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amour à travers neurosciences

juju_adt

Created on January 9, 2024

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Transcript

wow

Grand oral svt

Peut-on définir l'amour à travers les neuroscience ?

Go!

  • Introduction

On a tous déjà connu l'amour, mais physiquemnt, biologiquement, comment l'observe-t-on ? Peut-on seulement résumer l'amour à un ensemble de procédés chimiques ? Avons-nous une part de décision dans le sentiment amoureux ?

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Organisation de la présentation

L'amour à travers les neurossciences

Critique de ce model

L'amour que l'on connaît

+info

+info

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Sommaire

Partie 1

Partie 2

Partie 3

L'amour tel qu'on le connait

définition de l'amour en neurosciences

des doutes sur ce pdv ?

intro

intro

point n°1

opinion populaire (large spectre)

def neurosciences

la contestation scientifique

point n°2

point n°1

point n°1

conclusion

les aires qui s'activent

manifestations psychologiques

point n°2

point n°2

manifestations physiques

les aires se désactivent

l'amour tel qu'on le connait

l'amour nous pousse au delà de nos limites, il nous dit de nous demmener, de tout faire pour rendre fière la personne que l'on aime, on peut même parfois faire n'importe quoi par amour : "l'amour rend aveugle"

Se manifeste par des gestes d'affection simple : câlin, attention, cadeau, aide

L'amour est un sentiment qu'on ne peut contrôler.Il survient d'un coup, presque automatiquement

L'amour, tout le monde en a déjà été témoin, peut-ête même acteurs, beaucoup veulent tomber amoureux, mais derrière cette expression quels sont les mécanismes qui déclenchent ce sentiment?

Certains disent qu'ils ont le sentiment d'avoir choisi leur partenaire, est-ce vraiment le cas ?

+ info

manifestations physiques

peut s'apparenter au stress

différents en plusieurs points !

le stress se déclenche dans des situations particulières et connues l'amour vient spontanément et on ne peut en déterminer précisément la cause du déclenchement

→ accélération du coeur → adrénaline → hausse des capacités physique ? → insomnies → coup de chaud

Amour = stress ?

Non ! pour autant il existe un type de stress qui se produit uniquement en amour (cf syndrome stress amoureux)

Tomber amoureux relève plutôt de la subconscience, c’est-à-dire de la faculté cérébrale qui nous permet d’agir, de penser et de ressentir des émotions de façon non consciente, donc automatique.

Pr Yves Agid

les neurosciences

Les neurosciences regroupent toutes les recherches scientifiques sur le système nerveux, c’est-à-dire le cerveau, la moelle épinière et les nerfs. Les différentes échelles d’étude sont à l’origine de champ de recherche différents, comme les neurosciences moléculaires, cellulaires, la neurophysiologie ou encore les neurosciences cognitives. C’est ainsi que la recherche à l’Institut du Cerveau est organisée, selon cinq grands domaines interconnectés.

Les neurosciences sont les études scientifiques du système nerveux, tant du point de vue de sa structure que de son fonctionnement, depuis l'échelle moléculaire jusqu'au niveau des organes, comme le cerveau, voire de l'organisme tout entier.

Les neurosciences sont souvent présentées sous l'angle des neurosciences cognitives, tout particulièrement les travaux utilisant l'imagerie cérébrale

l'amour en neurosciences

Mais quoi qu’il en soit, vous ne décidez pas de tomber amoureux.

Supposons que ce soit un homme : on observe alors ce qui se passe dans son cerveau quand on lui montre une série de photos de femmes : pour la plupart, ce sont des inconnues, et de temps en temps, il y a un cliché de sa bien-aimée. Ce qui s’allume dans son cerveau, à la vue de celle qu’il aime, ce sont les noyaux gris centraux !

lorsqu’on tombe amoureux, pas moins de 12 aires du cerveau travaillent de concert pour produire des hormones comme la dopamine, l’ocytocine, l’adrénaline ou la vasopressine qui nous rendent euphoriques. Chaque étape – la séduction, la passion, l’attachement… – met en jeu des circuits complexes.

+ info

desactivation

wow

Le cerveau amoureux éprouve une baisse de la sérotonine, un neurotransmetteur qui donne le sentiment d'avoir le contrôle, qui protège de l'anxiété, de l'incertitude et de l'instabilité. Quand elle baisse, notre sens du contrôle diminue, et nous devenons obsédés par des facteurs qui font vaciller nos certitudes et notre stabilité. Et puisque l'amour est par définition imprévisible, c'est une cible de choix sur laquelle peut se porter l'obsession. Le terme "fou amoureux" n'est pas loin de la vérité.

