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TD IMMUNITE NON SP
Isabelle FERREIRA
Created on November 21, 2023
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TD N° IMMUNITE INNEE OU NATURELLE OU NON SPECIFIQUE
wow
go!
Relie les barrières et leur type
Click here to draw ->
Toux
Couche cornée peau
Barrière biologique
Flore buccale
Mucus
Barrière physique et mécanique
Flore intestinale
Barrière chimique
Larmes
Cellules ciliées du système respiratoire
Isabel c’est piqué ce matin le doigt avec un vieux clou rouillé. Sa maman désinfecte sa plaie et décide de l’emmener chez son médecin Mr Toubib. Après la vérification de sa plaie et de sa vaccination contre le tétanos, Mr Toubib explique à Isabel qu’il faut immédiatement désinfecter : « La meilleure façon d'éviter l'infection tissulaire est d'empêcher l'introduction de l'agresseur : c'est le rôle de la barrière cutanéomuqueuse, qui constitue la première ligne de défense non spécifique. L'épiderme, couche cornée de la peau, et l'épithélium des muqueuses forment une enveloppe cellulaire continue séparant l'organisme du milieu extérieur. Ils sont normalement imperméables à la plupart des agents infectieux. La rupture de ces couches par un agent agressif, quel qu'il soit, permet la pénétration des microorganismes ». Isabel n’a pas tout compris et se demande si Mr Toubib n’exagère pas un peu …….Isabel vous demande des explications car vous êtes son ami(e).
Il existe deux modes de défense du corps humain contre une infection microbienne - Défense non spécifique ou réponse immunitaire naturelle ou innée ; - Défense spécifique ou réponse immunitaire acquise.
Sous-titre
conclusion
Activité 1 : les barrières naturelles de l’organisme
Activité 3 : La phagocytose
IMMUNITE INNEE
Activité 2 : la réaction inflammatoire
La stérilité concerne toutes les situations où la grossesse est impossible dans un couple.Selon les estimations, entre 10 et 15 % des couples ne pourront jamais avoir d'enfant. Dans ces cas-là, on parle de stérilité. Cela signifie que l'un d'entre eux, voire les deux, présente une incapacité de concevoir un enfant ou d'assumer une gestation.
La stérilité concerne toutes les situations où la grossesse est impossible dans un couple.Selon les estimations, entre 10 et 15 % des couples ne pourront jamais avoir d'enfant. Dans ces cas-là, on parle de stérilité. Cela signifie que l'un d'entre eux, voire les deux, présente une incapacité de concevoir un enfant ou d'assumer une gestation.
analyse
Muscle
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Date: 20XX
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S.P.Y
Enfin !
Foie
Rein
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UV
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go!
I’m an awesome subtitle, ideal for giving more context about the topic at hand
wow
LE SYSTEME IMMUNITAIRE : exemple de l'infection grippale -L'immunité innée ou naturelle -L'immunité adaptative
Activité 1 : les barrières naturelles de l’organisme
1-Document 1 : Repasser en rouge les voies d’entrées possibles des agents pathogènes de l’environnement. 2-Quelles sont les 2 grandes voies de pénétration des agents pathogènes dans l’organisme.
3-À l’aide du Document 2, A suivant , expliquer, comment la structure de la muqueuse respiratoire favorise la lutte contre l'infection grippale et pourquoi les cellules de ce tissu sont bien adaptées à cette fonction. Identifier le type de tissu qui forme la muqueuse de la trachée. Appellez moi quand vous avez trouvé ! 4-Le Document 2,A été schématisé à partir de l’observation d’une biopsie de la muqueuse respiratoire prélevée par fibroscopie. Donnez l’intérêt de cette technique. 5-A l’aide du Document 2, A expliquer où peut se retrouver le virus s’il réussit à traverser la barrière muqueuse ? 6-Décrivez la muqueuse respiratoire de Margaux Document 2, B quelle en est la cause et expliquez à Margaux pourquoi chaque hiver elle contracte le virus de la grippe. 7-En vous aidant du Document 3 et de la vidéo suivante expliquer comment la peau est un rempart à la pénétration des agents pathogènes.
8-Décrivez Document 4 la pointe de l’aiguille et expliquez le risque lors d’une piqure. 9-Document 5 : A partir de chaque exemple donné trouver le type de protection qu’assurent les barrières cutanéo-muqueuses (ex : protection mécanique, biologique ou chimique) et complétez le tableau. Répondre sur la feuille. 10-Comment expliquer que lors d’une intubation trachéale il peut se développer des infections de l’appareil respiratoire ? Conclusion : Présentez à vos camarades votre activité grace à un diaporama.
Rôle du microbiote :
Je me teste :
Aide :
Isabel c’est piqué ce matin le doigt avec un vieux clou rouillé. Sa maman désinfecte sa plaie et décide de l’emmener chez son médecin Mr Toubib. Après la vérification de sa plaie et de sa vaccination contre le tétanos, Mr Toubib explique à Isabel qu’il faut immédiatement désinfecter : « La meilleure façon d'éviter l'infection tissulaire est d'empêcher l'introduction de l'agresseur : c'est le rôle de la barrière cutanéomuqueuse, qui constitue la première ligne de défense non spécifique. L'épiderme, couche cornée de la peau, et l'épithélium des muqueuses forment une enveloppe cellulaire continue séparant l'organisme du milieu extérieur. Ils sont normalement imperméables à la plupart des agents infectieux. La rupture de ces couches par un agent agressif, quel qu'il soit, permet la pénétration des microorganismes ». Isabel n’a pas tout compris et se demande si Mr Toubib n’exagère pas un peu …….Isabel vous demande des explications car vous êtes son ami(e).
Lors de sa visite le médecin explique à Margaux (cas clinique du cours) que sa pharyngite (elle est fumeuse) est la conséquence d’un processus appelé réaction inflammatoire qui fait partie des réponses non-spécifique de l’organisme. Le virus grippal est transmis d’une personne contaminée à une autre par l'intermédiaire de fines gouttelettes émises lors d'un éternuement par exemple. Le virus se fixe alors sur les cellules des muqueuses des voies respiratoires supérieures grâce à son hémagglutinine. La multiplication locale du virus entraîne des lésions importantes, mais réversibles, de l’épithélium cilié respiratoire.
Isabel c’est piqué ce matin le doigt avec un vieux clou rouillé. Sa maman désinfecte sa plaie et décide de l’emmener chez son médecin Mr Toubib. Après la vérification de sa plaie et de sa vaccination contre le tétanos, Mr Toubib explique à Isabel qu’il faut immédiatement désinfecter : « La meilleure façon d'éviter l'infection tissulaire est d'empêcher l'introduction de l'agresseur : c'est le rôle de la barrière cutanéomuqueuse, qui constitue la première ligne de défense non spécifique. L'épiderme, couche cornée de la peau, et l'épithélium des muqueuses forment une enveloppe cellulaire continue séparant l'organisme du milieu extérieur. Ils sont normalement imperméables à la plupart des agents infectieux. La rupture de ces couches par un agent agressif, quel qu'il soit, permet la pénétration des microorganismes ». Isabel n’a pas tout compris et se demande si Mr Toubib n’exagère pas un peu …….Isabel vous demande des explications car vous êtes son ami(e).
Document 1 : Schéma des barrières de protection naturelle d’un être humain
Barrières naturelles
Voici quelques exemples ...
Document 2 : Structure de la muqueuse Le virus grippal est transmis d'une personne contaminée à une autre par l'intermédiaire de fines gouttelettes émises lors d'un éternuement par exemple. Le virus se fixe alors sur les cellules des muqueuses des voies respiratoires supérieures grâce à son hémagglutinine. La multiplication locale du virus entraîne des lésions importantes, mais réversibles de l’épithélium cilié respiratoire. Doc A- Organisation cellulaire de la muqueuse respiratoire. Sujet Guyane 2019 à gauche A droite : Image colorisée obtenue au microscope électronique à balayage de l'épithélium pulmonaire les cellules gobelets (en orange) sécrètent le mucus qui est expulsé par les battements des cils des cellules multi ciliées. (Grossissement x2650)
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Document 2 : Structure de la muqueuse
Doc B : Microphotographies de la muqueuse respiratoire
ce n'est vraiment pas terrible de fumer !!!
