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DGEMC - Quizz bioéthique et fin de vie
AnneAnne Tomassone
Created on May 10, 2023
Quizz introductif sur la fin de vie en France
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Transcript
DGEMC
Bioéthique et liberté de la personne Que savez-vous sur la législation concernant la fin de vie ?
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1/10
L'euthanasie est-elle légale en France ?
OUI
NON
Oui, mais sous certaines conditions restrictives.
1/10
Non, aucune loi ne permet l'euthanasie en France, même en cas de maladie en phase terminale.
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2/10
Qu'est-ce qui est permis en France lorsqu'une personne est en phase terminale et en a manifesté la volonté ?
L'arrêt des traitements et la sédation profonde jusqu'au décès.
Le suicide assisté.
Rien de particulier.
2/10
L'arrêt des traitements, de l'alimentation et de l'hydratation ainsi que la sédation "profonde et continue" jusqu'au décès sont permis par la loi Claeys - Léonetti de 2016.
Suivant
2/10
En France, une personne peut donner des directives anticipées concernant sa fin de vie au cas où elle ne serait plus capable de s'exprimer elle-même.
Oui, en restant dans le cadre de la loi concernant la fin de vie.
Non.
Oui, et c'est le seul cas où l'euthanasie est possible.
2/10
Les directives anticipées sont des instructions laissées par le patient, exposant ce qu’il souhaite s’il n’est plus capable de s’exprimer. Elles permettent éventuellement l'arrêt des traitements mais en aucun cas l'euthanasie active.
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3/10
Dans quels pays de l'Union Européenne l'euthanasie est-elle autorisée ?
Aux Pays-Bas, au Luxembourg, en Belgique et en Espagne
Aucun pays européen ne l'autorise.
Aux pays-Bas, en Belgique, en Croatie et en Allemagne.
3/10
Les pays-Bas, la Belgique, le Luxembourg et l'Espagne autorisent l'euthanasie active sous certaines conditions restrictives. D'autres pays, tels que l'Allemagne, l'Autriche ou l'Italie autorisent le suicide assisté, là encore sous certaines conditions.
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4/10
Il existe en France un centre national des soins palliatifs et de la fin de vie. Quel est le but de ces soins ?
Isoler les patients en phase terminale .
Mettre en oeuvre les traitements les plus modernes pour essayer de guérir les malades en phase terminale.
Soulager la souffrance physique et psychologique des patients.
4/10
Les soins palliatifs sont des soins associés aux traitements de la maladie.Ils ont pour objectif de préserver la qualité de vie, de soulager les douleurs physiques et tous les autres symptômes gênants. Ils prennent également en compte la souffrance psychologique, sociale et spirituelle de la personne malade et de sa famille.
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5/10
Où peut-on bénéficier des soins de fin de vie en France ?
L'hôpital est seul habilité à fournir ces soins.
Dans des centres spécialisés.
A l'hôpital, dans les institutions pour personnes âgées et à domicile. .
5/10
Les soins palliatifs peuvent être mis en oeuvre dans les établissements de santé (hôpitaux, cliniques), dans les structures médico-sociales (Ehpad) et à domicile.
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6/10
En 2021, une proposition de loi visant à affirmer le libre choix de la fin de vie a été déposée à l'Assemblée Nationale.
Faux.
Vrai mais elle n'a pas été adoptée.
Vrai et elle doit être soumise au vote de nouveau en 2024.
6/10
La loi visant à affirmer le libre choix de la fin de vie et à assurer un accès universel aux soins palliatifs en France a été présentée au vote à l'Assemblée Nationale en janvier 2021. Elle a été renvoyée à la commission des affaires sociales et n'a pas été adoptée.
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1/10
En septembre 2022, le Comité Consultatif National d'Ethique (CCNE) a rendu son avis sur la fin de vie, ouvrant la voie à "une aide active à mourir, à certaines conditions strictes avec lesquelles il apparaît inacceptable de transiger".
Il a rendu un avis "affirmant l'interdiction de toute forme d'euthanasie"
Vrai.
Faux, il n'a pas donné d'avis.
1/10
Le CCNE a bien rendu un avis favorable à l'aide à mourir sous certaines conditions. Parmi ces conditions, celle que la demande soit exprimée par "une personne disposant d’une autonomie de décision au moment de la demande, de façon libre, éclairée et réitérée, analysée dans le cadre d’une procédure collégiale".
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7/10
Une convention citoyenne sur la fin de vie, réunissant 150 citoyennes et citoyens entre décembre 2022 et mars 2023 a été convoquée par le président de la république afin de faire des propositions à ce sujet.
Faux, cette commission ne concerne que des juristes professionnels.
Faux, les discussions sont closes à ce sujet.
Vrai.
7/10
En septembre 2022, suite à l'avis du CCNE, le président de la République a annoncé la constitution d'une Convention citoyenne sur la fin de vie, pilotée par le Conseil économique social et environnemental (CESE), et réunissant 150 citoyennes et citoyens entre décembre 2022 et mars 2023.
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8/10
La Convention citoyenne sur la fin de vie dont la session s'est terminée le 19 mars 2023 s'est prononcée en faveur d'une ouverture conditionnée de l'aide active à mourir.
Vrai, mais cet avis n'a pas le pouvoir de changer la législation.
Faux.
Vrai et ses propositions vont entrer en vigueur en 2025.
8/10
La Convention citoyenne sur la fin de vie s'est prononcée à 70,6% en faveur d'une ouverture conditionnée de l'aide active à mourir. Parmi les modalités évoquées pour l'aide active à mourir, deux propositions ont rassemblé le plus de suffrages : une aide sous la forme du suicide assisté avec exception d'euthanasie (28,2% des votes) ; une aide sous la forme du suicide assisté ou de l'euthanasie au choix (39,9% des votes).
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9/10
Le code de déontologie médicale prévoit une possibilité pour les médecins de pratiquer l'euthanasie en cas de souffrances insupportables du patient.
Faux.
Vrai, si deux médecins sont d'accord.
Vrai, mais seulement si les souffrances sont très fortes.
9/10
Selon l'article 38 du code de déontologie médicale : « Le médecin doit accompagner le mourant jusqu'à ses derniers moments, assurer par des soins et mesures appropriés la qualité d'une vie qui prend fin, sauvegarder la dignité du malade et réconforter son entourage. Il n'a pas le droit de provoquer délibérément la mort. »
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