Certaines ne sont propres qu’aux amoureux, comme le gyrus denté de l’hippocampe, riche en récepteurs de la vasopressine ; d’autres, comme la substance grise périaqueducale, est propre à l’amour maternel. En revanche, ces deux formes d’amour ont un point commun : ils rendent aveugles ! Nos deux neurologues anglais ont ainsi remarqué que dans les deux cas, certaines aires sont partiellement désactivées: le cortex préfrontal latéral, impliqué dans les émotions négatives et la dépression, mais aussi le cortex préfrontal médian, qui joue un rôle dans le jugement critique.

contestation scientifique

Aujourd'hui, on est un peu revenu sur ce « matérialisme » biologique, et les connaissances les plus récentes montrent que le sentiment amoureux résulte d'une interaction complexe entre les cerveaux (le cerveau des instincts, celui des émotions et le cerveau logique) et le coeur. Tout d'abord, parce que le coeur a retrouvé un peu d'« indépendance » en matière d'amour. Il n'est pas seulement le « reflet » de ce que décide le cerveau. Il dispose tout d'abord de ce que certains appellent un « petit cerveau », c'est-à-dire quelques dizaines de milliers de neurones propres capables d'influer sur le cerveau en lui transmettant des informations « internes ».

Catherine Vidal, directrice de recherche à l’Institut Pasteur (Paris), met en garde contre la généralisation des études américaines : « Ces recherches, via IRM, sont coûteuses et étudient une quinzaine de personnes en moyenne. C’est trop peu pour dégager des phénomènes généraux ! Par ailleurs, impossible de réduire la sexualité et l’amour humain à un réflexe hormonal : contrairement aux animaux, nous disposons d’un cortex cérébral qui nous donne des capacités de conscience, d’imagination, de langage et de liberté de choix et de comportement. »

wow

infos importantes

+ info

+ info

+ info

Dans le cas du coup de foudre, la vision d’une personne rappelle une expérience amoureuse passée et déclenche l’activation de souvenirs des récompenses antérieures. Et plus le vécu a été intense, plus le coup de foudre est important. »

Est-ce à dire qu’être amoureux ne dure qu’une poignée d’années ? Non, rassure le spécialiste : « Ensuite, c’est le mécanisme d’attachement – fondé sur la libération d’ocytocine et de vasopressine – qui se met en route.

Quand une personne nous plaît, notre hypothalamus sécrète de la testostérone, qui attise le désir, et entraîne la libération de dopamine, neuromédiateur du plaisir et de la récompense

infos importantes 2

Les voies centrales de la dopamine déterminent les comportements de la préférence pour un partenaire, alors que la vasopressine qui se trouve dans le pallidum ventral, l'ocytocine qui se trouve dans le noyau accumbens, et le noyau hypothalamique para-ventriculaire déterminent les comportements liés à la préférence pour un partenaire et à l'attachement. La libido est principalement modulée par l'activité dans le circuit de la voie dopaminergique (aire tegmentale ventrale et noyau accumbens)

Le cerveau des hommes amoureux montre une plus grande activité dans le cortex visuel que celui des femmes amoureuses. Ajoutez à cela que les hommes semblent être plus sensibles aux stimuli visuels romantiques que les femmes en général. Les femmes amoureuses se rappellent des détails Le cerveau des femmes amoureuses connaît plus d'activité dans l'hippocampe, une région associée à la mémoire, que celui des hommes. L'hippocampe prend aussi plus de place dans le cerveau des femmes que dans celui des hommes, ce qui fait que les femmes se souviennent beaucoup mieux des détails.

exemple

Un type de campagnol est monogame : il ne se lie qu'avec un partenaire dans sa vie. Un autre type de campagnol favorise la polygamie. La différence clé entre ces deux types de campagnols semble être génétique : un point intrigant quand on sait que les campagnols sont pourtant à 99% génétiquement identiques. Lorsque les scientifiques injectent aux campagnols polygames de l'oxytocine et de la vasopressine (les neurochimiques liés à l'appariement des humains ou des campagnols monogames), ils deviennent monogames. Bien que l'on ne sache pas exactement si cet effet est identique chez les humains, les scientifiques ont rassemblé des preuves qui le laissent penser, mais uniquement sur des courtes périodes. Dans deux études, des hommes ayant inhalé de l'oxytocine sont devenus temporairement plus empathiques, sensibles et affectueux.