Bazin, Vipère au poing

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Vos notes de lecture doivent se faire chapitre par chapitre avec les éléments suivants : • vous donnerez un titre à chacun des chapitres • les informations importantes (schématisées, structurée, sous forme de notes). Pas de résumé rédigé ou copié/collé • une citation (courte) qui vous semble être un exemple du style (mordant/percutant/incisif) de Bazin). Attention, la citation peut fournir des informations importantes, mais elle doit surtout mettre en avant la manière de dire, le ton, le style. Un modèle vous est donné ci-dessous pour les quatre premiers chapitres. Votre travail de prise de notes commence donc au chapitre 5. N'oubliez pas de déposer le lien de partage (dans un fichier texte) sur Pronote et de créer une page web dans votre carnet de lecture sur Pearltrees, à l'aide du même lien.

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Hercule étouffant la vipère

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> la fessée - La Belle Angerie (demeure familiale) - autour de la vipère : o Mlle Ernestine Lion o L'Abbé o La grand-mère (courageuse) o tante Thérèse Bartholomi (comtesse) o l'oncle (protonotaire apostolique

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"Enfin Grand-mère, aussi blanche que sa guimpe, poussant du bout de sa bottine son éternelle longue robe grise"

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"Ainsi séparés, nous vivions un bonheur provisoire entrecoupé de privations de dessert, de fessées et de grands élans mystiques" "j'étais sain, je me souviens d'une certaine ficelle, tant pis pour moi affrontons le ridicule"

La Belle Angerie

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- dans la région du Craonnais (ou Segréen, ou Bocage angevin) Grand-Père et Grand-mère du narrateur : - onze enfants, dont 8 qui ont survécu - premier enfant male (héritier) : le père du narrateur, Jacques, docteur en droit 1913 - mariage de Jacques avec Paule Pluvignac (petite fille riche d'un banquier) université catholique, nomé professeur a l'université d'aurore en chine - trois enfants : Ferdinand (Frédie, Chiffe), Jean (Brasse-Bouillon, le narrateur), et Marcel (Cropette, né en Chine, Shanghai) Le récit commence en 1922 Jean dit être un saint : épisode du sacrifice de la ceinture…

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La mort de la Grand-mère

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la grand mére meurt

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"Grand-mère mourut. Ma mère parut. Et ce récit devient drame" "elle auait été pour nous l'inconnue dont on ne parlais point"

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L'arrivée du train

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Les gifles données par la mère,quand ils ont voulut lui faire un calin : son mépris le "signal de détresse" envoyé par Frédie (l'index sur le nez) : fin du bonheur. coup dans le tibia de jean : porter les valises fredie: frère de jean

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"Les enfants, prenez chacun une valise." Celle qui m'échut était beaucoup trop lourde pour mes huit ans. Un coup de talon dans le tibia me donna des forces. "que nous allions avoir tout le loisir de déchiffrer au fond des prunelles aigues de cette dame que nous n'avions déjà plus aucune envie d'appeler maman"s

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Portraits de famille

- les Barbeliviens (ferme annexe) : Jean le Père, Bertine la mère, Bertinette la fille, Petit-Jean - Les Huault (famille de La Vergeraie) - Les Argier (famille de La Bertonnière)

- Jacques : "un Rézeau statique", "beaucoup de connaissances, peu d'idées"" type d'homme qui n'on jamai étais eu même mais ce que l'on suggère d'être", spécialiste des syrphidés , chef de la famille mais pas vraiment, dodut, moustache, migraine, plus de cheveux mais avant cheveux noir. - Madame Mère : "dix ans de moins que son mari et deux centimètres de plus", "Outre ses enfants, je ne lui connaîtrais que deux ennemis : les mites et les épinards" 35 ans, manque d'allure,"belle", cheveux secs,bouche serrée, grandes oreilles, visage agréssif énnemie: les enfants - Frédie : Chiffe, mou - Marcel : hérite du côté Pluvignac, doué pour les affaires, détesté du narrateur, hypocrite,finance,froid,audieux,myope,studieux -- Jean (narrateur), "gourmand de tout, et, en premier lieu, de vivre"

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Le Père Trubel : précepteur, renvoyé pour avoir trop aimé ses paroissiennes, en Afrique… - Alphonsine (bonne à tout faire) : Fine ("… ne l'était guère"), sourde et muette - Perrault : jardinier, garde-chasse, épicier

