QUIZZ Hygiène v0.2

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Hygiène hospitalière

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Hygiène hospitalière

Bonjour,

Je m'appelle Charlotte, j'ai récemment commencé ma carrière au Centre Hospitalier Départemental de Bischwiller. J'ai choisi de travailler dans ce domaine parce que je crois fermement en l'importance de prodiguer des soins attentionnés et de qualité aux personnes âgées. Lors de ma formation j'ai été sensibilisée à l'importance de l'hygiène hospitalière. Nous allons être confrontés à plusieurs situations, essayons ensemble de limiter les risques de dissémination des micros-organismes responsable des infections.

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Hygiène hospitalière

La tenue professionnelle

Comment dois-je arriver au travail ?

L'hygière corportelle est la première barrière contre la dissémination des micro-organismes responsables des infections. Selon vous quelle photo représente une tenue professionnelle adaptée ? > Cliquez sur les photos correspondantes.

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BONNE REPONSE

Chaque agent doit porter une tenue professionnelle, propre et changée quotidiennement. En complément, il veille à avoir une hygiène corporelle adaptée (douche et brossage des dents quotidiens). En plus, si vous intervenez auprès des personnes accueillies ou dans les prises en soins : vos ongles doivent être propres, courts et sans vernis. Le port de bijoux, ainsi que de « faux ongles », n'est pas autorisé (NB : l’alliance n’est pas tolérée) ; les cheveux longs doivent être attachés.

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Hygiène hospitalière

L'hygiène des mains

Comment faire une hygiène des mains ?

Je viens de prendre en soins un résident. Avant de prendre en soins un autre résident, je veux faire une hygiène des mains car je sais qu'une grande partie des micro-organismes est transmises par les mains. Quelle méthode dois-je employer ?

UTILISATION DU SAVON

UTILISATION DE SOLUTION HYDRO-ALCOOLIQUE (SHA)

PORTER DES GANTS

BONNE REPONSE

La friction avec un produit hydro-alcoolique assure une désinfection des mains (= cela tue les micro-organismes). C'est donc la méthode de référence en milieu de soins. Le lavage simple des mains (eau + savon) a uniquement une action détergente. Cette méthode reste toutefois nécessaire si : les mains sont visiblement souillées, ou dans les rares situations où les produits hydro-alcooliques ne sont pas efficaces (en cas de parasitose ou d'infection à Clostridioide difficile).

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L'hygiène des mains

L'hygiène des mains concernent-elles aussi les non-soignants ?

Des ouvriers interviennent dans l'unité. Quelle recommandation dois-je leur donner ?

Utiliser du savon s'ils ont les mains visiblement sales

Porter des gants de soins en continu

Utiliser le produit hydro-alcoolique sur des mains visiblement propres et sèches dès lors qu'ils interviennent dans un service

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BONNE REPONSE

La friction avec un produit hydro-alcoolique assure une désinfection des mains (= cela tue les micro-organismes). C'est donc la méthode de référence en milieu de soins. Le lavage simple des mains (eau + savon) a uniquement une action détergente. Cette méthode reste toutefois nécessaire si : les mains sont visiblement souillées, ou dans les rares situations où les produits hydro-alcooliques ne sont pas efficaces (en cas de parasitose ou d'infection à Clostridioide difficile).

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Les Equipements de protection individuelle (EPI)

Les gants de soins

Je vais réaliser une toilette auprès d'une personne accueillie. Y a-t-il une raison de porter des gants lors de ce soin ?

OUI, tout le temps

OUI, à certaines étapes seulement

NON

BONNE REPONSE

Le port de gants en continu induit un risque de transmission par gantoportage. Le port de gants est recommandé : - en cas de contact avec un liquide biologique - en cas de contact avec une peau lésée ou une muqueuse - si les mains du soignant sont lésées

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Hygiène hospitalière

Les Equipements de protection individuelle (EPI)

Port du tablier

Je vais réaliser une toilette auprès d'une personne accueillie. Y a-t-il une raison de porter un tablier lors de ce soin ?

OUI

NON

BONNE REPONSE

Le tablier de soin permet de protéger la tenue en cas de risque de projection. Ainsi votre tenue reste propre.

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Les Equipements de protection individuelle (EPI)

Le masque

Je vais réaliser une toilette auprès d'une personne accueillie présentant une toux avec des expectorations. Y a-t-il une raison de porter un masque lors de ce soin ?

OUI

NON

BONNE REPONSE

Oui, vous devez porter un masque : - en cas de symptômes respiratoires, pour vous ou la personne prise en soin, comme recommandé dans le cadre de l'hygiène respiratoire, - en cas de risque de projections.

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Les Equipements de protection individuelle (EPI)

Les lunettes

Je vais réaliser une toilette auprès d'une personne accueillie, qui présente des vomissements. Y a-t-il une raison de porter des lunettes de protection lors de ce soin ?

OUI

NON

BONNE REPONSE

Le port des lunettes de protection est recommandé dans le cadre des précautions standard en cas de risque de projections dans les yeux. Par exemple : en cas de vomissements...

