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APPRENDRE A APPRENDRE
PARIS SYLVAIN
Created on November 28, 2023
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Bienvenu sur le module E-learning SIPCA
Apprendre à Apprendre
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Introduire le mot de passe
5 séquences et 5 sections par chapitre
3 objectifs pédagogiques
A l'issue de chaque chapitre, Linda vous résumera les points importants à retenir. Cliquez sur la vidéo pour la lancer.
Apprendre à apprendre
Sommaire
Séquence 1 : EXPLORER son cerveau
Séquence 2 : APPRENDRE efficacement
Séquence 3 : IDENTIFIER ses modes d'apprentissage
Séquence 4 : ANCRER ses apprentissages
Pour chacune des séquences de ce module e-learning :- réalisez le test pour obtenir un code (un code par chapitre),
- conservez l'ensemble des codes
- ils vous serons utile pour ouvrir un cadenas débloquant le dernier niveau.
Séquence n° 1 : EXPLORER son cerveau
3 passages sont recommandés Les sections à parcourir durant les 3 passages successifs sont indiquées ci-dessus.
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Séquence n°1 : EXPLORER son cerveau
- Le cerveau représente en moyenne 2% du poids du corps et consomme plus de 20% de l'énergie.
- Les neurones qui constituent le cerveau sont connectés entre eux par des synapses qui se créent et disparaissent à une vitesse vertigineuse (plus de 100 000 opérations par seconde) : c'est la notion de PLASTICITE CEBRALE
- Le cerveau est composé de deux hémisphères (gauche et droit) et de différents lobes (frontal, pariétal, occipital, temporal et insulaire). L'hippocampe joue un rôle central dans la cognition, la mémoire, l'apprentissage et le repérage dans l'espace
- Chaque zone du cerveau correspond à une fonction cognitive spécifique : vision, praxie (cognition des mouvements), langage, raisonnement, vision, audition, ...)
La mémoire repose sur la mise en relation des neurones de différentes zones du cerveau par les synapses. Plus ces liaisons sont multiples et profondes, plus l'apprentissage est durable et efficace.
1er passage
Séquence n° 1 : EXPLORER son cerveau
Durée : 5 mn
Le fonctionnement du cerveau
Chef d'orchestre de l'organisme, le cerveau assure la régulation des fonctions vitales comme la respiration et le rythme cardiaque. M ais il est aussi responsable des mouvements, de la prise de décision, de la mémoire, des émotions ou encore de la conscience.
Les progrès considérables de l'imagerie cérébrale et notamment par IRM (Imagerie à Résonance Magnétique) ont permis de mieux comprendre le fonctionnement du cerveau, à partir des années 70. On sait maintenant localiser de manière précise les différentes fonctions cognitives.
Séquence n° 1 : EXPLORER son cerveau
Cliquez sur les zones du cerveau pour connaitre leur fonction
Le fonctionnement du cerveau
Séquence n° 1 : EXPLORER son cerveau
Cliquez sur les zones du cerveau pour connaitre leur fonction
Le fonctionnement du cerveau
Séquence n° 1 : EXPLORER son cerveau
Idées reçues ? Neuromythes ?
Pour approfondir la question, cliquez ici
Idées reçues ? Neuromythes ?
Les progrès de l'imagerie cérébrale (scanners et IRM) ont permis à partir des années 80 de localiser de manière très précises les fonctions du cerveau
Pour en finir avec les neuromythes, cliquez ici : 12 neuromythes décryptés de manière détaillée
Séquence n° 1 : EXPLORER son cerveau
Pour mieux comprendre le processus d'apprentissage, faisons le parallèle avec un trait tracé dans le sable reliant deux points :
- Pour que l'apprentissage soit profond et durable dans le temps, il doit y avoir un maximum de liaisons entre neurones
- Par la répitition, le trait dans le sable sera de plus en plus profond et moins vulnérable aux intempéries (au vent, aux marées)
- L'apprentissage sera plus efficace s'il relie différentes zones du cerveau.
- Si les 2 points de la plage sont reliés par différents chemins, la liaison sera plus résistante aux aléas.
Séquence n° 1 : EXPLORER son cerveau
Après avoir répondu à une question, validez en appuyant sur le bouton situé en bas à droite et passez à la question suivante.
Séquence n° 1 : EXPLORER son cerveau
Notion de plasticité du cerveau
Les zones du cerveau
L'apprentissage est renforcé par le nombre de liaisons entre neurones et par la variété des zones du cerveau sollicitées.
Séquence n° 1 : EXPLORER son cerveau
Positionnez-vous en tant que futur pédagogue. Que retenez-vous de ce chapitre ?
