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Module 1
Idélia
Created on March 27, 2023
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Transcript
Pris en charge des patients atteints l'Alzheimer
Module 1
Généralités autour d'Alzheimer
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Sommaire
Objectifs
I. Anatomies et fonctions
Point à retenir
III.Les plans gouvernementaux
Point à retenir
II. Démence ou maladie
Point à retenir
Ressources
Tout débloquer
Sommaire
Objectifs
Point à retenir
I. Anatomies et fontions
III.Les plans gouvernementaux
Point à retenir
II. Démence ou maladie
Point à retenir
Ressources
SUIVANT
Objectifs du module
Connaître l’anatomie générale du cerveau et son mode de fonctionnement.
Comprendre la différence entre démence et maladie neurodégénérative.
Réaliser l’étendue du problème de la maladie dans le monde et en France.
Avoir conscience des préjugés sur la maladie.
Comprendre les objectifs des différents plans gouvernementaux.
SUIVANT
I. Anatomie cérébrale et grandes fonctions cérébrales
I. Le cerveau humain
Avant de pouvoir entrer dans le vif du sujet, quelques rappels sur le fonctionnement normal du cerveau sont nécessaires. Le cerveau humain pèse environ 1370 grammes chez l’homme et 1300 grammes chez la femme. Il comporte environ 90 milliards de neurones ayant chacun de 5 à 60000 synapses.
SUIVANT
I. Anatomie cérébrale et grandes fonctions cérébrales
I. Le cerveau humain
Le cerveau humain (partie la plus importante de l’encéphale) est situé au-dessus du cervelet et du tronc cérébral.
Les neurones sont formés d’un axone et des synapses.
Il comprend deux hémisphères cérébraux (qui avec les structures forment le télencéphale) et le diencéphale (thalamus, hypothalamus, épithalamus et sous-thalamus)
La myélinisation des axones permet d’augmenter la vitesse de l’influx nerveux.
SUIVANT
I. Anatomie cérébrale et grandes fonctions cérébrales
II. Le cortex cérébral
Le cortex cérébral est un tissu organique, appelé aussi substance grise qui recouvre les deux hémisphères du cerveau sur une épaisseur de quelques millimètres. Chez l‘être humain, l’épaisseur du cortex est comprise entre 1 et 4,5 millimètres et sa surface avoisine 2 600 centimètres carrés
Afin de pouvoir loger dans la boîte crânienne, le cortex est plissé par des sillons (sulcus en latin scientifique) ou scissures, de profondeur variable, délimitant des crêtes appelées gyrus ou circonvolutions cérébrales
SUIVANT
I. Anatomie cérébrale et grandes fonctions cérébrales
II. Le cortex cérébral : aires fonctionnelles
Le cortex cérébral est divisé en zones fonctionnelles, appelées aires, chacune assurant une fonction cognitive précise.
SUIVANT
I. Anatomie cérébrale et grandes fonctions cérébrales
II. Le cortex cérébral : aires d'association
IL Y A AUSSI CE QU’ON APPELLE LES AIRES D’ASSOCIATION, QUI REPRÉSENTENT LA MAJORITÉ DU CORTEX.
Dans le lobe temporal : mémorisation, langage, identification des visages
Dans le lobe pariétal : zone de convergence des sens pour donner une image globale de l’environnement, petite zone donnant du sens au langage
Dans le lobe pré-frontal : intégration des données de toutes les zones pour aboutir à la pensée, central dans la prise de décision.
Dans le sillon médian entre les deux lobes (appelée zone limbique) : mémorisation des émotions, très impliqué dans les relations sociales
SUIVANT
I. Anatomie cérébrale et grandes fonctions cérébrales
Le cortex cérébral
IL Y A DEUX NOTIONS IMPORTANTES À SAISIR :
- Toute atteinte d’une zone impacte les autres zones et par conséquent le résultat final.