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Les Equipements de protection individuelle (EPI)

La charlotte

Je vais réaliser une toilette auprès d'une personne accueillie. Y a-t-il une raison de porter une charlotte de protection lors de ce soin ?

OUI

NON

BONNE REPONSE

Le port de la charlotte n'est pas recommandé de manière standard dans les soins. Elle peut être nécessaire en cas de pédiculose (poux de tête). En restauration, elle est portée lors de la préparation et la mise sur assiette des repas.

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Les Equipements de protection individuelle (EPI)

Les sur-chaussures

Je vais réaliser une toilette auprès d'une personne accueillie. Y a-t-il une raison de porter des sur-chaussures lors de ce soin ?

OUI

NON

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BONNE REPONSE

Les surchaussures ne font pas partie des Equipements de Protection Individuel (EPI) utilisés pour les soins courants. Lors de leur retrait, il y a risque de contamination des mains.

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L'hygiène respiratoire

Le masque

Depuis ce matin, j'éternue et tousse souvent mais je suis suffisament en forme pour travailler. Que puis-je faire pour limiter le risque de contamination de mes collègues et des personnes prises en soin ?

Je peux rester sans masque mais je tousse dans mon coude en présence d'autres personnes

Je peux m'isoler : je travaille seul dans un bureau

Je travaille en équipe : je porte un masque

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BONNE REPONSE

Le port du masque, lorsqu'il est porté correctement (du nez jusqu'au menton), permet de retenir les gouttelettes qui sont émises lors de la toux et de l'éternuement, et donc de réduire le risque de contaminer les personnes proches et les surfaces.

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L'hygiène respiratoire

Se moucher

J'ai le nez qui coule depuis ce matin mais je suis suffisament en forme pour venir travailler. Comment faire pour se moucher sans risque de contaminer les autres ?

MOUCHOIR EN TISSU

MOUCHOIR A USAGE UNIQUE

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BONNE REPONSE

Je me mouche dans un mouchoir à usage unique, que je jette immédiatement. Je me désinfecte ensuite les mains.

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Hygiène hospitalière

Prévention des accidents avec exposition au sang (AES)

À quoi veiller lors d'une prise de sang?

Je dois réaliser une prise de sang chez une personne prise en soin.

Cliquez sur ce symbole pour agrandir la photo

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Le risque d'AES est réduit : en ayant un container OPCT à proximité, en portant des gants de soins, en utilisant du matériel sécurisé En cas d'AES, je connais la conduite à tenir (celle-ci est affichée dans chaque salle de soin)

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Gestion des excretas

L'utilisation du lave-bassin

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Le lave bassin sert à la vidange et à l'entretien du dispositif médical.En cas de GEA ou d'infection à Clostridioide difficile, j'utilise les sacs protecteurs de bassin (dispositifs à usage unique). Il est interdit de vidanger les bassins dans les sanitaires de la chambre et/ou d'utiliser la douchette ou le robinet pour les rincer.

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Gestion des excretas

L'utilisation du lave-bassin

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BONNE REPONSE

Le lave bassin sert à la vidange et à l'entretien du dispositif médical.En cas de GEA ou d'infection à Clostridioide difficile, j'utilise les sacs protecteurs de bassin (dispositifs à usage unique). Il est interdit de vidanger les bassins dans les sanitaires de la chambre et/ou d'utiliser la douchette ou le robinet pour les rincer.

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Gestion des excretas

En cas d'absence de lave-bassin

Comment dois-je gérer l'élimination des excréta ?

J'utilise la douchette pour rincer le DM

Je vidange dans le WC de la chambre

J'utilise les sacs protecteurs de bassin ou d'urinaux

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BONNE REPONSE

J'utilise les dispositifs à usage unique, qui permettent d'assurer une gestion des excréta de manière sécurisée.

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L'Environnement

Le circuit du linge

Dans le service plusieurs patients présentent une gastro entérite. Pour limiter les risques de contamination de l'environnement je place le linge plat souillé dans des sacs hydrosolubles puis dans un sac en tissu jaune.

OUI

NON

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BONNE REPONSE

Bravo ! En respectant les consignes de tri,vous protégez toutes les personnes qui vont manipuler ce linge après vous.

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L'Environnement

Le tri des déchets

J'élimine les déchets infectieux dans la filière DASRI.

OUI

NON

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BONNE REPONSE

La filière DASRI permet de protéger les personnes et l'environnement du risque infectieux. Elle répond à une règlementation stricte. En cas de production de plus de 100kg/ semaine ceux-ci doivent être éliminés toutes les 72 heures.

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L'Environnement

Désinfection

Lorsque j'utilise un produit pour l'entretien des locaux je respecte : - les indications du fabricant - la dilution - le temps de contact - la température

OUI

NON

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BONNE REPONSE

La connaissance et le respect des recommandations d'utilisation des produits détergents-désinfectants participent à limiter les infections associées aux soins.

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Les Précautions standard

Que sont les précautions standard?

C'est un ensemble de mesures à respecter, mais uniquement en secteur sanitaire.

C'est un ensemble de mesures visant à réduire le risque de transmission croisée des agents infectieux entre soignant, soigné et environnement ou par exposition à un produit biologique d'origine humaine (sang, sécrétions, excreta, ...) qui s'applique à tout soin, tout lieu, tout patient/ tout professionel.