Vu que la profondeur cognitive est directement liée aux nombre de liaisons entre les neurones et à la diversité des zones du cerveau reliées, il est essentiel pour favoriser l'apprentissage de prévoir des activités permettant :
- de solliciter un grand nombre de fonctions cognitives (audition, visuel, émotions, mouvements, ...)
- de renforcer ces laisons par la répétition et en variant les approches, les méthodes et les activités
- de générer les intéractions avec d'autres personnes et des émotions positives
Séquence n°2: APPRENDRE efficacement
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Séquence n°2: APPRENDRE efficacement
D'après les travaux de Stanislas DEHAENE
Visionnez la vidéo pour identifier les 4 piliers de l'apprentissage.
ATTENTION
ENGAGEMENT ACTIF
GESTION DES ERREURS
CONSOLIDATION
Et rajoutons aussi LA MOTIVATION !
Séquence n°2: APPRENDRE efficacement
la motivation est un élément essentiel pour bien apprendre
Sentiment de Compétence
Sentiment de contrôle
Sentiment de plaisir
Perception de la valeur
Séquence n°2: APPRENDRE efficacement
Revenons sur les 4 piliers de l'apprentissage ...
Cliquez sur chacun des piliers
Séquence n°2: APPRENDRE efficacement
Notre capacité d'attention est : - limitée dans le temps - sélective
20 à 40 mn
10 à 20 mn
2 à 5 mn
Notre capacité d'attention varie en fonction de notre âge et serait en train de baisser.
Réalisez ce test. Quelle sera votre capacité de concentration ?
Séquence n°2: APPRENDRE efficacement
Ces 4 étapes sont duplicables à ce qui est mis en œuvre dans le domaine de l'informatique.
Séquence n°2: APPRENDRE efficacement
Séquence n°2: APPRENDRE efficacement
Séquence n°2: APPRENDRE efficacement
Ce chapitre vous a permis d'identifier les principaux leviers de l'apprentissage. Qu'en tirez-vous en tant que futur pédagogue?
Notez les résolutions prises à l'issue de ce chapitre concernant vos pratiques de formateurs.
Séquence n°3: IDENTIFIER ses modes d'apprentissage
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Chapitre 3: Identifier ses modes d'apprentissage
Nous apprenons tous de manière différente. C'est lié :
A notre profil d'apprentissage
A l'activité proposée
Durée : 2 mn
Durée : 2 mn
Séquence n°3: IDENTIFIER ses modes d'apprentissage
Accédez au guide Apprendre à apprendre et découvrez le profil d'Albert Einstein
Cliquez sur les icones pour en savoir plus
Si vous le souhaitez, vous pouvez faire le test pour identifier votre profil (arrêtez vous à la section gratuite), en cliquant sur l'icone ci-dessous
Le modèle des 7 profils d'apprentissage a été établi par Jean-François MICHEL.
https://www.apprendreaapprendre.com/
Séquence n°3: IDENTIFIER ses modes d'apprentissage
Pour bien apprendre, il convient d'être dans une situation favorable : c'est la notion de Zone Proximale de Développement (ZPD). Il est essentiel d'être correctement accompagné.
Les biais cognitifs
Attention, notre cerveau peut parfois nous jouer des tours, on parle alors de biais cognififs : Quelques exemples en cliquant sur la liste :
Jeu des biaiscognitifs
Que voyez-vous en regardant cette image ? Les images à double vision sont des exemples de biais cognitifs.
Séquence n°3: IDENTIFIER ses modes d'apprentissage
En cas de mauvaise réponse, retournez au Sommaire du chapitre et allez dénicher l'information manquante.
Séquence n°3: IDENTIFIER ses modes d'apprentissage
Séquence n°3: IDENTIFIER ses modes d'apprentissage
"Connais-toi toi-même et tu connaîtras l'univers et les dieux"
Inscription sur le seuil du temple de Delphes, attribuée à Socrate
Ce chapitre a démontré que le processus d'apprentissage est individualisé. On apprend tous de manière différente. Il convient de prendre en compte les aspects psychologiques et son positionnement dans la situation particulière d'apprentissage.
Grâce aux éléments vus dans ce chapitre, réfléchissez en pédagogue à la posture et aux méthodes pédagogiques que vous allez devoir adopter en tant que formateur pour vous adadptez à l'extraodinaire variété des profils d'apprentissage de vos apprenants ainsi qu'à leur positionnement par rapport à la séquence d'apprentissage que vous allez leur proposer.
La règle d'or : varier les approches pédagogiques
Séquence n°4: ANCRER ses apprentissages
Séquence n°4: ANCRER ses apprentissages
La première étape est de vaincre la procrastination et s'engager de manière active.
Nous vous allons vous détailler dans la page suivante une dizaine d'outils et de méthodes :
- Trunking
- Cartes mentales
- Acronymes et acrostiches
- Palais de la mémoire
- ...
