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HIGH FLIGHTS PRESENTATION

Marjorie DRIEUX VADUNTHUN

Created on May 8, 2023

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Transcript

Anthologie poétique

Titouan Drieux Vadunthun

pourquoi le theme de la Guerre ?

Tout d'abord, j'aimerais rappeler que je ne suis pas un grand familier des poèmes et que de ce fait, j'ai eu du mal à analiser et comprendre ces derniers, mais le plus difficile pour moi est été de trouver un thème, enfin plutot de me decider, car j'étais senssé me décider entre Rimbaud, Dorion et Ponge, sauf que les seuls poèmes que j'ai put trouver ont été ceux de Rimbaud, pour le meilleur et pour le pire.Donc pour en revenir aux thèmes, tout ce qui m'est été de choisir, étaient l'amour, la jeunesse, et lbien sur, la guerre... J'en pense que ce qui m'a le plus ennuyé dans ce travaille, c'était le fait de passer à chaque fois d'une œuvre à une autre, ce qui m'a donc pris beaucoup de temps puisque qu'il me faut du temps pour pouvoir analyser une œuvre, et que je vais en général de plus en plus vite dans les explications et les idées que je peut trouver au fure et a mesure, et dans ce cas, s'arréter a chaque fois pour passer d'un poème a un autre m'a beaucoup handicapé dans mon travaille ( soit des problèmes que je n'ai pas en travaillant sur un livre par exemple). Le thème de la Guerre m'a tout de mème parut assez interessant, puisque ce dernier a touché ( et surtout traumatisé) beaucoup de monde, et que donc cela a résulté d'une certaine richesse et variété entre les différents poèmes, ce qui fait que j'ai été bien fournit en therme de matière a étudier, mème si bien évidement, certains thèmes comme la peur, la désolation et surtout la mort, sont beaucoup revenus Pour terminer et mieux introduire mon thème, j'aimerais revenir sur cette fameuse citation d'Albert Einstein, résumant bien l'absurdité des Hommes et du monde qui nous entour :

"Le monde est dangereux a vivre, non pas à cause de ceux qui font le mal, mais a cause de ce qui regarde et laissent faire"

le Mal

d'Arthur Rimbaud

01

comparé aux autres poèmes de Rimbaud, celui-ci est moins subtile, et décrit les choses de façon plus graphique, ce qui ne cherche pas a induire en erreur le lecteur, mais plutot justement a temoigner directement des horreurs de la guerre sans passer par de véritables allégories ou autre procéder particulier, ce qui change des autres écrits de Rimbaud sur le mème sujet qui étaient plutôt dans l'ambiguité. Celon moi ce poème voulait montrer au gens de qu'elle coté ce positionnait Rimbaud, et leur faire comprendre que la guerre est une abomination, et que c'est ainsi pourquoi il a choisi de nommer tout simplement son poéme "Le Mal" Il doit chercher a ètre parlant et a ce que les gens n'aient pas de clés culturelles spécial pour le comprendre, ce qui rend ce poème très accéssible.

Tandis que les crachats rouges de la mitraille Sifflent tout le jour par l'infini du ciel bleu ; Qu'écarlates ou verts, près du Roi qui les raille, Croulent les bataillons en masse dans le feu ; Tandis qu'une folie épouvantable broie Et fait de cent milliers d'hommes un tas fumant ; - Pauvres morts ! dans l'été, dans l'herbe, dans ta joie, Nature ! ô toi qui fis ces hommes saintement !... - Il est un Dieu, qui rit aux nappes damassées Des autels, à l'encens, aux grands calices d'or ; Qui dans le bercement des hosannah s'endort, Et se réveille, quand des mères, ramassées Dans l'angoisse, et pleurant sous leur vieux bonnet noir, Lui donnent un gros sou lié dans leur mouchoir !

J'ai choisit ce poème pour démarrer mon Anthologie car celui-ci donnait bien le thème, et permettait de me donner des bases pour pouvoir étudier le restes de mes selections

illustration moi

02

Le dormeur du Val

Arthur Rimbaud

Sonnet. C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.

