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Jeanne d'Arc
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Created on November 3, 2023
Vie & Faits Historiques
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Transcript
Jeanne d' Arc
Jeanne d' Arc
Jeanne d' Arc
Jeanne d' Arc
Jeanne d' Arc
Biographie et Faits Historiques
Créé par Ezio Bennardo
Plan
I - Enfance II - Conquêtes III - Le Sacre IV - La Jalousie du Roi V - Capture VI - Procès VII - Mort
VIII - Fin de Guerre
Prologue
L'élément déclencheur de la guerre de Cent Ans est la confiscation par le roi de France Philippe VI des fiefs d'Édouard III, roi d'Angleterre, en 1338. La rivalité des deux rois remonte à 1328 : Charles IV le Bel meurt sans héritier mâle.
La mort de Charles IV le Bel (roi de France), dernier roi capétien, engendre un conflit de succession entre Philippe VI de Valois (roi de France), et Édouard III de Plantagenêt (Angleterre), qui déclenche la guerre de Cent Ans.
I - Enfance
Jeanne d’Arc est née en 1412 à Domrémy, aux marches de la Lorraine. Jeanne a 13 ans et est une fillette pieuse et illettrée, elle vit une apparition de plusieurs saints qui lui donnèrent pour mission de conduire le dauphin à Reims pour le faire sacrer afin de jeter les anglais hors de France.
Elle vint à Vaucouleurs, où elle ne passa pas inaperçue, elle rencontra même le duc de Lorraine ! Face à cette détermination, Baudricourt s’assure auprès de son curé « que le diable n’est pas en elle ». Puis il lui donne une escorte de quelques hommes puis, Habillée en homme, Jeanne va jusqu’à Chinon pour y rencontrer le dauphin…
Arrivée à Chinon, Jeanne entre la grande salle du château et, à la grande stupéfaction du roi, elle le reconnut parmi ses sujets, caché. ( un autre sujet avait prit sa place sur le trône ). elle se présente, disant que dieu lui commande de l'emmener au sacre (à Reims). Ils s'entretenèrent et lorsque ils ressortirent , Convaincu, Charles a cependant la prudence de faire examiner Jeanne par des théologiens à Poitiers. Le bon sens de Jeanne y fait immédiatement sensation. « En quelle langue parlent vos Voix? demanda l’un des frères -Meilleure que la vôtre, répliqua-t-elle. -Croyez-vous en Dieu? -Mieux que vous. » Des matrones vérifient même sa virginité. le roi donna à la Pucelle la garde de plusieurs hommes et l'autorisation de se joindre au dernier convoi destiné à sauver Orléan. Jeanne fit faire un étendard timbré de la fleur de lys et des mots JhesusMaria.
/!\ Attention Pavé
II - Conquêtes
Avant l’arrivée de Jeanne d’Arc, Orléans est au bord de la reddition, la ville n’a plus de ressources et est épuisée. Jeanne rentre secrètement dans la ville pour y rencontrer Dunois. Elle le somme de faire une sortie, mais il refuse et préfère attendre les renforts. Finalement elle prend les choses en main, charge deux bastides anglaises et c’est un succès !
Le soir Dunois et ses hommes veulent en rester là, mais Jeanne refuse, ameute la population qui se prépare toute la nuit. Le lendemain, l’assaut est donné ! Les pertes sont élevées, Jeanne est touchée par un carreau d’arbalète. La blessure est superficielle, elle retourne galvaniser ses troupes. Les Anglais paniquent, ils se jettent dans la Loire, le 8 mai 1429, Orléans est sauvé. C’est un miracle ! Pour Jeanne, la prise d’Orléans prouve le caractère divin de sa mission, la foule lui prête même des pouvoirs de guérison. Pour les Anglais, humiliés, la Pucelle est envoyée par le diable.