A vous de sélectionner les outils les plus adaptés par rapport à vos habitudes de travail, votre personnalité et votre profil d'apprentissage (auditif, visuel ou kinesthésique)
Durée : 6mn30
Il n'y a pas de méthode universelle applicable à 100% des personnes et avec 100% de réussite.
Séquence n°4: ANCRER ses apprentissages
Les techniques de mémorisation verbale
Cliquez sur l'icone pour obtenir des détails sur la technique
Séquence n°4: ANCRER ses apprentissages
Les techniques de mémorisation visuelles
Cliquez sur l'icone pour obtenir des détails sur la technique
Séquence n°4: ANCRER ses apprentissages
Comment soulager sa mémoire
Cliquez sur l'icone pour obtenir des détails sur la technique
Séquence n°4: ANCRER ses apprentissages
Les situations particulières
Cliquez sur l'icone pour obtenir des détails sur la technique
Séquence n°4: ANCRER ses apprentissages
Que pensez-vous de ces 6 affirmations concernant l'apprentissage avec le numérique ?
Résultats issus d'études scientifiques analysées par F. Amadieu et A. TricotAPPRENDRE avec le NUMERIQUE Mythes et réalités Editions RETZ
Séquence n°4: ANCRER ses apprentissages
Remplissez ce questionnaire et obtenez le dernier indice
Séquence n°4: ANCRER ses apprentissages
A l'issue du premier passage sur le e-learning, retournez au sommaire en apputant surle bouton.
Séquence n°4: ANCRER ses apprentissages
Vous avez exprimenté durant ce e-learning une version condensée en une journée de la méthode des J qui s'étalle sur plusieurs semaines. Cette méthode s'appuie sur le principe de la répétition espacée.
- Qu'avez-vous pensé de cette méthode ?
- Etait-elle efficace par rapport à votre profil d'apprentissage ?
- Enisagez-vous de l'utiliser ou de l'adapter lors de la conception et l'animation de vos formations ? Si oui, comment ?
- Si ce n'est pas le cas, comment envisagez-vous de mettre en oeuvre la répétition espacée lors de vos formations ?
- La nature des périodes de temps entre les 3 passages sur le elearning ont-elles une importance au niveau de la qualité de l'apprentissage ?
Pour en savoir plus sur la méthode des J
Pour débloquer le niveau BONUS, vous devez : - Avoir rassemblé l'ensemble des 5 indices des 5 chapitres - Résoudre l'énigme cachée sur cette page, cherchez bien ... - Taper le code obtenu sur la calculatrice. Bonne chance !
41
12345
OUVERT
ERREUR
Si vous avez besoin d'un coup de pouce, c'est ici !
Le code est : 41
Bravo, c'est gagné !
Les lettres collectées à l'issue de chacun des 5 chapitres étaient les suivantes :
- Chapitre 1 : AN
- Chapitre 2 : DRA
- Chapitre 3 ; GO
- Chapitre 4 : GIE
C'est quoi l'Andragogie ?
En vous souvenant des vieux téléphones mobiles et de l'époque où l'on tapait les texto sur un clavier à chiffres, vous avez pu convertir les lettres en chiffres : A=2, N=6, D=3, R=7, A=2, G=4, O=6, G=4; I=4, E=3
L'opération (mathématique) le plus simple évoquée dans l'énigme est évidemment l'addition !
Le code était donc : 2+6+3+7+2+4+6+4+4+3 =
41
Séquence BONUS : L'andragogie
Cliquez sur Andragogie pour avoir plus d'éléments.
Les principaux courants de pensée
LE CONSTRUCTIVISME
LE BEHAVIOURISME
Privilégie les comportements observables
Privilégie les intéractions des apprenants avec le réel
LE CONNECTIVISME
LE SOCIO CONSTRUCTIVISME
LE COGNITIVISME
Privilégie les liens entre les participants et les ordinateurs
Privilégie la dimension psychologique
Privilégie les intéractions sociales
Cliquez sur le nom du courant pour lancer la vidéo et sur les icônes pour connaitre les principaux penseurs des différents courants.
Les principaux courants de pensée
Un exercice pour stimuler ses neurones et mesurer sa capacité à mémoriser !