Contrairement au précédant, ce poéme-ci illustre parfaitement l'exemple de l'ambiguité des poèmes de Rimbaud, c'est bien simple sans le dernier vers, ce dernier perd tout son sens. Néanmoins lorsque j'étais petit j'ignorais la vérité derrière cette histoire,et imaginais simplement que les taches rouges, étaient enfaite simplement un témoignage d'un repas passé, ou que s'aige, d'une trace de peinture. Malheuresement, le Père Noel aussi a ses secret, et lorsqu'on n'est qu'un simple enfant,on ignore tout de cela. j'ai choisit cette oeuvre, car elle m'était plutot singulière, et m'a rappeler mon enfance, comme j'ai pu l'évoquer plutôt. Aussi je ne pouvais pas faire une anthologie sans évoquer ce poème que l'on ne présente plus, alors toutes les raisons étaient bonnes pour le prendre

illustration moi

Seigneur, quand froide est la prairie, Quand dans les hameaux abattus, Les longs angelus se sont tus... Sur la nature défleurie Faites s'abattre des grands cieux Les chers corbeaux délicieux. Armée étrange aux cris sévères, Les vents froids attaquent vos nids ! Vous, le long des fleuves jaunis, Sur les routes aux vieux calvaires, Sur les fossés et sur les trous Dispersez-vous, ralliez-vous ! Par milliers, sur les champs de France, Où dorment des morts d'avant-hier, Tournoyez, n'est-ce pas, l'hiver, Pour que chaque passant repense ! Sois donc le crieur du devoir, Ô notre funèbre oiseau noir ! Mais, saints du ciel, en haut du chêne, Mât perdu dans le soir charmé, Laissez les fauvettes de mai Pour ceux qu'au fond du bois enchaîne, Dans l'herbe d'où l'on ne peut fuir, La défaite sans avenir.

Les corbeaux

03

Arthur Rimbaud

Dans ce poème-ci, l'auteur utilise des phrases impérratives a certains moments, comme "Disspersez-vous";"Pour que chaque passant repense!",ou encore"Les vent froids attaques vos nids !" ce qui nous donnent cette désagréable sensation de mort et de fatalité, que l'on pourrais comparer a un boureau appelant les condamnés a la mort, car les oiseaux sont donc ici l'allegorie des soldats partant au front, et auquels on donne des ordres.Aussi j'aprécie beaucoup la comparaison avec les corbeaux: ces animaux au pelage noir, ne nécéssitant que d'un coup de feu pour que tout un essain ne grouille dans l'air, puis mème, ces oiseaux sinistres n'ont rien d'humain, pas méme leur regard ne laisse percevoir le blanc de leurs yeux, mais rien qu'un noir abyssale.

illustration moi

Vais acheter une cravache En peau de porc, jaune en couleur, Si je n’en trouve que macache Prendrai mon fouet de conducteur. Les mouton noirs des nuits d’hiver S’amènent en longs troupeaux tristes. Les étoiles parsèment l’air Comme des éclats d’améthystes. Là-bas tu vois les projecteurs Jouer l’aurore boréale, C’est une bataille de fleurs Où l’obus est une fleur mâle Les canons membres génitaux, Engrossent l’amoureuse terre. Le temps est aux instincts brutaux. Pareille à l’amour est la guerre. Écoute au loin les branle-bas, Claquer les drapeau tricolore Au vent, dans le bruit des combats Qui durent du soir a l’aurore. Salut, salut au régiment Qui va rejoindre les tranchées. Dans le ciel pâle éperdument Sur lui la victoire est penchée Mon cœur, embrasse les deux fronts Fronts de Toutou, front de l’armée. Ce qu’ils ont fait, nous le ferons. Au revoir, ô ma bien-aimée. Nîmes, le 7 février 1915

04

Vais acheter une cravache

Guillaume Apollionaire

Dans ce dernier, l'auteur fais en sorte de révéller le sujet de manière progressive, en utilisant différentes gradations, comme la métaphore de la cravache, devenant un fouet, et le dernier vers, nous donnant simplement le lieu et la date de ce poème, soit pendant la Guerre. Aussi l'auteur arrive a nous décrire ses paysages défigurés par la guerre, dont tout le monde semble avoir pris l'habitude Ainsi ce poème permet de témoigner d'un changement de mentalité, soit plus brutale, et des changement de lieux, autrefois aimés et quotidiens, n'étant plus qu'en ruines

