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Plage de Bab El Oued Alger. Mathias POISSON.
Budapest. Marta CARADEC.
Palestine. Patrick GALAIS.
Ligne d'horizon Alger la pêcherie. Mathias POISSON.
Hochhaüser. Ingrid RODEWALD
Croisement-ville 06. Claire CHEVRIER.
Ecouter le silence. Zuzana JACZOVA.

vu par Louis

La Seine. Pascal BASTIEN.
Paris rangé. Armelle CARON.
Venise rangée. Armelle CARON.
Place du marché. Ariane PINEL.
Clara ARRAGAIN SCHNEIDER, 1PTEB

En cette journée de printempsLa nature s’éveilleLes oiseaux s’envolent au-dessus des bâtimentsEt la place s’émerveilleVélos, trottinettes et piétons se rencontrentSur cette place citadine Où la lumière montre Une ambiance douce et sublimeTout feu, tout flammeLes promeneurs peuvent profiterDe l’approche de l’étéDe la culture et du calmeAvec l’effervescenceDe cette nature en puissance

J’ai choisi ce tableau d’Ariane Pinel , « Place du marché", réalisé en 2021.Il se compose de plusieurs techniques comme des couleurs puissantes créant des contrastes marqués. Les méthodes de dessin provoquent des émotions et des sensations grâce au minimalisme des traits simples et du pointillisme. Cela donne une impression d’irréel contrairement aux personnages qui eux sont plus travaillés et réaliltes.Les deux techniques forment un ensemble paradoxal et nous perdent entre l réel et fantastique.Le fait que c’est une scène de vie donne du mouvement au tableau comme si d’un coup les personnages allaient se mettre à bouger et continuer leurs vies.

La ville

Dans la place du marché, au cœur de la cité, Les étals débordantes de couleurs et de vie, S'épanouit un tableau, vivant et animé, Captivant les passants en quête d'une envie. Dans ce théâtre vivant, où se croisent les destins, Les clients déambulent, l'œil brillant d'émotion. Les voix s'entremêlent, dans un joyeux tintamarre sans fin, À la recherche du trésor, de la précieuse potion. La place du marché, c'est le cœur palpitant de la ville Où se mêlent les rires, les pleurs, les espoirs fragiles. Dans ce microcosme vibrant chaque être trouve sa place. Résonne en nos cœurs comme une ode à la mémoire. Dans l'effervescence du quotidien, elle nous rappelle Que chaque instant est précieux, et que la vie est belle

La place du Marché

Louis WOLFF, 1PTEB

Le tableau d’Arian Pinel s’intitule “place du marché”, 2021. On a choisi ce tableau pour ses couleurs vives et les contrastes entre les nuances de bleus et d’oranges créant une atmosphère animée et pleine d'énergie. Les personnages sont représentés avec un réalisme frappant, chacun semblant avoir sa propre histoire à raconter. En examinant de plus près les différents éléments de l'œuvre, on peut discerner plusieurs thèmes et messages sous-jacents. La place du marché, souvent considérée comme le cœur battant d'une communauté, devient ici le théâtre de diverses interactions sociales et économiques. On peut voir des commerçants affairés à vendre leurs marchandises, des clients en train de faire leurs emplettes, et des passants qui semblent simplement profiter de l'ambiance animée. Enfin, "La Place du Marché" d'Arian Pinel rappelle également l'importance de la diversité et de l'inclusion dans nos communautés. À travers la représentation de personnages de différents horizons et origines, l'œuvre célèbre la richesse de la pluralité humaine et la beauté de la coexistence pacifique. "La Place du Marché" d'Arian Pinel est bien plus qu'un simple tableau représentant une scène de vie quotidienne. C'est une invitation à réfléchir sur notre rapport à la société, au commerce et à autrui, tout en célébrant la diversité et la vitalité de la vie urbaine.

Ce tableau s’appelle "Venis Rangée " et s'inscrit dans la série "Terra incognita" créée en 2018. Cette œuvre ma beaucoup plus car cela me fait penser à un puzzle. Toutes les petites pièces du bas du tableau se retrouvent dans le haut du tableau. L'aspect graphique et les formes utilisées sont très intéressantes. Par ailleurs, on peut s’amuser à retrouver les éléments des lignes inférieures dans la carte du dessus, l'oeuvre prend alors vie par le biais du jeu.