Des ressources complémentaires
« Apprendre ! » et améliorer les capacités du cerveau avec Stanislas Dehaene
Durée : 15 mn
L'apport des Neurosciences à la Formation - Nadia Medjad
Durée : 18 mn
Durée : 26 mn
Peut on améliorer sa memoire - C'est pas sorcier
Genially d'HEC Montréal sur la pédagogie et comportant des affiches très explicites
Genially :" les neurosciences pour booster ton cerveau"
Nous espérons que ce e-learning vous a plu,
et appris à APPRENDRE à APPRENDRE
que vous avez appris à APPRENDRE
Bibliographie / Sitographie
Les neurosciences, en tant que domaine d'étude scientifique, ont émergé progressivement au fil du temps, avec des contributions importantes de différentes disciplines. Voici une brève chronologie des événements clés dans le développement des neurosciences :
1. Antiquité : premières observations sur le cerveau et le système nerveux (Alcmaéon de Crotone)
2. Renaissance : premières dissections anatomiques approfondies (Andreas Vesalius)
3. 17e siècle : compréhension du système circulatoire cérébral (Thomas Willis)
4. 18e siècle : découverte des propriétés électriques des muscles et des nerfs (Luigi Galvani)
5. 19e siècle : localisation des fonctions cérébrales (Paul Broca et Carl Wernicke)
6. 20e siècle : émergence de l'imagerie cérébrale
7. 21e siècle : techniques d'imagerie cérébrale avancées (IRMf). La recherche sur le cerveau et les neurosciences est de plus en plus interdisciplinaire, impliquant des domaines tels que la psychologie, l'informatique et l'intelligence artificielle.
La gestion du temps
Découvrez le méthode du POMODORO pour lutter efficacement contre la procrastination.
La technique Pomodoro est une technique de gestion du temps développée par Francesco Cirillo à la fin des années 19802. Cette méthode se base sur l'usage d'un minuteur permettant de respecter des périodes de 25 mn appelées pomodori. Le nom vient d'un minuteur de cuisine en forme de tomate
- décider de la tâche à effectuer
- régler le pomodoro (minuteur) sur 25 minutes
- travailler sur la tâche jusqu'à ce que le minuteur sonne et la noter comme faite
- prendre une courte pause (5-10 minutes)
- tous les quatre pomodori prendre une pause un peu plus longue (20-25 minutes).
Le cerveau est un organe complexe composé de nombreuses régions qui interagissent pour soutenir l'apprentissage et la mémoire. Voici quelques-unes des principales zones du cerveau liées à l'apprentissage et leurs fonctions : L'hippocampe : L'hippocampe joue un rôle crucial dans la formation de la mémoire à court terme en mémoire à long terme. Il est essentiel pour la consolidation de l'information et la navigation spatiale. Le cortex préfrontal : Cette région est impliquée dans la planification, l'organisation, la prise de décision et le contrôle des impulsions. Elle est essentielle pour l'auto-régulation de l'apprentissage, y compris la gestion du temps et la résolution de problèmes. Le cortex cérébral : Le cortex cérébral est la partie la plus grande et la plus externe du cerveau, et il est impliqué dans un large éventail de fonctions cognitives, y compris la perception, l'attention, le raisonnement, la mémoire, et le langage. Différentes zones du cortex cérébral sont spécifiques à des fonctions particulières, et l'apprentissage implique souvent la coordination de ces zones. Le cortex pariétal : Cette région est liée à la perception spatiale, à la conscience corporelle, et elle joue un rôle dans la compréhension des relations spatiales lors de l'apprentissage de concepts mathématiques et scientifiques. Le cortex temporal : Le cortex temporal est impliqué dans la perception auditive et visuelle, ainsi que dans le traitement du langage et de la reconnaissance faciale. Il est essentiel pour l'apprentissage de langues et la mémorisation de visages. Le cortex occipital : Cette région est principalement responsable de la vision. Elle joue un rôle clé dans l'apprentissage visuel et la reconnaissance d'objets. Les noyaux gris centraux : Les noyaux gris centraux, notamment le striatum, sont impliqués dans la régulation de la motricité, de la récompense et de l'apprentissage par renforcement. Ils sont importants pour l'apprentissage de compétences motrices et l'association de récompenses à des comportements. Le cervelet : Le cervelet joue un rôle dans la coordination des mouvements et la proprioception. Il est également impliqué dans l'apprentissage moteur. Le système limbique : Le système limbique comprend des structures telles que l'amygdale et le noyau accumbens, qui sont liées aux émotions, à la motivation, et à la récompense. Ces régions jouent un rôle essentiel dans la modulation de la mémoire et de l'apprentissage en fonction du contexte émotionnel. Il est important de noter que l'apprentissage est un processus complexe qui fait intervenir de multiples régions du cerveau en collaboration. Les connexions entre ces régions et leur activation coordonnée sont essentielles pour l'acquisition, la consolidation et la récupération des connaissances.
Les outils numériques
Grâce aux outils numériques, il est possible de soulager sa mémoire en archivant des données sur le Cloud pour quelles soient accessibles tout le temps et n'importe où. Les GED (Gestion Electronique de Documents) ou simplement des solutions de CLOUD comme GOOGLE DRIVE ou DROPBOX peuvent s'avérer très utiles !
