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Correction DNB blanc n°1

Camille Vautrin

Created on December 18, 2023

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Transcript

Brevet blanc n°1 Correction

Comment corriger son brevet blanc ?

> Utilisez une nouvelle feuille. Ne corrigez pas entre les lignes. > Munissez-vous du texte. Vous devez le relire avant de commencer. > Notez X à côté des notions ou des réponses que vous ne comprenez pas, afin de demander de l'aide ou des explications supplémentaires. > Guidez-vous avec le sommaire, à la page suivante. > Cliquez sur l'œil pour avoir des informations ou des conseils supplémentaires.

SOMMAIRE

Brevet blanc n°1 SOMMAIRE

Remarques générales

10

11

RÉÉCRITURE
DICTÉE
RÉFLEXION
IMAGINATION

QUESTION N°1

Compréhension et compétences d'interprétation

Lignes 1 à 10 a) Où et quand se situe ce souvenir ? (2 points) b) Qui est le personnage principal ? Qui est le narrateur ? Selon vous, à quel genre littéraire appartient ce texte ? (3 points)

a) Ce souvenir se situe dans les années 1960 dans la ville de banlieue sud où vit le narrateur, et plus précisément dans un magasin de vêtements. b) Le personnage principal est un adolescent de treize ans, il est d'ailleurs le narrateur comme nous l'indiquent les pronoms de première personne. De plus, le paratexte nous indique que le narrateur est également l'auteur, Michel Pastoureau. Ainsi, ce texte est autobiographique.

QUESTION N°2

Compréhension et compétences d'interprétation

Qu’est-ce qui montre dans le texte que l’achat du blazer est un événement important dans la vie du personnage ? Vous relèverez deux éléments de réponse différents. (3 points)

Dans le texte, plusieurs éléments nous montrent que l’achat du blazer est un évènement important dans la vie du narrateur. D’abord, ce dernier ne se souvient pas avoir porté de veste avant cette occasion « Je ne me souviens pas avoir porté de veste avant l’âge de 13 ans. » (l.1) Cet évènement marque une sorte d’étape dans sa vie. De plus, pour acheter ce vêtement, il s’est rendu dans un grand magasin, qui semble l’avoir marqué : « le plus grand de la ville » (l.7) Enfin, ce vêtement fut acheté pour le mariage d'une personne qui a joué un rôle important dans sa vie "une jeune femme qui s’était beaucoup occupée de moi quand j’étais enfant et qui m’avait fait profiter d’un regard sur le monde et la société différent de celui de ma famille." (l.3-4)

QUESTION N°3

Compréhension et compétences d'interprétation

Quelle vision du vendeur le narrateur nous donne-t-il ? Vous justifierez votre réponse en vous appuyant sur le texte. (3 points)

Le narrateur nous offre une vision péjorative du vendeur. Des adjectifs dépréciatifs sont utilisés : "voix obséquieuse" (l.8), "l'odieux vendeur" (l.12) L'adolescent décrit le vendeur de cette manière car l'attitude de ce dernier est moqueuse et méprisante. En effet, il se moque du physique de Michel Pastoureau "[il] convainquit ma mère que j’étais trop grassouillet" (l.12-13), "le vendeur ricanait" (l.31)

QUESTION N°4

Compréhension et compétences d'interprétation

De la ligne 32 à la fin du texteQuel sentiment le jeune homme ressent-il ? Pourquoi ? Pensez à justifier. (3 points)

Le narrateur ressent de la honte car il se sent en décalage social par rapport aux autres invités du mariage. Il ne cesse de comparer son blazer à ceux de ses camarades bourgeois. La couleur du vêtement que sa mère lui a acheté ne lui convient pas. Pour le qualifier, il utilise les adjectifs « odieux » et "méprisable" (l.36.) Ainsi, le jeune Michel Pastoureau n’est pas à l’aise et déforme la réalité, comme le souligne la gradation « importable, hideux et probablement grossissant (l.25). Toutefois, avec le recul, il réalise que personne n'a remarqué cette différence de couleur mais ce souvenir l'a marqué car il l'a contrarié "cet infime écart de nuance me bouleversait" (l.35)