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Les règles

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beaucoups de règles sont imposées comme:-un emploi du temps -lever a 5h -lit -laver -leçons dans la chambre de gabrielle - pas de bruit : la mère dort -récréations suprimées si il y a une punitions la mére est la maitresse de la maison suprime les poêles dans les chambres coudes sur la tables interdit inspections des chambres: toiles d'araignée sont interdites

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f"ilm alume la majestueuse lampe de pétrole à pied de marbre vert puis agite la main gauche"

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La cleftomanie

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"déjà nous avions faim, déjà nous avions froid? Physiquement. Moralement, surtout passe-moi le mot si il recouvre vraiment quelque chose un an aprés la prise du pouvoir par notre mère nous navions plus aucune fois dans la justice des nôtres"

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mlle lion: convernante" elle nous aimait la pauvre femme" elle démisionne par ce qu'elle est déboder par le cmportements de Mme Rezeau avec ses enfants freddy: malade a cause d'un surdosage d'haricots rouge la mère lui donne de l'huile de ricin, il vomit la mère fait porter des sabots aux enfants( 3livres) les affaires de la grand mère: dans l'armoire anglaise(serrures, surnom: la cleftomanie)

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le surnom: folcoche donner par fredie lorsqu'il est énervé car il ne peut plus lire durant 8jours

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"afin d'éviter, dans l'ombre, toute colisionsmalodorante, nous primes le partitd'aller vider nos ordures à pas de loup le saut serré contre notre coeur comme le ciboire de tariuis"

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La chasse

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le père Trubel: matinalils font de la chasse avec son père (jean) et avec son frère Freddi civet au quotidient. une cloche dans le pays et c'est la leur. le mère dit que le fils aretarder le père a la chasse et lui interdit d'y retourné. le père s'énerve et lui dit"est-ce que tu vas nous foutre la paix,oui!" elle les bats mais jean riposte. laa mére le bat durant une quart d'heure. le père remaque les blaissures mais ne fit rien. "remarquez que, dordinaire, elle nous battait jamais sans nous en donner les motifs." "mais, quand il les releva, je lui rendis son sourire, et ses moustaches sse mirent à trembler."

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le regard

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"ainsi toi même prêtée a notre jeu. Tu ne pouvais pas ne plus t'y prêtér""Il avait eu le temps, cependant, de me glisser une griffede lion dans la main et de me confier dans un brusque tutoiment..."

le père trubel part definitivement de la maison la mère gifle jean tante torure: marier a un pauvr, veuve,réclame de l'argent VF: vangeance à Folcoche records a tenir avec la mère(droit dans les yeux) 7min23sec jean essaye de battre le record détenu par lui même il y a un nouvel abbé Paule s'effondre et le père s'affole le medecin: Cacor jean tient le regard avec folcoche durant 8min interomput par les ongles qui griffent la table de Frédie "tu vois, Folcoche, que j'ai mille raisons de tenir le coup, la paupière haute et de daignant même pas ciller. Tu vois je suis toujours en face de toi, mon regard tendu vers ta vipère de regard à toi, tendu comme une main et serrant, serrant tout doucement, errant jusqu'a ce qu'elle en crève." "Et, dans ma tête, qui devient lourde, se balance un dernier espoir sacrilège"

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"Je n'y voyait qu'un piège pour me soutirer des plaites, qui, le soir, à l'examen de conscience me serrais véhémentementreprochées" si mes douze ans en paraissaient dix, j'avais la dureté des garçons de quatorze"

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La mère va mieux il y a une soirée; deux cents notables du coins reunis rien a se mettre un costume pour trois : économie chiffe; premier à le porter Jean; deuxieme cropette: troisiéme l'abbé est choqué "boone soirrée folcoche : reflexion a jean quand il porte de costume jean et son père regarde la mère dormir"C'est vrai qu'elle est mieux sans masque" convocation de jean avec sa mère elle pense qu'on la critique et jean dit non pour tout e monde mais ne répond pas our l'abbé"pour cet office là, ma mère, répondis-je calmement, voux avez Cropette" elle lui met une claque l'abbé renvoyer nouvel abbé Athanase Dupond, renvoyer au bou de 8 jours(choquer par l'éducation apporté aux enfants la mère part 2mois avec grand abbé peur des enfants quand elle revient

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"ce n'est pas le nombre de vivants, c'est leur autorité qui meuble une maison" "on ne construit pas un bonheur sur les ruines d'une longue misère"