- Des microlésions cérébrales peuvent passer inaperçues en raison de la plasticité cérébrale (phénomène de compensation cérébrale, un neurone est hors d’usage, un autre sera utilisé à sa place).
SUIVANT
I. Anatomie cérébrale et grandes fonctions cérébrales
Exemple concret du fonctionnement global du cerveau
Le cortex auditif vous envoie dans le même temps plusieurs informations
le cortex visuel s’active, vous ne voyez que des formes éparses.
Votre bébé pleure, c’est l’heure du biberon.
SUIVANT
I. Anatomie cérébrale et grandes fonctions cérébrales
Exemple concret du fonctionnement global du cerveau
Le lobe préfrontal
Le lobe temporal
La zone limbique
Le cortex préfrontal
Le cortex frontal
SUIVANT
Exemple concret du fonctionnement global du cerveau
I. Anatomie cérébrale et grandes fonctions cérébrales
La collaboration des zones a été essentielle pour résoudre ce problème. Sans collaboration, pas de résolution de problème.
Cette collaboration est impossible si une des zones concernée est très endommagée (exception faite des handicaps de naissance comme les personnes aveugles qui ont surdéveloppé les autres aires) ou si les neurones ne communiquent pas entre eux via les neurotransmetteurs.
Le biberon est prêt et vous nourrissez votre bébé.
SUIVANT
I. Anatomie cérébrale et grandes fonctions cérébrales
Les neurotransmetteurs
Clique sur chacun des numéros pour découvrir des neuro-transmetteurs
Les neurotransmetteurs sont des molécules chimiques qui sont libérées dans les synapses permettant à un neurone d’être activé par un autre neurone.
Voir le schémas
SUIVANT
I. Anatomie cérébrale et grandes fonctions cérébrales
Les neuromédiateurs
Ils ressemblent aux neurotransmetteurs (ils peuvent d’ailleurs parfois remplir les deux rôles) mais ils ne sont pas diffusés entre deux neurones mais dans l’ensemble du système nerveux, ils sont responsables de « l’ambiance » du cerveau:
step 1
Duis autem vel eum iriure dolor in hendrerit in
LA NORADRÉNALINE : C’est le système d’urgence, focalise l’attention et la mémorisation
LA MÉLATONINE : Elle gère le cycle circadien et le contrôle hormonal.
LA DOPAMINE : C’est le système de récompense du cerveau.
LA SÉROTONINE : Elle est impliquée dans le cycle veille sommeil, le comportement alimentaire, le comportement sexuel.
SUIVANT
I. Anatomie cérébrale et grandes fonctions cérébrales
Tableaux
Cliquez sur le bouton ci-dessous afin d'avoir accès aux tableaux récapitulatifs
Voir les Tableaux
SUIVANT
Le point a retenir
Chapitre 1
Suivant
Le cortex cérébral est divisé en zones fonctionnelles, appelées aires, chacune assurant une fonction cognitive précise. Il y a aussi ce qu’on appelle les aires d’association, qui représentent la majorité du cortex
Suivant
La collaboration des différentes zones est essentielle pour résoudre les différents actes de la vie. Cette collaboration est impossible si une des zones concernée est très endommagée ou si les neurones ne communiquent pas entre eux via les neurotransmetteurs
Suivant
Les neurotransmetteurs sont des molécules chimiques qui sont libérées dans les synapses permettant à un neurone d’être activé par un autre neurone
Suivant
Les neuromédiateurs, qui ressemblent aux neurotransmetteurs, ne sont pas diffusés entre deux neurones mais dans l’ensemble du système nerveux, ils sont responsables de « l’ambiance » du cerveau.
Suivant
II. La démence ou maladie neurodégénérative
Etymologie
L’étymologie du mot démence («dé» signifie «hors de», «mens» signifie «esprit») est frappante, il s’agit donc de quelqu’un qui n’est plus en possession de son esprit ...