Document 3 : Photographie de l’épiderme et du derme provenant d’une coupe de peau observée au microscope optique La peau, un organe essentiel à la vie : De tous les organes corporels, la peau, d’une superficie d’environ 2 m2 et d’une épaisseur variant entre 0,5 à 4 mm selon l’emplacement, est le plus observable et le plus exposé aux maladies et aux blessures. C’est un bel exemple d’organe composé de plusieurs couches de tissus qui assure des fonctions précises essentielles à la vie. La peau est normalement imperméable à la plupart des agents infectieux. Le risque d'infection survient quand cette barrière est lésée (plaie, piqûre, morsure, brûlure). Elle se desquame quotidiennement entraînant l’élimination de nombreuses bactéries qui y adhèrent.
Quel tissu compose la peau ?
la vie sur la peau
Document 4 : La peau, barrière efficace mais qui peut être franchie Nous vivons au contact de microorganisme. La peau constitue un premier rempart s’opposant à la pénétration des microbes dans l’organisme. En effet, l’épiderme, couche superficielle, est recouvert d’un film, légèrement acide, d’eau et de sébum (matière grasse) qui nous protège contre les microbes. Toutefois, ces derniers peuvent franchir cette barrière au niveau de la moindre égratignure ou piqure.
HOUAAA incroyable !!
Pas de panique, tous les microbes ne sont pas dangereux, loin de là... Viens, je te montre...
Des microbes !!! Au secours !!!
MICROORGANISME
Pas de panique, tous les microbes ne sont pas dangereux, loin de là... Viens, je te montre...
Des microbes !!! Au secours !!!
MICROORGANISME
► Passe la souris sur les micro-organismes pour obtenir des informations. Complète alors le tableau en cochant les cases puis réponds à la question.
Virus
Bactérie
Protozoaire
Champignon
VALIDER
C'est ça, les virus sont en moyenne 1000 fois plus petits que les bactéries !
- les virus
- les bactéries
- les champignons
- les protozoaires
Quel type de micro-organisme est nettement plus petit que les autres ?
(1 mm = 1 000 µm = 1 000 000 nm)
Valider
Rôle du microbiote = protection biologique :
tout cela pour nous protéger !!
Isabel c’est piqué ce matin le doigt avec un vieux clou rouillé. Sa maman désinfecte sa plaie et décide de l’emmener chez son médecin Mr Toubib. Après la vérification de sa plaie et de sa vaccination contre le tétanos, Mr Toubib explique à Isabel qu’il faut immédiatement désinfecter : « La meilleure façon d'éviter l'infection tissulaire est d'empêcher l'introduction de l'agresseur : c'est le rôle de la barrière cutanéomuqueuse, qui constitue la première ligne de défense non spécifique. L'épiderme, couche cornée de la peau, et l'épithélium des muqueuses forment une enveloppe cellulaire continue séparant l'organisme du milieu extérieur. Ils sont normalement imperméables à la plupart des agents infectieux. La rupture de ces couches par un agent agressif, quel qu'il soit, permet la pénétration des microorganismes ». Isabel n’a pas tout compris et se demande si Mr Toubib n’exagère pas un peu …….Isabel vous demande des explications car vous êtes son ami(e).
Isabel c’est piqué ce matin le doigt avec un vieux clou rouillé. Sa maman désinfecte sa plaie et décide de l’emmener chez son médecin Mr Toubib. Après la vérification de sa plaie et de sa vaccination contre le tétanos, Mr Toubib explique à Isabel qu’il faut immédiatement désinfecter : « La meilleure façon d'éviter l'infection tissulaire est d'empêcher l'introduction de l'agresseur : c'est le rôle de la barrière cutanéomuqueuse, qui constitue la première ligne de défense non spécifique. L'épiderme, couche cornée de la peau, et l'épithélium des muqueuses forment une enveloppe cellulaire continue séparant l'organisme du milieu extérieur. Ils sont normalement imperméables à la plupart des agents infectieux. La rupture de ces couches par un agent agressif, quel qu'il soit, permet la pénétration des microorganismes ». Isabel n’a pas tout compris et se demande si Mr Toubib n’exagère pas un peu …….Isabel vous demande des explications car vous êtes son ami(e).
Activité 1 : les barrières naturelles de l’organisme
1-Document 1 : Repasser en rouge les voies d’entrées possibles des agents pathogènes de l’environnement. 2-Quelles sont les 2 grandes voies de pénétration des agents pathogènes dans l’organisme.
3-À l’aide du Document 2, A suivant , expliquer, comment la structure de la muqueuse respiratoire favorise la lutte contre l'infection grippale et pourquoi les cellules de ce tissu sont bien adaptées à cette fonction. Identifier le type de tissu qui forme la muqueuse de la trachée. Appellez moi quand vous avez trouvé ! 4-Le Document 2,A été schématisé à partir de l’observation d’une biopsie de la muqueuse respiratoire prélevée par fibroscopie. Donnez l’intérêt de cette technique. 5-A l’aide du Document 2, A expliquer où peut se retrouver le virus s’il réussit à traverser la barrière muqueuse ? 6-Décrivez la muqueuse respiratoire de Margaux Document 2, B quelle en est la cause et expliquez à Margaux pourquoi chaque hiver elle contracte le virus de la grippe. 7-En vous aidant du Document 3 et de la vidéo suivante expliquer comment la peau est un rempart à la pénétration des agents pathogènes.
8-Décrivez Document 4 la pointe de l’aiguille et expliquez le risque lors d’une piqure. 9-Document 5 : A partir de chaque exemple donné trouver le type de protection qu’assurent les barrières cutanéo-muqueuses (ex : protection mécanique, biologique ou chimique) et complétez le tableau. Répondre sur la feuille. 10-Comment expliquer que lors d’une intubation trachéale il peut se développer des infections de l’appareil respiratoire ? Conclusion : Présentez à vos camarades votre activité grace à un diaporama.
Rôle du microbiote = protection biologique :
Je me teste :
Aide :
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Enfin !
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Isabel c’est piqué ce matin le doigt avec un vieux clou rouillé. Sa maman désinfecte sa plaie et décide de l’emmener chez son médecin Mr Toubib. Après la vérification de sa plaie et de sa vaccination contre le tétanos, Mr Toubib explique à Isabel qu’il faut immédiatement désinfecter : « La meilleure façon d'éviter l'infection tissulaire est d'empêcher l'introduction de l'agresseur : c'est le rôle de la barrière cutanéomuqueuse, qui constitue la première ligne de défense non spécifique. L'épiderme, couche cornée de la peau, et l'épithélium des muqueuses forment une enveloppe cellulaire continue séparant l'organisme du milieu extérieur. Ils sont normalement imperméables à la plupart des agents infectieux. La rupture de ces couches par un agent agressif, quel qu'il soit, permet la pénétration des microorganismes ». Isabel n’a pas tout compris et se demande si Mr Toubib n’exagère pas un peu …….Isabel vous demande des explications car vous êtes son ami(e).
Isabel c’est piqué ce matin le doigt avec un vieux clou rouillé. Sa maman désinfecte sa plaie et décide de l’emmener chez son médecin Mr Toubib. Après la vérification de sa plaie et de sa vaccination contre le tétanos, Mr Toubib explique à Isabel qu’il faut immédiatement désinfecter : « La meilleure façon d'éviter l'infection tissulaire est d'empêcher l'introduction de l'agresseur : c'est le rôle de la barrière cutanéomuqueuse, qui constitue la première ligne de défense non spécifique. L'épiderme, couche cornée de la peau, et l'épithélium des muqueuses forment une enveloppe cellulaire continue séparant l'organisme du milieu extérieur. Ils sont normalement imperméables à la plupart des agents infectieux. La rupture de ces couches par un agent agressif, quel qu'il soit, permet la pénétration des microorganismes ». Isabel n’a pas tout compris et se demande si Mr Toubib n’exagère pas un peu …….Isabel vous demande des explications car vous êtes son ami(e).
Isabel c’est piqué ce matin le doigt avec un vieux clou rouillé. Sa maman désinfecte sa plaie et décide de l’emmener chez son médecin Mr Toubib. Après la vérification de sa plaie et de sa vaccination contre le tétanos, Mr Toubib explique à Isabel qu’il faut immédiatement désinfecter : « La meilleure façon d'éviter l'infection tissulaire est d'empêcher l'introduction de l'agresseur : c'est le rôle de la barrière cutanéomuqueuse, qui constitue la première ligne de défense non spécifique. L'épiderme, couche cornée de la peau, et l'épithélium des muqueuses forment une enveloppe cellulaire continue séparant l'organisme du milieu extérieur. Ils sont normalement imperméables à la plupart des agents infectieux. La rupture de ces couches par un agent agressif, quel qu'il soit, permet la pénétration des microorganismes ». Isabel n’a pas tout compris et se demande si Mr Toubib n’exagère pas un peu …….Isabel vous demande des explications car vous êtes son ami(e).