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Sans la vipère

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fête 14 juillet les parents partent a Angers(ambulance, mme rezeau) les enfants ont le droit d'aaller dans le jardin et même jeans jusqu'aux fermes chasse au mouche pére fils noms des mouches du chilli: macelli,jacibu,ferdinand ablation de la vesicule bilaire de mme rezeau M.rezeau lit beaucoup: ouvrages scientifique discothèque des vieux: fredie regardent les étoiles ils parlent des bourgois et du peuple bourgeoisie spirituelle,bourgeoisie des professions liberales,bourgeoisie financière,bourgeoisie comerçante

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Le retour

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"la porte souvrit sèchement. En un clin d'oeil, nous rectifiâmes tous la position"

Folcoche va peut être mourrir et les enfants sont heureux comme tout elle ne meurt pas mais elle est reopérée la pudibonderie familiale son cas est tout de même très grave mais le docteur dit qu'avec une si grande volonté elle a des chances de rester en vie les enfants sont beaucoup moins joyeux leur tante:comptesse Bartolomi, aider le père a la belle angerie invité: le professeur Chadnown, Ibrahim Pacha du Caire, senhor Brichos Rocoa de sao polo il y a une"contre attaque" surement de la part de foloche les enfants se préparent folcoche revienta l'heure du souper

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le départ de tout le monde, sauf la vipère...

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"quatre ou cinq gifles, distribuées en pure perte sur des joues qui ne rougissaient même plus, venait de lui faire comprendre enfin la nécessité de changer de tactique"

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l'atitudede la mère change elle es t silencieuseelle fait monter marcel d'une classe car il est en avance elle veut renviyer la bonne mais le père refuse cropette, agent double,elle previent d'une fouille générale le père part une quinzaine chez un amie de changhai l'oblat par chez de la famille en normandie les enfants se retrouvent donc seuls avec folcoche

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manque de la vipère

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"tu ne parviendra pas à empoisoner notre joie" "choisis donc un de tes sourires et tâche de jouer le fair-play." "je n'aimais pas enfoncer les aiguilles dans le dos des gens" "jouer avec le feu, manier délicatement la vipère, n'était point depuis longtemps ma joie favorite"

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ils vont chez un ami a leir père ( tout le monde sauf folcoche et cropette templerot: ciré à l'époque, sauve la vie du père il a une fille, elle est gentille. déjeuner au lit Magueritte: le petit dejeuner au lit, bol et fraises ils vont chez un autre ami barron de villeron jean s'ennuie: folcoche lui "manque" envoie une carte (les enfants a folcoche) cropette repond, tout ce passe bien a la bele angerie le père doit écrire a folcoche mais il ne le fait pas.

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un retour mouvementé

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ELLE EST EN COLEREfredi,l'ainé, prend toute les punition car c'est l'ainé mais jean veut l'aider il va le voir le soir et elabore un plan pour que leur père enève les punitions le 1er mai(saint-jaques) cela fonctionne

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ils vont a la mer pour la premiere fois avant la famille ne trouver aucune utilité à cette activité ils vont a Royan: ils "étudiant" les sciences la bas tout le monde "paniquent" a l'idée de retrouver la mère ils veulent aller admirer la jetée de la Paillice qui est en cours d construiction mais il y a une lettre de la mère qui ordonne que tout le monde rentre le père rentre donc avec les enfants il y a un nouvel abbé XII: Traquet, il est autoritaire, les enfants une fois rentré travaillent dirèctement la mère a decouvert les provisions,les clés dans le placard.

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"la famille estimait inutiles et même immmorales de trempettes mondaines en eau salée" "accepter une situation et accepter de la discuter loyalement, ce sont deux choses très différentes oour un bourgeois du type Rezeau

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balade en bateau

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"je ne m'interrogais pas sur l'énormité du crime, aussi naturel à mes yeux que la destruction des taupes ou la noyade d'un rat" la belle angeri, riche d'un énorme prétexte a représailles"

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la mère a decouvert que c'était jean le coupable, elle est sur son dos coup de coude lorsque la mère veut franchir une porte jean a fait exprès, il demande pardon réflexion de la mère sur les ensiennes provisions des enfanrts"je croyait que notre provisions durerait plus longtemps" B VII est assez severe oupe trop salé les enfants pensent à tuer folcoche.... ils mettent de labelladone (comme a un cheval) dans sa tasse de café au matin, une mémorable colique ett devient un peu folle jean réflechit beaucoup à comment tuer sa mère rendonné en bateau sur l'Omée jean tue un oiseau... (c'est horrible mais bon) c'est pour s'entrainer avant de tuer sa mère il lui a enfoncer une aiguille dans le coeur... promenade en bateau avec la mère elle est tomber la "pauvre"