SUIVANT
II. La démence ou maladie neurodégénérative
Un peu d'histoire
Si la distinction est faite aujourd’hui en médecine (sauf en médecine légale) le terme de démence reste connoté à la folie dans le langage courant « c’est dément cette histoire ! ».
Au 19ème siècle, Le terme démence recoupe en réalité les maladies psychiatriques et les maladies neurodégénératives.
SUIVANT
II. La démence ou maladie neurodégénérative
La démence est un syndrome, généralement chronique ou évolutif, dans lequel on observe une altération de la fonction cognitive (capacité d’effectuer des opérations de pensée), plus importante que celle que l’on pourrait attendre du vieillissement normal. Elle affecte la mémoire, le raisonnement, l’orientation, la compréhension, le calcul, la capacité d’apprentissage, le langage et le jugement. La conscience n’est pas touchée. Une détérioration du contrôle émotionnel, du comportement social ou de la motivation accompagne souvent, et parfois précède, les troubles de la fonction cognitive.
SUIVANT
II. La démence ou maladie neurodégénérative
Définition maladie neurodégénérative
À travers ses deux définitions on constate que la maladie d’Alzheimer peut être qualifiée soit de démence d’Alzheimer soit de maladie neurodégénérative d’Alzheimer.
L’OMS a gardé le terme de démence bien que les préjugés liés à ce terme soient tenaces et nuisent à l’image sociale et familiale du patient qui en est atteint
Pour cette raison, les neurologues parleront eux de maladies neurodégénératives
SUIVANT
II. La démence ou maladie neurogénérative
Quelques donéess sur les démences : dans le monde
On compte 55 millions de personnes atteintes de démence dans le monde et il apparaît chaque année près de 10 millions de nouveaux cas. La maladie d’Alzheimer est la cause la plus courante des démences et serait à l’origine de 60-70% des cas. On estime dans l’ensemble de la population qu’entre 5% et 8% des personnes âgées de 60 ans et plus sont atteintes de démence à un moment donné.
SUIVANT
II. La démence ou maladie neurogénérative
Quelques donéess sur les démences : dans le monde
Cliquez pour en savoir plus
Le nombre de personnes atteintes de démence
01
02
Raison de la hausse
03
04
Le coût
Un peu plus de la moitié
SUIVANT
II. La démence ou maladie neurogénérative
Quelques donéess sur les démences : en France
Nouveauxcas par an
En2019
En réalité
SUIVANT
II. La démence ou maladie neurogénérative
Quelques donéess sur les démences : en France
SUIVANT
II. La démence ou maladie neurogénérative
Quelques donéess sur les démences : en France
D’après les données assurance maladie, 2 520 millions d'euros (1,5% du budget) sont attribués à la prise en charge pour démences (dont maladie d'Alzheimer) :1 694 millions d'euros pour les soins de ville (67%) 815 millions d'euros pour les dépenses hospitalières (32%)11 millions d'euros pour les prestations en espèces (indemnités journalières maladie, AT/MP, maternité et invalidité) (1%). La dépense annuelle moyenne remboursée est estimée à 3 390 euros par personne (Régime Général + Sections Locales Mutualistes).
SUIVANT
II. La démence ou maladie neurogénérative
Quelques donéess sur les démences : en France
Cliquez sur les points jaunes pour découvrir les différentes données
Personnes suivies
Malades en institution
Prise en charge
Coût annuel moyen
Un malade sur deux
Mortalité
Sexe du malade
Espérence de vie
SUIVANT
II. La démence ou maladie neurogénérative
Les préjugés sur les patients et leurs conséquences
Cette liste de préjugés est dans le quatrième protocole technique d’accord de la Journée Mondiale de la Santé 2001 dirigé par l’OMS.
La démence est souvent perçue comme faisant partie du processus naturel de vieillissement, ce qui empêche sa reconnaissance et la prise en soins appropriée du malade
Cependant, certains symptômes des démences sont très stigmatisants tant dans le contexte de la communauté que dans le cadre des services de soins.
