessive pourrait entrainer des dommages vasculaires.

ATHEROSCLEROSE LES ETAPES DE FORMATION DE LA PLAQUE D’ATHEROME -L’athérosclérose est la modification de la paroi d’une artère de gros et moyen calibre provoquant son rétrécissement et donc une diminution du flux sanguin. -Cette formation est lente et asymptomatique, et se fait en plusieurs étapes : -A : lésion de la paroi entrainant une infiltration de lipide dans la paroi = stries lipidiques ; B : Formation d’une plaque d’athérome. L’infiltration de choléstérol entraine une réaction inflammatoire et l’accumulation de cellules remplies de lipides qui font saillie sur la paroi. La mumière de l’artère se réduit = sténose. C : La média se remplit de fibres de collagène qui remplacent les cellules musculaires. La paroi devient moins élastique = fibrose. La plaque se calcifie, entrainant un durcissement de la paroi de l’artère = sclérose. LES COMPLICATIONS DE L’ATH *Les complications de l’ATH sont généralement aigues, c’est-à-dire qu’elles peuvent apparaitre sans signe précurseur. Elles mettent alors en jeu le pronostic vital. * On distingue plusieurs types de complications qui peuvent se cumuler : -L’ischémie : la diminution du diamètre de la lumière de l’artère entraine une diminution partielle du débit sanguin. -L’infarctus : ce terme désigne la nécrose d’un tissu qui est généralement la consequence d’une sténose totale de l’artère touchée ; -La thrombose : rupture de la plaque entrainant la formation d’un caillot sanguin (thrombus) qui peut alors soit concourir à la sténose, soit se détacher et boucher un vaisseaude plus petit diamètre (embolie). -L’anévrisme : dilatation de la paroi des artères pouvant se rompre sos l’effet d’une forte pression (rupture d’anévrisme), entrainant une hémorragie.

l’organe irrigué par le vaisseau bouché. - Les organes le plus souvent touchés sont le cœur, le cerveau, les poumons, les membres inférieurs, les reins et l’intestin. LES FACTEURS DE PATHOGENICITE (facteurs favorisants) • Nombreux, ils se cumulent. Leur repérage permet un dépistage précoce : - Facteurs exogènes : alimentation déséquilibrée, sédentarité, stress, alcool, tabagisme……. - Facteurs endogènes : facteurs génétiques, pathologies métaboliques (hypercholestérolémie, diabète……), hypertension, hormones (ménopause…). LE DIAGNOSTIC -Il y a peu de signes cliniques. Le diagnostic repose surtout sur des examens paracliniques :

* 1 L’angioplastie : Un cathéter est introduit dans une artère périphérique du pli de l’aine ou du poignet. Il est conduit jusqu’à l’artère coronaire obstruée. A l’intérieur de ce cathéter, un petit ballonnet dégonflé est poussé jusqu’à l’emplacement exact du rétrécissement. Le ballonnet est gonflé à une pression très élevée durant une trentaine de secondes pour dilater la zone de rétrécissement et écraser la plaque d’athérome contre la paroi de la coronaire. Le ballonnet est ensuite dégonflé et retiré. Afin de consolider ce remodelage, une nouvelle dilatation est réalisée, mais cette fois avec un ballonnet serti d’un stent à l’état replié : un treillis métallique cylindrique constituant une endoprothèse. Lorsque le ballonnet se gonfle, le stent se déplis et tapisse la paroi. Le ballonnet est à nouveau dégonflé et retiré. Le stent reste en place et maintient l’artère bien ouverte à cet endroit.

*2 Pontage coronarien : Le pontage coronarien est une intervention chirurgicale qui utilise un greffon prélevé sur le patient lui-même : un morceau de veine ou d’artère. Il s’agit en général d’une veine de la jambe ou d’une artère thoracique. Cette auto-greffe consiste à réaliser une connexion par suture entre deux vaisseaux sanguins. Le greffon permet de lier l’artère coronaire atteinte en passant par-dessus la zone sclérosée et l’artère aorte ou une de ses dérivations. Le pontage peut être multiple (double, triple, etc).