QUESTION N°5

Compréhension et compétences d'interprétation

Lignes 25 à 27« Essayage, refus, discussion, comparaison, réessayage, intervention d’un autre vendeur, puis du chef du rayon, personnage considérable qui à ma grande surprise soutint mon point de vue. ». Quelle figure de style identifiez-vous ? Quel peut être l’effet recherché par l’auteur en l’employant ? (3 points)

La figure de style utilisée est l'énumération. En listant tous ces noms communs, l'auteur souhaite montrer à ces lecteurs que l'achat de ce vêtement fut laborieux. En effet, ce fut long et désagréable pour l'adolescent.

QUESTION N°6

Compréhension et compétences d'interprétation

En vous aidant du texte et du paratexte, cherchez pourquoi l’auteur peut trouver intéressant de raconter ce souvenir ? Vous expliquerez de manière développée votre point de vue. (4 points)

Ce souvenir est important pour le narrateur car il s’agit de son premier blazer. Il s'agit donc d'une scène marquante. En effet, l’auteur, Michel Pastoureau, est un célèbre histoire spécialiste des couleurs et il explique, à la ligne 17, qu’il avait déjà « le sens des couleurs et de leur nuances » à treize ans. De plus, il établit un lien entre les couleurs vestimentaires et la classe sociale : « plusieurs camarades, appartenant à des familles plus bourgeoises que la mienne, portaient déjà des blazers, et je savais que le bleu était différent » (l.19). C'est donc la première fois qu'il est confronté aux codes vestimentaires et à leur connotation sociale.

QUESTION N°7

Compréhension et compétences d'interprétation

Quels liens pouvez-vous établir entre le texte et la photographie ? Votre réponse devra être développée et s’appuyer sur une description de l’image. (6 points)

Cette photographie en noir et blanc, de Richard Kalvar, date de 1975 et est intitulée « Essayages. » Au premier plan, nous apercevons trois dames âgées dans une rue. L’une d’elles met un couvre-chef sur la tête d’un autre. L'arrière-plan nous montre des immeubles et des voitures. Les femmes sont dans la rue. Le lien avec le texte réside d’abord dans le titre car le personnage essaie de nombreuses vestes. De plus, nous pouvons également évoquer le fait que les deux femmes semblent forcer la troisième à porter le couvre-chef, comme la mère le fait avec le jeune Michel Pastoureau. Enfin, le fait que la scène se déroule en extérieur, puisque le narrateur sort du magasin pour mieux voir la couleur de la veste « à la lumière du jour » (l.28-29)

QUESTION N°8

Compétences linguistiques et grammaticales

« J’entends encore la voix obséquieuse du vendeur [...] (ligne 8)« Les adolescents ont sur la vulgarité des idées qui leur sont propres » (ligne 22) a) Quel est le temps et le mode des verbes soulignés ? (1 point) b) Quelle est la valeur de ce temps dans chacune de ces phrases ? (2 points)

a) Les verbes soulignés sont au présent (temps) de l'indicatif (mode). b) La valeur du verbe "entends" est celle du présent d'énonciation. La valeur des verbes "ont" et "sont" est celle du présent de vérité générale.

QUESTION N°9

Compétences linguistiques et grammaticales

Ligne 25, « importable »a) Expliquez la formation de ce mot. (1,5 point) b) Donnez la nature de ce mot. (0,5 point) c) Précisez le sens du mot dans le texte (1 point) d) À partir du verbe « boire », proposez un mot construit sur le même modèle qu’« importable ». (1 point)

a) « Importable » est formé du radical <port> auquel on a rajouté le préfixe privatif <im> et le suffixe <able.> b) Ce mot est un adjectif qualificatif. c) Dans le texte, ce mot signifique "qui ne peut pas être porté." d) Imbuvable.