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BONNE REPONSE

Les précautions standard, c'est l'ensemble de mesures visant à réduire le risque de transmission croisée des agents infectieux entre soignant, soigné et environnement ou par exposition à un produit biologique d'origine humaine (sang, sécrétions, excreta, ...)

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Les Précautions standard

A qui s'applique les précautions standard?

Pour les services sanitaires uniquement

C'est pour tout soin, tout lieu, tout patient, tout professionnel

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BONNE REPONSE

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8 sur 8

Les Précautions complémentaires

Que sont les précautions complémentaires?

C'est un ensemble de mesures que l'on applique en complément des précautions standard dès lors qu'il y a suspicion de maladie contagieuse

C'est un ensemble de mesures à mettre en oeuvre dès l'arrivée d'un nouveau patient / résident

MAUVAISE REPONSE

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BONNE REPONSE

Ce sont des mesures complémentaires aux précautions standard, lorsque celles-ci ne permettent pas de prévenir suffisamment le risque de transmission croisée. Elle sont définies en fonction de la localisation et de la gravité de l'infection ainsi que de la nature de l'agent infectieux, de son réservoir, de son mode de contamination et de sa résistance dans l'environnement. Elles sont de trois types en lien avec le mode de transmission du micro-organisme : contact, gouttelettes, air. Elles peuvent se combiner entre elles comme en cas de Varicelle (Air + Contact).

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Les Précautions complémentaires

Les logos

Au CHDB, chaque type de précautions complémentaires est associé à un logo. Parmi les propositions suivantes, indiquez laquelle est fausse.

Précautions "contact"

Précautions "gouttelettes"

Précautions "sang"

Précautions "air"

MAUVAISE REPONSE

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(A)

(B)

BONNE REPONSE

Il existe 3 types de précautions complémentaire : contact, air et gouttelettes. (NB : les risques liés au sang sont couverts par les précautions standard) Les précautions complémentaires s'additionnent aux précautions standard lorsque celles-ci ne suffisent plus à réduire le risque de transmission croisée lié à un micro-organisme spécifique. Sur la gestion documentaire, il y a : - un tableau synthétisant les mesures liées à chaque type de précautions complémentaires (A) - un tableau indiquant les indications des différents types de précautions complémentaires (B)

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8 sur 8

La gestion des épidémies

Qui prévenir ?

Deux patients/résidents présentent des diarrhées et des vomissements. A qui transmettez-vous l'information en priorité ? Pour quelle raison ?

J'informe le cadre car c'est une augmentation de ma charge de travail

J'informe le médecin car il va devoir prescrire des antibiotiques

J'informe le médecin et l'EOH car cela peut correspondre à un début d'épidémie ou à une toxi infection alimentaire collective TIAC

MAUVAISE REPONSE

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BONNE REPONSE

L'EOH pourra venir en assistance de l'équipe sur les mesures à mettre en oeuvre pour limiter le risque épidémique. Le médecin pourra mettre en oeuvre les mesures diagnostiques puis thérapeutiques.

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8 sur 8

La gestion des épidémies

Un moyen efficace !

A quoi sert la vaccination ?

A éradiquer des maladies mortelles

A ma protection, celle de mes proches ainsi que celle des personnes dont je prends soin.

A enrichir les laboratoires pharmaceutiques. A m'implanter des traceurs.

MAUVAISE REPONSE

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Les vaccins, comment ça marche ? Les vaccins sont composés d’un microbe, fragmenté ou en entier, tué ou atténué, ou de toxines si le microbe en fabrique, rendues inactives. Quand on fait une vaccination, on introduit dans le corps, par une piqûre, la bouche ou le nez, ce microbe rendu totalement inoffe nsif et qui ne peut pas entrainer la maladie. Notre corps réagit en fabriquant des défenses appelées “anticorps”. Au cours de la vie, lorsque le corps rencontre le vrai microbe, il le reconnaît. Il sait donc se défendre efficacement contre lui (voir page suivante). Les vaccins protègent seulement des maladies contre lesquelles on est vacciné (par exemple, le vaccin contre la grippe ne protège que contre la grippe).

À quoi servent les vaccins ? La vaccination est le moyen le plus efficace de se protéger contre de nombreuses infections graves. Grâce à la vaccination, la variole a disparu et d’autres infections, comme la poliomyélite, sont devenues très rares.

BONNE REPONSE

Le principe de la vaccination remonte à plus de 200 ans. En 1796, le médecin anglais Edward Jenner met au point le premier vaccin contre la variole. En 1885, Louis Pasteur réalise la première vaccination contre la rage. L’histoire est en marche : le principe de la vaccination est identifié et de plus en plus de vaccins contre des maladies graves sont créés. On se vaccine pour soi-même, mais aussi pour protéger ses parents, ses enfants, ses proches, ses collègues et les autres membres de la collectivité qui ne peuvent pas être vaccinés parce que malades ou trop jeunes. Les personnes vaccinées contribuent à protéger les non-vaccinées ou ceux chez qui la vaccination est moins efficace.

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