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Présentation historique
Valentin MAYENCON
Created on January 20, 2024
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Transcript
mon carnet
de déporté
Valentin Mayençon, Victor Tang, Yacine Delleci
commencer
introduction
La Seconde Guerre mondiale a été témoin d'une des périodes les plus sombres de l'histoire de l'humanité, marquée par la montée du nazisme et la mise en œuvre de la "Solution finale" par le régime d'Adolf Hitler. Parmi les nombreux centres de terreur créés par les nazis, Auschwitz-Birkenau demeure un symbole de l'horreur et de l'injustice. Aujourd'hui, nous plongeons dans l'histoire à travers un récit poignant, celui d'un déporté dont le journal témoigne, par son expérience, des atrocités subies.
Problématique
Comment Auschwitz-Birkenau symbolise-t-il la barbarie nazie, quelles leçons peut-on en tirer pour préserver la mémoire, et quelles réflexions cela suscite-t-il sur la nature humaine ?
tout au long de ce carnet, cliquez ici pour afficher les objets cliquables, cliquez de nouveau pour les faire disparaitre et pouvoir accéder aux documents
les images sont toujours cliquables
sommaire
7. De rares révoltes
8. Les sonderkommandos
9. Les experiences médicales
10. La libération
1. Établissement du camp
11. Aujourd'hui
2. La solution finale
12. Sur une carte
3. Point de vue d'un déporté
13. Conclusion
4. Statistiques
14. Bibliographie
5. Graphique
15. Sitographie+Vocabulaire
6. Une extermination de masse
1. Établissement du camp
Auschwitz-Birkenau, l'un des sombres chapitres de la Seconde Guerre mondiale, a vu le jour en 1940 dans la région polonaise occupée par les nazis. Initialement, le complexe comprenait Auschwitz I, un camp de concentration, destiné à emprisonner les opposants politiques, les intellectuels, et les membres de groupes indésirables aux yeux du régime nazi.
L'établissement d'Auschwitz-Birkenau coïncide avec la politique expansionniste d'Hitler et le désir d'étendre l'influence allemande à travers l'Europe. Le choix de la Pologne comme lieu d'établissement reflétait la volonté nazie d'éradiquer les populations considérées comme inférieures et d'asseoir leur domination idéologique.
“On ne revient jamais vraiment d'Auschwitz.”
- Marceline Loridan-Ivens
“Soixante ans plus tard, je suis toujours hantée par les images, les odeurs, les cris, l’humiliation, les coups et le ciel plombé par la fumée des crématoires. ”
la "solution finale"
- Simone Veil
du point de vue d'un déporté
photos colorisées d'une jeune Polonaise tuée à Auschwitz
dans cette partie nous essayerons d'imaginer les sensations ayant pu être ressenties par un déporté
photo d'un wagon de déportation
mon histoire
Arrivée a Auschwitz (1)
Arrivée a Auschwitz (2)
La Vie Quotidienne dans le Camp (1)
La Vie Quotidienne dans le Camp (2)
La Peur des Sélections
Les Stratégies de Survie
L'Espoir de la Libération
Les Émotions lors de la Libération du Camp
Nombre de morts par nombre d'arrivees ( en milliers)
On estime qu'entre 1940 et 1945, plus d'un million de personnes ont péri dans ce complexe concentrationnaire, la grande majorité étant des Juifs.
la déportation de masse vers Auschwitz-Birkenau était une composante majeure de la "Solution Finale", avec un impact dévastateur sur la population juive européenne.
On peut voir ici que meme si la majorité des déportés etaient juifs, certains autre peuples tels que les polonais, les tziganes et les soviétiques etaient également exterminés
statistiques impressionnantes
5 ans
C'est la durée de fonction d'Auschwitz-Birkenau
66%
+25 000
C'est le nombre de déportés autre que les polonais, les juifs, les tziganes, et les soviétiques
Selon un sondage de Jewish Claims, 66% des "millenials" américains (âgés d'environ 18 à 35 ans) ne connaissent pas le camp de concentration.
