RÉCIT ÉPIQUE 6ème-2023-2024

LES RÉCITS ÉPIQUES À LA MANIÈRE D'HOMÈRE

ÉCRITS D'INVENTION DE LA CLASSE DE 6ème 4 accompagnés par Mme PETIT.

Sujet de l'écrit d'invention

Imaginez une nouvelle aventure d’Ulysse face à un autre monstre que ceux rencontrés dans L’Odyssée.

LES CRITÈRES ET LES ÉTAPES À RESPECTER Le récit sera mené sur l’axe du présent, à la 3ème personne. Il sera structuré en pargrapahes distincts, répondant aux exigences suivantes : 1er paragraphe : le contexte Phrase d’amorce « Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent sur l’île... » Vous décrirez les lieux découverts. 2ème paragraphe : la rencontre avec le monstre Phrase d’amorce « Tout à coup Ulysse sent la terre trembler... » Vous décrirez la rencontre et le monstre. 3ème paragraphe : le combat et la ruse Phrase d’amorce « Alors Ulysse, l’homme aux mille ruses, met en place un plan ingénieux... » Vous décrirez le combat contre le monstre et la ruse mise en place. 4ème paragraphe : le dénouement Phrase d’amorce « Dès que paraît l’aube aux doigts de rose, ... » Vous décrirez la victoire d’Ulysse sur le monstre.

Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent sur l’île du Naphaon. Ils aperçoivent des plantes de toutes les couleurs. Ulysse voit une plante noire : c’est la seule présente sur l’île. À coté de la plante, ils découvrent des femmes habillées de bois et des enfants pleins de cailloux. Tout à coup Ulysse sent la terre trembler. Il se retourne et voit Médusa le monstre le plus dangereux de toute l’île sortir de l’eau, la créature mi-femme mi-méduse ! Medusa a une tête de femme et un corps de méduse. De ses tentacules noires et violettes elle peut injecter du venin jaune. Mais il y a qu’un remède. Alors Ulysse l’homme aux mille ruses, met en place un plan ingénieux. Médusa et Ulysse s’observent pendant qu’elle essaye de le piquer, juqu’à ce qu’elle y arrive. En même temps la plante noire commence à briller. Ulysse s’approche et prend une feuille. Tout à coup il se sent mieux. Dès que paraît l’aube aux doigts de rose, Ulysse essaye encore d’affaiblir Médusa mais ne trouve aucune solution. Tout à coup une femme habillée de bois, venue du fond de la plage, donne un arc à Ulysse. Ulysse lance une flèche en plein coeur de Médusa qui disparait dans l’Océan.

Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent sur l’île. Ils regardent et découvrent cette île : elle est déserte mais ils décident d’aller voir. Ulysse et ses cinq compagnons partent, ils découvrent un petit point d’eau avec un gros trou dans la terre sèche. Tout à coup Ulysse sent la terre trembler, et il entend un son. A cet instant-là un serpent d’une taille surhumaine sort. Le serpent commence à parler : «Qui-est vous ?» leur demande le serpent. Ulysse répond : «Nous sommes les gagnants de Troie, et toi qui es-tu ? » Il dit : « Moi je m’appelle Sézame !» A ce moment il les enroule de toute sa queue et les serre. Il les emmène dans son trou et les met dans une grande cage. Alors Ulysse l’homme aux mille ruses, met en place un plan ingénieux. Il se souvient qu’il a pris le miel que Calypso lui a donné. La nuit tombe, il prend un bout de bois et étale le miel sur le bâton. Ulysse arrive alors à ouvrir la cage : il frotte le bâton sur le corps géant du serpent, celui-ci se frotte par terre. Dès que paraît l’ aube aux doigts de roses, le serpent se réveille et découvre qu’ il est collé par du miel, il se débat mais il n’ arrive pas à se décoller. Ulysse et ses compagnons grimpent le long du trou, ils arrivent à sortir. Ulysse dit : « Je suis un guerrier de Troie, mais aussi le grand fils de Laërte. Et odieux monstre, sache que c’est moi qui t’ai collé ». Ulysse retourne ensuite à son bateau et reprend la mer.

Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent sur l’île noire. Ulysse se tient droit à la proue alors que ses compagnons sont tous au bout du bateau à la poupe. Ulysse met un premier pas sur la terrible terre noire. Tous ensemble, ils trouvent une forteresse au loin. Ulysse rentre par un portail grinçant, ses compagnons regardent ce portail où ils peuvent lire l’inscription « Antepote » : une ancienne académie regorgeant de monstres à l’époque. Ulysse et ses compagnons entendent des cris de rage ; Ulysse, intrigué, se dirige vers la tour, donne un gros coup de pied et voit une ombre terrifiante. Tout à coup Ulysse sent la Terre trembler sous ses pieds et, en voyant la créature, il entend ses compagnons crier « Oh non, un Sentinelle ! ». Les yeux d’Ulysse regardent la bête, le regard fixe. Soudain, le dragon monstrueux leur saute dessus, les attrape d’un coup d'aile et les enferme dans une chambre secrète du château. Au bout de trois jours, un de ses compagnons est affamé, un autre fait les cent pas autour de la pièce vide alors qu'Ulysse regarde les murs en réfléchissant à un plan d’évasion. Il se remémore le monstre afin d’évaluer ses faiblesses ; il a de grandes ailes pouvant tailler une forêt entière, une corne de rhinocéros, une mâchoire pointue, des yeux effrayants, des grosses pattes, des oreilles allongées et une queue pleine d’épines, et tout à coup, il sait ! Alors Ulysse, l’homme aux milles ruses, met en place un plan ingénieux : ils attirent le sentinelle grâce à beaucoup de bruit. En arrivant celui-ci défonce la porte avec sa tête. Les compagnons d’Ulysse lui jettent des projectiles trouvés sur place afin de détourner son attention. Ulysse et un de ses compagnons profitent de ce moment pour l'attaquer en lui transperçant les ailes, le monstre s'immobilise et tombe à la renverse. Ils en profitent pour s’échapper. Dès que paraît l’aube aux doigts de rose, Ulysse et ses compagnons rejoignent leur navire heureux de cette nouvelle victoire. En effet, grâce aux ruses d’Ulysse, l’équipage est encore sorti vainqueur de cette aventure.

Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent sur l’île des dragons. C’est une île magnifique d’un côté de la montagne, et de l’autre, un carnage, des tas d’os, des tas de viandes. Ulysse et ses compagnons aperçoivent un nid de dragons avec trois œufs de trois couleurs différentes : un rouge vif, un bleu foncé, et un doré. Ulysse se rapproche de ces œufs, il ne peut pas résister à ses œufs colorés, et n’arrête pas de penser à la fortune que cela pourrait lui rapporter. Ses compagnons lui disent de ne pas y aller, mais il ne peut résister. Tout à coup Ulysse sent la terre trembler : le dragon surgit. Ulysse est effrayé par l’aspect monstrueux du dragon. Le dragon se tient en face d’Ulysse qui veut ses œufs. Ulysse lui explique, et lui promet qu’en échange d’un cadeau, il leur laisse la vie et un des œufs. Alors Ulysse, l’homme aux mille ruses, met en place un plan ingénieux, il se souvient des points faibles des dragons : l’eau. Il envoie un signe à ses compagnons, et, il leur demande de prendre tous les seaux d’eau qu’ils ont sur leurs bateaux et de les remplir d’eau. Le dragon qui perd patience, se met à cracher du feu partout. Il commence à brûler vif un de ses compagnons. Ses compagnons se dépêchent et arrivent, lancent tous les seaux d’eaux sur le dragon, dans les yeux, pour les brûler. Le dragon part et ne revient plus jamais, mais il garde deux de ses œufs. Dès que paraît l’aube aux doigts de rose, Ulysse et ses compagnons font un festin pour fêter leur victoire. Le repas est constitué de l’œuf doré. Après leur festin, ils repartent en bateaux pour de nouvelles aventures.

Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent sur l’île de la jungle. Il y a d’énormes arbres, des plantes immenses. Cette île est magnifique mais on raconte que tous les aventuriers qui s’y aventurent ne reviennent jamais. Mais Ulysse, qui est curieux, a envie de savoir ce qui s’y cache. Il commence à marcher avec ses compagnons mais la jungle est dense. Ulysse et ses compagnons commencent à être fatigués. Ulysse leur dit :« Arrêtons-nous ici, nous reprendrons notre route plus tard ». Alors, ils s’asseyent. Tout à coup, Ulysse sent la terre trembler. Ulysse ressent comme un frisson. Mais soudain, plus rien, règne un calme terrifiant. Ulysse voit une énorme bête, elle doit faire dix mètres, elle ressemble à un gorille immense avec de grandes dents. Alors Ulysse, l’homme aux milles ruses, met en place un plan ingénieux. Il voit au loin des bananes et il se dit « Tiens, tiens, j’ai une idée. Je vais l’appâter vers un trou qu’on va creuser. Dedans je mettrai des pieux pour qu’ils le transpercent ». Quand le plan est fini, il dit au singe : « Aimes-tu les bananes ? ». Le singe répond d’une voix féroce : « Oui j’adore ». Ulysse lui propose : « J’ai posé des bananes un peu plus loin ». Le gorille ordonne à Ulysse : « Accompagne-moi ». Dès que paraît l’aube aux doigts de rose, le singe arrive enfin au piège qu’a construit Ulysse. Devant lui il ya les bananes. Le singe qui a très faim, court le plus vite possible vers les bananes ; soudain le sol s’écroule. Le singe tombe à l’intérieur du trou. Les pieux le transpercent. Ulysse, qui a réussi encore une fois à terrasser un monstre, annonce à ses compagnons : « Fêtons cette victoire ». Alors ils font la fête pendant des heures.

Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent sur l’île Maloase. Ils découvrent l’île, entourée d’eau turquoise, toute fleurie, avec plusieurs grottes et roches. Il y a aussi des grands palmiers et des cerisiers. Ici n’habitent que des femmes et des filles : elles sont toutes blondes, aux yeux bleus, petites et très laides. Deux semaines plus tard, un matin, alors qu’Ulysse se promène avec un de ses compagnons, le plus fidèle, ils tombent dans un trou. Tout à coup Ulysse sent la terre trembler puis il voit une immense ombre tout au fond de la grotte. Ensuite l’ombre se rapproche : il découvre un animal tout petit, tout mignon. Tout à coup l’animal grossit, grossit… Il fait cela pour impressionner son adversaire. C’est le Malonitord : le Malonitord est un monstre avec une tête de jaguar et un corps de kangourou. Il est grand et plutôt gros. Le Malonitord prend Ulysse et son compagnon, les met dans sa poche, devant sur son ventre. La poche ressemble à un monde pour les bébés. Alors Ulysse, l’homme aux mille ruses, met en place un plan ingénieux. Vu qu’il a compris que le Malonitord est une femelle et qu’il a vu qu’elle est plus faible car elle attend un bébé, il pense à un plan. Quand le bébé naîtra, le Malonitord sera tellement fatiguée qu’elle se couchera. Ulysse en profitera pour s’enfuir avec son couteau dans les mains. Le jour venu il met son plan en marche. Quand il s’enfuit de la poche, le Malonitord se réveille et essaie de bloquer l’issue. Ulysse passe sous ses jambes puis la scalpe. Elle préfère leur laisser la vie sauve car elle est fatiguée, occupée par son nouveau-né. Alors notre héros s’enfuit avec ses hommes sur son bateau. Dès que paraît l’aube aux doigts de rose, il crie du haut de son bateau : « J’ai laissé la vie sauve à ton enfant, alors ne t’en prends plus aux hommes. » Le Malonitord, vaincu par Ulysse, redevient petit et mignon puis s’enfuit avec son bébé dans la forêt. Plus jamais on n’entend parler du Malonitord.

Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent sur l’île des Soneaux. C’est une île immense aux pouvoirs étranges : tous ceux qui s’y trouvent sont figés. Ulysse prend la moitié de ses compagnons, puis part à la découverte de cette île étrange. Il sent l’air sur son visage mais ne le voit pas remuer les branches des arbres. Tout à coup Ulysse sent la terre trembler de plus en plus fort. Soudain, notre héros et ses compagnons voient une ombre gigantesque. Ils vont vite se cacher dans une toute petite grotte peu profonde, creusée par la pluie. Alors ils observent discrètement cette créature sortie de nulle part. Elle a des oreilles immenses et un symbole mystérieux sur son front, elle mesure plus de deux mètres de haut. Les Soneaux sont gigantesques. Ils portent sur eux des armes bizarres en métal. Ils s’avancent vers Ulysse en rugissant. Un des monstres jette une arme vers eux. Ils s’enfuient vers le centre de l’île ; aussitôt ils découvrent une grotte avec une émeraude géante suspendue dans les airs. Alors Ulysse, l’homme aux mille ruses, met en place un plan ingénieux. Il comprend vite que l’émeraude doit avoir un pouvoir. Il pense s’en servir contre les Soneaux. Il s’approche de l’émeraude, la touche avec sa lance. La lance se transforme en pierre. Ulysse comprend que l’émeraude transforme en roche tout ce qu’elle touche. Alors que les Soneaux approchent, il demande à ses compagnons de frapper l’émeraude avec leurs épées. Ils frappent tous en même temps : l’émeraude explose, aussitôt un nuage de poussière verte s’abat sur les monstres. Dès que parait l’aube aux doigts de rose, Ulysse et ses compagnons entendent le bruit du vent dans les feuilles et celui des écureuils dans les arbres. Plus loin, un des compagnons d’Ulysse montre des formes étranges. Les Soneaux sont devenus des statues de pierre.

Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent sur l’île Danamie. C’est une île remplie d’arbres. Apparemment des hommes y sont allés mais ne sont jamais revenus. Notre héros n’est bien sûr pas au courant. Cette île est très mystérieuse, il voit des ombres immenses et des arbres qui bougent. Ulysse, par curiosité, s’y aventure aussitôt. Tout à coup Ulysse sent la terre trembler. Il panique car, soudain, une immense bête apparaît, une bête aux cornes pointues, aux griffes géantes, au corps poilu et à la taille démesurée. Ulysse ne sait le nom de cette créature. Mais il ne va pas tarder à le savoir. D’un ton diabolique, la bête parle d’une voix grave : « Des humains ! Je vais avoir un bon repas. - Bonjour, dit Ulysse puis il demande : Qui êtes-vous ? - Je suis Boris, n’avez-vous jamais entendu parler de moi ? Je suis la bête la plus féroce au monde. Et vous, qui êtes-vous ? - Moi je suis Ulysse, l’homme aux mille ruses, roi d’Ithaque, fils de Laerte. Eux ce sont mes compagnons. Vivez-vous seul sur cette île ? - Oui depuis bien longtemps malheureusement ; ma famille a été tuée par de sauvages humains et je compte bien me venger en vous tuant tous. » Alors Ulysse, l’homme aux mille ruses, met en place un plan ingénieux. Il dit à Boris : « Pas du tout, je crois que ce ne sont pas des humains qui les ont tués. Car nous les hommes adorons les bêtes comme vous. Dans notre ville, il y a pleins d’habitants comme vous. Si vous voulez, venez sur mon île, vous vous ferez pleins d’amis. - Je veux bien, mais je suis bien trop lourd pour le bateau. - Mais non ne vous inquiétez pas nous avons deux bateaux. Mes compagnons et moi irons sur le petit et vous monterez sur le grand. Ainsi vous êtes sûr de pas couler. Allez vous préparer car le voyage va être long. » Pendant ce temps-là Ulysse raconte son plan à ses compagnons et va faire un trou dans la coque du grand bateau. Ensuite il leur dit que quand Boris va monter dedans, tout va bien se passer, que dix minutes plus tard il coulera en plein milieu de l’océan. Ses compagnons ne sont pas rassurés par cette ruse, mais finalement tout se passe bien selon le plan de leur chef. Mais ce dernier a oublié que la nourriture se trouve dans l’autre bateau. Ils ont à manger sur leur navire, mais jamais assez pour tout le monde. Dès que paraît l’aube aux doigts de rose, quatre jours plus tard, quatre hommes sont morts de faim. Ulysse perd espoir. Encore deux jours plus tard un homme est retrouvé mort. Quelques heures après, Ulysse réussit à regagner son île. Épuisé mais vivant, il retrouve sa famille et raconte toutes les péripéties qui lui sont arrivées.

Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent sur une île mystérieuse. C’est un endroit mythique que l’on pense légendaire, avec un lac en plein milieu. Tout autour du lac il y a une forêt mystérieuse. Ulysse et ses compagnons trouvent un arbre qui semble déjà habité. Par curiosité ils y entrent, s’y installent et y font leur vie. Mais, au bout de deux semaines, ils veulent repartir car la nuit des grondements sourds se font entendre. Mais Ulysse ne veut pas repartir, alors il force l’équipage à rester dans les parages. Il décide de rester éveillé toute la nuit pour connaître l’origine de ces bruits.... Tout à coup Ulysse sent la terre trembler puis il entend les grondements. À ce moment-là surgit de nulle part une bête affreuse. Ulysse ne sait pas ce que c’est. De peur, il prend ses jambes à son cou, court prévenir ses compagnons en leur disant à quoi ressemble la bête : « Mes frères, la bête qui hante cette île est grande, bossue avec des cornes pointues et des griffes crochues. Elle est monstrueusement grande. Elle a des poils marrons ; elle porte une toge blanche. Tout autour d’elle se trouvent des milliers d’ossements humains ! » Alors le lendemain ils vont à leur bateau mais là ils voient qu’ il n’y a plus rien. Ils essaient de le reconstruire mais toutes les nuits la bête vient détruire ce qu’ils ont fait. Alors Ulysse, l’homme aux mille ruses, met en place un plan ingénieux. Il décide qu’il faut espionner la bête pour savoir quand elle vient détruire leur bateau. Ils constatent qu’elle arrive au coucher du soleil, alors Ulysse dit que quand elle sera partie, après avoir détruit leur bateau, il reconstruira immédiatement leur bateau. Malheureusement la créature dort là toutes les nuits. Alors Ulysse, vert de rage, décide de la tuer dans la nuit en la transperçant du plus grand nombre d’ossements retrouvés. Dès que parait l’aube au doigts de roses, Ulysse voit que la bête vit ses derniers instants alors il lui crie, avant de partir sur son bateau qu’ils ont reconstruit : « Je m’appelle Ulysse ! » La bête, dans un dernier souffle envoie une dernière parole aux dieux avant de mourir : « Faites qu’Ulysse ne rentre pas avant longtemps chez lui ! »

Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent sur une île inconnue. Cette île est gigantesque, des champignons géants sont présents partout. Les champignons bloquent le passage à Ulysse et ses compagnons. Ils décident d’en contourner un pour voir ce qu’il y a derrière. Tout à coup Ulysse sent la terre trembler, il tombe au sol. Le champignon qu’il vient de contourner se met à grandir, se transforme, s’élève vers le ciel… Ulysse se rend compte que ce n’est pas un champignon mais un horrible monstre. Ulysse se trouve aux pieds de ce terrible monstre, il mesure trois mètres, il semble énorme. De grandes dents impressionnent Ulysse, lui font même peur. Alors Ulysse, l’homme aux milles ruses, met un plan ingénieux. « Mes compagnons, j’ai une idée ! Nous allons lui tendre une embuscade ! » Ulysse se dirige vers le monstre mais le monstre l’évite et le capture. Le pauvre Ulysse est alors séparé de ses compagnons… Ulysse se réveille tout doucement et voit des traces de ses compagnons. Il suit son chemin, il voit alors ses compagnons, le monstre est là, en train de leur faire peur. « Pourquoi attaques-tu mes amis ? - Parce que je veux les manger, et au passage toi aussi ! » Ulysse chuchote à ses compagnons : « Je vais faire diversion ; vous, vous occupez de ce monstre. » Les compagnons se mettent en position pour attaquer pendant qu’Ulysse s’occupe du monstre … Dès que parait l’aube aux doigts de rose, le monstre meurt, à cause des coups qu’Ulysse lui a portés avec un couteau. Ulysse dit : « Merci les amis, merci à moi-même ! - Bravo Ulysse ! crient ses compagnons. »

Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent sur une île inconnue. Ulysse raconte alors à ses compagnons que la légende prétend qu’une communauté de mouche mutantes vit sur cette île. A ce moment-là les compagnons d’Ulysse se mettent à trembler de peur. Tout à coup Ulysse sent la terre trembler. « Elles sont là, tenez-vous prêts ! » ordonne Ulysse à ses compagnons. Ils brandissent leurs lances et les jettent sur les mouches. Mais malheureusement ils ne leur font pas la moindre égratignure. Ils essayent alors avec des pieux, mais cela ne fonctionne pas mieux : toujours aucune égratignure. A ce moment-là apparait une mouche trois fois plus grande que les autres. La créature s’avance, prend Ulysse et ses compagnons. Elle les met dans un cachot gardé par des mouches. « Elles sont hideuses » dit Ulysse. Alors, Ulysse, l’homme aux mille ruses, met en place un plan ingénieux pour sortir de ce maudit cachot, mais aussi pour se sortir de cette île remplie de mouches hideuses. Alors il fait un faux poulet rôti pour amadouer les mouches, en espérant ainsi pouvoir sortir du cachot. Il met son plan en action : il prend des feuilles, quelques cailloux et de la sève. « Mais qui a laissé un bon poulet rôti ici ? » hurle-t-il. Les mouches, attirées par l’odeur de ce faux festin qu’Ulysse leur a préparé, ouvrent le cachot pour s’en emparer. Ulysse en profite alors pour s’évader. Il réussit à se loger dans une grotte. Là il construit une raquette à mouche géante pour tuer le roi des mouches mutantes puis rejoindre son bateau au lever du jour. Dès que parait l’aube aux doigts de roses, Ulysse prend son courage à deux mains. Il s’enfuit vers son bateau mais tombe nez à nez avec le roi des mouches. Ulysse brandit sa raquette, écrase d’un coup sec le roi des mouches. Il rejoint son bateau ; aussitôt il reprend la mer en laissant périr ses compagnons dans le cachot.

Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent sur une île étrange. Ils voient au loin une sorte d’ombre, pensent à un arbre alors n’y prêtent pas attention. Ils trouvent un endroit où installer un abri de fortune pendant qu’Ulysse va explorer les alentours. L’entrée d’une grotte se dessine devant lui. Il entre, tombe sur des gros morceaux de fromages et des os immenses. En s’enfonçant plus loin, tout à coup le sol tremble. Il est projeté au sol avec beaucoup de force, avant de s’enfuir le plus vite possible et de se cacher un peu plus loin. Tout à coup Ulysse sent la terre trembler de nouveau. Ulysse retrouve ses compagnons ; ils décident aussitôt de traverser l’île pour se mettre à l’abri. Arrivés de l’autre côté, Ulysse découvre une deuxième grotte, il décide d’aller une fois de plus explorer cette nouvelle grotte tout seul. A l’intérieur, il tombe très vite nez à nez sur un monstre nommé la Tornade Bleue qui est en train de dormir. Ulysse remarque chez ce monstre : des dents pointues, immenses et toutes blanches. Ce monstre a aussi des cornes de chaque côté de la bouche, des tentacules qui jaillissent de son dos et sur tout le corps de la bête, des écailles d’un bleu très clair. Soudain Tornade Bleue se relève, il regarde Ulysse droit dans les yeux. Alors Ulysse, l’homme aux mille ruses, met en place un plan ingénieux. Il décide de mettre un filet immense pour l’attraper dès que la bête sera de nouveau endormie. A la tombée du jour Ulysse met en place le filet en toute discrétion. Il peut maintenant réveiller le monstre à grand bruit. Le duel est lancé ! La Tornade prend le dessus sur Ulysse, mais ce dernier ne s’avoue pas vaincu : notre héros ne se laisse pas faire. Dès que parait l’aube aux doigts de rose, dans un dernier bond, Ulysse détache la corde qui tient le filet en place, le filet se décroche lentement, alors la Tornade est prise au piège, capturée. Ulysse remporte la bataille.

Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent sur une île à l’écart de toute population, une île rocheuse clandestine qui glace le sang. Tout à coup Ulysse sent la terre trembler, il tombe face à face avec une bande de Minotaures enragés. Ulysse et ses compagnons se cachent dans une maison à l’abri des regards. Ulysse sent son cœur battre à toute allure : une créature infâme, semi- homme, semi-taureau le pourchasse. « Mais où ai-je atterri ? » dit-il avec peur. Quand ils sortent de la maison, ils se font attraper puis séquestrer dans un château. Les Minotaures arrivent en disant avec froideur : « Vous serez exécutés dans trois jours. » Alors Ulysse, l’homme aux mille ruses, met en place un plan ingénieux. Il attendra que le gardien de la cellule leur donne à manger pour l’assommer puis lui voler ses clés, pour ensuite s’échapper du château. Mais il faudra attendre le dernier jour. Au moment venu, quand le gardien leur donne à manger, Ulysse l’assomme puis lui vole les clés, enfin il s’échappe avec ses camarades. Mais son plan ne se passe pas comme prévu, Ulysse tombe dans la salle principale du château… c’est la salle du conseil ! Ulysse perd son sang-froid ; ne sachant pas quoi faire, il se cache. Le Minotaure entre, mange les compagnons d’Ulysse restés au milieu de la salle du conseil. Quand les gardes découvrent que notre héros n’est plus dans sa cellule, la panique se fait totale. Alors Ulysse crée quelque chose… un labyrinthe. Le but du jeu, sortir vivant ! Ulysse, va voir les Minotaures : il leur propose d’essayer le labyrinthe. Très joueurs, ils acceptent mais, à une condition, que si l’un d’entre eux arrive à en sortir, Ulysse devra se rendre. Les Minotaures s’avancent vers le labyrinthe. Le premier tombe, idem pour les autres, sauf le dernier… Dès que parait l’aube aux doigts de roses, Ulysse, très surpris que le dernier Minotaure soit resté en vie, tombe à la renverse puis le Minotaure escalade le labyrinthe et saute sur Ulysse. Notre guerrier déstabilisé prend ce qui lui passe sous la main, le lance aussitôt sur la tête du Minotaure. Le monstre étant étourdi, Ulysse en profite pour s’échapper du château, il part le plus vite possible, trouve un bateau et part loin, sans regarder en arrière.

Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent une île étrange. L’île ressemble à un labyrinthe. Il y a du maïs partout, mais aussi des corps. Tout à coup Ulysse sent la terre trembler ; il voit deux cornes apparaître. « Qui êtes-vous ? demande le Minotaure. - Je suis Ulysse. Mes hommes et moi rentrons de la guerre de Troie. Vous, qui êtes-vous ? - Je suis le Minotaure, cela fait vingt ans déjà que je repose dans mon labyrinthe, mais je n’arrive pas à sortir. - Mais pourquoi tous ces corps ? demande Ulysse. - C’est parce que je mange les hommes, comme d’ailleurs je vais me régaler demain. - Non ! J’ai déjà perdu beaucoup de soldats avec le Cyclope. Comment allons-nous faire ? » Alors Ulysse, l’homme aux mille ruses, met en place un plan ingénieux, qu’il partage avec ses compagnons : « Pendant que le Minotaure dort, je vais monter sur sa tête pour observer le chemin de haut. A ce moment-là je vous dirai le chemin pour que vous alliez à la sortie. En marchant, vous sèmerez des grains de maïs, alors je n’aurai plus qu’à les suivre. Compris ! - Oui ! entonnèrent-ils en chœur. - Alors allons-y. » À la nuit tombée, notre héros monte sur la tête du Minotaure, pendant que les autres se dirigent vers la sortie tout en semant du maïs sur le chemin. Mais Ulysse sait qu’il ne faut pas que le Minotaure se réveille. Tout à coup, il entend un bâillement. Alors Ulysse sursaute puis saute du Minotaure. Celui-ci entend un fracas, se réveille, aussitôt il va voir ce qui se passe. Mais Ulysse a tout prévu : pendant que le Minotaure se demande ce qu’il se passe, Ulysse saute dans les buissons pour se cacher. Puis le Minotaure ne trouvant rien se rendort, alors Ulysse remonte sur sa tête : il termine enfin ce qu’il a commencé. Dès que parait l’aube aux doigts de rose, Ulysse descend, suit les grains de maïs, arrive à la sortie, retrouve ses deux compagnons. Alors ils repartent en bateau.

Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent sur l’île de Madagascar. Très loin de son île, il rencontre une femme jolie aux yeux bleus comme l’horizon. Elle commence à parler à Ulysse. « Bonjour Ulysse, les dieux t’ont-ils envoyé ici ? - Non, je voulais découvrir de nouvelles îles. - Je vois que tu as des compagnons. - Oui ils me sont fidèles. - Je vois, veux-tu manger quelque chose ? - Oui, je meurs de faim ! - Parfait ! Suis -moi, je t’emmène. » Tout à coup Ulysse sent la terre trembler. La jolie femme disparaît ; à la place un ogre géant apparaît devant Ulysse. Ulysse prend peur et crie à l’aide à ses compagnons. Alors Ulysse, l’homme aux mille ruses, met en place un plan ingénieux. Ses compagnons se mettent en action, ils distraient le monstre pendant qu’Ulysse et d’autres de ses compagnons fabriquent une arme. Puis il lui plante l’arme dans l’œil, le ventre, le dos, les oreilles et les autres parties de son corps… Dès que parait l’aube aux doigts de rose apparaît l’ogre géant. Il tombe par terre et fait encore plus trembler la terre, cette fois Ulysse croit mourir… mais les dieux font envoler Ulysse dans les airs. Notre héros survit et se dit qu’il ne retournera plus sur cette île.

Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent sur l’île la plus ancienne du monde. Sans perdre de temps ils partent explorer un endroit sombre et humide, mais Ulysse, le chef, décide de partir devant en premier. Tout à coup, Ulysse sent la terre trembler. Une ombre géante se reflète sur le sol. Le cœur de tout le monde bat de plus en plus intensément. Un monstre grand et fort, avec de grands pieds ne peut s’empêcher de leur lancer un regard lugubre. Le monstre crie : « Que faites-vous ici ? ». Ulysse n’ose parler mais prend son courage à deux mains et commence à parler : « Nous sommes venus ici pour découvrir cette île. - Non, partez d’ici tout de suite avant que je vous réduise en miettes ! » Alors Ulysse, l’homme aux mille ruses, met en place un plan ingénieux. Il dit au monstre qu’il ne partira pas d’ici. Le monstre furieux, soulève sa jambe pour écraser Ulysse avec son pied. Ses compagnons attrapent le pied du monstre et tirent sa jambe afin qu’il puisse tomber par terre. Ulysse en profite pour prendre un grand bâton au sol et l’enfonce dans son œil droit. Le monstre hurle de toutes ses forces et essaie de fuir sans regarder derrière lui tellement il a peur. Dès que paraît l’aube aux doigts de rose, tous les compagnons et Ulysse préparent un énorme festin avec ce qu’ils trouvent sur l’île. Tout est rempli de bonnes choses : des fruits, légumes, du gibier… Les hommes d’Ulysse et lui-même crient victoire. C’est une belle aventure que ces guerriers ne sont pas près d’oublier ; elle restera gravée dans leur mémoire.

Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent sur l’île de Tita. Ulysse comprend vite qu’il est en danger, mais avec son courage, il ne fait pas demi-tour. Devant lui, il y a une énorme montagne, tellement grande qu’on ne voyait même pas le sommet. Et dans cette montagne il y avait des milliers de trous. Tout à coup, il voit dans un des trous les plus grands, une gigantesque ombre. Il vient de comprendre qu’il n’est pas seul. Il voit l’ombre s’agrandir de plus en plus. Tout à coup Ulysse sent la terre trembler. Soudain plein de bêtes sortent de ces trous. Les petites bêtes sont des mélanges d’animaux. Elles commencent à courir vers eux. Ulysse demande à ces compagnons d’attaquer mais il est trop tard. Les créatures capturent Ulysse et ses compagnons. Le chef des monstres dit : « Nous sommes plus forts qu’un dieu, vous ne nous arrivez pas à la cheville. Nous sommes les Litéto. » Ulysse sait qu’il ne peut pas les battre tout seul. Plusieurs Liteto les conduisent dans une cellule. Alors Ulysse, l’homme aux mille ruses, met en place un plan ingénieux, qu’il leur explique. Ils sortent de la cellule et prennent leurs armes. Ils éliminent des Liteto sur le passage jusqu’à arriver à la pièce principale. Dans cette pièce il y a une trentaine de Liteto et aussi leur chef. Mais en face de leur chef il y a surtout la sortie. Alors ils commencent à attaquer, Ulysse et ses compagnons prennent des coups mais ils en donnent aussi. Grâce à leur courage et à leur endurance c’est une nouvelle victoire pour Ulysse. Dès que paraît l’aube aux doigts de rose, Ulysse part avec seulement deux de ses compagnons vers son bateau avec une victoire très serrée.

Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent sur l’île d’Arima. Une île où il y a beaucoup de végétations, une énorme montagne, beaucoup de créatures mystérieuses y vivent. Ils visitent l’île et ils trouvent une grotte par hasard. Ils entrent, ils voient des os, une grande marmite, des traces de pieds géantes, une pyramide de rondins de bois. Tout à coup Ulysse sent la terre trembler et voit un énorme Gobelin. Le Gobelin se penche pour bien voir Ulysse et ses compagnons. Furieux, il mange quatre compagnons d’Ulysse. Le Gobelin furieux dit : « Etranger, sortez de ma grotte sinon je vais vous manger. » Mais la grotte est tellement grande qu’Ulysse et ses compagnons arrivent à se cacher. Ils réfléchissent à la manière avec laquelle ils pourraient partir. Alors Ulysse, l’homme aux mille ruses, met en place un plan ingénieux. Dans la grotte il y a une très grande pyramide de rondins de bois. Quand le géant gobelin s’approchera de sa marmite bouillante, Ulysse et ses compagnons feront tomber la géante pyramide de bois sur lui. Le jour qu’ils jugent opportun, ils font ce qu’ils ont prévu. Le géant s’approche de la marmite pour goûter sa soupe bien chaude, et là Ulysse et ses compagnons font tomber la pyramide sur le gobelin. Le gobelin tombe dans la marmite avec l’eau bouillante. Il se brûle les yeux, la tête, tout le corps. Dès que parait l’aube aux doigts de rose, Ulysse et ses compagnons s’enfuient sur leur bateau et crient de joie.

Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent sur l’île Makachi. Soudain ils voient une grotte. Ulysse et ses compagnons sont si curieux qu’ils rentrent. Quand tout à coup, Ulysse sent la terre trembler. « Haaa ! crient les compagnons d’Ulysse. » Soudain un gigantesque et maléfique troll sort de la grotte. Alors Ulysse, l’homme aux mille ruses, met en place un plan ingénieux. Ils mettent de la viande crue dans le bateau, le troll fonce à toute vitesse sur le bateau. Le lendemain, Ulysse et ses compagnons partent à la dérive. Ulysse et ses compagnons se rejouissent. Le soir ils partent sur leur nouveau bateau qu’ils ont emprunté au troll.