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la fugue

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supression des bateaux pour tous jean s'enferme dans sa chambre a l'aide de son armoire contre la porte, le lit.. tout le monde veut qu'ille sorte mais non il ne change pas d'avis folcoche ouvre de force la porte tout est en ordre jean a fugée il a laisser un mot"v.f"

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"triompher par la famine lui était apparu dangereux"

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Les Pluvignec

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"s'il fallait réfléchir ainsi, pesr toutes les conséquences de ses actes, avant de sentir leurs nécessité, je ne serais plus moi-même, je ne pourrais plus vivre" "Attaché comme une joue sur un visage ou comme une pomme sur un pommier"

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la fugue c'est décidée a 4h du matin il a pris un trai diresction paris chez les grands parents pluvignec il voit une fille de son âge il est TRES content il veut avoir du contact physique avec elle (Marie-Thérèse) Il arrive a montparnasse 5harrive à rue du Poussin( la ou habite les grands parents) les pluvignec sont des politiciens M.Pluvignec est sénateur Mme pluvignec est cardiaque Jean a un probleme avec la poitrine des femmes. Il arrive chez ses grands parents et il leurs raconte le drame Felicien Darcoulle: au service de jean la grand mère dit que jaques manque d'autorité et que paul d'experience Grand père dit a Jean qu'il reste chez eux jusqu'a que son père viens le cherher il lui donne de l'argent de poche

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retrouvailles, père-fils

"embarassé par les dispètres, voyant que déjà je méloignais de lui..." " sur cet échange d'aménites, les adversaires se tinrent crois" "il tousse, M.Rezeau, pour se dégager de ces considération plus embarrasasntes au fils du gruyère chaud. Il tousse et devient presque sincére"

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le père va chercher jean chez ses grands parents mais a midi il est trop énerver la grand mère ne laisse pas partir jean avec lui l'après midi jean va visiter la Tour Eiffel avec josette (la bonne) il aime bien josette le soir il retrouve son père il est plus calme qu'a midi la grand ère les laisses partir ils vont visiter paris, notre dame, la saint-chapelle, muséum , l'arc de triomphe, la louvre ils vont a la gare Montparnasse pour prendre un train les grands parents sont pas vraiment riche le père explique que son père(banquier) a récolter l'argent de son pére(arière grand père de jean) qui lui même dans les poubelles du second Empire ils vont dans le train, débat avec une femme dans le train , elle a un enfant de 3ans elle se plain d'etre "pauvre" et que jaques et jean sont riches, ils ont montrés des billets de "cochons" au controleur le père et la mère a pris une decision pour l'occasion de la fête de jean jean n'y crois pas vraiment il pense qu'ils ont juste changés de punition

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le point

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"je suis votre scandale, la vengeance du sciècle jeté dans votre intimité"" la haine est un levier plus puissant que l'amour" "[...]je lu quelque part, de se repier quelquefois sur soi-même et, capitaine armé du sextant, de préciser sa osition, parmi les courants, les vents,les idées et les voix de ce monde"

chapitre préféré

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Jean grimpe à un arbre c'est le seul endroit ou il est tranquille et seul il réfléchit a tout et a rien sa mère l'appel pour les devoirs il ne veut pad decendre de l'arbre il fait exprès d'être en retard folcoche ne l'a pas attendu (relâchement) jean est fier de lui et c'est une victoire personelle (interieure)

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cérémonie au manoir

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"bien sur, je le comprends, c'est même pourquoi que je suis sans chaleur" "mais ma haine à moi devine notre raison d'être et, surtout, de ne plus être.