En savoir plus
SUIVANT
info
info
II. La démence ou maladie neurogénérative
Les préjugés sur les patients et leurs conséquences
Le diagnostic de démence peut amener à exclure ces malades de certains types de traitement (réanimation cardio- vasculaire, hospitalisations, long séjour dans des institutions), ceci aussi bien dans les pays développés que dans les pays en voie de développement.
Les personnes âgées souffrant de démence sont souvent perçues comme n’ayant plus une bonne qualité de vie ni la capacité d’éprouver du plaisir.
SUIVANT
II. La démence ou maladie neurogénérative
Les préjugés sur les patients et leurs conséquences
Cette analyse de la situation que nous connaissons a entraîné deux actions :
- La journée mondiale de la maladie d’Alzheimer, fixée au 21 septembre chaque année.
- Le plan Alzheimer 2008-2012 puis le plan Maladies Neurodégénératives 2014-2019.
À la vue de ces données nous pouvons conclure que nous sommes face à un défi de santé publique majeur en termes de coût financiers, en termes de coût humains, en termes de société, en termes de dignité
SUIVANT
L’utilisation populaire du terme « démence » ou « dément » a souvent un sens stigmatisant. La personne âgée souffrant de perte de mémoire perd de ce fait les traces de son passé, ce qui explique la conversion, par la société, de son statut de sujet à celui d’objet. Les patients dont on classe la pathologie comme maladie neurodégénérative ne sont pas perçus comme porteurs d’une « maladie mentale » contrairement à ceux diagnostiqués « déments ». Ceci est le reflet de l’ambiguïté de la classification de ce trouble et peut avoir des conséquences en termes d’organisation de soins et de prise en charge financière par les assurances.
SUIVANT
Discussion au cabinet avec une patiente de 62 ans qui présente des troubles de la mémoire de plus en plus fréquents. Elle vous demande des “boosters de mémoire”. Comment orientez vous votre interrogatoire ? Pouvez-vous penser à une MA ? Pourquoi ? Connaissez-vous le nombre de personnes “jeunes” avec la MA ?
Réponse libre
Je veux voir lE FEEDBACK !
SUIVANT
Le point a retenir
Chapitre 2
Suivant
La démence est un syndrome, généralement chronique ou évolutif, dans lequel on observe une altération de la fonction cognitive (capacité d’effectuer des opérations de pensée), plus importante que celle que l’on pourrait attendre du vieillissement normal
Suivant
Les maladies neurodégénératives sont des maladies chroniques invalidantes à évolution lente et discrète. Elles provoquent généralement une détérioration du fonctionnement des cellules nerveuses, en particulier les neurones, pouvant conduire à la mort cellulaire
Suivant
La maladie d’alzheimer et les maladies apparentées sont considérées comme des maladies neuro dégénératives
Suivant
Il existe de nombreux préjugés sur les patients déments, avec des conséquences altérant la qualité de vie
Suivant
III. Les plans gouvernementaux
Après une série de plusieurs plans dédiés à certaines pathologies en particulier (plan Alzheimer, plan Parkinson), le gouvernement a annoncé un plan Maladies neurodégénératives pour la période 2014-2019, doté de 470 millions d’euros. Il est dédié aux maladies neurodégénératives dans leur ensemble, afin de créer davantage de synergie entre les actions de recherche, les soins et l’accompagnement des personnes concernées par une problématique commune, celle de la protection « neuronale ». La déclinaison territoriale du volet médico-social du plan est confiée aux agences régionales de santé (ARS). Une circulaire du 22 janvier 2016 précise le cadre de la mise en œuvre régionale par les ARS de ses mesures. Elle formalise les états des lieux (ou diagnostics de départ) régionaux sur lesquels doivent reposer les plans d’action régionaux des ARS. Il y a eu deux autres plans Alzheimer en 2001 (axé sur le diagnostic et la recherche) et en 2005 (création de l’ Affection de Longue Durée pour tous les malades), mais le plus important date de 2008.
