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Genially Histoire
Alex Andre
Created on May 10, 2023
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Versailles : présentation
Informations :
Versailles est un domaine gigantesque, de ce fait nous ne pouvons pas tout vous présenter. Cependant vous disposerez ici, des lieux et des informations les plus importantes à savoir sur Versailles.
Plan du domaine
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Le château
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galerie des glaces:
Lieu le plus emblématique du Château, la galerie des Glaces ou Grande Galerie remplace une vaste terrasse ouverte sur le jardin que l’architecte Louis Le Vau avait conçue. Malcommode et surtout exposée aux intempéries, cette terrasse qui séparait l’Appartement du roi au nord et celui de la reine au sud, est rapidement condamnée. Le successeur de Le Vau, Jules Hardouin-Mansart imagine une solution plus adaptée et remplace la terrasse par une vaste galerie. Les travaux débutent en 1678 pour s’achever en 1684.
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salon de la guerre
C’est à partir de 1678 qu’Hardouin‑Mansart entreprit la construction du salon de la Guerre. La décoration, achevée par Le Brun en 1686, exalte les victoires militaires qui aboutirent à la paix de Nimègue. Les murs sont revêtus de panneaux de marbre ornés de six trophées et de chutes d’armes en bronze doré. Le mur du côté du salon d’Apollon est occupé par un bas-relief ovale en stuc représentant Louis XIV à cheval foulant aux pieds ses ennemis. Ce chef-d’œuvre de Coysevox est surmonté de deux Renommées dorées et soutenu par deux captifs enchaînés. Au-dessous, dans le bas-relief occultant l’ouverture d’une fausse cheminée. Clio muse de l’Histoire, consigne pour la postérité les hauts faits du roi. Le plafond en coupole représente au centre La France armée, assise sur un nuage et entourée de Victoires. Un portrait de Louis XIV orne son bouclier. Dans les voussures sont représentés ses trois ennemis vaincus : l’Allemagne à genoux, avec un aigle ; l’Espagne menaçante, avec un lion rugissant et la Hollande renversée sur un autre lion. La quatrième voussure représente Bellone, déesse de la guerre, en fureur entre la Rébellion et la Discorde
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Salon de la paix
Le salon de la Paix présente le même décor de panneaux de marbre et de trophées d’armes de bronzes dorés et ciselés que le salon de la Guerre qui lui est symétrique. Toutefois, Le Brun a orné la coupole et les voussures des bienfaits de la paix donnée par la France à l’Europe. Ce salon fut, dès la fin du règne de Louis XIV, séparé de la galerie par une cloison mobile et considéré comme faisant partie de l’Appartement de la Reine dont il constitua dès lors la dernière pièce après la chambre. C’est là que sous Louis XV, Marie Leszczynska donna chaque dimanche des concerts de musique profane ou religieuse qui jouèrent un rôle important dans la vie musicale de Versailles, et que, sous le règne suivant, Marie-Antoinette tint son jeu. Lorsqu’il le fallait, la cloison séparant la pièce de la galerie était démontée et le salon faisait de nouveau partie du Grand Appartement du Roi.
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Chambre du Roi
Louis XIV réaménage son appartement à plusieurs reprises. La transformation majeure intervient en 1701, au moment où la chambre du souverain est installée à son emplacement actuel, au centre de la façade de la cour de Marbre. Comme dans toutes les résidences royales, l’appartement du Roi comporte la même succession de pièces à l’usage bien défini : une salle des gardes, deux antichambres, la chambre et un cabinet. Au-delà de ces salles, dont l’accès est strictement hiérarchisé et réglé par l’étiquette, toutes les pièces qui suivent constituent le domaine privé du souverain auquel, en principe, nul ne peut avoir accès s’il n’y est convié.
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Chapelle royale
De l'extérieur, on remarque qu'elle se distingue du reste du bâtiment par ses plafonds voûtés, mais ce qui vous laissera sans doute bouche bée, c'est son intérieur. Avec un impressionnant sol en marbre massif et tous les murs et plafonds peints par des artistes de l'époque, la chapelle royale a coûté plus de deux millions de livres à l'époque. La chapelle que le Roi-Soleil n'a jamais pu admirer Le paradoxe de cette chapelle royale est que Louis XIV a consacré beaucoup d'efforts et d'argent à sa construction. Pourtant, le résultat que vous pourrez admirer lors de votre visite n'a été achevé qu'en 1710, et ce n'est que cinq ans plus tard que le monarque est mort, mettant fin à l'ère de la monarchie absolue en France.