1 2
Jeanne rencontra dans son parcours nombre de grands hommes de guerre, fidèles compagnons. Lesdits compagnons les plus connus sont :
Après l’exploit d’Orléans, deux possibilités s’offraient aux Français : attaquer Paris ou aller à Reims, comme le veut Jeanne, pour sacrer le roi. Le Dauphin, hésitant, finit par donner raison à Jeanne. Seulement le pari est risqué, Reims est cerné par des possessions anglaises et bourguignonnes. Une rencontre décisive a lieu à Patay, face aux Anglais de John Talbot, tout juste chassé d’Orléans. Chacun a encore les souvenirs d’Azincourt, cimetière français. Seulement la Pucelle est là, et elle assure la victoire au nom de Dieu. La bataille s’engage, la charge française est irrésistible, les Anglais laissent 2 000 morts et leur chef prisonnier. Côté français, les pertes sont quasiment nulles.
Le Duc d'Alençon
Dunois
La Hire
Gilles de rais
Richemont
III - Le Sacre
Pour ouvrir la route jusqu’à Reims, les Français libèrent Auxerre, Troyes et Chalons. Le Dauphin peut enfin faire son entrée dans la cathédrale de Reims pour y recevoir le Saint Chrême. Jeanne est à ses côtés, portant son étendard. Le régent anglais, le duc de Bedford, réagit sans attendre, il fait sacrer le jeune Henri VI à Notre-Dame de Paris. Mais sans la Sainte Ampoule, qui valide le rituel du sacre, le couronnement n’a aucune signification. Il n’y a plus qu’un seul roi sur la France, l’héritier des Valois, Charles VII. La mission de Jeanne s’est couronnée d’un succès
IV - La Jalousie du Roi
Sans les hésitations du Jeune Roi, Jeanne aurait accompli sa tâche depuis longtemps. Alors que Jeanne se dirige vers Paris, le roi préfère négocier avec le duc de Bourgogne. Une fois sous les murs de la capitale, le bataillon constate que les Anglais ont eu le temps de se préparer depuis fort longtemps. L’assaut est donné à la porte Saint Honoré. Blessée à la cuisse, Jeanne reprend néanmoins le combat, mais le miracle ne se reproduit pas. Le roi décide de lever le siège, et de dissoudre l’armée. Il ne veut pas la guerre mais la négociation. Depuis le sacre, Charles VII traite la jeune Pucelle avec dédain et jalousie. Il décide de s’en débarrasser en l’envoyant combattre les compagnies. Mais Jeanne manque de renforts et de munitions, la campagne est un échec. Dès 1430, les intentions du duc sont claires, aux côtés des Anglais, il souhaite reprendre les villes qui sont passées au roi. Mais Charles VII n’a plus d’armée, il laisse Jeanne se débrouiller toute seule.
V - Capture
Elle s’entoure alors de chevaliers fidèles, elle recrute des mercenaires… Le jour de Pâques, elle est acclamée à Melun. Elle attend les renforts du roi, mais ceux-ci ne viennent pas. Elle décide alors de défendre Compiègne assiégée, multipliant les sorties contre l’ennemi. Celle du 24 mai est fatale, elle s’engage trop loin, et se trouve face à une contre-attaque bourguignonne menée par Jean de Luxembourg. La retraite s’effectue, elle reste la dernière. Au moment de rentrer dans la ville, le pont-levis est levé. Trahison ou imprudence ? Quoiqu’il en soit, Jeanne est jetée hors de son cheval et capturé par le seigneur bourguignon.
V - Capture
Elle s’entoure alors de chevaliers fidèles, elle recrute des mercenaires… Le jour de Pâques, elle est acclamée à Melun. Elle attend les renforts du roi, mais ceux-ci ne viennent pas. Elle décide alors de défendre Compiègne assiégée, multipliant les sorties contre l’ennemi. Celle du 24 mai est fatale, elle s’engage trop loin, et se trouve face à une contre-attaque bourguignonne menée par Jean de Luxembourg. La retraite s’effectue, elle reste la dernière. Au moment de rentrer dans la ville, le pont-levis est levé. Trahison ou imprudence ? Quoiqu’il en soit, Jeanne est jetée hors de son cheval et capturé par le seigneur bourguignon.
Le seigneur Jean de Luxembourg n’a que faire de la Pucelle, il la vend aux anglais pour Io ooo £. Le roi Charles VII n’a rien fait pour sauver Jeanne, ni soldats ni richesses.