4ème Partie : Appareil cardio-vasculaire et circulation sanguine

1 : ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE DE L’APPAREIL CARDIOVASCULAIRE 1 : ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT DU CŒUR 2 : ACTIVITE ELECTRIQUE DU CŒUR : AUTOMATISME CARDIAQUE 2 : CIRCULATION DU SANG DANS LES VAISSEAUX 3 : LA REGULATION CARDIAQUE 4 : PATHOLOGIE DE LA CIRCULATION : l’ATHEROSCLEROSE (ATH) ET PATHOLOGIES DES VAISSEAUX CORONAIRES

3ème Partie : Appareil digestif et nutrition

1 : ALIMENTS et NUTRIMENTS

2 EQUILIBRE ALIMENTAIRE et DESEQUILIBRE ALIMENTAIRE

CHAPITRE 3 ANATOMIE ET EXPLORATION DE L’APPAREIL DIGESTIF

4 LA DIGESTION DES ALIMENTS

5 ABSORPTION DES NUTRIMENTS ET DE L’EAU

3ème Partie : Appareil digestif et nutrition

1 : ALIMENTS et NUTRIMENTS

2 EQUILIBRE ALIMENTAIRE et DESEQUILIBRE ALIMENTAIRE

CHAPITRE 3 ANATOMIE ET EXPLORATION DE L’APPAREIL DIGESTIF

4 LA DIGESTION DES ALIMENTS

5 ABSORPTION DES NUTRIMENTS ET DE L’EAU

5ème Partie : Appareil respiratoire et échanges gazeux

1 : Anatomie et histologie de l’appareil respiratoire 2 : PATHOLOGIES RESPIRATOIRES

Partie 1 : Milieu intérieur et homéostasie

1 : Milieu intérieur et compartimentation. Rôle du rein dans la régulation du milieu intérieur. 2 : Rôle du pancréas dans la régulation du milieu intérieur : la régulation de la glycémie. : Exemples de pathologie de la régulation du milieu intérieur : les diabètes de type 1 et de type 2

Partie 2 : Appareil reproducteur et transmission de la vie

1 : Anatomie et physiologie des appareils reproducteurs. 2 : Fécondation, nidation et grossesse. 3 : Régulation de la fonction reproductrice. Chez l’homme Chez la femme 4 : Stérilité et maitrise de la procréation

Partie 3 : Gènes et transmission de l’information génétique

1 : Cellule et information génétique. 2 : Du gène à la protéine. 3 : Transmission des caractères héréditaires.

Anatomie

-LES PLANS DE COUPE Pour situer et décrire précisément un organe ou un appareil on utilise des différents plans qui définissent des « plans de coupe ». Plan ____________(ou axial) : divise le corps en une partie__________ (vers la tête) et une partie inférieure. ________________ : divise le corps en une ________________ droite et une partie latéral gauche. Le plan qui passe par le milieu et appelé plan sagittal médian. _______________ (ou coronal) : divise le corps en _____________ ou ventral (avant) et une partie postérieure ou dorsal (arrière).

-LES CAVITES DE L’ORGANISME

Il existe des cavités (A): cavité crânienne (contenant l’_____________) et ___________ (contenant la moelle épinière). Il existe des cavités antérieures (B): -Cavité ____________ (3) : l’appareil cardiovasculaire (organes (cœur et vaisseaux) et l’appareil respiratoire (trachée (partie basse), poumons et bronche). -Cavité ______________(5) : une partie de l’appareil digestif (foie, pancréas, estomac et le côlon transverse) et l’appareil urinaire (les reins et la partie haute des 2 uretères). -Cavité _______________ (6) : une partie de l’appareil digestif (côlon ascendant et descendant et l’intestin grêle et l’appareil urinaire (la partie basse des 2 uretères et la vessie), l’appareil reproducteur chez la femme (les ovaires, l’utérus et le vagin) chez l’homme (prostate …). Il y a une limite entre la cavité thoracique et la cavité abdominale (le diaphragme) mais pas entre la cavité abdominale et pelvienne !!!!!!!!