Exemple : L'outil numérique PEARLTRESS permet d'acrchiver du contenu numérique, de le partager quel que ce le support (ordinateur, smartphone) (https://www.pearltrees.com/)
Attention, en version gratuite, la confidentialité des données injectées dans PERALTREES n'est pas assurée. Les données sont accessibles !
Quelques exemples de biais cognitifs Biais de confirmation : Tendance à accorder plus d'importance aux informations qui confirment nos croyances préexistantes et à ignorer ou minimiser les informations qui les contredisent. Biais de disponibilité : Tendance à donner plus de poids aux informations facilement disponibles dans notre mémoire, souvent en raison de leur récence, de leur impact émotionnel ou de leur fréquence. Biais d'ancrage : Tendance à donner une importance excessive à la première information (l'ancre) que l'on reçoit lors de la prise de décision, même si cette information n'est pas pertinente. Biais de surconfiance : Surestimation de ses propres compétences, connaissances ou capacités, souvent associée à une confiance excessive en ses propres jugements. Biais de groupe : Tendance à adopter les opinions ou les comportements du groupe au détriment de son propre jugement critique. Biais de récence : Tendance à accorder plus d'importance aux événements récents par rapport à des événements plus anciens lors de l'évaluation des informations. Biais de réaction : Réaction excessive ou irrationnelle à une situation basée sur des émotions plutôt que sur une évaluation objective. Biais de statu quo : Tendance à préférer le maintien de la situation actuelle plutôt que d'opter pour un changement, même si le changement serait bénéfique. Biais de projection : Tendance à penser que les autres partagent les mêmes croyances, valeurs ou perspectives que nous-mêmes. Biais de complaisance : Tendance à attribuer le succès à nos propres compétences et efforts, mais à attribuer l'échec à des facteurs externes.
Le behaviorisme est une approche en psychologie qui se concentre sur l'étude du comportement observable plutôt que sur les processus mentaux internes. Le comportement peut être compris en se concentrant uniquement sur les stimuli de l'environnement et les réponses comportementales qui en découlent, sans se préoccuper des processus mentaux internes tels que la pensée, les émotions ou la conscience.
Bravo ! Vous avez résolu l'énigme et trouvé le code et vous avez appris à apprendre. Il vous reste maintenant, en tant que futur formateur à APPRENDRE à APPRENDRE à APPRENDRE !
L'andragogie est science de l'éducation des adultes. Contrairement à la pédagogie, qui se concentre sur l'éducation des enfants, l'andragogie est spécifiquement axée sur les méthodes d'enseignement et d'apprentissage destinées aux adultes.
Le cognitivisme est une approche en psychologie qui met l'accent sur l'étude des processus mentaux internes, tels que la perception, la mémoire, le langage, la résolution de problèmes et la prise de décision. Contrairement au behaviorisme, le cognitivisme considère que la compréhension du comportement humain nécessite une exploration des processus mentaux qui se déroulent à l'intérieur de l'esprit.
La répétition espacée
La répétition reste la base de la mémorisation. S'il est peu utile de répéter 10 fois en boucle la même phrase, le fait d'espacer les répétitions (sous des formats différents) et si possible d'intercaler des moments d'émotions positives et de repos et terriblement efficace. La multimodalité (varier les supports, les formats, les sens sollicités, ...) permet d'aller encore plus loin.
Exemple : L'apprentissage des tables de multiplication s'appuie notamment sur cette technique .
La répétition est un des 4 piliers de l'apprentissage. Il s'inscrit dans l'étape de consolidation des connaissances.
Les acronymes et les acrostiches
L'acronyme est un sigle qui se prononce comme un mot ordinaire. Pour construire un acrostiche, on part d'un mot ou d'un nom connu et chaque lettre devient d'initiale d'un mot à retenir. les alliterrations (Répétition des consonnes dans une suite de mots rapprochés) sont aussi très efficaces pour la mémorisation.
Exemple : Tout le monde connait l'objectif SMART, cet exemple d’acronyme qui permet de se souvenir efficacement des idées clés du concept (Spécifique, Mesurable, Atteignable, Réaliste, Temporellement défini).
Toute technique permettant de jouer avec les lettres et avec les mots est efficace.
Le socio-cognitivisme est une approche en psychologie qui intègre des éléments du cognitivisme traditionnel avec une attention particulière aux influences sociales sur le processus cognitif. Cette perspective reconnaît l'importance des interactions sociales, des modèles de comportement et des expériences sociales dans le développement cognitif et l'apprentissage.