Isabel c’est piqué ce matin le doigt avec un vieux clou rouillé. Sa maman désinfecte sa plaie et décide de l’emmener chez son médecin Mr Toubib. Après la vérification de sa plaie et de sa vaccination contre le tétanos, Mr Toubib explique à Isabel qu’il faut immédiatement désinfecter : « La meilleure façon d'éviter l'infection tissulaire est d'empêcher l'introduction de l'agresseur : c'est le rôle de la barrière cutanéomuqueuse, qui constitue la première ligne de défense non spécifique. L'épiderme, couche cornée de la peau, et l'épithélium des muqueuses forment une enveloppe cellulaire continue séparant l'organisme du milieu extérieur. Ils sont normalement imperméables à la plupart des agents infectieux. La rupture de ces couches par un agent agressif, quel qu'il soit, permet la pénétration des microorganismes ». Isabel n’a pas tout compris et se demande si Mr Toubib n’exagère pas un peu …….Isabel vous demande des explications car vous êtes son ami(e).
Isabel c’est piqué ce matin le doigt avec un vieux clou rouillé. Sa maman désinfecte sa plaie et décide de l’emmener chez son médecin Mr Toubib. Après la vérification de sa plaie et de sa vaccination contre le tétanos, Mr Toubib explique à Isabel qu’il faut immédiatement désinfecter : « La meilleure façon d'éviter l'infection tissulaire est d'empêcher l'introduction de l'agresseur : c'est le rôle de la barrière cutanéomuqueuse, qui constitue la première ligne de défense non spécifique. L'épiderme, couche cornée de la peau, et l'épithélium des muqueuses forment une enveloppe cellulaire continue séparant l'organisme du milieu extérieur. Ils sont normalement imperméables à la plupart des agents infectieux. La rupture de ces couches par un agent agressif, quel qu'il soit, permet la pénétration des microorganismes ». Isabel n’a pas tout compris et se demande si Mr Toubib n’exagère pas un peu …….Isabel vous demande des explications car vous êtes son ami(e).
Bonjour, je suis le docteur Caman, médecin de Justin . Il a une réaction suite à un piercing au niveau de l'arcade Il est un peu maniaque en plus d'être hypochondriaque... Il va falloir bien lui expliquer ce qui lui arrive pour le rassurer.
Votre mission est de retrouver les documents nécessaires et d' expliquer à Justin ses symptômes.
Commencez par : -regarder la télé -L'enveloppe -observez les prélèvements -le livre rouge sur le bureau -le livre rouge sur l'étagère -le crayon sur le bureau -finissez par la pochette noire
Expliquez moi pourquoi mon arcade est si douloureuse et que j'ai si chaud et que c'est si rouge et pourquoi c'est gonflé .....aidez moi !!!
J'ai un piercing au niveau de l'arcade ......
Que vous est-il arrivé ??
C'est une belle inflammation !!!!
Examen clinique de votre patient
la réaction inflammatoire
Gonflement
Pénétration de pathogènes
Douleur
Libération de médiateurs chimiques
Dilatation des capillaires sanguins
Irritation des terminaisons nerveuses
Augmentation de la perméabilité vasculaire
Rougeur Chaleur
Infiltration de plasma sanguin
Virginie MICHEL 2021
Regardez les lames
Choisir la lame à observer
Placer la lame sur le microscope
Source : Modifié à partir de Lelivrescolaire, SVT Cycle 4
Placer la lame sur le microscope
Bactéries
Macrophage
Source : SVTice, Hatier
Placer la lame sur le microscope
hématie
plaquette
Source : SVTice, Hatier
cellule rôle
Sont spécifiques à un seul intrus Produisent des anticorps spécifiques neutralisant l'intrus
monocytes
Sont à l'origine des macrophages
Première ligne de défense contre les intrus Sortent des capillaires sanguins par diapédèse
Libèrent des médiateurs chimiques en présence d'intrus Attirent d'autres leucocytes sur le lieu de l'infection
macrophages
mastocytes
Réponse immunitaire non spécifique
cellule rôle
plasmocytes
Réponse immunitaire adaptative
Virginie MICHEL 2021
Placer la lame sur le microscope
Source : Modifié à partir de Lelivrescolaire, SVT Cycle 4
Médecine générale
Immunopathologie et réactions inflammatoires
Cellules sanguines
Médiateurs chimiques de l'inflammation
(Macrophage)
Fiche d'identification des cellules sanguines
Cellules sanguines
Médiateurs chimiques de l'inflammation
Les médiateurs chimiques de l'inflammation
1ère Spécialité SVT Bordas 2019
Les cellules sentinelles résidant en permanence dans les tissus (cellules dendritiques, macrophage, mastocytes) détectent la présence de pathogènes grâce à leurs récepteurs de surface. Ainsi activées, elles libèrent des médiateurs de l’inflammation :
- L’histamine libérée par les mastocytes
- Les prostaglandines libérées par les mastocytes et les macrophages
- Les interleukines sécrétées à la fois par les mastocytes et par les macrophages
Médiateurs chimiques de l'inflammation
TRAVAIL SUR INTERNET : aller sur le site musibiol :
Introduction : Dans le cas d'Isabel ou de notre skater !!!
Lorsque les barrières naturelles (muqueuse, peau...) sont franchies, une première réaction immunitaire se déclenche : c'est une réaction immunitaire innée. Elle est présente dès la naissance, sans apprentissage nécessaire et a une origine génétique.
1-Lorsque l’on se pique ou que l'on tombe d'un skate par exemple et que l’on ne désinfecte pas tout de suite , que peut-on observer comme symptôme ? comment se nomme ce phénomène ?
Activité 2 : la réaction inflammatoire
Justin remarque qu’au point de la piqure de son piercing il a des symptômes. Son médecin lui explique que c’est une inflammation. Il ne comprend pas ce phénomène physiologique et vous demande des explications…. Les barrières naturelles sont généralement efficaces mais il arrive qu’elles soient franchies (blessure, piqure, brulure par ex) dans ce cas, l’organisme met en jeu un autre processus de défense : la réaction inflammatoire.
1-Lorsque l’on se pique (piercing) superficiellement par exemple et que l’on ne désinfecte pas tout de suite, que peut-on observer comme symptôme ? comment se nomme ce phénomène ?
2-Qu’elles sont les cellules circulantes que l’on trouve dans un vaisseau sanguin ? 3-Expliquer la chronologie des évènements et le but de l’inflammation. 4- Essayer d’associer les symptômes de l’inflammation aux causes physiologiques. Appelez moi quand vous avez trouvé 5- Annoter les différentes étapes de l’inflammation ainsi que le nom du leucocyte X du Document 1.
A retenir : La protéine C réactive est une protéine produite par le foie qui est un marqueur de l’inflammation. Elle est produite très tôt en cas de réaction inflammatoire et sa concentration dans le sang augmente avec l’intensité de l’inflammation.
Schéma bilan :
Je me teste :
TRAVAIL SUR INTERNET : aller sur le site musibiol :
Introduction : Dans le cas d'Isabel ou de notre skater !!!
Lorsque les barrières naturelles (muqueuse, peau...) sont franchies, une première réaction immunitaire se déclenche : c'est une réaction immunitaire innée. Elle est présente dès la naissance, sans apprentissage nécessaire et a une origine génétique.
1-Lorsque l’on se pique ou que l'on tombe d'un skate par exemple et que l’on ne désinfecte pas tout de suite , que peut-on observer comme symptôme ? comment se nomme ce phénomène ?
Activité 2 : la réaction inflammatoire
Justin remarque qu’au point de la piqure de son piercing il a des symptômes. Son médecin lui explique que c’est une inflammation. Il ne comprend pas ce phénomène physiologique et vous demande des explications…. Les barrières naturelles sont généralement efficaces mais il arrive qu’elles soient franchies (blessure, piqure, brulure par ex) dans ce cas, l’organisme met en jeu un autre processus de défense : la réaction inflammatoire.
1-Lorsque l’on se pique (piercing) superficiellement par exemple et que l’on ne désinfecte pas tout de suite, que peut-on observer comme symptôme ? comment se nomme ce phénomène ?