-LES PLANS DE COUPE Pour situer et décrire précisément un organe ou un appareil on utilise des différents plans qui définissent des « plans de coupe ». Plan transverse (ou axial) : divise le corps en une partie supérieure (vers la tête) et une partie inférieure. Plan sagittal : divise le corps en une partie latéral droite et une partie latéral gauche. Le plan qui passe par le milieu et appelé plan sagittal médian. Plan frontal (ou coronal) : divise le corps en une partie antérieure ou ventral (avant) et une partie postérieure ou dorsal (arrière).

Il existe des cavités postérieurs (A): cavité crânienne (contenant l’encéphale) et rachidienne (contenant la moelle épinière). Il existe des cavités antérieures (B): -Cavité thoracique (3) : l’appareil cardiovasculaire (organes (cœur et vaisseaux) et l’appareil respiratoire (trachée (partie basse), poumons et bronche). -Cavité abdominale (5) : une partie de l’appareil digestif (foie, pancréas, estomac et le côlon transverse) et l’appareil urinaire (les reins et la partie haute des 2 uretères). -Cavité pelvienne (6) : une partie de l’appareil digestif (côlon ascendant et descendant et l’intestin grêle et l’appareil urinaire (la partie basse des 2 uretères et la vessie), l’appareil reproducteur chez la femme (les ovaires, l’utérus et le vagin) chez l’homme (prostate …). Il y a une limite entre la cavité thoracique et la cavité abdominale (le diaphragme) mais pas entre la cavité abdominale et pelvienne !!!!!!!!

TISSU EPITHELIAL - le tissu épithélial est fait de cellules qui sont toutes collées les unes aux autres, on dit qu'elles sont "jointives". - Quels critères utilise-ton pour nommer un TE ? On les classe selon la ________ de leurs cellules (pavimenteux, cubique, cylindrique) et selon le nombre ______________________ (simple, pluristratifiés). -Ils sont innervés mais pas ______________. Attention, on trouve deux épithéliums différents : - l'épithélium de revêtement qui recouvre notre corps et ses cavités (on le trouve par exemple dans la peau, le tube digestif, les vaisseaux sanguins). Ils recouvrent la surface externe de l’organisme (épiderme) et limitent les cavités internes du corps (muqueuses). Comme ils sont au contact du milieu extérieur et donc soumis à des agressions, il est nécessaire que leurs cellules aient un renouvellement rapide. Ex : Epiderme=renouvelé en 1 mois ; Epithélium de l’intestin grêle=renouvelé tous les 2 jours - l'épithélium glandulaire qui contient des glandes et qui fabrique des sécrétions. Ces secrétions sont libérées soit à l'extérieur du corps (glandes exocrine) et dans les cavité du corps, soit dans le sang (glandes endocrine). LES TISSUS CONJONCTIFS -Les tissus conjonctifs sont constitués de 3 éléments : des cellules ___________, des fibres et une substance fondamentale (ou matrice). Ce qui les différencie, ce sont les caractéristiques de chaque élément. -Diversité de tissus en fonction des caractéristiques des 3 éléments ex : tissu osseux=matrice minéralisé, sang = matrice liquide, le plasma, cartilage ….. -Structure adaptée à la fonction

Il existe 4 types de tissus : - le tissu épithélial ou épithélium ; - le tissu conjonctif ; - le tissu musculaire caractériser par des tissus capables de se contracter ; - le tissu nerveux caractériser par la présence de neurone Définition : l'histologie est l'étude des tissus.