Voici quelques mécanismes favorisant la consolidation :
Répétition espacée : La répétition espacée implique la révision régulière d'une information au fil du temps, en espaçant progressivement les intervalles entre les révisions. Cela renforce la mémoire à long terme. Sommeil : Le sommeil, en particulier le sommeil paradoxal (REM), est crucial pour la consolidation des souvenirs. Pendant le sommeil, le cerveau traite et consolide activement les informations apprises pendant la journée. Association et liens : Associer de nouvelles informations à des connaissances existantes facilite la consolidation. Les liens entre les nouvelles informations et celles déjà présentes dans la mémoire contribuent à une meilleure rétention. Émotion : Les informations liées à des émotions sont souvent mieux consolidées. Les expériences émotionnelles peuvent renforcer la formation de souvenirs durables.
Faisons un pas de côté : beaucoup d'élèves en échec scolaire ont des capacité d'apprentissage extraordinaires sur les jeux vidéos. A votre avis, pourquoi ?
- Dans un jeu vidéo, les retours d'information en cas d'erreurs sont immédiats
- A l'école, l'élève est en général évalué à la fin d'un cycle d'apprentissage; il a la correction de manière différée et en général ne la regarde pas et se concentre sur la note.
George Siemens : Siemens a joué un rôle central dans le développement du connectivisme en tant que théorie de l'apprentissage. Il a collaboré avec Stephen Downes pour formaliser cette perspective et l'appliquer au domaine de l'éducation. Stephen Downes : Downes a travaillé en collaboration avec George Siemens pour développer le connectivisme. Il a également été impliqué dans le développement de théories sur l'apprentissage en réseau et l'apprentissage ouvert. Le connectivisme a émergé en réponse aux changements rapides dans les technologies de l'information et de la communication, soulignant l'importance de la connectivité dans l'acquisition et le partage des connaissances. Cette perspective a des implications significatives pour l'éducation en ligne, l'apprentissage en réseau et la manière dont nous comprenons le processus d'apprentissage dans le monde numérique contemporain.
Une alimentation saine
Le cerveau consomme de l'énergie. Cette énergie lui est fournie par notre alimentation. De nombreux livres et émissions traite du sujet.
Durée : 8 mn
Le sommeil
Jean Piaget (1896-1980) : psychologue suisse qui a élaboré une théorie du développement cognitif. Sa théorie identifie les stades de développement cognitif chez les enfants, mettant en avant la manière dont ils assimilent, accommodent et organisent l'information à mesure qu'ils grandissent. Ulric Neisser (1928-2012) : considéré comme le père fondateur du cognitivisme. Il a publié en 1967 le livre "Cognitive Psychology", qui a contribué à établir le cognitivisme en tant que perspective distincte en psychologie. Aaron Beck (né en 1921) : fondateur de la thérapie cognitive, une approche thérapeutique qui se concentre sur la modification des schémas de pensée négatifs et des croyances irrationnelles chez les individus souffrant de troubles émotionnels. Noam Chomsky (né en 1928) : linguiste et psychologue cognitif qui a remis en question la perspective behavioriste sur l'acquisition du langage. Il a avancé l'idée que les humains sont génétiquement prédisposés à apprendre le langage, et il a proposé la théorie de la grammaire universelle. Herbert Simon (1916-2001) : scientifique cognitif et économiste comportemental. Il a contribué à la compréhension de la prise de décision humaine en développant la théorie de la rationalité limitée.
La construction
Ce moyen mnémotechnique consiste à construire des associations et des connexions sur des éléments que vous connaissez déjà, afin d’élargir vos connaissances et votre expertise dans un domaine. Le fait d'ancrer ses connaissances en les reliant sur les éléments connus est rassurant et efficace.
Exemple : Dans le cadre d'un nouveau projet, reliez des éléments du nouveau projet à d'autres éléments similaires d'anciens projets que vous avez gardé en mémoire.
Ce mécanisme déclenche la mise en place de liaisons synaptiques entre différentes zones du cerveau.
Les cartes mentales (mind map) ou cartes heuristique
Vous pouvez dessiner votre carte heuristique sur un support physique tel qu’un tableau ou une feuille de papier. Des outils digitaux sont aussi mobilisables. Les informations étant organisées par sections, l’utilisation de couleurs est recommandée pour gagner en structure et favoriser la mémorisation.
Exemple : Les cartes mentales peuvent être aussi utilisées pour du brainstorming ou de la prise de note.
Les cartes mentales rangent, structurent et hiérarchisent les informations. Bien classées, elles sont plus facilement mémorisables.
Le mécanisme de la récompense
Une activité pédagogique (jeu, défi personnel ou collectif, ...) permettant à l'apprenant de secréter de la dopamine et d'enclencher le mécanisme de la récompense peut s'avérer très efficace au niveau de l'apprentissage.