Schéma bilan :
Je me teste :
A retenir : La protéine C réactive est une protéine produite par le foie qui est un marqueur de l’inflammation. Elle est produite très tôt en cas de réaction inflammatoire et sa concentration dans le sang augmente avec l’intensité de l’inflammation.
2-Qu’elles sont les cellules circulantes que l’on trouve dans un vaisseau sanguin ? 3-Expliquer la chronologie des évènements et le but de l’inflammation. 4- Essayer d’associer les symptômes de l’inflammation aux causes physiologiques. Appelez moi quand vous avez trouvé 5- Annoter les différentes étapes de l’inflammation ainsi que le nom du leucocyte X du Document 1.
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Document 1 : L’inflammation
C'est une super protection !!!
Aide :
Coupe de peau :
L'IMMUNITE INNEE: LES DIFFERENTES ETAPES DE LA REACTION INFLAMMATOIRE AIGUE
BILAN :
bactérie
virus
motif étranger
cellule dendritique = cellule sentinelle
Détection des agents pathogènes
Récepteur TLR
super mécanisme et sans apprentissage en plus !!
chez tous les humains
sans apprentissage préalable
Libération de médiateurs chimiques interleukine 2
génétiquement déterminé dès la naissance
Attire et active des cellules dans la zone infectée
Vasodilatation
SYMPTOMES : - rougeur - chaleur -gonflement -douleur
Teste-toi
Monocyte qui en sortant devient un macrophage
Diapédèse
cellule immunitaire
Phagocytose de l'agent infectieux
Isabel c’est piqué ce matin le doigt avec un vieux clou rouillé. Sa maman désinfecte sa plaie et décide de l’emmener chez son médecin Mr Toubib. Après la vérification de sa plaie et de sa vaccination contre le tétanos, Mr Toubib explique à Isabel qu’il faut immédiatement désinfecter : « La meilleure façon d'éviter l'infection tissulaire est d'empêcher l'introduction de l'agresseur : c'est le rôle de la barrière cutanéomuqueuse, qui constitue la première ligne de défense non spécifique. L'épiderme, couche cornée de la peau, et l'épithélium des muqueuses forment une enveloppe cellulaire continue séparant l'organisme du milieu extérieur. Ils sont normalement imperméables à la plupart des agents infectieux. La rupture de ces couches par un agent agressif, quel qu'il soit, permet la pénétration des microorganismes ». Isabel n’a pas tout compris et se demande si Mr Toubib n’exagère pas un peu …….Isabel vous demande des explications car vous êtes son ami(e).
Isabel c’est piqué ce matin le doigt avec un vieux clou rouillé. Sa maman désinfecte sa plaie et décide de l’emmener chez son médecin Mr Toubib. Après la vérification de sa plaie et de sa vaccination contre le tétanos, Mr Toubib explique à Isabel qu’il faut immédiatement désinfecter : « La meilleure façon d'éviter l'infection tissulaire est d'empêcher l'introduction de l'agresseur : c'est le rôle de la barrière cutanéomuqueuse, qui constitue la première ligne de défense non spécifique. L'épiderme, couche cornée de la peau, et l'épithélium des muqueuses forment une enveloppe cellulaire continue séparant l'organisme du milieu extérieur. Ils sont normalement imperméables à la plupart des agents infectieux. La rupture de ces couches par un agent agressif, quel qu'il soit, permet la pénétration des microorganismes ». Isabel n’a pas tout compris et se demande si Mr Toubib n’exagère pas un peu …….Isabel vous demande des explications car vous êtes son ami(e).
Isabel c’est piqué ce matin le doigt avec un vieux clou rouillé. Sa maman désinfecte sa plaie et décide de l’emmener chez son médecin Mr Toubib. Après la vérification de sa plaie et de sa vaccination contre le tétanos, Mr Toubib explique à Isabel qu’il faut immédiatement désinfecter : « La meilleure façon d'éviter l'infection tissulaire est d'empêcher l'introduction de l'agresseur : c'est le rôle de la barrière cutanéomuqueuse, qui constitue la première ligne de défense non spécifique. L'épiderme, couche cornée de la peau, et l'épithélium des muqueuses forment une enveloppe cellulaire continue séparant l'organisme du milieu extérieur. Ils sont normalement imperméables à la plupart des agents infectieux. La rupture de ces couches par un agent agressif, quel qu'il soit, permet la pénétration des microorganismes ». Isabel n’a pas tout compris et se demande si Mr Toubib n’exagère pas un peu …….Isabel vous demande des explications car vous êtes son ami(e).
Isabel c’est piqué ce matin le doigt avec un vieux clou rouillé. Sa maman désinfecte sa plaie et décide de l’emmener chez son médecin Mr Toubib. Après la vérification de sa plaie et de sa vaccination contre le tétanos, Mr Toubib explique à Isabel qu’il faut immédiatement désinfecter : « La meilleure façon d'éviter l'infection tissulaire est d'empêcher l'introduction de l'agresseur : c'est le rôle de la barrière cutanéomuqueuse, qui constitue la première ligne de défense non spécifique. L'épiderme, couche cornée de la peau, et l'épithélium des muqueuses forment une enveloppe cellulaire continue séparant l'organisme du milieu extérieur. Ils sont normalement imperméables à la plupart des agents infectieux. La rupture de ces couches par un agent agressif, quel qu'il soit, permet la pénétration des microorganismes ». Isabel n’a pas tout compris et se demande si Mr Toubib n’exagère pas un peu …….Isabel vous demande des explications car vous êtes son ami(e).
Conclusion : Pourquoi parle-t-on d’immunité non spécifique pour les mécanismes étudiés dans ce TD ?
La voie de contamination de la grippe
1. Clique sur l'image pour regarder la vidéo (la grippe en face)......
Prévention :
Photos d'une personne qui éternue et projette des goutelettes et des aérosols
SOLUTION
- Trouve le nom de la voie par laquelle le virus de la grippe pénètre dans notre organisme ....???
- Identifie les deux éléments présentés dans cette vidéo, qui nous protège de l'infection par le virus..???
SOLUTION
Suite...
Activité 3 : La phagocytose Nous allons étudier la dernière étape de l’inflammation, pour cela regardez les documents suivants.
3- Document 2 : Ce document représente u processus de défense de l’organisme, la phagocytose. Reporter sur la copie les légendes correspondant aux repères 1 à 7 du document. Nommer le processus représenté et les étapes A, B et C.
5-A votre avis est-ce que la phagocytose fonctionne toujours parfaitement ?
Je me teste :
Document 1: Phagocytose d'un antigèné (microscopie électronique)
Complétez en utilisant les termes suivants : -pseudopode : déformation d'une cellule qui emet des "sortes de pieds" -Granulocyte/macrophage -levure
Il m'a mangé le goinfre !!!
Document 2 : Les étapes de la phagocytose
La phagocytose : élimination des agents pathogènes Après une contamination, certains leucocytes du système immunitaire, appelés phagocytes, quittent le sang pour se rendre à l’endroit où les micro-organismes ont pénétré et se multiplient. Une fois sur place, ils entrent en contact avec les micro-organismes : c'est a-l’adhésion. Puis les phagocytes englobent les micro-organismes avec leur membrane plasmique, c’est b-l’ingestion dans une vésicule d'endocytose. Une fois les micro-organismes piégés, ceux-ci sont c-digérés par des enzymes provenants des vésicules appelées lysosomes, c'est la c-digestion dans le phagolysosome. Enfin, le phagocyte expulse les déchets issus de la digestion des micro-organismes, c'est l'expulsion avec d-exocytose.
Lysosome
Phagosome
Lysosome+phagosome = phagolysosome
JE ME TESTE !!!!
1- Complétez le Document 1.
Activité 3 : La phagocytose Nous allons étudier la dernière étape de l’inflammation, pour cela regardez les documents suivants.
5-A votre avis est-ce que la phagocytose fonctionne toujours parfaitement ?