SUIVANT
III. Les plans gouvernementaux
plan "alzheimer et maladies apparentées" 2008 - 2012
Le plan « Alzheimer et maladies apparentées » 2008-2012 doit permettre de mettre en place, sur l’ensemble du territoire, des mesures adaptées susceptibles d’améliorer la prise en charge des personnes âgées et la qualité de vie de leur entourage. Centré sur la personne malade et sa famille, il a pour objectif de fournir un effort sans précédent sur la recherche, de favoriser un diagnostic plus précoce et de mieux prendre en charge les malades et leurs aidants.
Il comporte 44 mesures qui sont réparties en trois axes et 11 objectifs :
Connaitre
Mobiliser
Améliorer
Il bénéficiait d’un financement de 1,6 milliards d’euros sur 5 ans.
SUIVANT
III. Les plans gouvernementaux
plan "alzheimer et maladies apparentées" 2008 - 2012
Axe 1 : "Améliorer la qualité de vie des malades et des aidants"
06
05
01
03
02
04
Valoriser
Soutenir
Renforcer
Permettre
Améliorer
Améliorer
SUIVANT
III. Les plans gouvernementaux
plan "alzheimer et maladies apparentées" 2008 - 2012
Axe 2 : "Connaître pour agir"
La recherche
+ Info
Organisationdu suivi
+ Info
SUIVANT
III. Les plans gouvernementaux
plan "alzheimer et maladies apparentées" 2008 - 2012
Axe 3 : "Se mobiliser pour un enjeu de société"
Informer et sensibilier le grand public (numéro unique d'information 0 800 97 20 97 entièrement gratuit, connaissence du regard porté sur la maladie
Promouvoir une réflexion et une démarche éthique (espace de réflexion éthique dédié, réflexions sur l’autonomie, réflexion sur le statut juridique de la personne en établissement, information sur les protocoles thérapeutiques en cours)
Faire de la maladie d’Alzheimer une priorité européenne (recherche européenne, aides européennes)
SUIVANT
III. Les plans gouvernementaux
IGASS : ÉVALUATION DU PLAN ALZHEIMER 2008-2012 - JUIN 2013
Axe 3 : "Se mobiliser pour un enjeu de société"
En 2013 un rapport d’une centaine de pages sur le plan est rendu par l’IGASS (inspection générale des affaires sanitaires et sociales)
Leurs conclusions (de façon très synthétisées) sont les suivantes :- Le plan a eu dans l’ensemble des répercussions positives tant au niveau du développement des structures, que de la recherche.
- En revanche, le numéro unique reste mal connu autant des familles que des professionnels, le regard de la société n’a que peu changé, l’annonce diagnostique reste mal encadrée. Les médecins généralistes pourtant en première ligne n’ont été que peu formés. La recherche en sciences humaines et sociales est restée pauvre.
SUIVANT
III. Les plans gouvernementaux
IGASS : ÉVALUATION DU PLAN ALZHEIMER 2008-2012 - JUIN 2013
L’IGASS à la suite de ses conclusions émet plusieurs recommandations et axes prioritaires qui seront à l’origine du plan sur les maladies neuro- dégénératives.