Lola GRAYER, 1PTEB

En haut De ce magnifique tableau se cache une ville La vie y est facile A l’inverse se trouvent des carrés Là où tout est ordonné Tous sont différents Petits moyens ou grands Splendide couleur orange Rappelle la vitalité l’échange Tout le monde peut être heureux Le regardant pendant longtemps Le temps s’écoule rapidement Un jeu mystérieux à mes yeux

Rue mystérieuse

Paris en mosaïque

Paris en mosaïque Sur une page blanche Un puzzle de Paris en contes inédits Le cœur de la ville en morceaux de planche Un dessin cartographique à la fois rare et joli La Seine commence sa danse Fragments d’or une transe poétique Chaque pièce un quartier des croyances Une histoire murmurée et antique Par ordre croissant une allégorie visuelle Le blanc et l’or couleurs divines Les morceaux de carte dialoguent dans un ballet de grâce Une ville en fragment un art de la mosaïque En blanc et or Paris trouve sa place

Elyna MIAS, 1PTEB

Le tableau "Paris rangé" d'Armelle Caron est une œuvre qui représente Paris sous une forme cartographique. Caron est connue pour ses cartes subjectives et artistiques qui offrent une perspective unique sur les villes et les paysages urbains. La ville est représentée par une carte avec différentes pièces comme un puzzle, en bas, ces pièces sont classées par ordre croissantes ou décroissantes, elles sont rangées. Les couleurs utilisées sont simples, blanc et dorée.

Entre Terre et Mer

La ville et la nature se mélangent Je me trouve au milieux de ce bloc de béton armé Qui me rappelle les gratte-ciels qui montent aux anges C’est étrange mais je m’y sens en sécurité. Les arbres face à la mer imposent leur présence Les montagnes empêchent la machine d’aller plus loin. La nature se sent à travers cette apparence Mais cette douce odeur n’est présente que de moins en moins. La frontière longue et éternelle va de l’avant Montre un espoir qui peut être ardant Pour le savoir faut continuait d’avancer Cependant ce décor classique et commun m’avertit D’un danger potentiel qui me suit. Seul l’aventure nous le dira !

L'image nous évoque un lieu de déjà-vu, parce que c’est un port banal. Une sensation de profondeur nous submerge, comme si l’image continuait d’avancer, alors que nous sommes bloqués là. Quand on la voit, on a envie de s’échapper afin d'explorer la profondeur qu'elle dégage. On a l'impression que le temps ne passe pas, qu'il est immobile. Le fait d'avoir l'eau d'un côté et la terre de l'autre montrent une opposition certaine des deux espaces. Le garde de corps en béton armé crée une frontière entre ces deux mondes. On a une sensation de lenteur avec ce bateau qui avance près du quai. Les arbres sur le côté s'imposent sur la surface terrestre pour faire face à la mer. Une envie d'explorer et de voyager nous prend quand on voit le bateau. Cette frontière, nous encourage à aller voir des extrémités qui nous semblent indterminables.

Anabela NEDELJKOVIC, 1PTEB

Sonnet

Le doux silence de la ville
Léna ZERR, 1PTEB

Au cœur de la ville, le calme est roi. Un ruban bleu porte une maisonnette. Un arbre veille discret dans sa loi. « Le Silence » dit le cadre en cachette. Autour, la vie bruyante se tait. Dans le tableau, tout est doux et sage. La ville s’endort, le jour est complet, Le tableau nous offre son image. Dans le silence, l’art nous fait signe, Un petit monde tranquille et digne. Un tableau simple un moment de paix. La ville et l’art, dans un doux ballet, Le silence règne sans décret, Et le sonnet en vers la relayé.