+1 100 000
C'est le nombre de personnes mortes à Auschwitz
une chambre a gaz
une extermination de Masse...
- Auschwitz-Birkenau, conçu à l'origine comme un camp de concentration, est devenu le théâtre principal de l'une des plus grandes atrocités commises pendant la Seconde Guerre mondiale : l'extermination de masse. Les nazis ont élaboré un système d'extermination industriel visant principalement les Juifs, mais aussi d'autres groupes considérés comme indésirables.
derniers instants avant les chambres a gaz
le "chemin de la mort"
1 révolte a en partie reussiElle ne s'est pas produite a Auschwitz mais dans le centre d'extermination de Sobibór1
de rares révoltes
Le 7 octobre 1944, des centaines de prisonniers affectés au crématorium IV à Auschwitz-Birkenau se rebellèrent après avoir appris qu'ils allaient être tués. Au cours de l'émeute, ils tuèrent trois gardes et firent exploser le crématorium ainsi que la chambre à gaz adjacente grâce à des explosifs que des femmes juives, soumises au travail forcé dans une usine d'armement toute proche, avaient introduits clandestinement dans le camp.
les sonderkommandos
Un dilemme moral
Qu'est-ce ?
Les sonderkomandos etaient des prisonniers ayant la tâche de participer aux activités liées à l'extermination.
Les Sonderkommandos étaient témoins et acteurs des horreurs du génocide, confrontés à des choix moralement insoutenables. Leur existence souligne la cruauté du système concentrationnaire nazi, où les victimes étaient forcées de participer à la mécanique implacable de leur propre extermination.
Un choix difficile
coopérer avec les nazis pour prolonger temporairement sa survie ou résister et risquer une mort immédiate ?
Ces expériences incluaient des tests sur la stérilisation, des expérimentations médicales sur la génétique, des essais de médicaments, des opérations non nécessaires, et d'autres atrocités. Les survivants de ces expériences ont souvent souffert de traumatismes physiques et psychologiques durables.
les terriblesexperimentations
À Auschwitz et dans d'autres camps de concentration nazis, des expériences médicales inhumaines ont été menées sur des détenus. Les médecins nazis, notamment Josef Mengele, ont réalisédes expériences pseudo-scientifiques sur des prisonniers, souvent sans leur consentement et dans des conditions extrêmement cruelles
les medecins nazis
experimentations sur une jeune fille
+ de 7 000 détenus à Auschwitz ont été soumis à ces experimentations
la libération
Voici une mise en scene représentant la libération d'Auschwitz par l'armée rouge.
aujourd'hui
Aujourd'hui, Auschwitz est avant tout un site de mémoire et de commémoration, symbolisant les horreurs de l'Holocauste. Le complexe d'Auschwitz-Birkenau est devenu un musée et un mémorial, inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO. Il attire des visiteurs du monde entier qui viennent se recueillir, apprendre et rendre hommage aux millions de victimes du nazisme.
Touristes à Auschwitz
la position du camp
Carte
Auschwitz était situé en Pologne, dans la ville d'Oświęcim. L'emplacement stratégique en Europe centrale a été choisi par les nazis pour sa proximité avec les voies de communication, facilitant ainsi le transport des déportés vers le camp.
Oświęcim aujourd'hui
Conclusion
À travers ces pages finales du "Carnet d'un Déporté", nous achevons le récit de notre passage à Auschwitz-Birkenau
'Que le monde n'oublie jamais Auschwitz-Birkenau'
À RETENIR
- Auschwitz-Birkenau, créé en 1940 par les nazis allemands, était un complexe concentrationnaire et d'extermination.
- Établi en Pologne occupée, le camp a été le théâtre de l'extermination systématique de millions de personnes, principalement des Juifs, dans le cadre de la "Solution Finale".
- Les déportés ont subi des conditions inhumaines, des chambres à gaz, et des actes de cruauté.
- Le camp a été libéré en 1945 par l'Armée rouge soviétique.