TISSU EPITHELIAL - le tissu épithélial est fait de cellules qui sont toutes collées les unes aux autres, on dit qu'elles sont "jointives". - Quels critères utilise-ton pour nommer un TE ? On les classe selon la forme de leurs cellules (pavimenteux, cubique, cylindrique) et selon le nombre d’assises cellulaire (simple, pluristratifiés). -Ils sont innervés mais pas vascularisés. Attention, on trouve deux épithéliums différents - l'épithélium de revêtement qui recouvre notre corps et ses cavités (on le trouve par exemple dans la peau, le tube digestif, les vaisseaux sanguins). Ils recouvrent la surface externe de l’organisme (épiderme) et limitent les cavités internes du corps (muqueuses). Comme ils sont au contact du milieu extérieur et donc soumis à des agressions, il est nécessaire que leurs cellules aient un renouvellement rapide. Ex : Epiderme=renouvelé en 1 mois ; Epithélium de l’intestin grêle=renouvelé tous les 2 jours - l'épithélium glandulaire qui contient des glandes et qui fabrique des sécrétions. Ces secrétions sont libérées soit à l'extérieur du corps (glandes exocrine) et dans les cavité du corps, soit dans le sang (glandes endocrine). LES TISSUS CONJONCTIFS -Les tissus conjonctifs sont constitués de 3 éléments : des cellules non jointives, des fibres et une substance fondamentale (ou matrice). Ce qui les différencie, ce sont les caractéristiques de chaque élément. -Diversité de tissus en fonction des caractéristiques des 3 éléments ex : tissu osseux=matrice minéralisé, sang = matrice liquide, le plasma, cartilage ….. -Structure adaptée à la fonction

Ultrastructure cellulaire -Une cellule eucaryote (cellule possédant un vrai noyau), observé au microscope optique est formé : une______________, un ______________ et du _______________. - Une cellule eucaryote observée au _______________________ montre de nombreux ______________ :

-Diversité des cellules animales -Le corps humain contient environ 200 types de cellules différentes. -La forme (ex : spermatozoïde/cellule musculaire/globule rouge…) et la _______________ des cellules eucaryotes sont très variables. Chaque cellule présente des spécificités adaptées à sa fonction ex : présence du flagelle pour le déplacement du globule rouge. -La composition et le nombre d’organites varie en fonction des cellules. Ses caractéristiques sont toujours adaptées à la fonction de la cellule. Ex : les cellules musculaires présentent beaucoup de mitochondries car elles ont besoin de beaucoup d’énergie pour la contraction, celles qui fabriquent beaucoup de protéines comme les cellules pancréatiques sont riches en REG.

Composition chimique des membranes plasmique

Composition chimique des membranes plasmique Les membranes contiennent 1/2 de ________________ et une 1/2 de _________________ (+ qques glucides) surtout des phospholipides et du cholestérol les protéines sont très variées. -Les phospholipides aiment s'organiser de façon originale : en bicouche où les queues hydrophobes se serrent les unes contre les autres.

Le cholestérol, qui possède lui aussi une partie hydrophile et une partie hydrophobe peut s'incruster facilement dans cette bicouche. Il a un rôle stabilisateur de la bicouche. Les protéines s'insèrent (s'incrustent) dans cette bicouche. - Soit elles la traversent, on les appelle protéines intrinsèques, ce sont des protéines qui sont hydrophobes sur toute la zone en contact avec les chaînes d'acides gras. - Soit elles sont faiblement attachées en surface de la double couche : on les appelle protéines extrinsèques. Elles sont très facilement détachables. -Cette organisation est très fluide, c'est pourquoi on lui donne le nom de mosaïque fluide. Les phospholipides se déplacent, tournent sur eux-mêmes, les protéines se déplacent dans cette mer de lipides.

-Une cellule eucaryote (cellule possédant un vrai noyau), observé au microscope optique est formé : une membrane plasmique, un noyau et du cytoplasme. - Une cellule eucaryote observée au microscope électronique montre de nombreux organites :

-Le corps humain contient environ 200 types de cellules différentes. -La forme (ex : spermatozoïde/cellule musculaire/globule rouge…) et la taille des cellules eucaryotes sont très variables. Chaque cellule présente des spécificités adaptées à sa fonction ex : présence du flagelle pour le déplacement du globule rouge. -La composition et le nombre d’organites varie en fonction des cellules. Ses caractéristiques sont toujours adaptées à la fonction de la cellule. Ex : les cellules musculaires présentent beaucoup de mitochondries car elles ont besoin de beaucoup d’énergie pour la contraction, celles qui fabriquent beaucoup de protéines comme les cellules pancréatiques sont riches en REG. -Composition chimique des membranes plasmique Les membranes contiennent 1/2 de lipides et une 1/2 de protéines. (+ qques glucides) surtout des phospholipides et du cholestérol les protéines sont très variées. -Les phospholipides aiment s'organiser de façon originale : en bicouche où les queues hydrophobes se serrent les unes contre les autres.