Je me teste :
2-Décrivez et expliquer le but de la phagocytose. Nous allons étudier les étapes de la phagocytose, pour cela retourner sur le site musibiol :
Je me teste :
Isabel c’est piqué ce matin le doigt avec un vieux clou rouillé. Sa maman désinfecte sa plaie et décide de l’emmener chez son médecin Mr Toubib. Après la vérification de sa plaie et de sa vaccination contre le tétanos, Mr Toubib explique à Isabel qu’il faut immédiatement désinfecter : « La meilleure façon d'éviter l'infection tissulaire est d'empêcher l'introduction de l'agresseur : c'est le rôle de la barrière cutanéomuqueuse, qui constitue la première ligne de défense non spécifique. L'épiderme, couche cornée de la peau, et l'épithélium des muqueuses forment une enveloppe cellulaire continue séparant l'organisme du milieu extérieur. Ils sont normalement imperméables à la plupart des agents infectieux. La rupture de ces couches par un agent agressif, quel qu'il soit, permet la pénétration des microorganismes ». Isabel n’a pas tout compris et se demande si Mr Toubib n’exagère pas un peu …….Isabel vous demande des explications car vous êtes son ami(e).
Isabel c’est piqué ce matin le doigt avec un vieux clou rouillé. Sa maman désinfecte sa plaie et décide de l’emmener chez son médecin Mr Toubib. Après la vérification de sa plaie et de sa vaccination contre le tétanos, Mr Toubib explique à Isabel qu’il faut immédiatement désinfecter : « La meilleure façon d'éviter l'infection tissulaire est d'empêcher l'introduction de l'agresseur : c'est le rôle de la barrière cutanéomuqueuse, qui constitue la première ligne de défense non spécifique. L'épiderme, couche cornée de la peau, et l'épithélium des muqueuses forment une enveloppe cellulaire continue séparant l'organisme du milieu extérieur. Ils sont normalement imperméables à la plupart des agents infectieux. La rupture de ces couches par un agent agressif, quel qu'il soit, permet la pénétration des microorganismes ». Isabel n’a pas tout compris et se demande si Mr Toubib n’exagère pas un peu …….Isabel vous demande des explications car vous êtes son ami(e).
-La phagocytose est un phénomène non spécifique se déroulant en plusieurs phases Les macrophages (ou cellules dendritiques) accolent leur membrane aux particules étrangères : c’est la phase d’adhérence (1). Puis les font pénétrer dans leur cytoplasme (2) à l'intérieur par endocytose de vésicules membranaires (phagosome) où elles sont dégradées par digestion intracellulaire: des lysosomes issus de l'appareil de Golgi et contenant des enzymes lytiques déversent leur contenu dans les vésicules d'endocytose pour former un phagolysosome (3) Les déchets solides sont ensuite éliminés par exocytose (4). Cette phagocytose va être optimisée par l’action des Anticorps qui vont immobiliser les Antigènes circulants et stimuler l’arrivée des phagocytes.
Isabel c’est piqué ce matin le doigt avec un vieux clou rouillé. Sa maman désinfecte sa plaie et décide de l’emmener chez son médecin Mr Toubib. Après la vérification de sa plaie et de sa vaccination contre le tétanos, Mr Toubib explique à Isabel qu’il faut immédiatement désinfecter : « La meilleure façon d'éviter l'infection tissulaire est d'empêcher l'introduction de l'agresseur : c'est le rôle de la barrière cutanéomuqueuse, qui constitue la première ligne de défense non spécifique. L'épiderme, couche cornée de la peau, et l'épithélium des muqueuses forment une enveloppe cellulaire continue séparant l'organisme du milieu extérieur. Ils sont normalement imperméables à la plupart des agents infectieux. La rupture de ces couches par un agent agressif, quel qu'il soit, permet la pénétration des microorganismes ». Isabel n’a pas tout compris et se demande si Mr Toubib n’exagère pas un peu …….Isabel vous demande des explications car vous êtes son ami(e).
Isabel c’est piqué ce matin le doigt avec un vieux clou rouillé. Sa maman désinfecte sa plaie et décide de l’emmener chez son médecin Mr Toubib. Après la vérification de sa plaie et de sa vaccination contre le tétanos, Mr Toubib explique à Isabel qu’il faut immédiatement désinfecter : « La meilleure façon d'éviter l'infection tissulaire est d'empêcher l'introduction de l'agresseur : c'est le rôle de la barrière cutanéomuqueuse, qui constitue la première ligne de défense non spécifique. L'épiderme, couche cornée de la peau, et l'épithélium des muqueuses forment une enveloppe cellulaire continue séparant l'organisme du milieu extérieur. Ils sont normalement imperméables à la plupart des agents infectieux. La rupture de ces couches par un agent agressif, quel qu'il soit, permet la pénétration des microorganismes ». Isabel n’a pas tout compris et se demande si Mr Toubib n’exagère pas un peu …….Isabel vous demande des explications car vous êtes son ami(e).
Quelle est l'épidémiologie de la grippe ? • Les épidémies de grippe saisonnière touchent l'hémisphère Nord d'octobre à avril, et l'hémisphère Sud d'avril à octobre chaque année, et entraînent entre 3 et 5 millions de cas graves, et 250 000 à 500 000 décès par an dans le monde selon l'OMS, principalement dans les populations à risque. • Chaque hiver, la ou les épidémie(s) de grippe touche(nt) entre 2 et 8 millions de personnes en France du fait de la très forte contagiosité de cette maladie. Elle constitue la deuxième cause de mortalité par maladie infectieuse en France (1500 à 2000 décès). L'OMS (Organisation mondiale pour la santé) surveille en permanence les infections pandémiques comme la grippe, ce qui permet de faire le point régulièrement sur les connaissances en la matière. Elle provoque des épidémies tous les ans, à peu près à la même période de l'année (en hiver dans les zones tempérées), ce qui entraîne à chaque fois un véritable problème de santé publique, avec des décès en particulier chez les personnes fragilisées. Une bonne connaissance du cycle du virus de la grippe permet de proposer des traitements antiviraux efficaces mais non dénués d'effets secondaires, mais la vaccination annuelle reste le meilleur moyen de lutter contre l'épidémie.
1- partir du document suivant , argumentez l’expression : « la grippe est responsable d’épidémies saisonnières ».
2-A votre avis pourquoi parle -t-on de pandémie concernant le coronavirus ?
JE ME TESTE !!!!!
Activité 1 : Les principaux symptômes de la grippe Document 1 : Un cas clinique Source Foucher BPH Term ST2S Les symptômes de la grippe dépendent de la virulence du virus, mais aussi de l'état de santé du sujet contaminé. 30 à 50 % des grippes sont asymptomatiques lorsque le système immunitaire est fonctionnel. Chez les enfants, les personnes de plus de 65 ans et les individus immunodéprimés ou souffrant de maladies chroniques (cardiaques, respiratoires...), des complications sont possibles. 4000 à 6000 personnes meurent de la grippe en France. 90% des morts sont des personnes de plus de 65 ans.
1-Identifier l’appareil qui sert de voie d’entrée du virus dans l’organisme (voie de contamination) sachant que lors de l'examen clinique, le médecin met en évidence des ganglions lymphatiques cervicaux volumineux, une gorge bien rouge et des amygdales qui ont également augmenté de volume. Étant donné la période de l'année, le diagnostic de grippe saisonnière est posé. 2-Trouver le terme médical correspondant à chaque expression soulignée et définir les termes en gras. correction 3-Parmi les signes cliniques du texte, indiquer lesquels peuvent être qualifiés de signes généraux et de spécifique. Vérifier vos réponses avec le Document 2.
Document 3 : Modes de transmission
Le virus de la grippe se transmet directement d'une personne à une autre par les sécrétions et les gouttelettes émises par la toux, qui se propagent dans l'air. Le virus rentre dans l'organisme par le nez ou les yeux et indirectement par contact (la peau, les objets...). Les personnes malades sont contagieuses 24 h avant et 7 jours après l’apparition des symptômes. Le mode de transmission, par voie aérienne, est très efficace, d’où la grande contagiosité de la maladie. Les lieux confinés, les fortes concentrations de population (transports en commun, collectivités scolaires…) sont propices à la transmission de ces virus.
Activité 2 : Voie de contamination Margaux veut savoir commun elle a été contaminé ??? Il faut l'aider ... Regarde la vidéo suivante avant de répondre : 1- A l'aide de la vidéo et du Document 3 : Citez les principaux modes de contamination. 2-Identifie dans la vidéo des modes de protection qu'a le corps humain contre le virus. 3-A partir du Document 3, proposer des mesures de prévention pour limiter la propagation du virus de la grippe.