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il n'y a personne a la mauison a part folcoche le père et ces enfants; l'abbé est en congé. la ménagère a proposer une maison de redressement pour les enfants ils sont en grandes vacancesils verront ça en septembre il y a une cérémonie au manoir avec tous les gens de la regions, paysants,politiciens.... toute la famillle des rezeau lors du discours, chanson de la cousine le père trouve ça charmant et jean jalouse un peu car la cousine a surement une mère attebtive... mais pas folcoche

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madeleine

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"un mot, un prétexte à punitions, une entorse au règlement de l'Eglise, aussi arbitraire que le règlement se Folcoche" "cette nouvelle vipère me grouillait dans le corps, il fallait aussi l'étrangler" "Ce qui m'a déjà été donné ne peut raisonablement m'être refusé"

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ils ont du faire des éconnomies car la cérémonie jean rejoint madeleine dans une prairie des trois ormes il lui fait un bisous il lui touche la poitrine il retourne chez lui il annonce a Fredie "mon vieux, la nèfle est mûre" la mère dit qu'ils font encore des messes basses madeleine à un frére Goerges elle revient chez jean et ils font des prédules

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la planque

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"ce que tu penses je l'eussse pensé à ta place, ce que tu tentes, je l'aurais tenté si il m'avait fallu, comme toi, me défendre désespérément[...]"

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jean dit a fredie qu'il a pris le pucelage de madeleine mai elle n'était pas vierge il dit que madeleine est sa victime et qu'elle le trouve godiche jean veut gifler madeleine car elle l'a quitter mais il l'a garde pour s'en utilisé elle n'a pas le droit de le tutoyer la guerre entre folcoche et jean fredi apporte les informations a jean, c'est son toutou cropette s'isole dans sa chambre folcoche cherche la deuxieme cachette de jean il perce le mus pour ka deuxieme planque folcoche va dans la chambre de jean mais jean y es elle déchire le bout de papier"la mension desafecter" elle trouve la réponse du berger à la bergère elle veut déposer un objet dangereuc=x dans la chambre de jean (cachette) et dire au père de faire une fouille générale pour l'accusé d'être dangereux jean l'attend dans la chambre il l'a surprend elle dit que fredie est aller pour elle à la bertonnière elle repart mais elle insite jean a sortit car i fait beau il a remarquer SON porte feuille dans ces mains c'est son plan opour qu'il parte a la maison de correctionpour cela trois solution: tuer sa mère, en parler à son père, la prendre sur le faitil fait un plan : il monte dans son arbre (taxaudier).

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Victoire de Jean

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"comme il s'agit de quelque chose de grave, elle ne crie pas sa fureur, elle la sifle""j'ai la cruauté de rire"

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Six mille sept cent franc dans la pleinte elle souris a jean il lui raporte elle nit elle dit qu'elle va tout dire au père(voler de l'argent) au final elle avoue et va rien dire au père jean va partir de la belle angerie pour aller au college il va quitter madeleine elle pleure mais il s'en fou

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"une vipère au poing"

"toi qui a déjà tant souffert, pour nous faire souffrir" " Aimer c'est sabdiquer. Hair, c'est s'affirmer; Je vis, j'attaque, je détruit. Je penses, donc je contredis" "elle n'a pas tord de se presser. Dans cette sacré maison, on renverse plus souvent la vapeur que sur les locomotives" "rien n'est petit dans ce monde, rien ne doit être négligé de ce qui peut achever votre oeuvre" "Merci, ma mère ! Je suis celui qui marche, une vipère au poing"

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ils vont allés au college car apparament les programmes sont de plus en plus chargés c'est une escuse que le père a inventer pour couvrir la mère jean décrit tout son poing de vu sur la vie et sa mère

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Hervé Bazinnom de naissance: Jean Pierre Marie Hervé-Bazin 17 avril 1911,Angers 17 février 19961,Angers écrivain et romancier français romans autobiographiques Famille: bourgeoisie catholique. petit-neveu de René Bazin jeunesse: révolte contre la tradition familiale et cléricale, et l’opposition à sa mère. études et en parallèle: poésie Jacques Hervé-Bazin: son père

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Herve Bazin PARIS, 1958 (Photo by Keystone-France/Gamma-Rapho)

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Sur cette couverture on voit une femme, la vipère, donc la mère des enfants, elle est au premier plan de la couverture, la lumière est dirigée sur elle, elle est donc mise en avant. Elle porte un haut vert, avec une col carré. Elle n'a pas de bijoux, ce qui rend son cou vide et assez masculin. son visage est froid et elle a les traits marqués. Elle a un nez plutôt imposant et une petite bouche, ces yeux sont bleus et elle nous regarde, son regard est assez "simple" et sans émotions. Elle parait donc assez froide et méfiante, son regard nous oppresse. Ses sourcils sont un peut elle parait hautaine. Le fond est noir ce qui l'a mets en valeur on voit que c'est une armoire en bois asse foncée, ce qui fait donc le contraste avec Paule.

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