Le tableau « Le Silence » est intéressant pour plusieurs raisons. Il est minimaliste, ce qui signifie qu’il n’est pas rempli de détails compliqués : on voit juste une maisonnette avec quelques arbres et un chemin bleu en forme de boucle. C’est comme une image simple et épurée d’une ville, avec seulement quelques éléments pour stimuler notre imagination. Le fait qu’il y ait peu de choses apparentes nous pousse à réfléchir et à imaginer ce qui pourrait se cacher derrière ce silence. Le titre du tableau, « Le Silence », s’adapte bien à l’image car tout semble calme et paisible. Le chemin bleu ajoute une touche de couleur et semble presque bouger autour de la maison et des arbres, ce qui donne de la vie à la scène sans briser le calme. Du point de vue de la critique, ce tableau peut être vu comme une représentation de la tranquillité dans un monde souvent bruyant. La géométrie simple du dessin, avec ses formes claires et ses couleurs vives, crée un contraste intéressant avec le fond neutre et vide.

Autour de cette maisonnette Le bleu tournoie au rythme silencieux Tout comme les planètes Ce cour d’eau paraît si précieux J’aimerais y jouer aux devinettes Car en cette ville, cet espace paraît si spacieux Ou bien y faire des galipettes Et voir ou mènera ce cour d’eau si paresseux Et puis ces lampadaires des feuilles à l’aspect primitif En cercle autour de ce bleu si tranquille Leurs esprits liés semblent significatifs Tout seul au milieu de cette grande ville Et malgré leurs troncs soudés Ils paraissent si seuls dans cette contrée

Le tableau que nous avons étudié avec notre groupe à l’artothèque a pour titre : « écouter le silence » de Zuara Jaczova. C’est une œuvre très minimaliste de la ville, c'est pourquoi l’artiste a utilisé une technique à la caséine sur papier et à la gouache. Tout comme son nom l’indique « Ecouter le silence » dégage un certain silence quand on l’observe, comme si le temps s’est arrêté. Le cour d’eau de cette maison tourne toujours autour d'elle et semble ne jamais changer de sens. Le tableau fait travailler l’imagination de part sa géométrie, on pourrait presque distinguer les planètes d'un système solaire.

Jade SCHNEIDERS, 1PTEB

Autour du bleu

La ville mon silenceQui me fait sortirBriseur de souffrance Qui me fait me retenir Maison géométrique Qui me rend dans l’espace Image poétique Me mets dans une impasse Visage le mental pâle comme le ciel En image ma ville Mon endroit pastel Ma bulle mon moment Rend mon entourage géant Qui me fait retourner dans mes pensées

"Ecouter le silence" est une oeuvre de Zuzana Jaczova. Peint à la gouache, le tableau représente bien un silence complet par rapport à la ville qui est assez bruyante. La géométrie du tableau nous amène à imaginer une galaxie dont l'univers se résumerait au sable pale du desert. Les arbres, les maisons, les objets ont des couleurs très galactiques. Les éléments du décor sont comme suspendus au dessus d'un trou noir . Une force les aspirent ou les ramènent dans une autre dimension. Il y a beaucoup de formes géométriques comme les arbres, la maison et les objets. Des formes rondes comme l’espace et la géométrie. L’effet sable représente le vide dans un espace silencieux.

Leslie HOFF, 1PTEB

Le silence dans la galaxie

Ma Ville a son secret ma vie a son mystère La où un phantôme égaré est figé dans le temps Dans cet endroit la où le silence se terre Ce décor silencieux là ou la vie se suspend Ce cadre angoissant passant inapercu Le quatrième mur ne laissant passer un décibel Il aura jusqu'au bout jamais cessé d'être nu Mais dans ce nouveau chapitre il repartira de plus belle Quand il se pensait perdu Une lumière éblouissante apparaîssait Dans cet espace tordu Ici est née une nouvelle jeunesse Dans ce lieu créant l'idylisme en son centre Là où l'ancien devient centre

Perdu dans la lumière

Cette oeuvre a été réalisée par Claire CHEVRIER en 1963 et elle se nomme "Croisement-ville-06 Cette oeuvre dénonce l'urbanisation car on voit qu'elle est construite de façon à voir qu'il y a une opposition entre la nature verte au centre et l'espace urbanisé tout autour. On voit et on ressent que l'image est figé e à jamais dans le temps. Elle est vide d'émotion, vide de sens, silencieuse . Cet endroit est mort, je vois qu'il n'y a pas de souvenir, je suis spectateur de la scène. Cette ambiance provoque un malêtre. L'image est brute et violente avec ses couleurs orangées ,même si un endroit plein de vie se démarque au milieux de l'image.

