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torture PRESENTATION

Dounia Brz

Created on November 9, 2023

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Les Tortures au Moyen âge

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Torture médiévale

la torture médiévale s’imposait dans le cadre de la procédure inquisitoire comme un instrument légal afin de contraindre le criminel à se dévoiler. Il s’agissait de « savoir la vérité par sa bouche », l’aveu étant la clé de voûte du procès

Torture médiévale

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La cure par l'eau

  • Au Moyen Âge, une torture couramment utilisée consistait à contraindre une personne à ingérer de grandes quantités d'eau. Attachée, avec le nez bouché et la bouche forcée ouverte, la victime était contrainte d'avaler des litres d'eau. Malheureusement, dans la plupart des cas, cela entraînait la mort, provoquée par l'éclatement de l'estomac.

La fourche de l'hérétique

  • Cet objet redoutable était utilisé pendant les périodes d'inquisition. Une fois placée autour du cou du prisonnier enchaîné, cette petite fourche à double extrémité l'empêchait de s'endormir, sous peine d'être transpercé au niveau du sternum et de la gorge..
  • Une autre méthode de torture cruelle consistait à enfermer la victime dans une cage en fer étroite, conçue pour épouser approximativement la forme de son corps. La cage était ensuite suspendue dans les airs, laissant le captif à son triste sort. La victime était condamné à rester là, exposé aux éléments et à l'isolement, jusqu'à ce que la mort survienne, soit par la déshydratation causée par la soif insatiable, soit par les corbeaux qui se repaissaient de sa chair. C'était une méthode terrible et brutale utilisée pour infliger d'atroces souffrances aux condamnés.

La cage en fer

L'empalement

  • Célèbre pour avoir été la torture préférée du prince Vlad III, l'empalement était une méthode atroce qui impliquait de placer une personne assise sur l'extrémité d'un pieu pointu. La gravité agissait lentement et empalant la victime jusqu'à ce que la mort s'ensuive. Cette forme de supplice était extrêmement cruelle et infligeait une souffrance insupportable jusqu'à la toute fin.

L'âne Espagnol

  • Pendant l'Inquisition espagnole, la torture de l'âne espagnol était infligée aux malheureux accusés. Ils étaient contraints de s'asseoir sur une petite poutre équipée de piques métalliques. Leurs jambes étaient étendues de chaque côté de l'âne et attachées à des poids lourds, provoquant une séparation douloureuse du corps. Cette méthode sadique causait des souffrances insoutenables et infligeait des blessures graves, souvent irréversibles aux victimes.

L'écraseur de tête

  • Cet instrument, appelé l'écraseur de tête, était conçu pour écraser violemment la tête de ses victimes, infligeant une douleur insoutenable et provoquant l'explosion des dents et de la mâchoire avant que la personne ne succombe à cet effroyable supplice. Il est considéré comme l'une des tortures les plus atroces du Moyen Âge.

L'araignée Espagnole

  • Cet instrument, appelé l'écraseur de tête, était conçu pour écraser violemment la tête de ses victimes, infligeant une douleur insoutenable et provoquant l'explosion des dents et de la mâchoire avant que la personne ne succombe à cet effroyable supplice. Il est considéré comme l'une des tortures les plus atroces du Moyen Âge. Dans certains ouvrages historiques, on raconte que cet instrument de torture était réservé aux femmes adultères: la pince aux griffes acérées était chauffée à blanc, pour ensuite facilement percer la peau et arracher le ou les seins de la malheureuse.

La manivelle intestinale

  • La torture de la manivelle intestinale impliquait d'attacher la victime sur une table et de pratiquer une incision à l'abdomen. Le bourreau utilisait ensuite un crochet relié à une manivelle pour accrocher un morceau d'intestin et le retirer lentement du corps de la victime. Ce supplice atroce pouvait entraîner l'extraction de 3 à 6 mètres de viscères, infligeant une douleur insupportable à la victime.

La torture du tonneau

  • La victime malheureuse était enfermée dans un tonneau, seule sa tête exposée. Confinée dans cet espace étroit, la personne ne pouvait soulager ses besoins ailleurs, ce qui entraînait progressivement le remplissage du tonneau avec ses propres excréments. Cette mixture abominable attirait inévitablement des essaims d'insectes et de vers qui, avec le temps, se délectaient de la chair de la victime. Les tourments infligés par ces créatures conduisaient souvent à des infections graves, entraînant une mort atroce pour la victime.

Traîné, pendu et équarri

  • C'est par le biais de cette torture élaborée que Sir William Wallace, le célèbre chevalier écossais indépendantiste, subit une mort brutale. La torture impliquait une combinaison choquante d'étranglement, d'éventration, d'éviscération et de castration infligée à la victime. Cependant, l'horrible rituel ne s'arrêtait pas là, car qu'il soit vivant ou mort, on poursuivait le grotesque en décapitant et en découpant le corps en quatre morceaux, accomplissant ainsi l'équarrissage macabre. Cette séquence de tortures visait à infliger une douleur extrême et à déshonorer la victime, ajoutant une cruauté supplémentaire à la mise à mort de Sir William Wallace.

Torture médiévale

Les tortures étaient donc hiérarchisées selon l’importance donnée à l’aveu souhaité. Les tortures les plus supportables entraient dans la catégorie de la « question ordinaire », n’ayant pour but que d’obtenir l’aveu. Les tortures les plus insupportables appartenaient à la « question extraordinaire », et s’apparentaient en réalité davantage à un avant-goût de la mise à mort plus qu’à la volonté de faire avouer.

Torture médiévale

Ces méthodes de torture variaient considérablement, allant du simple fait de plonger le bras dans l’eau bouillante ou de brûler une partie du corps au fer rouge, à des moyens plus spectaculaires et d’une cruauté inouïe, tels que La roue : Le supplicié avait les membres brisés à l’aide d’une barre de fer, puis était exposé au soleil sur une roue, les membres pendants. L’écartèlement par chevaux ou sur chevalet. La torture de l’eau : Absorption forcée et continue de cruches d’eau. L’empalement ou le bouc des sorcières : Le présumé coupable était assis de force sur un pic ou un trépied pointu lui entrant lentement dans le corps. La flagellation

Abolition À noter que la torture au Moyen Âge, à partir du XIIIe siècle, était pratiquée uniquement par le bourreau. Il était mis au ban de la société, ainsi que sa famille, et était le seul à pouvoir la pratiquer. Cette charge, à partir du XVe siècle, devint héréditaire. Ironie de l’Histoire : c’est Louis XVI qui a aboli la torture en deux temps, la question préparatoire en 1780, puis la question préalable en 1781

Dounia B