SUIVANT
III. Les plans gouvernementaux
PLAN « MALADIES NEURODÉGÉNÉRATIVES - 2014-2019 »
Le plan pour les maladies neuro-dégénératives 2014-2019 s’inscrit dans la continuité du dernier plan Alzheimer 2008- 2012. Il élargit son champ d’action en prenant en compte toutes les maladies neuro-dégénératives, la maladie d’Alzheimer et les maladies apparentées mais aussi la maladie de Parkinson et la sclérose en plaques, toutes trois des maladies chroniques et invalidantes. "Ces trois maladies ne sont pas les mêmes, elles créent des handicaps spécifiques" précise le Pr Clanet, président du comité de suivi du plan, "mais elles confrontent de façon similaire les personnes malades et leurs proches aidants à des situations de perte d’autonomie lourde". Deux grands axes du plan concernent l’accompagnement des malades mais aussi celui de leurs proches. Cette préoccupation fait écho à la reconnaissance de l’action du proche aidant et d’un droit au répit par la loi du 28 décembre 2015 relative à l’adaptation de la société au vieillissement
SUIVANT
III. Les plans gouvernementaux
PLAN « MALADIES NEURODÉGÉNÉRATIVES - 2014-2019 »
Selon le Pr Clanet "Un des objectifs majeurs du plan est de faciliter la lecture des parcours de santé par les professionnels de santé qui ne savent pas toujours vers qui orienter leurs patients".
Les 96 mesures prévues par le plan maladies neuro-dégénératives doivent à présent être déclinées à l’échelle locale dans un contexte de réforme territoriale créant de nouvelles conditions de déploiement de ces mesures.
SUIVANT
III. Les plans gouvernementaux
PLAN « MALADIES NEURODÉGÉNÉRATIVES - 2014-2019 »
Il comprend 4 axes et 12 enjeux : Axe 1 "Soigner et accompagner tout au long de la vie sur l'ensemble du territoire" :
SUIVANT
III. Les plans gouvernementaux
PLAN « MALADIES NEURODÉGÉNÉRATIVES - 2014-2019 »
Axe 2 "favoriser l'adaptation de la société aux enjeux des maladies neuro-dégénératives et atténuer leurs conséquences personnelles et sociales sur la vie quotidienne"
Faciliter la vie avec la maladie au sein d'une société
Faire des droits de la personne
Atténuer les conséquences économiques
Soutenir les proches aidants
Favoriser le lien social
SUIVANT
III. Les plans gouvernementaux
PLAN « MALADIES NEURODÉGÉNÉRATIVES - 2014-2019 »
Axe 3 "Développer et coordonner la recherche sur les maladies neuro-dégénératives"
SUIVANT
III. Les plans gouvernementaux
PLAN « MALADIES NEURODÉGÉNÉRATIVES - 2014-2019 »
Axe 4 "Faire de la gouvernance du plan MND un véritable outil d'innovation de pilotage des politiques publiques et de démocraties en santé"
L'état actuel de notre savoir
La courbe de la pyramide
Rendre effectif et structurer
Ambition importante
SUIVANT
02
01
03
04
Le point a retenir
Chapitre 3
Suivant
Deux plans gouvernementaux se sont succédés pour les maladies neurodégénératives dans leur ensemble, afin de créer davantage de synergie entre les actions de recherche, les soins et l’accompagnement des personnes concernées par une problématique commune, celle de la protection « neuronale ».
Suivant
Le dernier PLAN « MALADIES NEURODÉGÉNÉRATIVES - 2014-2019 » met l’accent sur le parcours de soins, l’adaptation de la société aux enjeux des maladies neuro-dégénératives, afin d’atténuer leurs conséquences personnelles et sociales sur la vie quotidienne, mais aussi sur la recherche et l’innovation
Suivant
Ressources complémentaires
Vidéos
Documents
Maladie d'Alzheimer: les troubles du langage - Hopitaux Universitaires de Genève. 2016
Guide du parcours de soins des patients présentant un trouble neurocognitif associé à la maladie d'Alzheimer ou à une maladie apparentée
Maladie d'Alzheimer: les causes de la maladie
Alzheimer, Optimiser le parcours de soins
Suivant
Guide du parcours de soins des patients
Suivant
Alzheimer, Optimiser le parcours de soins
Suivant
Maladie d'Alzheimer: les troubles du langage - Hopitaux Universitaires de Genève. 2016
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Maladie d'Alzheimer: les causes de la maladie
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FELICITATIONs !