- Auschwitz-Birkenau est devenu un symbole mondial de l'Holocauste.
- Le site a été préservé en tant que musée et mémorial.
bibliographie
J'étais médecin a Auschwitz, par Gisella Perl
Voici les livres que nous avons utlisés pour réaliser cet exposé
La Nuit, par Elie Wiesel
Auschwitz : Médecin SS , par Miklos Nyisli
La fabrique de la mort, par Ruth Scheps
Si c'était un homme, par Primo Levi
Le dernier des justes, par André Schwartz-Bart
Le Journal d'Anne Franck, par Anne Franck
sitographie
LEXIQUE
TZIGANES
Les Tziganes sont un groupe ethnique d'origine indo-aryenne avec une histoire marquée par la migration, une culture souvent nomade.
wikipedia.org encyclopedia.ushmm.org theauschwitztours.com lemonde.fr unesco.org perspective.usherbrooke.calefigaro.fr leparisien.fr
Josef Mengele
Josef Mengele était un médecin nazi surnommé "l'Ange de la Mort" pour ses expérimentations médicales inhumaines sur des détenus dans le camp de concentration d'Auschwitz pendant la Seconde Guerre mondiale.
SONDERKOMMANDO
Un groupe de prisonniers forcés de travailler dans les chambres à gaz et les fours crématoires. Ils étaient souvent exécutés après un certain temps pour éviter la divulgation d'informations.
que chaque génération à venir comprenne l'importance cruciale de se souvenir...
C'est une analyse critique des documents historiques liés à Auschwitz
3. La Vie Quotidienne dans le Camp (1)
"Chaque aube apportait son lot de misères. La faim, dévorante, creusait mon estomac et mon humanité. Le travail forcé était mon lot quotidien, une corvée épuisante qui semblait n'avoir ni fin ni sens. Mon corps amaigri, mes vêtements en lambeaux, chaque geste était une lutte contre la déshumanisation qui tentait de m'engloutir."
Publié en 1948, ce livre raconte l'histoire unique du Dr Perl en tant que médecin dans le camp d'Auschwitz......
La solution finale
La "Solution Finale", une politique génocidaire orchestrée par les nazis, visait l'élimination systématique de certains groupes ethniques, principalement les Juifs. Ce plan macabre s'est intensifié au début des années 1940, lorsque le régime nazi a décidé d'étendre son programme d'extermination à grande échelle. Auschwitz-Birkenau, avec son infrastructure massive, a été choisi pour jouer un rôle central dans la mise en œuvre de la "Solution Finale". La décision s'est appuyée sur plusieurs facteurs, dont la proximité des voies ferrées facilitant le transport des prisonniers, ainsi que la capacité du camp à accueillir un grand nombre de déportés. Les installations de gazage et de crémation ont été installées, transformant le camp en un sinistre théâtre de la mort.
Apparu en 1947 , ce livre est un témoignage autobiographique de Primo Levi sur sa survie dans le camp d'extermination nazi à Auschwitz , où il est détenu de février 1944 à la libération du camp, le 27 janvier 1945...
Autres nationalités
Parmis les 25 000 déportés, 10 000 à 15 000 sont morts.
6.Les Stratégies de Survie
"Pour survivre, il fallait devenir invisible tout en étant présent. Les ruses étaient mon armure contre la mort imminente. Se fondre dans la masse, éviter les regards, et se montrer utile aux yeux des SS étaient autant de stratégies pour échapper à leur attention meurtrière. La solidarité avec mes compagnons d'infortune était ma bouée, car ensemble, nous devenions plus forts face à l'impensable." La résilience devint mon alliée, et chaque jour était une lutte pour demeurer parmi les vivants. Les camarades de détresse étaient des compagnons de survie, des alliés dans cette bataille quotidienne contre l'anéantissement. Mes stratégies, bien que fragiles, étaient des cris silencieux de résistance, une réponse à la déshumanisation qui tentait de nous engloutir.