Comme dit précédement, j'ai choisit ce poème pour le tableau qu'il dresse sur ces contrés ravagés, nous rappelant que quelque soit l'époque et l'endroit, la désolation n'est jamais bien loin

Verdun Vallotton

05

Michel et Christine

Arthur Rimbaud

Zut alors, si le soleil quitte ces bords ! Fuis, clair déluge ! Voici l’ombre des routes. Dans les saules, dans la vieille cour d’honneur, L’orage d’abord jette ses larges gouttes. Ô cent agneaux, de l’idylle soldats blonds, Des aqueducs, des bruyères amaigries, Fuyez ! plaine, déserts, prairie, horizons Sont à la toilette rouge de l’orage ! Chien noir, brun pasteur dont le manteau s’engouffre, Fuyez l’heure des éclairs supérieurs ; Blond troupeau, quand voici nager ombre et soufre, Tâchez de descendre à des retraits meilleurs. Mais moi, Seigneur ! voici que mon esprit vole, Après les cieux glacés de rouge, sous les Nuages célestes qui courent et volent Sur cent Solognes longues comme un railway. Voilà mille loups, mille graines sauvages Qu’emporte, non sans aimer les liserons, Cette religieuse après-midi d’orage Sur l’Europe ancienne où cent hordes iront ! Après, le clair de lune ! partout la lande, Rougis et leurs fronts aux cieux noirs, les guerriers Chevauchent lentement leurs pâles coursiers ! Les cailloux sonnent sous cette fière bande ! – Et verrai-je le bois jaune et le val clair, L’Epouse aux yeux bleus, l’homme au front rouge, ô Gaule, Et le blanc Agneau Pascal, à leurs pieds chers, – Michel et Christine, – et Christ ! – fin de l’Idylle.

Celui-ci est étrange, je n'arrive pas a déceler le véritable font de l'histoire. Peut ètre ce dernier parle d'un soldat mourrant a l'infirmerie attendant son destin et accompagné de sa femme ou d'une infirmière a cause de la phrase " l'homme au front rouge", montrant ainsi qu'il est fièvreux, et "Et verrais-je le bois jaune et le valclair"qui n'est pas suivit de raiponse, voulant montrer qu'il ne s'en sortiras pas, et surtout " - et Crist "prouvant ainsi que Michel n'est plus a la fin. Ou alors il s'agirait simplement du soldat montant au ciel, et la femme à laquelle il s'adresse serait enfaite un ange, en raison de ses yeux bleux. Néanmoins après recherche, aucun ange ne se nomme Christine, alors le mystère reste entier. Ce poème m'intriguer comme vous avez put le deviner, je trouvait cela interaissant de parler de théorie qui l'entour, plutot que de l'analyser de manière technique

la mort de Marat Caravage

Paris

06

Kamal Zerdoumi

Dans ce poème, l'auteur semble faire beaucoup d'assonances en R, en S ,et en T, ce qui pourrais faire pensser à une forme de désolation, avec les R et les T resonnent comme des briques de batiments qui s'écroule, ou les S , faisent plus penser au bruit que fait le vent en se faufilant dans les ruines. Aussi, il est vrai que Paris est été bombardée, mais le problème c'est que très peu, ce qui me fais penser, bien qu'évidant soit-il, que toute la personnification autour de Paris que l'on peut retrouver, doit plus faire référence a la France en général, et aux dirigeants et généreaux de cette époque, sur lequel l'auteur fait donc peser cette honte d'un France en ruine et envoyant les hommes à la guerre, mème si je reste mitigé en ce qui est de l'aspect plutot patriotique, ou critique du regard que porte donc l'auteur sur la France Surrement qu'il essaie juste de nous rappeler qui nous étions est combien cette ville resplandissai, et nous faisant réfléchir sur combien avons nous pu tomber bat