Au crépuscule alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent sur une île inconnue. Ulysse dit à ses compagnons :« Nous devons construire un abri pour ce soir. » Sur cette île, il trouve une bête inhumaine ; elle mord Ulysse. Notre héros et ses compagnons voient des arbres, ils trouvent de l’eau pour rincer la morsure. Une heure plus tard, tous réunis dans la grotte, ils parlent de leur aventure. Tout à coup Ulysse sent la terre trembler. Un énorme Ogre… Il regarde Ulysse et ses compagnons. L’Ogre mange deux de ses compagnons. Il prend tout le monde puis les enferme dans sa cage.« Je vais vous manger demain au petit déjeuner » dit-il, puis il s’endort. Alors Ulysse, l’homme aux mille ruses, met en place un plan ingénieux. Dans la cage, il y a un gros caillou, il s’en sert pour expliquer son plan sur le sol. Le lendemain l’Ogre se réveille et ouvre la cage. Il mange encore deux compagnons. Ulysse lui lance le caillou dans la tête. Tout le monde part, mais l’Ogre le mange quand même. Ulysse tombe au fond de son ventre puis lui coupe pour en sortir. Dès que parait l’aube aux doigts de rose, Ulysse et les survivants partent rejoindre leur bateau en chantant victoire.

Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent une terre inconnue. Sur l’île, il y a une forêt géante avec plein d’arbres. Ulysse décide de s’aventurer dans la forêt qui l’intrigue beaucoup. Il emmène avec lui plusieurs de ses compagnons. Ils arrivent au beau milieu de la forêt. Tout à coup, Ulysse sent la terre trembler. Puis notre héros et ses compagnons voient trois ogres arriver. Les monstres sont hideux, poilus et très grands. Ils mesurent environ cinq mètres de hauteur et deux mètres de largeur. Alors Ulysse, l'homme aux mille ruses, met en place un plan ingénieux, car dès que les ogres voient Ulysse et ses compagnons, ils les attaquent. Aussitôt, Ulysse prépare un plan car il a découvert que les ogres n'aiment pas les cacahuètes. Donc, il décide de leur faire un gâteau car les ogres sont d’affreux gourmands, mais Ulysse va leur faire un gâteau où il va ajouter des cacahuètes. Ulysse va vers les ogres, il est confiant avec son gâteau à la main. Il s'écrie : « Les ogres, j'ai quelque chose pour vous ! ». Quand les ogres entendent ces paroles, ils se jettent sur le gâteau, le dévorent, puis ils deviennent malades. Alors ils partent en disant à Ulysse qu'ils le retrouveront. Dès que parait l'aube aux doigts de rose, Ulysse et ses compagnons repartent voir ceux qui sont restés au bateau pendant leur aventure. Ulysse leur raconte ensuite toute l'histoire.

Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent une île marécageuse, sombre et sinistre. Ils s’aventurent sur l’île : ils trouvent aussitôt une grotte où ils établissent leur camp. Ils sortent de la forêt où ils découvrent un spectacle horrible en haut de la colline : un démon de grande taille, noir, avec un oeil rouge attaque un oppidum qui ne peut malheureusement rien faire. Il se fait massacrer. Au soir, ils vont dans le village ravagé par le monstre. Ils ne trouvent que quelques survivants gravement blessés puis retournent au camp. Les compagnons d’Ulysse ne dorment pas de la nuit. Un groupe de compagnons d'Ulysse, chargé de monter la garde, repère une ombre puis comprend que c'est le démon qu'ils ont aperçu plus tôt. Tout à coup Ulysse sent trembler la terre : il découvre le même monstre que la dernière fois. Dans la nuit, un combat sanglant éclate : il oppose Ulysse et ses compagnons au démon. Ils ne font rien à cette maudite créature. Alors Ulysse l'homme aux mille ruses met en place un plan ingénieux qui consiste à couper les jambes du monstre. Une fois à terre, Ulysse l'achève. Dès que paraît l'aube aux doigts de rose, Ulysse monte sur la dépouille du géant en signe de triomphe.

Au crépuscule, alors que la nuit dénoue sa chevelure sur les eaux, Ulysse et ses compagnons abordent sur une île inconnue. Ils regagnent une grotte Tout à coup Ulysse sent la Terre trembler. Ensuite Ulysse rencontre un monstre qui a l’air très cruel, accompagné de créatures hideuses. Les deux chefs se présentent, puis décident s’affronter. Alors Ulysse, l’homme aux mille ruses, met en place un plan ingénieux. Ils commencent tous à se battre, puis Ulysse crie : « Arrêtez de vous battre, cela suffit. Les dieux veulent que cette violence cesse.» Aussitôt la bataille s’arrête. Ulysse dirige les regards vers le soleil qui se lève. Dès que paraît l’aube aux doigts de rose Ulysse, le monstre et leurs compagnons font comme si rien ne s’était passé.

En route pour de nouvelles aventures littéraires à la rentrée... L’adaptation théâtrale de Laurent Gutmann, Le Petit Poucet ou du bienfait des balades en forêt dans l’éducation des enfants, d’après Le conte de Perrault Le Petit Poucet.