QUESTION N°10

Compétences linguistiques et grammaticales

Dans ces extraits, donnez la nature et la fonction des éléments soulignés : « L’odieux vendeur convainquit ma mère. » ; « ce jeune homme est cambré » ;« personne évidemment ne s’aperçut que ce bleu marine ne l’était pas tout à fait. Mais moi je le sentais » (3 points)

1- Ma mère : Nature : groupe nominal minimal ; Fonction : complément d'objet direct (COD) de "convainquit". 2- Cambré : Nature : adjectif qualificatif ; Fonction : attribut du sujet de "ce jeune homme". 3- Le : Nature : pronom personnel ; Fonction : COD de "sentais"

QUESTION N°11

Compétences linguistiques et grammaticales

« Les adolescents ont sur la vulgarité des idées qui leur sont propres. Ils seraient souvent bien en peine de les expliquer ou de les faire partager à des adultes... » Délimitez et identifiez les propositions dans ces phrases. (3 points)

[Les adolescents ont sur la vulgarité des idées] [qui leur sont propres.] Proposition principale Proposition subordonnée (mot subordonnant "qui") [Ils seraient souvent bien en peine de les expliquer ou de les faire partager à des adultes...] Proposition indépendante : il n'y a qu'un seul verbe conjugué ("seraient".)

QUESTION N°12 : Réécriture

Compétences linguistiques et grammaticales

Réécrivez ce passage en remplaçant « les adolescents » par « un adolescent » et « des idées » par « un avis ». Vous ferez toutes les modifications nécessaires. (10 points) « Les adolescents ont sur la vulgarité des idées qui leur sont propres. Ils seraient souvent bien en peine de les expliquer ou de les faire partager à des adultes, mais le vulgaire – leur vulgaire – a pour eux quelque chose d’absolument rédhibitoire. »

Un adolescent a sur la vulgarité un avis qui lui est propre. Il serait souvent bien en peine de l’expliquer ou de le faire partager à des adultes, mais le vulgaire – son vulgaire – a pour lui quelque chose d’absolument rédhibitoire.

DICTéE

10 points

Cécile avait raison lorsqu’elle disait à Mme Donzert qu’il fallait laisser Martine tranquille, qu’elle savait ce qu’elle voulait. C’était vrai, il y avait chez Martine une détermination presque sinistre, tant on la sentait irrévocable. En toute chose. Si après de longues réfléxions qui l’empêchaient de dormir, elle se décidait pour un tailleur classique bleu marine, des escarpins de la même couleur et un chapeau blanc, il les lui fallait exactement tels qu’elle les avait imaginés, le tailleur et les escarpins et le chapeau. Un bleu marine franc, ne tirant pas sur le gris et le violet.

Elsa Triolet, Roses à crédit, 1959

SUJET d'imagination

40 points

Comme le narrateur, vous avez pu vous sentir incompris dans l’expression de vos goûts. Racontez cet événement en précisant les circonstances et en insistant sur les sentiments que vous avez éprouvés et les réflexions que ce moment a déclenchées.

Première étape

Les mots-clefs

Deuxième étape

Ce que les mots-clefs impliquent > les exigences du sujet.

SUJET DE réflexion

40 points

Pensez-vous que seuls les livres qui renvoient à des faits réels nous font réfléchir ? (Dans un développement construit, vous détaillerez vos arguments et les illustrerez à l’aide d’exemples précis, issus de vos lectures personnelles et des livres lus en cours.)

L'introduction

I- Première partie

II- Deuxième partie

III- Troisième partie

Conclusion

REMarques gÉnÉrales

- Dois-je vraiment vous rappeler qu'une phrase commence par une majuscule et se termine par un point?

- N'oubliez pas de faire les alinéas. Un paragraphe doit être signalé par un alinéa (= saut de deux carreaux.) - Lisez attentivement les consignes, elles peuvent vous donner des indices. Vous oubliez des éléments et donc vous perdez des points. - Développez vos idées, allez au bout de votre réflexion (lisez mes remarques sur votre copie.) - Il faut revoir les méthodologies (celle de l'analyse de l'image, celle du sujet de réflexion, celle d'une réponse correcte.) - Veillez à ce que vos phrases ne soient pas trop longues. Cela les rend peu claires et donc vous perdez des points. - Attention aux accords : un verbe s'accorde avec son sujet, un adjectif s'accorde avec le mot qu'il qualifie... Il faut revoir les leçons. - Les titres d'œuvres sont à souligner : "Le roman autobiographie Petit Pays a été écrit par Gaël Faye."