Ville-lumière ils t’ont de nouveau plongée dans le noir comme aux heures les plus sombres de ton histoire Toi emblème de la gaieté vivant poème meurtrie par la mort de tes citadins innocents sache que les fous de Dieu qui au divertissement préfèrent le bain de sang ne briseront pas le pacte fraternel O Paris la rebelle faite de l’heureux mélange de la liberté des idéaux et des confessions et pour laquelle vivre ensemble est une passion

Enfant de la Guerre Robert Bass

07

Siglo de Oro

Jean-Pierre Villebramar

Celui-ci était relativement court je trouve, et ne fournit que très peu d'élément en ce qui concerne son contexte, enfin ci l'on ne connais pas Francisco Pizzaro, le conquistador le plus célèbre du 16 siècle, qui avait cette facheuse habitude d'asservir les peuples amérindiens qu'il découvrait, et les exploiter jusqu'a la mort pour le peu de pierres qui brillent sur cette terre... En sois ce poème n'as rien d'exeptionnelle, et cela est dut au fait qu'il soit a ce point court. Néanmoins ce dernier a attiré mon attention en raison du sujet qu'il traite: Siglo de Oro, chouette titre pour une époque remplie de massacres, et ce dernier ce trouvait dans la catégorie des poèmes de guerre, ce qui ma fait pensser que les guerres ont toujours étaient présentes dans l'histoire, parfois utilent pour lévolution de certains , et un régressement chez d'autres. néanmoins heuresement que l'on sait apprendre de ses erreurs, et que de nos jours, de telles choses ne peuvent plus se reproduire, pas vrai ?

Il y eut Adolf, Joseph et Benito, avant eux : Francisco ! par tous les Diables de l’Enfer qu’ils soient bénis ! Disaient les uns qu’ils soient maudits ! Fut-il ensuite admis. Par bonheur, au Pays de la Démocratie un brave commerçant nommé Harry père de famille gouvernant, appuya sur le bouton : Hiroshima ! Puis encore une fois : Nagasaki ! Qu’il soit béni au nom du Père, du Fils, du Saint-Esprit au nom aussi de la Démocratie.

Inconnu Francisco de Goya

08

Sentinelle

Didier Venturini

Ce poeme traite les choses et les sentiment, comme le perceverrais un enfant je trouve: En effet,souvant il évoque le sentiment de la peur , mais sous des formes plutot surpprenantes : "c'est bien sûr la nuit, quand tout est sombre, que le moindre bruit vient faire peur à l'ombre" cette citation je trouve, illustre le fait que la nuit est un danger, soit notre plus grand ennemis lorsque l'on est enfant. Aussi "cette peur silencieuse un isolement", est une phrase,utilisant le mot "peur" qui est plutot enfantin je trouve, en plus que ce dernier est déjà a mainte reprise déjà utilisé par l'auteur dans le texte, ce qui donne cet aspect de phrase plutot simpliste à certains moments. De mème pour toutes les phrases du style "L'acier qui vous dit que tu n'est plus chez toi..."ou"ce bateau pour prendre un pied dans la mort", qui désignent pleins de traumatismes illustrés par des objet ou des matériaux, comme les souvenir douloureux que l'on pourrait avoir étant jeune Et puis mème, cette citation "puis nous voilà vieux, sans avoir vécu", est un parfais exemple de la jeunesse infantille que l'auteur décrit Mais peut-étre est-ce cela que l'on ressant lorsque l'on est en guerre, peut-étre est-ce pour cela que pendant les guerres, les soldats durant le débarquement de Normandie 1944 n'imploraient plus leurs dieux, mais bien leurs mères, car la peur nous transforme, nous affaiblit, et nous rend vulnérable, comme un nouveau né, découvrant pour la première foie un monde qu'il ne comprend pas

c’est bien sûr la nuit quand tout est sombre que le moindre bruit vient faire peur à l’ombre que même un fusil tremble sous vos doigts l’acier qui vous dit tu n’es plus chez toi Les heures qui vous creusent indéfiniment cette peur silencieuse un isolement bien sûr l’autre en face celui que l’on craint l’inquiétante menace moiteur de vos mains c’était de Port-Vendres où d’un autre port ce bateau pour prendre un pied dans la mort ces hommes que l’on tue les autres qui tombent tout ce sang perdu rien qu’une hécatombe retour au silence malaise muet un mur de souffrance l’hôpital des plaies Puis nous voilà vieux sans avoir vécu condamnant au feu nos jeunesses perdues c’est bien sur la nuit quand tout est sombre que remontent les cris qui font peur à l’ombre