Le virus influenza ou virus de la grippe est un virus enveloppé à ARN de la famille des Orthomyxoviridae. Ce virus sphérique est constitué de différents éléments : -Il est constitué de huit brins d'ARN monocaténaires associés à des capsides ou nucléoprotéines formant ainsi huit nucléocapsides. A chaque nucléocapside, est associé un complexe enzymatique dont l'ARN polymérase est l'enzyme la plus importante. Elle permet la synthèse de nouveaux ARN viraux, mais aussi des ARN messagers qui seront traduits en protéines virales. L'association des nouveaux ARN viraux et des protéines forme de nouveaux virus. -Le virus est formée d’une membrane lipidique portant des glycoprotéines externes : les hémagglutinines (HA), qui permettent l'attachement du virus à la cellule cible, et les neuraminidases (NA), servant à la sortie des particules virales de la cellule cible.
- Estime la taille du virus en nm et en µm du virus et vérifie ta réponse
Vidéo :
Spicule est le nom générique donné aux protéines de l'enveloppe : ici les spicules sont par exemples les protéines HA et NA.
Activité 3 : Structure du virus de la grippe
1-A partir du texte , trouvez les légendes repérées par les numéros 1 à 5 sur le Doc A suivant. 2-Relevez la particularité du génome du virus par rapport aux cellules humaines. 3-Doc B : Pourquoi est-il nécessaire de refaire le vaccin contre la grippe chaque année ? 4-Document 2 : Expliquer la raison pour laquelle le médecin ne prescrit pas d’antibiotiques à Margaux. Expliquer la cible des antiviraux. 5-Expliquer la raison pour laquelle le médecin prescrit parfois des ATB et émettre une hypothèse quant à la catégorie d’individus visée.
Document 1 : Caractéristiques structurales du virus de la grippe Nathan BPH Term p252
Doc A : Observation du virus en ME à gauche et à droite schéma du virus correspondant
Place chaque symptôme sous l'image qui l'illustre
Symptômes à placer
pyréxie
rhinorhée
asthénie
céphalée
myalgie
Retour au début
SOLUTION
Positionne convenablement les légendes sur cette photo de virus de la grippe
Légendes à placer
Enveloppe
Nucléocapside
Spicules
25 nm
Clique pour voir la solution
Vers le schéma annoté du virus
SOLUTION
Activité 2 : La voie de contamination de la grippe
Photos d'une personne qui éternue et projette des goutelettes et des aérosols
1. Clique sur l'image pour regarder la vidéo (la grippe en face)......
2. puis réponds aux 2 questions
Document 3 : Modes de transmission
Margaux veut savoir commun elle a été contaminé ??? Il faut l'aider ... Regarde la vidéo suivante avant de répondre :
1- Document 3 : Citez les principaux modes de contamination. 2-A partir du Document 3, proposer des mesures de prévention pour limiter la propagation du virus de la grippe.
- Identifie les deux éléments présentés dans cette vidéo, qui nous protège de l'infection par le virus..???
Place les légendes en face des numéros correspondants
Légendes à placer
Retour
O : Fusion de l'enveloppe et de la mp de la cellule
V: Assemblage de la nucléocapside
U: Traduction: synthèse des spicules
Suite..
E: Libération des particules virales par bourgeonnement
R: Pénétration du virus
T: Fixation du virus sur la membrane palsmique de la cellule
Clique pour voir la solution
SOLUTION
Doc B : Carte d’identité
Il existe trois types de virus responsables de la grippe genre influenzae, les types A, B et C. Les deux premiers types sont les plus fréquents, ils entrent dans la composition du vaccin annuel, contrairement au type C. Les virus des types A et B ont une structure proche, en particulier au niveau de leur enveloppe recouverte de deux types de protéines de surface : les hémagglutinines (H) et les neuraminidases (N). Les différentes protéines de chaque type sont distinguées par un numéro, on parle alors de virus H1N1, H2N2, H3N2, H5N1, etc. Les virus de type A sont les plus virulents. Extrêmement instables, les Influenzavirus mutent en permanence, conduisant à l’émergence de nouvelles souches.
Document 2 : Un traitement symptomatique source : INSERM remanié La grippe guérissant en général spontanément, son traitement consiste à soulager les symptômes. Il repose sur l'hydratation et des médicaments contre la fièvre (antipyrétique), les douleurs et la toux. En cas de forme grave, ou pour les personnes à risque de complication, le médecin peut prescrire un traitement spécifique à base d'antiviraux comme l’oseltamivir (Tamiflu ®) ou le zanamivir (Relenza ®) qui sont des inhibiteurs de la neuraminidase. Les antibiotiques, qui tuent les bactéries, sont inutiles contre une maladie virale comme la grippe.
Place les légendes dans l'ordre des numéros correspondants
O : Fusion de l'enveloppe et de la membrane plasmique de la cellule
V: Assemblage de la nucléocapside
U: Traduction: synthèse des spicules
E: Libération des particules virales par bourgeonnement
R: Pénétration du virus
T: Fixation du virus sur la membrane palsmique de la cellule
Activité 4 : Le cycle du virus de la grippe 1-Relever dans le document 1 ci-dessous, le nom des molécules qui permettent au virus de se fixer à la surface des cellules pour les infecter. 2-A partir du Document suivant rédigez une courte description de chacune des 6 étapes du cycle permettant la multiplication du virus de la grippe. 3- Identifier et préciser, à l’aide du Document A, le rôle de : - un éléments de la structure virale indispensables à la réalisation du cycle viral ; - un organites cellulaires détournés pour réaliser le cycle viral. 4-À l’aide de tous les documents , justifier la nécessité pour le virus de la grippe d’infecter une cellule humaine pour pouvoir se multiplier. Comment pourriez-vous le qualifier ?
Activité 5 : LES PREMIERES ETAPES DE L’INFECTION : IMMUNITE NON-SPECIFIQUE
Lors de sa visite le médecin explique à Margaux que sa pharyngite est la conséquence d’un processus appelé réaction inflammatoire qui fait partie des réponses non-spécifique de l’organisme Le virus grippal est transmis d’une personne contaminée à une autre par l'intermédiaire de fines gouttelettes émises lors d'un éternuement par exemple. Le virus se fixe alors sur les cellules des muqueuses des voies respiratoires supérieures grâce à son hémagglutinine. La multiplication locale du virus entraîne des lésions importantes, mais réversibles, de l’épithélium cilié respiratoire. 1-Document 1 : Dans le cas de Margaux citer les protections naturelles de l’organisme contre le virus de la grippe. 2- Document 2 : Identifier les cellules 1 et les phénomènes A à C à l’aide des termes en gras du texte. 3- Document 2 et 3 : La réaction inflammatoire est caractérisée par 4 symptômes. A partir des documents retrouvez la cause de chacun de ces signes et expliquer leur origine cellulaire ou vasculaire. 4-Dans le cas de la grippe, l'inflammation touche généralement le pharynx, ce qui engendre une pharyngite. Elle peut également augmenter les sécrétions nasales (rhinite). Expliquer les symptômes de Margaux, tels que Lors de l'examen clinique, le médecin met en évidence des ganglions lymphatiques cervicaux volumineux, une gorge bien rouge et des amygdales qui ont également augmenté de volume. 5-A partir des informations du Document 4, déduire l’ordre chronologique.
6-Rappeler le nom des cellules capables de réaliser ce phénomène. 7-Quel est le but de la phagocytose ? 8-Regardez le début de la vidéo suivante et le Document 5, expliquez ce que les macrophage (ou cellules dendritiques) présentent à leurs surfaces après la phagocytose. Pourquoi nomme -t-on «cellule présentatrice de l'antigène » ou CPA le macrophage ou la cellule dendritique. CONCLUSION
Rôle des CPA :
Document 2 : La réaction inflammatoire
Les barrières naturelles sont généralement efficaces mais il arrive qu’elles soient franchies (blessure, piqure, brulure par ex) dans ce cas, l’organisme met en jeu un autre processus de défense : la réaction inflammatoire. L’infection des voies respiratoires par le virus de la grippe détruit les cellules épithéliales qui libèrent alors des molécules provoquant de la fièvre et un mécanisme de défense locale appelé réaction inflammatoire. Cette réaction est caractérisée par une vasodilatation, une augmentation de la perméabilité des vaisseaux favorisant la sortie des leucocytes (margination= monocyte qui se colle à la paroi) vers le site de l’infection par diapédèse (déformation), et un œdème provoqué par la fuite de plasma du sang vers les tissus. L’œdème comprime les nerfs provoquant une douleur. Les leucocytes sont attirés par des molécules vers le site de l’infection, ce processus est appelé chimiotactisme. La dernière étape étant la phagocytose.