-Le squelette humain est composé d'un ensemble d'os environ 206, unis par des articulations plus ou moins mobiles. On distingue un squelette axial composé des os du crâne, de la colonne vertébrale et de la cage thoracique. -Sur ce squelette axial sont accrochés les membres supérieurs et les membres inférieurs. La liaison entre les membres et la colonne vertébrale s'effectue grâce à des ceintures osseuses. Les ceintures et les membres constituent le squelette appendiculaire. -Le squelette sert à soutenir les organes et protègent les organes internes. Il sert également de levier aux muscles. Les os stockent des sels minéraux. Ils permettent la fabrication des globules rouges dans la moelle osseuse.

ARTICULATIONS -Les articulations relient les os entre eux. Elles peuvent être mobiles, fixes ou semi-mobiles. -Dans une articulation mobile, les os sont recouverts de cartilage articulaire et séparés par une capsule articulaire. La capsule est une enveloppe fibreuse qui entoure l’articulation, elle contient du liquide synovial fabriqué par la membrane synoviale qui tapisse la capsule. Ce liquide permet de lubrifier (faciliter le glissement) de l’articulation, d’absorber les chocs et de nourrir le cartilage. Les articulations mobiles comportent également des ligaments qui permettent de maintenir alignés les os entre eux et des tendons reliés aux muscles. Exemple articulation du genou source Nathan BPH 2019.

-Un exemple d’atteinte de l’appareil locomoteur : l’arthrose -L’arthrose est une maladie dégénérative. C’est altération progressive d’une articulation : le cartilage articulaire se détruit au court du temps, ce qui provoque des douleurs. L’arthrose peut être traitée par des antidouleurs, de la kinésithérapie ou par arthroplastie, c'est-à-dire la pose de prothèse. -Facteurs favorisants : L’arthrose est une atteinte des articulations liée à l’âge, à un excès de pression, ou à la fragilité naturelle du cartilage. Elle peut être favorisée par des facteurs génétiques. Les facteurs entrainant des contraintes sur les articulations comme une surcharge pondérale, une activité physique intense ou le port fréquent de charges lourdes favorisent l’apparition de l’arthrose. Les traumatismes fragilisant l’articulation comme les fractures, les luxations ou des entorses sont également des facteurs de risques.

AU NIVEAU D'UN NEURONE -Au repos, la répartition des charges électriques de part et d'autre de la membrane plasmique du neurone n'est pas équilibrée. La face cytoplasmique est chargée négativement par rapport à la face extérieur. Cette différence de charge correspond au potentiel de repos ou potentiel de membrane de repos. -Lorsqu'une stimulation est appliquée au neurone, un message nerveux de nature électrique est généré si cette stimulation dépasse le seuil d'excitabilité. Le potentiel de membrane subit alors une brusque modification appelée : potentiel d'action. * Le message nerveux suit la « loi du tout ou rien »: -soit la stimulation est trop faible et aucun potentiel d'action 5PA) n'est généré, -soit la stimulation dépasse le seuil d'excitabilité : un PA est généré, toujours identique, quelle que soit l'intensité de la stimulation. *Le message nerveux est codé en fréquence de potentiel d'action. Plus l'intensité de stimulation est élevée, plus la fréquence de potentiel d'action généré augmente. AU NIVEAU D'UN NERF • Un nerf est un ensemble de fibres nerveuses de diamètre et de seuil d'excitabilité différents. Elles répondront donc différemment aux stimulations appliquées au nerf. • L'activité électrique d'un nerf n'obéit donc pas à la « loi du tout ou rien ». Le potentiel d'action maximal (amplitude) ou potentiel global est atteint lorsque toutes les fibres du nerf ont été recrutées. -Les stimulations I1 à I3 appliquées au nerf sont inférieures au seuil d'excitabilité de toutes les fibres nerveuses : aucune fibre ne répond à ces stimulations. -A partir de I4 et jusqu'à I8, le potentiel global du nerf augmente progressivement. De plus en plus de fibres nerveuses répondent aux stimulations. -A partir de I8, l'ensemble des fibres nerveuses qui constituent le nerf ont été recrutées. Le potentiel global obtenu est donc d'amplitude maximale. -Le recrutement progressif des fibres qui composent le nerf entraîne un message nerveux, ou potentiel global, codé en amplitude.