Les livres qui renvoient à des faits réels, les autobiographies, peuvent nous faire réfléchir. En effet, l’auteur relate des évènements qui l’ont marqué, qui ont fait de lui la personne qu’il est aujourd’hui. Le lecteur peut tout à fait s’identifier à ce qu’il lit, puisqu’il est conscient que tout cela a réellement existé. Dans L’Arabe du futur par exemple, Riad Sattouf se décrit au fil des ans. Il dénigre l’adolescent qu’il a été (« Sent la sueur »). Le lecteur peut tout à fait réfléchir à ce qu’il ressent ou a ressenti à son âge et se rendre compte qu’il n’est pas le seul à ressentir cela. Le fait d'évoquer des thèmes universels permet au lecteur de réfléchir à ses sentiments : a-t-il ressenti la même chose ? Pourquoi? De plus, certains livres qui renvoient à des faits réels peuvent également pousser le lecteur à réfléchir sur l’Histoire. En effet, certaines œuvres sont des témoignages historiques importants qui permettent aux lecteurs de comprendre et de réfléchir à ces événements. Prenons l’exemple du Journal d’Anne Frank. Dans cette œuvre, la jeune fille raconte sa vie cachée avec sa famille. Cette famille juive devait se cacher pour échapper aux soldats allemands, pendant la Seconde guerre mondiale. Confronté à ce témoignage, le lecteur est amené à réfléchir au déroulement de l’Histoire et à ce qu’a vécu cette jeune fille durant l'occupation nazie.

> S’interroger sur ce que ces mots-clefs impliquent : 1- Le genre de texte à écrire : il s’agit d’écrire un récit, un souvenir plus précisément. 2- Les exigences du sujet : - Narration à la première personne, puisque c’est VOTRE souvenir (« Comme le narrateur, VOUS…) Le narrateur doit donc être interne : vous racontez votre propre souvenir. - Étant donné que c’est un souvenir (un événement passé), il faut utiliser les temps du récit (passé simple et imparfait.) - Votre rédaction doit être centrée autour d’un désaccord puisqu’une ou plusieurs personnes de votre entourage ne vous comprennent pas. Vous pouvez tout à fait évoquer une dispute, un débat entrainé par ce désaccord. - Le sujet vous pousse à réfléchir à ce que vous avez ressenti et pensé à ce moment-là. Il fallait justifier, développer : pour quelles raisons avez-vous ressenti ces sentiments ? Le vocabulaire des sentiments était donc attendu.

Pour conclure, les œuvres littéraires, qu’elles relatent des faits réels ou fictifs, peuvent amener le lecteur à réfléchir. En effet, à travers l’autobiographie, le lecteur peut s’identifier à l’auteur grâce à l’évocation de thèmes universels, il peut être confronté à des témoignages historiques importants qui lui permet de réfléchir au déroulement de l’Histoire. Cependant, la fiction peut également être source de réflexion puisque l’auteur peut puiser dans la réalité pour créer ses œuvres. Finalement, fiction et réalité ne sont pas forcément opposés puisque certaines œuvres, tels que les romans autobiographiques, mêlent éléments réels et éléments fictifs.

Pourtant, fiction et réalité ne sont pas forcément opposés. En effet, certaines œuvres mêlent éléments réels et fictifs, ce qui permet au lecteur de réfléchir et de s’interroger sur les éléments autobiographiques. Prenons l’exemple de Petit Pays de Gaël Faye. Ce roman autobiographique met en scène un personnage appelé Gaby. L’auteur affirme qu’il n’est pas le narrateur. Pourtant, ils ont des points communs : ils sont tous les deux nés au Burundi, leur famille ont été victime du génocide contre les Tutsi. En effet, même si réel et fiction s’entremêle, l’histoire fait réfléchir le lecteur puisqu’elle relate des évènements historiques importants. Ce dernier est confronté à l’Histoire du Burundi et à celle du Rwanda lors du génocide.