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Galerie des batailles
le roi Louis-Philippe eut l'idée en 1837 de construire une immense galerie dans le château pour représenter les grandes batailles et les exploits du pays à travers l'histoire. Cette galerie occupe presque tout l'étage de l'aile sud du château et est devenue une étape incontournable. Cette galerie est pratiquement devenue un musée dans le musée et tend à attirer l'attention des visiteurs en raison de ses proportions énormes et de sa magnifique classification historique, servant presque de scénario pour comprendre toute l'histoire de la période. Voici quelques-unes des grandes peintures exposées ici que vous ne pouvez pas manquer : - La bataille d'Austerlitz de François Gérard - L'entrée d'Henri IV à Paris par François Gérard
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Salle des croisades
Composé de cinq petites salles, cet espace a été commandé par le roi Louis Philippe en 1843 et devait rendre hommage aux croisades. L'intérêt pour le Moyen Âge de l'époque s'est poursuivi tout au long de la Révolution française et une grande partie de cette collection de gadgets et d'armes se retrouve dans cette salle, qui possède une vaste collection d'armures et de boucliers des principaux personnages qui ont participé à ces batailles.
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Salle de l'Empire
le roi Louis-Philippe eut à cœur de rallier à son régime les anciens de l’Empire et l’opinion bonapartiste. A Versailles, il fit ainsi rassembler au rez-de-chaussée de l’aile sud du palais, sous la galerie des Batailles, la plupart des grands tableaux commandés par Napoléon.
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Salle Louis XIV
La salle Louis XIV est une présentation chronologique allant de la naissance à la mort du Roi Soleil. On découvre ainsi l'histoire de la vie du souverain, de sa famille et de la cour à travers des portraits de famille, des évènements festifs et politique. Les œuvres présentées dans ces salles constituent des témoignages historiques inestimables sur le XVIIe et le début du XVIIIe siècle. Dans cette nouvelle présentation, on découvre bien sûr les chefs-d'oeuvres historiques connus du grand public mais aussi des œuvres encore méconnues issues des réserves ou récemment acquises. On y découvre également l'évolution du portrait à travers le siècle : en buste, de trois-quarts, en pied, intime, officiel ou travesti. Certaines des œuvres présentées comptent parmi les créations majeures de Le Brun, de Mignard, de Van der Meulen, de Largillière ou de Coysevox ; d’autres ont été créées par de petits maîtres et témoignent de la richesse de la création artistique au XVIIe siècle.
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Journée du roi soleil
Louis XIV en costume de sacre de Hyacinthe Rigaud
Les jardins et les bosquets
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L'orangerie
En contrebas du Château, l’Orangerie, par son ampleur, par sa hauteur, par la pureté de ses lignes, est l’un des endroits où Jules Hardouin-Mansart a le mieux affirmé son talent de grand architecte. Orangers du Portugal, d’Espagne ou d’Italie, citronniers, lauriers-roses, palmiers ou encore grenadiers, certains ayant jusqu’à plus de 200 ans, tous ces arbustes sont conservés l’hiver dans l’Orangerie et déployés l’été sur son parterre.
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Bosquet de l'arc de triomphe
Du bosquet de l’Arc de Triomphe, aménagé par Le Nôtre entre 1677 et 1684, il ne reste que la partie basse, du côté du bassin de Neptune. On y accédait comme aujourd’hui, de façon à considérer l’ensemble de la décoration qui s’achevait, en haut de la terrasse supérieure, par un grand arc de triomphe de métal doré ruisselant de jets et de cascades. De part et d’autre, des buffets d’eau et des pyramides de métal doré rajoutaient à la splendeur du bosquet. En bas, la fontaine de La France triomphante par les sculpteurs Coysevox, Tuby et Prou, donnait tout son sens à l’ensemble en célébrant les victoires militaires du roi.
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Bosquet des trois fontaines
Créé par Le Nôtre en 1677, ce bosquet est le seul mentionné sur un plan ancien comme étant « de la pensée du roi ». Parallèle à l’allée d’Eau, sa pente naturelle a dicté son aménagement sur trois niveaux distincts reliés entre eux par des cascades. Restitué en 2005, il a retrouvé sa composition et ses jeux d’eau voulus par le souverain : au bassin inférieur, les jets forment une fleur de lys, au centre, une voûte d’eau, en haut enfin, une colonne d’eau formée de cent quarante jets.
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Bosquet de la salle de bal
Le bosquet de la Salle de Bal est le dernier bosquet que Le Nôtre aménagea dans les jardins. Les travaux, commencés en 1680, s’achevèrent en 1685. Le Grand Dauphin, fils de Louis XIV, y donna un grand souper pour son inauguration. Le bosquet est traité comme un amphithéâtre de verdure. Au centre, l’arène avait été dotée d’un îlot ceinturé d’un canal à deux niveaux et accessible par quatre petits ponts. Cet îlot, destiné à la danse, fut supprimé par Jules Hardouin-Mansart en 1707. Le Nôtre utilisa habilement l’importante déclivité provoquée par les rampes du parterre de Latone pour concevoir une grande cascade qui occupe tout le côté oriental de l’amphithéâtre. Cette cascade à huit degrés est scandée de rampes de marbre. L’ensemble a reçu un décor de pierres de meulière et de coquillages, auquel s’ajoutent de grands guéridons et des vases de plomb doré. Les gradins destinés aux spectateurs sont soulignés par des buis taillés.