Mattia SARACENO, 1PTEB

Dans ce cadre figé dans le tempsOù le silence est maître. Les bâtiments entourant La nature se répandent en son centre, Dans ce monde dénué de bruit, Où même un nuage n’est aperçu, Ce monde aux couleurs de fruits, Où seules elles peuvent être perçues. Cette nature en cage Tel un animal Qui lui fait du mal. Cette même cage, Faite d’argile, Paraît si fragile.

Entre ombre et lumière

Benjamin NORD, 1PTEB

Cette œuvre a été réalisée par Claire Chevrier en 1963 et se nomme « Croisement-ville 06 ». On peut voir sur cette photo une sorte de conflit entre le bâti et une nature encerclée par des bâtiments. L’ombre est incarnée par les bâtiments qui submergeraient la lumière représentée par la nature. C’est un endroit qui peut être décrit comme une ville fantôme où seul le silence est maître et où la seule once de vie qui peut être observée est la nature. Mais on peut aussi y voir une sorte de tristesse mélancolique qui est symbolisée par différents coloris tels que le gris du ciel ou encore les couleurs des bâtiments. Ce sentiment est d’avantage renforcé par l’absence de présence humaine. Il est possible que ce soit la volonté de l’artiste Claire Chevrier de mettre en avant la nature au centre de l’image pour nous faire remarquer au premier regard le contraste entre les deux.

Ulysse BERTIN, 1PTEB

La vielle ville n’est plus. Les bâtiments commencent à s’effacer, La végétation prend le dessus, La nature retrouve sa liberté. Je ne ressens que mélancolie, En voyant cette ville fantomatique. La tristesse m’envahit, Face à cette histoire dramatique. Une cité oubliée, Par sa triste solitude, Et mes sentiments remplis d’inquiétude. Mes chers souvenirs nostalgique, De cette ville perdue. Le chemin semble ardu.

Cette œuvre met en avant le contraste frappant entre la beauté naturelle au centre de la scène et la dégradation des bâtiments qui l’entourent. Une atmosphère empreinte de tristesse se dégage subtilement, renforcée par le ciel grisâtre qui semble refléter l’abandon et le déclin. La solitude qui imprègne cette représentation urbaine accentue le sentiment de mélancolie, conférant à l’ensemble une atmosphère presque irréelle, comme si la ville elle-même était plongée dans un état fantomatique. L’absence totale de présence humaine dans l’image renforce encore davantage la tristesse qui émane de cette œuvre, créant un sentiment de vide, un rappel silencieux du passé de cette cité abandonnée.

Mélancolie d'une cité oubliée

Dans les rues étouffées de tristesse, La ville se fige dans un silence pesant .Sous le ciel gris, l’atmosphère oppresse,Les cœurs lourds cachent leur tourment.Les passants errent sans but, sans joie.Les façades ternes reflètent la mélancolie.Des souvenirs sombres dansent en émoi Dans cette univers où l’âme s’oublie.Les ruelles se perdent dans l’oubli.Les ombres s’étirent mornes et froides .Les regards vides se croisent meurtris .Dans cette cité où la tristesse corrode.Pourtant, au sein de ce paysage gris ,Une lueur d’espoir brille, infime mais précieuse.

La ville noire

L’œuvre décrite semble évoquer une atmosphère de vie tyrannique à travers la représentation de gratte-ciels serrés , créant un sentiment d’étouffement et d’absence de respiration dans la ville . L’ajout de papier sur le tableau , simulant un effet de pluie, renforce l’idée de tristesse qui se dégage de l’ensemble . La dominante grise de l’image contribue à instaurer une ambiance dépressive teintée d’angoisse et d’ennui . Cette tonalité monotone renforce le sentiment d'un malaise ressenti face à cette représentation . En ce qui concerne la critique de l’œuvre , il est à noter un aspect chaotique et peu esthétique . De plus , la netteté de l’image laisse à désirer , accentuant le sentiment de déprime qui s’en dégage .

