agorsystème et développement durable

partie 2

agrosystèmes et developpement durable

Comment nourrir l'humanité sans nuire à planète ?

Une population de 9,8 milliards d'humains est prévue en 2050. (Cliquer pour voir la Croissance de la population mondiale en temps réel) Nourrir cette population grandissante est un défi majeur à relever. D’autant plus qu’à l’heure actuelle, on estime à 1 milliard le nombre de personnes souffrant de mal nutrition et bien plus encore qui ne peut disposer d’eau potable nécessaire aux besoins vitaux.

Un agrosystème est un écosystème artificiel géré par l’être humain dans le but de produire de grandes quantités de biomasse, généralement d’une seule variété ou d’une seule espèce. La biomasse est exportée en dehors de l’agrosystème.

L’ajout nécessaire d’intrants (eau, engrais, produits phytosanitaires, énergie) permet d’augmenter la productivité du système et de compenser la perte de biomasse liée à l’exportation de la matière récoltée.

un exemple d'agrosystème: le champ de maïs

Réaliser un tableau relevant les différents intrants utilisés dans la culture du maïs au fil de l'année (de A à E). Indiquer pour chacun son rôle dans la productivité.

des modèles agricoles diversifiés

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argiculture vivrière

agriculture extensive

agriculture intensive

des productions agricoles, pourquoi faire?

A l'aide des différents documents de la page, réaliser une carte mentale des différents usages des produits issus des agrosystèmes.

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comparer des rendements

Une parcelle de 4,5 ha de luzerne a permis d'élever, en une année, un troupeau de veaux destinés à la consommation humaine. On estime que le champ à reçu une quantité d'énergie solaire de 26,334 109 kJ. Le champ de luzerne à produit une biomasse de 8211 kg soit une énergie de 6,23.107 kJ. L'élevage de veaux a parmis de produire une biomasse de 1035 kg, soit 4,97.106 kJ . 1. Calculez les productivités de la culture et de l'élevage ainsi que leur rendement écologique. 2. A partir de vos résultats et de l'image ci-contre proposez une mesure nécessaire pour le développement de l'agriculture dans le futur.

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bilan

pour réviser...

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bilan

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partie 1

communication intraspécifique et pratiques agricoles

A l’aide des documents fournis, identifier le mode de communication intraspécifique (nature des signaux, organe émetteur, organe récépteur) pour chacun des exemples. Puis indiquer comment l’agriculture impacte ou utilise celui-ci.

la communication chez les abeilles

les phéromones

les effets des néonicotinoïdes chez les abeilles

+ de données

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remplacer les pesticides par des phéromones de synthèse?

communication intraspécifique et séléction sexuelle

expliquer en quoi ce type de communication favorise le succès de la reproduction et pourquoi certains caractères a priori désavantageux pour la survie ont été retenus au cours de l’évolution. .

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Culture de plantes aromatiques et médicinales, en Anjou

Production de légumes pour la cosmétique

Culture d'algues pour la production de bioplastique en Bretagne

Les réponses comportementales ou physiologiques liées à la perception des phéromones découlent d’une série d’événements : la réception du signal par un neurone chimiosensoriel, sa transduction (transformation en signal électrique), sa transmission aux centres supérieurs et son intégration. Chez les insectes, les neurones sensibles aux phéromones sont situés dans des expansions cuticulaires, les sensilles, portées par les organes chimiosensoriels : les antennes (organe olfactif) pour les phéromones volatiles, les palpes gustatifs ou bien les pattes (qui portent par exemple des récepteurs gustatifs chez les mouches) pour les phéromones non volatiles.

les effets des nicotinoïdes sur les abeilles en fonction des doses d'exposition

Pour cela vous devrez pour chaque exemple étudié, préciser: - l’émetteur, - le récepteur, - la nature du message, - le rôle du message - et si celui-ci apporte un avantage à l’individu pour sa survie et/ou la reproduction Votre réponse prendra la forme d’un tableau comportant autant de ligne que d’exemples étudiés. Puis conclure en répondant au problème posé

Recopier et compléter le tableau suivant grâce aux informations disponibles sur la page . Compléter chaque case par un symbole :++ : très grand(e)+ : grand(e)+/- : moyen(ne)- : faible-- : très faible0 : nul(le)

pourquoi il est si difficile de faire interdire les pesticides qui affèctent les pollinisateurs

Recopier et compléter le tableau suivant grâce aux informations disponibles sur la page :

Compléter chaque case par un symbole : ++ : très grand(e) + : grand(e) +/- : moyen(ne) - : faible -- : très faible 0 : nul(le)

extrait du rapport de POLLINIS pour l'ANSES, 2016

[...] Les effets des substances néonicotinoïdes sur les insectes pollinisateurs ont par ailleurs un impact sur la pollinisation et la qualité des récoltes (Stanley et al., 2015). En 2015, la Royal Holloway University of London a démontré que les colonies de bourdons exposées à un pesticide néonicotinoïde se rendaient moins souvent sur les pommiers et collectaient du pollen moins régulièrement. Résultat encore plus inquiétant, les pommiers pollinisés par des bourdons exposés à des pesticides néonicotinoïdes contenaient 36% moins de graines que ceux pollinisés par des individus non exposés. Pour finir, il a été aussi démontré que l’activité de danse peut être hautement affectée par une assimilation chronique de thiaclopride (Eiri et al., 2012), pesticide dont la LMR dans le miel a été multipliée par 4 suite à la validation de la demande de l’Allemagne par l’Europe (été 2016) . Les constats sont les même pour les pollinisateurs sauvages : sept chercheurs du Centre d’écologie et d’hydrologie (CEH, au Royaume-Uni) et du laboratoire Fera Sciences ont analysé des études concernant les populations de 62 espèces d’abeilles sauvages et de bourdons entre 1994 et 2011. Les variations constatées ont été mises en perspective avec l’usage des néonicotinoïdes dans les champs de colza, usage qui a augmenté très rapidement en Grande-Bretagne au cours de cette période. Les résultats, obtenus avec des outils statistiques, montrent une surmortalité allant jusqu’à un facteur 3. Pour cinq espèces, les chercheurs constatent une chute de 20 % des populations en lien avec l’utilisation des néonicotinoïdes (Woodcock et al., 2016) [...].

Lors des périodes de réproduction, il y a parfois des comportement de compétition entre individus de même sexe qui peut impliquer des combats: les individus les plus vigoureux auront plus de chance de se reproduire et donc de tramsmettre leurs allèles. En automone, les cerfs emttent des cris extrêment puissants, c'est le brâme. Ils attrirent ainsi l'attention des femelles et défient les autres mâles. L'intensité du brâme dépend de la puissance des muscles thoraciques et indiquent donc la force qui serait developpée lors d'un combat. Il évite donc une partie des combats qui seraient coûteux en énergie et violents tout en permettant de se confronter à d'éventuels concurrents et de les éloigner.

Les parades chez les oiseaux

Un nid pour séduire

La queue des paons, un handicap face aux prédateurs?

et chez les humains??