Saturne dévorant un de ses fils Francisco de Goy

Pacifique Nord

De toutes ces lignes écrites, de toutes ces lignes disparues, seul est resté un mot : Hiroshima ! Hiroshima ne s’efface pas de la page blanche Hiroshima reste une tache monstrueuse sur la page blanche Hiroshima impunie, qui oserait envoyer un Président Vainqueur devant le Tribunal ? De La Haye ? « Votre dossier n’est pas recevable…. » « mais Monsieur le Juge…. » « Votre dossier n’est pas recevable, Monsieur le Plaignant » « mais Monsieur le Juge…. » vous n’avez pas rempli le Certificat de Défaite.» Peine perdue. Toutes ces lignes écrites, toutes ces lignes ces vies effacées, effacées effacées instantanément, détruites à faible rayonnement alpha bêta gamma Hiroshima alpha et oméga de la barbarie ; alpha et oméga du cynisme quand défile le Président Vainqueur sous les Vivats des Vivants. Sous l’absolu silence. Sous le silence absolu des morts. Vivat ! Vivat ! Hiroshima ! Il a sauvé la Démocratie. Prenant mon sac, je ferme ma maison portes et fenêtres closes absolument et pars très loin, où ne m’attend aucun Tribunal International, là où jamais ne rencontrerai le Président Vainqueur, sous les vivats, Hiroshima. Marchant vers l’Ouest, à travers la grande prairie et les belts, je marche je marche vers les Montagnes Rocheuses. Je ne me tourne pas vers l’Est pour ne pas voir, ne pas voir les lueurs violettes de Los Alamos, je me cache dans ma tanière pour hiberner. Peine perdue. Au plus profond de la nuit d’hiver brûle la flamme. Hiroshima, Hiroshima, qui effacera ton ombre ? Qui osera l’effacer ? Qui osera, qui osera, Hiroshima ? Ton ombre immense qui s’étire bras en croix depuis la grande prairie depuis les belts sur la vallée de la Mort, sur les rives du lac Salé étendue même sur les lumières de Salt Lake City mais Hosanna Hiroshima voici les hautes cimes des Rockies je les gravis, hourra hourra Hiroshima voici au delà des crêtes l’Océan l’océan immense immense immense devenu immensément l’Océan devenu enfin, mais tard, mais bien trop tard Hiroshima devenu tard, mais bien trop tard enfin enfin Hiroshima Pacifique.

Jean-Pierre Villebramar

Sur ce poème je n'aurait pas grand chose à dire, car ce dernier parle de lui-mème, puisqu'il évoque assez facilement cette aspect d'injustice. Néanmoins je voulais quand mème mettre ce dernier en lumière car sa composition ma parut très intéressante, nottament avec le quattrain sur le tribunal, et les autres comparraison a la feuille blanche, que je trouvait très poétique

09

Hiroshima Yves Kein

010

Guerre,rose et souffrance

Sandra Rakotondrazaka

Celon moi, la rose que décrit l'auteur ici, est en quelque sorte l'allegorie du cœur du soldat, car "La fleur éblouie ouvre ses pétales" est peut-étre le moment ou le soldat est pret à se battre, remplie de cette hivresse d'aller au combat, et c'est pourquoi son cœur s'emporte, puis vient "La fleur frémit"; " elle perd un pétale"; "la fleur, dans la boue tombe..." montrant ainsi la vie du soldat le quittant petit a petit, jusqu'à "ma vie mise a nue dans un ostensoir" et tout le reste du texte, montrant la montée au ciel de ce dernier, entrain d'admirer le tableau de sa mort. Ce poème je trouve, illustre les choses de façon très cinématographique, et c'est ce qui m'a interéssé le plus dans celui-ci. Il a réussi a décrire la mort avec une touche plutot poétique, (mème si c'est ironique que de dire cela d'un poème), mais a mon avis c'est ce qui change le plus des autres poèmes que j'ai put lire jusqu'ici

L'oublier Emilie Betsellère