VI - Le Procès
Henri VI remet la jeune fille aux mains de la juridiction ecclésiastique. L’évêque Pierre Cauchon entend la juger lui-même pour hérésie, prétextant qu’elle fut capturée sur son diocèse. Jeanne est donc transférée à Rouen, solidement tenu par les Anglais. Elle est enfermée dans le donjon du château de Bouvreuil qui domine la ville. Cauchon réalise un nouveau test de virginité, mais la Pucelle est bien vierge ! Aux préliminaires du procès, il n’a rien pour l’accuser. Des théologiens se chargent de l’interrogatoire, mais Jeanne fait preuve d’un bon sens incroyable, elle parvient à tenir tête à ses juges. Cauchon décide alors de pratiquer des interrogatoires à huis clos. Il lui demande pourquoi elle porte des vêtements d’hommes, parce que c’est plus pratique pour le voyage et indispensable pour le combat, lui répond-elle. En revanche elle refuse de reprendre des habits féminins. Mais se travestir ainsi est un crime pour l’Inquisition, Cauchon a enfin un motif d’accusation. Le véritable procès peut commencer,
il s’étale sur deux mois. Le 23 mai, dans le cimetière de Saint Ouen, une mise en scène publique a lieu. Après un réquisitoire d’une rare violence, Cauchon annonce à Jeanne qu’elle est condamnée au bûcher, la jeune fille de 19 ans est terrorisée. Il lui donne alors un acte d’abjuration qu’elle signe d’une croix : en s’engageant de porter des vêtements féminins, elle échappe à la mort.
Jeanne revient dans sa cellule au grand mécontentement des anglais qui auraient voulus une éxécution rapide. Les soldats menacent même de s'en prendre aux juges et à l'évèque... Mais quelques jours plus tard, s'étant fait dérober ses vêtements et craignant à juste titre pour sa vertu, elle reprend des habits d'homme, ce qui lui vaut d'être cette fois condamnée au bûcher comme relapse
Vêtue d'une robe soufrée destinée à la faire brûler plus vite et coiffée d'une mitre sur laquelle sont écrits des mots infâmants, la jeune fille est conduite sur le lieu de son supplice. Détail sordide : le bûcher étant trop élevé, le bourreau Geoffroy Thérage se trouve dans l'impossibilité d'étrangler sa victime avant que les flammes ne l'atteignent, ce qui vaut à Jeanne de périr vive dans de grandes souffrances.Comme Winchester souhaite un ultime aveu, l'évêque Cauchon s'approche des flammes mais c'est pour s'entendre dire : «Évêque, je meurs par vous ! ». Et dans un dernier défi, elle murmure: «Que j'aie bien fait, que j'aie mal fait, mon Roi n'y est pour rien !...» Un des juges, pris de remords, confiera : «Je voudrais que mon âme fût où je crois qu'est l'âme de cette fille ! »Après le supplice, le bourreau se voit chargé de jeter les cendres dans la Seine afin d'éviter qu'elles ne deviennent objet de ferveur.
VII - Mort
Ignite
Vêtue d'une robe soufrée destinée à la faire brûler plus vite et coiffée d'une mitre sur laquelle sont écrits des mots infâmants, la jeune fille est conduite sur le lieu de son supplice. Détail sordide : le bûcher étant trop élevé, le bourreau Geoffroy Thérage se trouve dans l'impossibilité d'étrangler sa victime avant que les flammes ne l'atteignent, ce qui vaut à Jeanne de périr vive dans de grandes souffrances.Comme Winchester souhaite un ultime aveu, l'évêque Cauchon s'approche des flammes mais c'est pour s'entendre dire : «Évêque, je meurs par vous ! ». Et dans un dernier défi, elle murmure: «Que j'aie bien fait, que j'aie mal fait, mon Roi n'y est pour rien !...» Un des juges, pris de remords, confiera : «Je voudrais que mon âme fût où je crois qu'est l'âme de cette fille ! »Après le supplice, le bourreau se voit chargé de jeter les cendres dans la Seine afin d'éviter qu'elles ne deviennent objet de ferveur.
VII - Mort
Ignite