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Bosquet de la reine
Ce bosquet a remplacé le célèbre bosquet du Labyrinthe, tracé en 1665-1666 puis agrémenté, en 1677, d’un ensemble de trente-neuf fontaines en plomb peintes au naturel mettant en scène les animaux des fables d’Ésope. Cette merveille fut détruite lors de la replantation des jardins en 1775-1776, et remplacée par l’actuel bosquet qui prit d’abord le nom de bosquet de Vénus puis de bosquet de la Reine. Le nouveau tracé, simple mais élégant, avait été conçu pour mettre en valeur, au centre, une essence récemment introduite en France : le tulipier de Virginie. Le décor sculpté actuel fut mis en place à la fin du XIXe siècle.
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Bosquet de l'obélisque
Du bosquet de la Salle des Festins aménagé par Le Nôtre entre 1671 et 1674, il ne reste que le tracé général. Il fut entièrement repris par Jules Hardouin-Mansart en 1705-1706. L’architecte y creusa un vaste bassin rectangulaire à deux niveaux d’où jaillissent une multitude de jets formant un obélisque liquide. Le bassin supérieur se déverse par quatre escaliers d’eau dans le bassin inférieur.
Les bassins et les scultures
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Bassin d'apollon
Dès 1636, sous Louis XIII, existait à cet endroit un bassin, dit alors des Cygnes, que Louis XIV fit orner de l’impressionnant et célèbre ensemble en plomb doré représentant Apollon sur son char. L’œuvre de Tuby, d’après un dessin de Le Brun, s’inspire de la légende d’Apollon, dieu du Soleil et emblème du Roi et montre le dieu jaillissant de l’onde et s’apprêtant à effectuer sa course quotidienne au-dessus de la terre. Tuby exécuta ce groupe monumental entre 1668 et 1670 à la manufacture des Gobelins, date à laquelle il fut transporté à Versailles puis mis en place et doré l’année suivante
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Bassin de la pyramide
Exécutée par le sculpteur François Girardon sur un dessin de Le Brun, la Pyramide, au centre de son bassin, demanda trois ans de travail. Elle est composée de quatre vasques de plomb superposées, supportées par des tritons, des dauphins et des écrevisses en plomb.
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Bassin de latone
Inspiré par Les Métamorphoses d’Ovide, le bassin de Latone illustre la légende de la mère d’Apollon et de Diane protégeant ses enfants contre les injures des paysans de Lycie, et demandant à Jupiter de la venger. Ce qu’il fit en transformant les Lyciens en grenouilles et en lézards. Le groupe central en marbre, sculpté par les frères Marsy, représente Latone et ses enfants. Il était, lors de la création du bassin en 1668, placé sur un rocher et entouré des six figures de paysans en train de se transformer, tandis que vingt-quatre grenouilles étaient disposées sur la plate-forme de gazon entourant le bassin. La déesse regardait alors vers le Château. Cet aménagement fut modifié par Jules Hardouin-Mansart entre 1687 et 1689. Le rocher fit place à une pyramide de marbre et le groupe de Latone regarde désormais vers le Grand Canal. Le bassin de Latone se prolonge par un parterre où sont placés les deux bassins des Lézards.
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Bassin de Neptune
C’est sous la direction de Le Nôtre que fut entrepris, entre 1679 et 1682, le bassin de Neptune, nommé alors pièce d’eau sous le Dragon, ou pièce des Sapins. Un décor marin dédié à Neptune est prévu, mais les grands groupes projetés ne sont pas réalisés sous Louis XIV. Sous le règne de son successeur, Ange-Jacques Gabriel modifia légèrement le tracé du bassin en 1736 et, en 1740, on mit en place le décor sculpté définitif, composé de trois groupes : Neptune et Amphitrite, par les frères Lambert, Protée par Edme Bouchardon et Océan par Jean-Baptiste Lemoyne. Le nouveau bassin, inauguré par Louis XV, suscita l’admiration par le nombre, l’ampleur et la variété des jets d’eau jouant sur les sculptures de plomb. Il compte aujourd’hui quatre-vingt-dix-neuf jets qui constituent un extraordinaire ensemble hydraulique.
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Cléopatre mourante
C'est en l'an -30 avant J.C que Cléopatre décide de mettre fin à ses jours à Alexandrie en Egypte.Selon les auteurs anciens, grecs et romains, Cléopâtre VII se serait suicidée en laissant un aspic (non la vipère aspic, espèce européenne, mais le cobra égyptien) la mordre ainsi que deux de ses servantes. Cette sculture de Jean-Baptiste Goy représente ainsi la lagende antique
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Isis à l'Orangerie de Versailles
Cette statue égyptienne de la déesse Isis est revenue à Versailles après son entrée dans les collections du Louvre au tournant des XVIIIe et XIXe siècle. A l’issue de l’exposition "Versailles et l'antique", elle est restée à Versailles et replacée dans l’Orangerie, dans la niche qu’elle occupait à la fin du règne de Louis XIV. Exécutée en marbre noir, cette sculpture était encore considérée au XIXe siècle comme celle d’une reine d’Egypte. L’agencement du drapé et du nœud formé au niveau de sa poitrine, sont les caractéristiques des représentations de la déesse égyptienne Isis.