8.Les Émotions lors de la Libération du Camp
"La libération, lorsque finalement elle survint, fut un mélange indescriptible d'émotions. La joie était là, mais elle était teintée de l'ombre des souvenirs trop frais. Les portes qui s'ouvraient signifiaient la fin de l'enfer, mais aussi le début d'une vie à reconstruire. La libération était une victoire, mais elle portait les cicatrices profondes de la perte et de la souffrance." Les larmes versées étaient à la fois des larmes de douleur et des larmes de soulagement. Le monde extérieur, bien que libérateur, était un monde changé, et la libération était le seuil d'une réalité nouvelle et inconnue. La mémoire des jours sombres de captivité persisterait, mais la libération marquait la fin d'un chapitre cauchemardesque dans l'espoir d'un avenir où la liberté redeviendrait une réalité tangible.
1. Arrivée à Auschwitz (1)
"Le grincement des portes du train, accompagné du hurlement du vent, annonçait mon arrivée à l'antre de l'horreur, Auschwitz. À ce moment-là, l'air lui-même semblait se figer de terreur. Le tri initial, c'était comme une danse macabre où le destin était scellé d'un simple geste. Des uniformes sombres et froids, des hommes en armes, et le regard impitoyable des SS. Nous ne savions pas où nous allions, mais la peur était palpable."
Les méthodes
Les méthodes d'extermination étaient d'une cruauté inimaginable. Les déportés, souvent désorientés dès leur arrivée, étaient conduits vers des chambres à gaz sous le prétexte d'une prétendue désinfection. Ces chambres, dissimulées sous l'apparence de douches, étaient remplies de gaz toxiques, principalement du Zyklon B. Cette méthode impersonnelle de mise à mort visait à rendre le processus de massacre le plus efficace et déshumanisé possible.
Un choix difficile
Ces hommes, souvent choisis parmi les détenus les plus récents, étaient confrontés à un dilemme impossible : coopérer avec les nazis pour prolonger temporairement leur propre survie ou résister et risquer une mort immédiate. Les membres des Sonderkommandos étaient souvent exécutés après un certain temps de service, et de nouveaux prisonniers étaient recrutés pour les remplacer.
7. L'Espoir de la Libération
À l'approche de la libération, un frisson d'espoir parcourait le camp. Les rumeurs circulaient comme des brises légères, portant avec elles l'idée que la tyrannie prendrait fin. Les barreaux semblaient alors moins froids, les cris moins perçants. L'espoir de retrouver la liberté, de revoir le soleil sans le filtre des barbelés, était une lueur fragile dans l'obscurité qui avait englouti nos vies." L'idée que la libération était possible était une force motrice puissante. Chaque jour qui rapprochait la fin de notre calvaire était empreint d'un espoir renouvelé. Les pensées de retrouver une vie normale, de revoir ceux que nous avions perdus, étaient les étoiles qui éclairaient nos nuits les plus sombres.
plus de précisions ?
Les chiffres liés à Auschwitz-Birkenau sont déchirants et révélateurs de l'horreur qui s'y est déroulée. On estime qu'entre 1940 et 1945, plus d'un million de personnes ont péri dans ce complexe concentrationnaire, la grande majorité étant des Juifs. Les statistiques de mortalité étaient terrifiantes, avec des milliers de vies éteintes chaque jour.
Ce livre écrit en 1944 est un récit médical de Nyisli, médecin travaillant aux côtés de Josef Mengele...
Les conséquences
Les Allemands écrasèrent la révolte et exterminèrent pratiquement tous les prisonniers impliqués. Les femmes qui avaient fourni les explosifs furent pendues en public au début de janvier 1945.
Publié en 1956 , ce récit puissant sur les expériences de l'auteur en tant que prisonnier à Auschwitz..."Jamais je n'oublierai cette nuit , la première nuit du camp , qui a fait de ma vie une nuit longue et sept fois verrouillée
Ce livre , écrit par Anne Franck en 1947 relate un témoignage poignant de la vie d'une jeune femme juive pendant l'Holocauste....