Vous confondez nature/ classe grammaticale et fonction grammaticale. NATURE La nature d'un mot ne change jamais. C'est la carte d'identité du mot. La famille à laquelle il appartient. Les différentes natures : nom, verbe, adjectif, adverbe, pronom, déterminant... FONCTION C'est le rôle que joue le mot dans la phrase, par rapport à un autre mot. Elle varie en fonction de la place que détient le mot dans la phrase. Les différentes fonctions : sujet, complément d'objet (COD, COI, COS), attribut du sujet, épithète, complément circonstanciel...

Les livres qui renvoient à des faits réels appartiennent au genre autobiographique. En effet, à travers ce genre littéraire, les auteurs et les autrices offrent à leurs lecteurs une plongée dans leur vie personnelle. Les auteurs d’autobiographies sont également narrateur et personnage principal. Ces derniers retracent des évènements marquants, évoquent leur enfance, leur jeunesse, ce qui permet au lecteur de réfléchir sur sa propre existence. > Première partie : présentation du sujet. Toutefois, les œuvres autobiographiques sont-elles les seules qui peuvent faire réfléchir le lecteur ? > Deuxième partie : problématique/question. D’abord, nous verrons la raison pour laquelle les autobiographies peuvent amener les lecteurs à réfléchir. Ensuite, nous montrerons que certaines histoires fictives peuvent également être source de réflexion. Enfin, nous évoquerons certaines œuvres, mêlant fiction et réalité, qui poussent le lecteur à s’interroger sur sa propre existence. > Troisième partie : annonce du plan (des trois parties)

Cependant, les œuvres qui renvoient à des faits réels ne sont pas les seules qui poussent le lecteur à réfléchir. En effet, les œuvres relatant des histoires fictives peuvent également faire réfléchir sur l’Homme, sur ses qualités et ses défauts. Avec L’Avare de Molière par exemple, le lecteur est amené à réfléchir sur l’avarice de certaines personnes ainsi que sur sa propre personnalité : sommes-nous réellement comme cela ? Comment éviter ? En outre, certaines œuvres de fiction ont été créées dans le but de faire réfléchir les lecteurs. Les Misérables de Victor Hugo est un roman qui a été écrit pour sensibiliser les lecteurs à la misère parisienne du 19ème siècle. En effet, l’auteur, engagé politiquement, souhaitait que les lecteurs puissent se rendre compte de ce qu’il passait autour d’eux. Aujourd’hui, ce roman semble encore d’actualité. La misère est toujours présente et cela nous permet de réfléchir à ce qu’il pourrait être fait pour la limiter.

Veillez à bien lire le sujet et souligner les mots importants. Après avoir lu le sujet, repérez dans le texte les mots-clefs afin de rédiger un texte cohérent : > Mots-clefs : « vous » « incompris » « expression » « goûts » « précisant » « circonstances » « sentiments » « réflexions » Vous devez analyser ces mots. Qu'impliquent-ils ?

Complément d'objet et attribut du sujet

Comment les reconnaitre ?

Les compléments d'objet (COD, COI, COS) complètent un verbe d'ACTION. > Je mange [une pizza] COD de "mange." > Il parle [à son frère.] COI de "parle" L'attribut du sujet indique un état, une qualité du sujet. Il est construit avec des verbes d'ÉTAT (être, sembler, paraître, avoir l'air...) > Mon ami est [grand.] Attribut du sujet "Mon ami" > L'immeuble semble [vieux.] Attribut du sujet "L'immeuble"

Présent d'énonciation : exprime une action qui a lieu au moment où l’on parle. > Je corrige mon brevet blanc. > En ce moment, j'écoute de la musique. Présent de vérité générale : exprime un fait qui est toujours vrai, qui n 'est pas lié à un moment précis. > La Terre est ronde. > Deux plus deux font quatre. > Victor Hugo est un écrivain français.