Document 3 : Les symptômes :
A retenir : La protéine C réactive est une protéine produite par le foie qui est un marqueur de l’inflammation. Elle est produite très tôt en cas de réaction inflammatoire et sa concentration dans le sang augmente avec l’intensité de l’inflammation.
Document 4 : La phagocytose La réaction inflammatoire se termine par la phagocytose des cellules infectées, les cellules infectées de la gorge sont donc tuées à la fois par l'infection elle-même et par la réaction de l'organisme, elles encombrent le pharynx. Grâce à la toux, elles pourront être évacuées. Une réaction plus générale de l'organisme est initiée par l'infection virale : c'est la fièvre, qui affaiblit les virus et leur potentiel de réplication, et permet d'accélérer les réparations de l'organisme abîmé par l'infection.
Lors de la réaction inflammatoire, les premiers leucocytes présents sur les lieux de l’infection sont les polynucléaire neutrophiles (PNN) ; ils sont suivis des macrophages. Leur rôle est de tenter d’éliminer l’agent étranger grâce à la phagocytose. -La phagocytose est un phénomène non spécifique se déroulant en plusieurs phases : le macrophage entoure l'antigène en se deformant (emet des pseudopodes) .Les macrophages (ou cellules dendritiques) accolent leur membrane aux particules étrangères : c’est la phase d’adhérence (1). Puis les font pénétrer dans leur cytoplasme (2) à l'intérieur par endocytose de vésicules membranaires (phagosome) où elles sont dégradées par digestion intracellulaire: des lysosomes issus de l'appareil de Golgi et contenant des enzymes lytiques déversent leur contenu dans les vésicules d'endocytose pour former un phagolysosome (3) Les déchets solides sont ensuite éliminés par exocytose (4). Cette phagocytose va être optimisée par l’action des Anticorps qui vont immobiliser les Antigènes circulants et stimuler l’arrivée des phagocytes (opsonisation).
Regardez a 1,12mn :
Activité 6 : Réponse acquise à médiation humorale : rôle des anticorps (Mise en place d’une immunité adaptative et spécifique)
La réponse immunitaire peut se poursuivre par une réaction acquise ou adaptative, spécifique de l'antigène présenté par une cellule appelée « cellule présentatrice de l'antigène », souvent un phagocyte. La réaction adaptative nécessite une action coopérative de plusieurs types de lymphocytes grâce à des contacts cellulaires et à des messagers, les interleukines. La réaction adaptative conduit à la différenciation de lymphocytes produisant des anticorps ou ayant une action cytotoxique. Axel est atteinte d’une maladie génétique, l’agammaglobulinémie liée à l’X. Cette pathologie rend Axel plus sensible que les autres enfants aux maladies infectieuses comme la grippe.
1-Comparer la composition du sérum normal à celle du sérum d’Axel. 2-Comparer la composition du sérum normal à celle du sérum d’un patient grippé. 3-Déduire des réponses précédentes une hypothèse sur l’origine de la sensibilité d’Axel aux infections. La maladie d’Axel est due à une mutation sur le gène BTK impliqué dans la différenciation des lymphocytes B. 4-A partir du Document 2 et de la vidéo suivante, comparer les différents lymphocytes B trouvé dans la rate. En déduire le rôle des récepteurs BCR sur les LB activé.
5-Expliquez en quoi consiste la première étape de la sélection clonale et de l’activation.6-La réponse immunitaire impliquant la production d’anticorps est dite spécifique. Argumentez l’utilisation de ce terme. 7-L’étape de différenciation conduit à la formation de plasmocytes. Comparer l’ultrastructure des LB et des plasmocytes Document 3. Identifier les organites particulièrement développés dans le plasmocyte. 8-Pourquoi peut-on dire que les plasmocytes ont une structure bien adaptée à leurs fonctions sachant que les anticorps sont des protéines, expliquer l’intérêt de la différenciation des LB en plasmocytes. 9-Document 4 : Sachant que le virus se fixe à la surface des cellules épithéliales, par interaction entre l’hémagglutinine et un récepteur cellulaire, expliquer quelle sera la conséquence de la production d’anticorps sur le cycle du virus. Argumentez l’expression « anticorps neutralisant ».
10- Les phagocytes ont à leur surface des recepteurs capables de fixer les anticorps. A l’aide du document 5 et du chapitre précédent, identifier la partie des anticorps reconnu par les phagocytes. 11-Rappeler le rôle des phagocytes et en déduire la conséquence de cette interaction entre anticorps et phagocytes sur le virus. 12-Ce processus est appelé opsonisation. Proposer une définition pour ce terme.
13-A partir du Document 6, montrer que l’activation du complément par un complexe immun participe à l’élimination du virus. 14-Lister les mécanismes de destruction mis en jeu. Synthèse : Expliquez pourquoi Axel est plus sensible à la grippe et aux autres infections que les autres enfants.
Activité 7 : Destruction des cellules infectées : réponse acquise à médiation cellulaire
Activité 7 : Destruction des cellules infectées : réponse acquise à médiation cellulaire
1-Le lot 1 est le lot témoin. Justifier son intérêt. Document 1 : 2-Analyser les expériences des lots 2 et 3. En déduire le type de réaction immunitaire le plus efficace pour lutter contre le virus de la grippe. 3-La coopération entre immunocytes est indispensable pour une réponse immunitaire. Justifier cette affirmation à l’aide des expériences des lots 4 et 5.
5-Doc 1a : A l’aide du texte (mots en gras), annoter le schéma. 6-Argumentez le sigle CPA (cellule présentatrice de l’antigène) pour désigner les cellules phagocytaires. 7-Doc 1a : Pourquoi parle-t-on de double reconnaissance spécifique entre le LTC et la cellule infectée. 8-Les LT8 sont appelés lymphocytes T cytotoxiques (LTc). Argumentez l’utilisation de ce terme. 9-Doc 1c : Relever dans les documents ci-dessous le nom de la molécule libérée par le lymphocyte T8 activé et expliquer son effet sur la cellule infectée. 10-En 2 : Pourquoi parle-t-on de « baiser de la mort ». 11-Expliquez pourquoi seules les cellules infectées sont détruites.
Document 1 : Activation des LT8, analyse d’expériences source : Sujet bac Polynésie 2019 Des expériences sont réalisées dans le but de mettre en évidence l’implication de certains leucocytes dans la lutte contre le virus de la grippe. Plusieurs lots de souris ont été infectés par le virus de la grippe. Pour les lots 2 à 5, des techniques appropriées sont permis de supprimer certaines catégories de lymphocytes. Après l’infection, le temps nécessaire aux souris pour éliminer le virus est mesuré. Parallèlement, le pourcentage de survie de chaque lot est estimé. Les résultats sont rassemblés dans le tableau ci-dessous :
Document 2 : Activation et rôle des LT8 Les anticorps sont utiles lorsque l’antigène est extracellulaire. Ils n’ont plus d’effet quand l’antigène infecte une cellule. Un autre système de défense intervient alors. Un autre type de lymphocyte différent a ainsi été identifié : les lymphocytes T8 (LT8) dont le mode d’action est présenté ci-dessous. Doc A : Mode d’action des LT8 activés schéma et observation microscopique Le virus de la grippe parasite les cellules ciliées de l’épithélium de la muqueuse respiratoire. Suite à cette infection, ces cellules présentent les épitopes du virus à leur surface (on les appelle des CPA : cellules présentatrice d’antigène). Le SI les reconnait alors comme du soi modifié et déclenche une réponse immunitaire afin de les éliminer. Cette réponse met en jeux les LT8. Elle se déroule en 3 phases et aboutit à la destruction par attaque directe des C infectées. 1-Schéma d’interprétation a-Phase d’activation par une CPA (cellule présentatrice d’antigène) Lorsqu’une CPA phagocyte (macrophage et cellule dendritique) un micro-organisme, certains fragments de nature protéique viennent s’associer aux protéines du CMH. - L’activation des LT8 nécessite une double reconnaissance : -entre le marqueur spécifique des LT8 (CD8 à la surface du LT8) et les protéines du CMH à la surface de la CPA ; -entre les fragments protéiques du microorganisme présents sur le CMH et le récepteur du LT8 appelé TCR.
b-Phase de multiplication et de différenciation Les LT8 sélectionnés par la CPA vont se multiplier (amplification clonale) puis se différencier en LT Cytotoxique.
c-Phase effectrice Les LTc reconnaissent spécifiquement les cellules infectés (cellules cibles) grâce aux épitopes (hémagglutinines pour le virus de la grippe) associés aux marqueurs du soi CMH. Suite à cette double reconnaissance, les LTc libèrent sur la cellule des perforines (schéma de droite b) qui s’assemblent et forment des canaux transmembranaires et provoquent la cytolyse de la cellule infectée.