Potentiel de repos d’une fibre nerveuse

-Le message nerveux est codé en fréquence de potentiel d'action. Plus l'intensité de stimulation est élevée, plus la fréquence de potentiel d'action généré augmente

POTENTIEL D’ACTION Des électrodes stimulatrices (mimant l’action de brulure ou de choc mécanique) sont disposées sur un neurone et on enregistre la réponse du neurone. Dispositif expérimental

Le système nerveux central contrôle toutes les actions de l’organisme, des fonctions végétatives (fonctionnement cardiaque, digestif…) aux fonctions cognitives (parole, lecture, mémoire, écriture …). Il contrôle également les mouvements du corps. L’organisation du système nerveux Le système nerveux des mammifères comprend deux parties : -Le système nerveux central (SNC) ou S.N cérébro-spinal qui est formé par l’encéphale et la moelle épinière. -Le système nerveux périphérique SNP qui est formé par les nerfs qui sont distribués dans tous les organes.

COMPOSANTS DU SYSTEME NERVEUX CENTRAL Le cerveau est protégé des traumatismes de manière mécanique (crâne et méninges) ou hydrolique (liquide céphalo-rachidien) en jouant le rôle d’amortisseur, car cet organe essentiel à la vie est aussi très fragile.

NERFS ET NEURONE * Les nerfs sont des structures assurant la communication nerveuse entre le système nerveux central et le reste du corps. Si on classe les nerfs selon leur fonction, on distingue : -les nerfs sensitifs qui font remonter l’information les informations depuis des récepteurs sensoriels situés dans l’organisme vers le système nerveux central ; -les nerfs moteurs qui transportent qui transportent une commande motrice du système nerveux central vers les organes effecteurs ; -les nerfs mixtes qui sont à la fois moteurs et sensitifs. * Un nerf est composé d’un ensemble de de fibres nerveuses d’axone appartenant à des neurones. *Au niveau du SNC, les corps cellulaires sont regroupés dans la substance grise située à la périphérie dans le cerveau (=le cortex) ou au centre dans la moelle épinière. Les axones sont situés quant à eux dans la substance blanche et se regroupent pour former les nerfs. Neurone :

PATHOLOGIES ASSOCIEES AU SYSTEME NERVEUX -Les lésions céphaliques peuvent être la conséquence d’un choc, d’une hémorragie, d’un accident vasculaire cérébral. Les conséquences dépendent de la localisation et de l’étendue de la lésion (troubles du langage, de la vision, hémiplégie….). -Les troubles médullaires sont le plus souvent le résultat d’un choc entrainant un fracture de la colonne vertébrale avec section de la moelle épinière. Les conséquences dépendent de la localisation de la lésion.

Organisation et fonction integré de l'être humain

ANATOMIE ET UNITE DE L'ORGANISME

De l'organe aux molécules
Caractéristiques et identification des différents niveaux d'organisation
Sommaire Révisions Terminale
Milieu intérieur et homéostasie
Appareil reproducteur et transmission de la vie
Gènes et transmission de l'information génétique
scanographie
radiographie
fibroscopie
scintigraphie
Réviser l'imagerie médicale

Partie 2 Appareil locomoteur et motricité

Organisation et exploration du squelette
Organisation et exploration du système nerveux
La circulation de l'influx nerveux
Le muscle strié et la contraction