Le stress et la régulation émotionnelle
Un niveau modéré de stress peut être bénéfique pour l'apprentissage, car il libère des hormones comme la noradrénaline, qui améliorent la vigilance. Cependant, un stress excessif peut être nuisible.
Les émotions positives peuvent renforcer la mémorisation. Les souvenirs associés à des émotions sont plus susceptibles d'être mémorisés.
La régulation émotionnelle : Savoir gérer le stress et l'anxiété liés à l'apprentissage permet de maintenir un environnement mental favorable à l'assimilation de nouvelles connaissances.
Les associations
La technique d’association permet de mémoriser une longue liste d’informations. Vous associez une image mentale à une autre, et ainsi de suite, pour créer une histoire qui vous aidera à tout retenir. Son grand avantage ? Vous n’aurez qu’à vous souvenir de la première information et le reste viendra tout seul grâce aux liens établis.
Exemple : Plus l'histoire sera insolite, loufoque et sortira de l'ordinaire, plus elle aura des chances d'être mémorisée. A vous de débrider votre imagination et votre créativité !
Cette technique déclenche des émotions et renforce les liaisons entre différentes zones du cerveau.
Des techniques spécifiques doivent être mises en place pour maintenir l'attention.
La variéré des fonctions cognitives utilisées peut permettre de prolonger la durée de concentration.
Les ruptures, les effets de surprise et les émotions positives permettent de maintenir l'attention à un niveau élevé.
Il convient d'éviter les stimulations simultannées multiples pour centrer la concentration sur l'objet étudié. .
Les fiches
Écrire sur une fiche peut contribuer à une meilleure visualisation. Couleurs, ajout de titre ou de sous-titres… Tous les moyens sont bons pour la rendre mémorisable. Avec ce moyen mnémotechnique, les informations sont réparties de manière plus digeste pour faciliter leur mémorisation.
Exemple : Les fiches renvient à l'environnement scolaire et sont largement utilisées. Souvenez vous des fiches de lecture !
le fait d'écrire les fiches soi-même permet pour les personnes kinesthésiques d'avoir été en action en synthétisant et reformulant avec ses propres mots.
Albert Bandura (né en 1925) : Bandura est souvent considéré comme le principal architecte du socio-cognitivisme. Il a développé la théorie de l'apprentissage social, mettant en avant le rôle crucial de l'observation et de la modélisation sociale dans le développement du comportement. Sa théorie inclut le concept d'autoefficacité, qui se réfère à la croyance en sa propre capacité à accomplir une tâche. Lev Vygotski (1896-1934) : Bien que Vygotski soit également associé au constructivisme, ses idées ont influencé le socio-cognitivisme en mettant l'accent sur la manière dont les interactions sociales contribuent au développement cognitif. Sa théorie de la zone proximale de développement (ZPD) souligne l'importance de l'interaction avec des pairs ou des enseignants plus compétents dans l'apprentissage. Julian Rotter (1916-2014) : Rotter a développé la théorie du locus de contrôle, qui explore la manière dont les individus perçoivent le contrôle de leur propre vie. Cette théorie a des implications socio-cognitives en considérant comment les croyances sur le contrôle influencent le comportement.
Classez ces affirmations pour obtenir le code permettant d'accéder au dernier niveau.
L'Université de Louvain a théorisé le modèle ICAP. Le mode d'apprentissage Passif est le plus superficiel d'un point de vue cognitif et le moins efficace.
Cliquez sur chaque lettre pour en savoir plus.
Pour afficher les éléments intéractifs de la page (bouton situé en haut à droite de la page)
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Les principaux penseurs du behaviorisme incluent : John B. Watson (1878-1958) : Souvent considéré comme le fondateur du behaviorisme, Watson a publié en 1913 un article intitulé "Psychology as the Behaviorist Views It" (La psychologie telle que le behavioriste la voit), dans lequel il exposait les principes fondamentaux du behaviorisme. B.F. Skinner (1904-1990) : Skinner a développé davantage le behaviorisme, en mettant l'accent sur le renforcement et le conditionnement opérant. Il a élaboré le concept de renforcement positif et négatif comme moteurs du comportement. Ivan Pavlov (1849-1936) : Bien que Pavlov soit plus souvent associé au courant du béhaviorisme russe, ses travaux sur le conditionnement classique ont eu une influence importante sur le développement du behaviorisme. Il a mené des expériences sur les réflexes conditionnés chez les chiens. Edward Thorndike (1874-1949) : Thorndike est connu pour ses travaux sur l'apprentissage par essai et erreur et pour sa théorie de la "loi de l'effet", qui sert de base à la théorie du renforcement.