Yero Sow, 1PTEB

Je vois de près des gratte-ciels serrés. Ces tours sont si denses et enivrantes, Qu’elles camouflent cet espace compressé. Dans la ville, il y a une ambiance bruyante. Je suis surpris, car c’est haut ! La hauteur, tellement d’étages ! Je suis impressionné, et c’est beau ! Ces immeubles et leurs translucides vitrages. Je vois des tours qui se tassent. Je me sens étouffé, car il n’y a pas d’espace Les gratte-ciels s’élancent défiant l’infini, Les monuments s’élèvent, Fierté de verre ! On dirait des gardiens de pierre ! Dans le crépuscule, les bâtiments s’alignent.

Impression d'hauteur

Nous avons choisi cette œuvre parce qu'elle nous a fait penser à la ville de Métropolis qui est un film de fiction dans lequel il n'y a que des gratte-ciels et des voitures, il n’y a pas d’humain. Dans ces gandes tours serrées, denses et compacts qui étouffent les habitants, et donnent un effet d’englobement, la ville ne respire plus. La ville paraît comme tyrannique, parce que la densité des buildings fait penser qu’il n’y a plus de vie, comme si les gratte-ciels englobaient les habitants. Sur le tableau, une espèce de rajout de papier donne un effet de pluie, de tristesse. New york un jour de pluie. L’image est floue, elle n’est pas belle à voir, elle met en scène peut-être la pluie sur une vitre, il se peut qu’il existe un point de vue omniscient car sur le tableau on voit toute la terre vue de haut, et ces gratte-ciels si immenses qu’on pourrait peut-être voir des trafics de voiture au sol depuis le ciel.On pourrait presque penser aux introductions des films new-yorkais. Sur l’image,une impression de deception domine,l'atmosphère pousse un sentiment d’angoisse.

Morteza MORADI, 1PTEB

Aujourd’hui je me balade proche de la mer J’aperçois deux personnes sur un banc Regardant également ce paysage absorbant Je ressens une très bonne atmosphère J’entends les mouettes chanter Profitant de ce bon vent Je me sens tellement vivant Musicalement sur le port d’Alger Les gens profitent de cette journée Je regarde l’horizon Elle me procure une étrange sensation Le soleil m’ébloui Rendant les maisons, les voitures et l’horizon trouble C’est comme si je me dédouble

La Ligne Trouble

Ce tableau a été réalisée par Mathias POISSON qui se nomme « Ligne d’horizon Alger La Pêcherie » Il a été réalisé à l’encre de Chine en 2016. Il n’a rien de bien compliqué car il n’est pas très détaillé et ne montre pas grand-chose de bien difficile à dessiner. En revanche, il exprime une foultitude d'émotions. Premièrement, le tableau représente une ligne d’horizon qui n’est pas nette et qui peut nous donner une sensation d'inachevé. Cette ligne d’horizon peut également être une leçon qui invite à regarder devant et ne pas se préoccuper de ce qui pourrait être sur le chemin. L’absence du premier plan nous amène également à cette sensation de travail inachevé. On voit également deux personnes sur un banc regardant l’horizon. En observant cette image, on peut presque entendre les bruits qui animent le port. On peut presque entendre chant des mouettes, le klaxon des bateaux et le bruit du vent sifflant sur chaque bâtiment et objet.

Ilyan ANSEL, 1PTEB

Au port d’Alger, la pêcherie, un cri étouffé, Les baraques usées, le destin imprévisible, Les visages fatigués dans l’ombre effacée, Dans ce tableau poignant où le temps est invisible. Dans les rues étroites, mon esprit s’enlise, Sous le poids des tours, mon âme se perd. Les clameurs assourdissantes, la foule grise, Dans ce dédale urbain ou l’ennui fait pair. Dans cette ville funeste, ô simple coup de crayon, Le port et la vile restant dans leur solitude, Dans ce paysage éternel, ou l’horizon? La mer et la terre, dans une danse infinie, Comme une toile sombre où se dissout le reste, La ville et la mer, dans leurs dépits.