Perforine
Observation microscopique :
Le lymphocyte TCD8 se différencie en LTc : cellule cytotoxique ou cellule tueuse
Le baiser de la mort :
Action LT8 sur cellule cancereuse :
Peptides viraux
Molécules du CMH I
LTCD8 ou LT8
LTcytotoxique ou LTc
Virus
TcR
CD8
Reconnaissance
Cellule infectée par un virus
Cellule lysée
Le LTc spécifique va reconnaitre la cellule infectée par le virus et la détruire
Le LTCD8 se différencie en LTC....
Revoir
Le lymphocyte TCD8 se différencie en LTc : cellule cytotoxique ou cellule tueuse
Peptides viraux
Molécules du CMH I
LTCD8 ou LT8
LTcytotoxique ou LTc
Virus
TcR
CD8
Reconnaissance
Cellule infectée par un virus
Cellule lysée
Le LTc spécifique va reconnaitre la cellule infectée par le virus et la détruire
Le LTCD8 se différencie en LTC....
Clique pour revenir quand tu as fini
Revoir
Activité 8 : La coopération cellulaire
Noé a 27 ans. Il est atteint du syndrome de Di George. Il s’agit d’une anomalie génétique de type délétion qui concerne 15 à 30 gènes. Les signes cliniques sont nombreux et varient en fonction du nombre de gènes touchés. Parmi ces signes, Noé présente une immunodéficience due à un défaut de développement du thymus. En cas de grippe, Noé ne produit pas d’anticorps dirigés contre le virus ni de LT cytotoxiques capables de détruire les cellules infectées.
1-L’activation des LT4 est assurée par l’interaction entre un lymphocyte T4 et une cellule ayant phagocyté puis dégradé l’antigène (cellule présentatrice de l’antigène = CPA). A partir du document1 A, identifier les molécules impliquées dans l’interaction entre ces 2 cellules. 2-Repérer ce qui distingue les 3 types de lymphocytes représentés sur le document 1 B. 3-A partir des réponses précédentes, expliquez pourquoi les LT4 appartiennent à l’immunité spécifique. L’activation des LT4 par interaction avec une CPA provoque l’activation et la prolifération de ce lymphocyte. Ce processus est appelé expansion clonale. 4-Sachant qu’il existe très peu de lymphocyte ayant un TCR donné, expliquer l’intérêt de l’expansion clonale. Document 2 : Le rôle central des LT4 ou LT auxiliaire dans la réponse immunitaire spécifique. 5-A partir des documents ci-dessous et des questions précédentes, rédigez un court texte pour décrire le rôle central des LT4 dans la réponse immunitaire spécifique. 6-Montrer comment la réponse immunitaire non spécifique permet de déclencher la réponse immunitaire spécifique. 7-Expliquez la sensibilité accrue de Noé aux infections. 8-Analyser le Document 2 Conclure sur l’effet de l’IL2 sur les lymphocytes. 9-En déduire la conséquence de l’activation d’un LT4 sur la production d’anticorps par les plasmocytes et la destruction de cellules infectées par des lymphocytes T cytotoxiques. 10-Argumentez l’expression « coopération cellulaire » utilisée pour décrire les interactions entre les LT4, les LB et les LT8.
Document 1 : Electrophorégramme des protéines sériques source
Les protéines de plasma peuvent être analysées par une technique appelée électrophorèse qui permet de séparer les protéines en les plaçant dans un champ électrique. Après séparation, les protéines sont colorées et apparaissent sous forme de bande dont l’épaisseur et l’intensité peuvent être mesurées pour évaluer la quantité de chaque protéine. Les résultats sont présentés sous forme d’un graphique appelé électrophorégramme dans lequel chaque pic correspond à une catégorie de protéines. La hauteur d’un pic reflète la concentration des protéines.
Document 2 : La production d’anticorps après activation dans la rate
Chronologie :
Les lymphocytes B
Ac spécifique de l'Ag de départ
Ag non reconnus
Ag reconnu par le BcR
plasmocyte
BcR
LB
Le plasmocyte sécrète des anticorps de même spécificité que celle du BcR
Le LB sélectionné par l'Ag va se différencier en plasmocytes
Passe la souris sur les éléments intéractifs
Clique pour revenir quand tu as fini
revoir
3.2
Les lymphocytes B
Ac spécifique de l'Ag de départ
Ag non reconnus
Ag reconnu par le BcR
plasmocyte
BcR
LB
Le plasmocyte sécrète des anticorps de même spécificité que celle du BcR
Le LB sélectionné par l'Ag va se différencier en plasmocytes
Passe la souris sur les éléments intéractifs
Clique pour revenir quand tu as fini
revoir
3.3
Les lymphocytes T
Il existe 2 catégories de LT:
TcR
TcR
CD4
CD8
LT CD8 ou LT8
LT CD4 ou LT4
FONCTION
FONCTION
Clique pour continuer quand tu as fini
Le lymphocyte TCD4 se différencie en LTAux : cellule sécrétant des IL
TcR
CD4
Interleukines(IL2)
LT auxiliaire ou LTAuxLT helper ou LTH
LT CD4 ou LT4
Clique pour revenir quand tu as fini
Le lymphocyte TCD8 se différencie en LTc : cellule cytotoxique ou cellule tueuse
Peptides viraux
Molécules du CMH I
LTCD8 ou LT8
LTcytotoxique ou LTc
Virus
TcR
CD8
Reconnaissance
Cellule infectée par un virus
Cellule lysée
Le LTc spécifique va reconnaitre la cellule infectée par le virus et la détruire
Le LTCD8 se différencie en LTC....
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Le lymphocyte TCD8 se différencie en LTc : cellule cytotoxique ou cellule tueuse
Peptides viraux
Molécules du CMH I
LTCD8 ou LT8
LTcytotoxique ou LTc
Virus
TcR
CD8
Reconnaissance
Cellule infectée par un virus
Cellule lysée
Le LTc spécifique va reconnaitre la cellule infectée par le virus et la détruire
Le LTCD8 se différencie en LTC....
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La phagocytose
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C'est un mécanisme aboutissant à la destruction d'un antigène par ingestion puis digestion
GR
bactéries
macrophage
Document 4 : Rôle neutralisant des anticorps anti-hémagglutinine Les malades atteints de la grippe produisent des anticorps spécifiques des spicules. Le document ci-dessous montre les complexes immuns formé par la fixation d’anticorps anti-hémagglutinine au virus.
Document 5 : L’opsonisation par les anticorps
Schéma des circulations sanguines et lymphatiques
L'IMMUNITÉ ADAPTATIVE METTANT EN JEU LES ANTICORPS : LA RÉPONSE À MÉDIATION HUMORALE*
les humeurs sont toutes les phases liquides du corps (sang, lymphes...). Les anticorps circulent donc dans ces liquides.
Tu essaies de passer par la bouche. Immédiatement des enzymes t'attaquent et et te neutralisent.
Tu passes par les voies urinaires. Le chemin est long ... beaucoup trop long. A peine arrivé à la moitié, la vessie se vide et tu es emporté avec l'urine.
Tu passes par le nez. Des poils t'empêchent d'aller plus loin. En essayant de les bouger tu fais éternuer l'humain ce qui te propulse à l'extérieur.
Tu essaies d'entrer par la peau. Malheureusement elle est trop épaisse. La couche de protection à l'intérieur du corps (bouche, vagin, anus, etc.) s'appelle muqueuse et elle t'empêche également de passer.
Contamination !
Tu as trouvé une plaie. Tu vas pouvoir rentrer dans l'organisme et le contaminer ! Mais ton instinct te dit que ça ne sera pas si facile ...
Tu arrives jusqu'à l'estomac. L'acidité et les enzymes digestives ont eu raison de toi !
Tu as réussi à passer la bouche et à arriver dans les poumons. Tout est recouvert de mucus qui te colle à la paroi. Il y a également des cils qui te repoussent à l'éxtérieur. Enfin l'humain se met à tousser ce qui t'expulse définitivement dehors.