4.La Vie Quotidienne dans le Camp (2)
Les relations avec les autres déportés étaient ma bouée de sauvetage dans ce tourbillon d'inhumanité. Des liens tissés dans la douleur partagée, des regards échangés qui disaient plus que des mots. La solidarité était mon unique lumière dans l'obscurité. Pourtant, chaque jour était une bataille pour la survie, une lutte contre l'effacement de ma propre humanité face à l'implacable machine de mort nazie. Les émotions qui m'habitaient étaient une toile complexe. La colère, la peur, mais aussi la résilience. Chaque lever de soleil était à la fois une victoire et un rappel de ce que j'avais perdu. Dans ce cauchemar quotidien, les émotions étaient mon dernier refuge d'humanité, même lorsque tout semblait perdu.
5. La Peur des Sélections
"La terreur des sélections était omniprésente, une ombre qui planait sur chaque déporté comme une sentence imminente. Les SS, impassibles, fouillaient nos visages, jaugeant notre valeur comme s'ils examinaient du bétail sur le marché. Être choisi signifiait un voyage sans retour vers l'horreur des chambres à gaz, un adieu brutal à la vie." Dans ces moments d'angoisse, chaque détail de mon être était scruté comme une signature de destin. Les sélections étaient des parades macabres où l'innocence était jugée coupable. La peur de l'inconnu, le frisson glaçant à l'idée d'être sélectionné, était une torture mentale constante. La survie dépendait souvent du hasard et de la chance, des éléments sur lesquels nous n'avions aucun contrôle..
plus de précisions?
Les données historiques montrent que la déportation de masse vers Auschwitz-Birkenau était une composante majeure de la "Solution Finale", avec un impact dévastateur sur la population juive européenne. Ces chiffres, bien qu'ils ne puissent jamais rendre pleinement compte de l'ampleur de la tragédie, servent de témoignage macabre des conséquences de la haine et de la discrimination à une échelle systématique.
5 ans...
Situé dans la Pologne occupée, Auschwitz se divise en trois camps comprenant un centre de mise à mort. Ils ont été ouverts chacun leur tour sur une période de presque 2 ans entre 1940 et 1942. Le complexe a fermé en janvier 1945 à la libération par l'armée soviétique.
La libération
La libération d'Auschwitz a eu lieu le 27 janvier 1945, par l'Armée rouge soviétique ayant atteint le camp de concentration en Pologne. Les troupes soviétiques ont découvert l'ampleur des atrocités nazies, Le 27 janvier est désormais commémoré comme la Journée internationale de commémoration de l'Holocauste.
2. Arrivée a Auschwitz (2)
La première impression fut celle de l'inconnu, un inconnu rempli de désespoir. Les familles étaient séparées, les individus triés comme du bétail destiné à l'abattoir. Chaque visage exprimait la même anxiété, les mêmes questions sans réponse. Les illusions de normalité s'étaient effondrées, laissant place à une réalité impensable. Les conditions de vie étaient au-delà de toute compréhension. Les baraquements bondés, le sol froid, et l'écho constant des pleurs formaient le triste décor de notre nouvelle réalité. La privation de dignité était aussi palpable que la terreur, et le choc initial nous avait écrasés comme une vague impitoyable.
Attention!
On confond souvent le complexe d'Auschwitz et « Auschwitz-Birkenau ». Birkenau, ou Auschwitz II, ne représente qu'une section de l'ensemble. Le centre de mise à mort — Birkenau — est l'endroit où se situaient les chambres à gaz.
Ce livre publié en 1959, rapporte des faits réels et offre une perspective historique sur le génocide...
Qu'est-ce?
Les Sonderkommandos étaient des groupes spéciaux de détenus dans les camps de concentration nazis, dont Auschwitz-Birkenau. Ces prisonniers avaient la tâche macabre de participer aux activités liées à l'extermination, notamment la gestion des chambres à gaz, la récupération des biens des victimes et la manipulation des corps.