Terre et mer

Cette œuvre a été réalisée par l’artiste Mathias Poisson, il l’a nommée « Ligne d’horizon Alger la pêcherie ». Ce tableau a été fait avec une plume et à l’encre de chine. cette création est relativement simple car ce ne sont que des lignes sans couleur, mais on retrouve une certaine complexité dans la profondeur car on y aperçoit plusieurs champs. On peut voir que le tableau exprime plusieurs choses comme une impression de premier trait car on sent qu'il est un peu tremblotant. On a aussi la sensation d’un tableau inachevé qu'il nous revient de continuer. Il est également possible de penser que la ligne d'horizon est un objectif à atteindre sans en connaitre le chemin. Deux personnes dessinées assises sur un banc regardent l’horizon et nous amènent à écouter la douce musique des bateaux ivres. Le bruits des vagues , le sifflement d’une douce brise et le cri des mouettes accompagnent l'horizon.

Léo CREMMEL, 1PTEB
Mathéo BARTHEL, 1PTEB

Dans le cercle urbain la vie s’anime Au centre une plage aucun coquillage Où l’eau s’infiltre lentement tel un doux breuvage Une ville en mouvement une symphonie intime Les bâtiments déformés témoins du temps Entre l’urbanité et la nature un dialogue courageux La végétation éclatante un contraste audacieux Leurs silhouettes dansantes un écho vibrant Au cœur du tableau la plage se réveille Les couleurs contrastent la vie s’y éveille Elle s’émerveille entre bâtiment et végétation Le disque tourne symbole d’une ville fière Bab El Oued se remplit d’une douce lumière Beauté éphémère dévoile ses émotions

Mathias Poisson a représenté la plage de Bab El Oued en Algérie en utilisant une forme circulaire qui symbolise le quotidien. La construction du tableau fait en sorte que la plage soit centrale. La plage de Bab El Oued apparait dans le tableau avec une construction de bâtiments, ainsi que de la végétation autour d’elle. De cette façon, elle est exposée avec un paysage déformé mais reste plus tôt détaillée avec un dessin à l’encre de chine et l’utilisation de l’aquarelle qui donnent de la couleur et du contraste à l'ensemble.

Dans le cercle urbain

Alger ville envoutante et ensoleillée Ta plage dorée baignée par la mer Aux ruelles étroites et colorées Sont un véritable paradis sur terre Tes rues animées pleines de trésors Le bateau grand et majestueux Offrent milles merveilles et encore Garde un compte précieux Tes montagnes majestueuses fières et altières Veillent sur les symboles de ta grandeur Et ce grand bâteau témoins de ta longue histoire Alger ville aux mille visages mille couleurs Dans ce continent tu restes un trésor précieux Une source d’inspiration de joie et de bonheur

Alger, ville circulaire

L’œuvre de Mathias Poisson présente la plage de Bab El Oued, ville d’Alger de 2010. Le thème qui est la ville devient une routine au fur et à mesure que l’artiste présente son œuvre sous forme d’un cercle. Nous avons été attirés par cette œuvre car Mathias Poisson utilise une impression de croquis avec un détail assez poussé. C’est une couleur vive qui est prise en compte pour la ville d’Alger, elle attire l’œil en montrant que c’est une ville joyeuse avec plein d’harmonie. L’espace est montrée par une vision complètement différente de la vraie ville d’Alger, l’auteur nous présente cette ville en mettant en avant une forme géométrique. La forme est alors au service du sens.

Bryan KORT, 1PTEB

Alger cette ville égaillée et colorée La couleur bleue du ciel qui se reflète sur l’eau de la mer Cet horizon ensoleillé Cette vie pleine d’air Les couleurs du drapeau qu’on retrouve dans ce pays Cette population bienveillante On rêve on rit Cette bonne humeur nous hante Ces gens généreux Y aller sans réfléchir C’est mieux Ces personnes soudées Changent sans arrêter Cette routine cassée

Cette ville

Adam GUITITI, 1PTEB

Cette œuvre de Mathias Poisson « Plage Bab El Oued » représente la capitale de l’Algérie en 2010. Le thème qui est la ville devient une routine au fur et à mesure que l’artiste présente son œuvre en cercle. Nous avons été attirés par cette œuvre car Mathias Poisson utilise une impression de croquis avec un détail assez poussé. Les couleurs vives de l’œuvre captivent l’œil. Le vert et le blanc sont omniprésents. Sur cette œuvre offre une vue panoramique d’Alger. On y voit une mosquée, des habitations, des usines, des commerces … L’œuvre est présentée en cercle pour nous faire comprendre que la ville dépasse la simple plage. Elle est un tourbillon de vie.