Jean Piaget (1896-1980) : Bien qu'il soit souvent associé au cognitivisme, Piaget a également influencé le constructivisme. Sa théorie du développement cognitif suggère que les individus construisent activement leur compréhension du monde à travers l'interaction avec leur environnement. Lev Vygotski (1896-1934) : Vygotski est un psychologue russe dont les idées ont grandement influencé le constructivisme social. Il a mis en avant le rôle crucial de l'interaction sociale dans le développement cognitif et a introduit des concepts tels que la zone proximale de développement (ZPD) pour décrire le niveau de compétence qu'un individu peut atteindre avec l'aide d'un enseignant ou de pairs plus compétents. Jerome Bruner (1915-2016) : Bruner a développé des idées constructivistes dans le domaine de l'éducation. Il a mis en avant le concept de la "structure en spirale", suggérant que l'apprentissage devrait être organisé de manière à ce que les sujets soient abordés plusieurs fois à des niveaux de complexité croissante. John Dewey (1859-1952) : Dewey, bien que souvent associé au pragmatisme, a également contribué au constructivisme. Il a souligné l'importance de l'apprentissage expérientiel et de l'éducation centrée sur les besoins et les intérêts des apprenants.
L'andragogie est la science de l'éducation des adultes. Contrairement à la pédagogie, qui se concentre sur l'éducation des enfants, l'andragogie est spécifiquement axée sur les méthodes d'enseignement et d'apprentissage destinées aux adultes. Le terme a été introduit par l'éducateur allemand Alexander Kapp au début du 19e siècle, mais c'est le pédagogue maltais Démétrius Pieri, dans les années 1920, qui a popularisé le concept. L'andragogie reconnaît que les adultes ont des besoins d'apprentissage distincts de ceux des enfants. Les adultes ont généralement une expérience de vie plus étendue, des motivations différentes et des styles d'apprentissage variés. Par conséquent, les approches andragogiques mettent l'accent sur l'auto-direction, l'expérience, la pertinence immédiate et la résolution de problèmes concrets. Malcolm Knowles, un éducateur américain, a grandement contribué au développement de la théorie de l'andragogie. Il a identifié cinq principes clés de l'andragogie, souvent appelés les principes de Knowles, qui comprennent l'autoconceptualisation, la volonté d'apprendre, l'expérience préalable, la disposition à apprendre et l'orientation vers les tâches. En résumé, l'andragogie est une approche éducative qui reconnaît et s'adapte aux besoins spécifiques des apprenants adultes, favorisant l'auto-direction, l'expérience personnelle et la pertinence immédiate de l'apprentissage.
Le "Chunking" ou regroupement
Le « chunking » est l’un des moyens mnémotechniques les plus importants. Il s’agit d’une technique de mémorisation qui consiste à découper et à regrouper des informations en blocs pour s’en souvenir plus facilement.
Exemple : Il est plus facile de se souvenir d'un numéro de téléphone en regroupant les chiffres 2 par 2 ou 3 par 3, plutôt que de mémoriser une séquence de chiffres.
Au sein d'une catégorie, il est conseillé de ne jamais dépasser 7 objets ou 7 idées.7 est quelque part un chiffre magique !
Le palais de la mémoire ou méthodes des LOCI (des lieux)
Pensez à un endroit que vous connaissez : votre chambre ou votre cuisine, par exemple. Ensuite, visualisez une série d’objets ou d’emplacements dans cet espace, au cours de votre routine du soir, avant d’aller dormir ou quand vous prenez votre café le matin. Enfin, associez chaque information à retenir à chaque objet ou emplacement. Lorsque vous souhaitez vous en souvenir, il suffit de visualiser l’espace correspondant (accéder au palais de la mémoire) pour récupérer ce qu’il vous faut.
Cette technique est très ancienne et était utilisée durant l'Antiquité par Cicéron.
Les chansons et les rimes
Les paroles et les mélodies peuvent donc vous permettre de mémoriser facilement des informations. L'idée est d'Inventer des airs entraînant ou de détourner des chansons. Les rimes, quand elles existent créent des liens entre les mots et favorisent la mémorisation.
Exemple : mémorisez une phrase dépourvue de sens en chason permet de lui donner un rythme et d'y assosier des émotions et de la représentation.
Cette méthode est particulièrement adaptée à des profils de compréhension auditifs.
Le connectivisme est une théorie de l'apprentissage qui met l'accent sur le rôle des réseaux de connexion et des technologies de l'information dans le processus d'apprentissage. Cette perspective considère que les connaissances ne résident pas uniquement dans les individus, mais aussi dans les réseaux distribués à travers lesquels nous interagissons.
Le constructivisme est une perspective éducative et psychologique qui met l'accent sur le rôle actif de l'apprenant dans la construction de sa propre compréhension et de ses connaissances. Selon le constructivisme, l'apprentissage est un processus actif au cours duquel les individus construisent leur compréhension du monde en intégrant de nouvelles informations et expériences.