Mathilde LEIBEL, 1PTEB

Je l’appelais Palestine Avec ses rues assombries Et ce ciel éclairci Qui brûle ma rétine Ces quartiers sans vie Où j’en crée des sténopés L’espoir revit Où je parcourais mes pensées J’aperçois une femme au regard vide Dans ces bâtiments vitrés remplis de souvenirs Qui ne peut se débarrasser de ses silhouettes livides Cette ville dans laquelle j’ai grandi Petit à petit se transforme en ruine Je l’appelle désormais Palestine

La photo de Patrick Galaise nomme « Palestine » et appartient à la série ¨construire¨ 2010. Cette photo a été prise avec une technique de photographie qui s’appelle ¨sténopé¨, c’est donc ce qui va créer cette forme de lumière ovale au centre de la photo et le noir autour . On voit une femme au centre de l'image qui fixe l’objectif, elle est mise en avant avec le contraste du noir et blanc. Le ciel blanc définit les bâtiments à l’arrière . Il y a une sorte d’ombre blanche près de la femme qui se mêle et imprégne le ciel. On distingue aussi un effet de flou avec les deux silhouettes comme si on voulait les faire disparaître. La photo de Patrick Galais veut représenter l’absence de vie. Les construction très géométriques a l’arrière de la photo est tres esthétique ; le ciel, les silouhettes et les batiments s’entremêlent et se juxtaposent.

Souvenir

Nathan BOHNERT, 1PTEB

Je vois dans ce tableau des souvenirs joyeux Des souvenirs d’enfance qui me semblent être un mirage Dans ce rêve je tiens un drap soyeux Au bord du Danube passé un bateau avec un coquillage Je marchais au marché central Quand j’y vis au loin une carte de la ville Le monde jailli partout comme l’eau sortant du canal J’y fuis moi et ma carte pour aller dans mon automobile Arrivé à ma voiture le plan se déchira Je le ramassais en panique et je vis la gravure au sol Une gravure m’interpella j’y vu comme une rosace Je me relevai et je vis que le soleil se coucha J’entendis alors au loin un bruit d’antivol Je me retrouvai dans la galerie ma main a touché le tableau l’alarme sonna

Nous avons choisi cette gravure fait par Marta Caradec en 2012 dans la série dictionnaire du monde. Ce dessin cartographie Budapest. Sur le fond plusieurs tissus de couleur et de différents motifs composent la carte de la ville. Nous pouvons remarquer que ce dessin est une juxtaposition de divers lieux multicolores. Sur la partie haute de droite les teintes sont plus claires que sur la partie gauche. On peut penser que Marta Caradec a voulu montrer la séparation de Buda et Pest grâce au Danube.

Souvenir à Budapest

Ava FAHRNER, 1PTEB

Une capitale difforme Aux couleurs d’automne Remplie de gentilhommes Courageux quand les canons tonnent Deux territoires que tout séparait Réunis par des ponts Que des milliers de bâteaux traversaient Pour rejoindre la civilisation Sur la carte colorée Des motifs comme différents quartiers Des arabesques taillées Un long filet d’eau Traversant toute la capitale Qui coule à la verticale

Le tableau que nous avons choisi, porte bien son nom. L’estampe en couleur représentent la carte de la ville de Budapest. L’artiste a choisi de recouvrir la carte originale de Budapest, capitale de la Hongrie, par des motifs comme morcelés pour en faire différents quartiers de la ville. Les motifs très colorés proposent des couleurs qui attirent tout de suite l’œil. Budapest est un tableau qui a été créé pour une série qui s’appelle « dictionnaire du monde ». L'oeuvre de Marta Caradec cherche à représenter la vie et une histoire.