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L'homme est-il maître de la nature ?

Comment et pourquoi les œuvres artistiques représentent-elles la relation de l’homme à la nature ?

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Vocabulaire La nature Remplace le groupe nominal prépositionnel en gras par l’adjectif correspondant. Ex : un froid d’hiver = un froid hivernal

  • Un éclairage d’automne = ………………………………………………………………….
  • Une douceur de printemps = ………………………………………………………………
  • La saison d’été = ……………………………………………………………………………….
  • Le soleil du matin = ………………………………………………………………………….
  • Les forêts des tropiques = …………………………………………………………………
  • La clarté de la lune = ………………………………………………………………………………
  • Un bouquet de fleurs des champs = …………………………………………………………..
  • Un petit matin de brume = ………………………………………………………………………..
  • L’air de la mer = ……………………………………………………………………………….
  • Les animaux des Alpes = …………………………………………………………………….
Reconstitue trois champs lexicaux à partir des mots suivants et nomme-les. Rivage – champ – flocon - pommier – sapin – palmier – piste - labourer – plage – rivière – torrent – nager - dune – sommet – écume – prairie – enneigé – poissons – chamois – vache – trèfle – vagues – skier Champ lexical de ……………………… Champ lexical de ……………………… Champ lexical de ……………………… Forme quatre couples de deux synonymes avec les mots suivants : Une averse – une pluie diluvienne – le crachin – la bruine – une ondée – la brume – une pluie torrentielle – le brouillard.

séance 2 Le regard du poète sur la nature Je me penche attendri sur les bois et les eaux,Rêveur, grand-père aussi des fleurs et des oiseaux ;J'ai la pitié sacrée et profonde des choses ;J'empêche les enfants de maltraiter les roses ;Je dis : N'effarez point la plante et l'animal ;Riez sans faire peur, jouez sans faire mal.Jeanne et Georges, fronts purs, prunelles éblouies,Rayonnent au milieu des fleurs épanouies ;J'erre, sans le troubler, dans tout ce paradis […]. Victor HUGO, L’Art d’être grand-père, 1877

Réponds aux questions après avoir bien lu l'extrait du poème de Victor Hugo. Reconnaître le genre du texte Quels indices du texte te font penser qu’il s’agit d’un poème ? Qui est désigné par le pronom je dans ce texte ? Comment le sait-on ? Le poète et la nature Surligne deux adjectifs qui qualifient l’attitude du grand-père au début du poème. Quel mode verbal le grand-père utilise-t-il pour s’adresser à ses petits-enfants aux vers 6 et 7 ? Ces verbes expriment-ils un ordre ? un conseil ? une prière ? Justifie ta réponse en expliquant ce que le grand-père cherche à faire comprendre à ses petits-enfants. La nature et l’enfance A quel champ lexical les mots « sacrée » (v.3), « éblouies » (v.7), « purs » (v.8) et « rayonnent » (v.8) appartiennent-ils ? Quelle image de la nature et de l’enfance le poète donne-t-il ici ? BILAN : complète avec le terme qui convient. Victor Hugo considère la nature comme un … Il apprend à ses petits-enfants à la …

séance 3 « L’Homme qui plantait des arbres » Jean Giono DOCUMENT 1 : incipit de la nouvelle Pour que le caractère d’un être humain dévoile des qualités vraiment exceptionnelles, il faut avoir la bonne fortune de pouvoir observer son action pendant de longues années. Si cette action est dépouillée de tout égoïsme, si l’idée qui la dirige est d’une générosité sans exemple, s’il est absolument certain qu’elle n’a cherché de récompense nulle part et qu’au surplus elle ait laissé sur le monde des marques visibles, on est alors, sans risque d’erreurs, devant un caractère inoubliable. Il y a environ une quarantaine d’années, je faisais une longue course à pied, sur des hauteurs absolument inconnues des touristes, dans cette très vieille région des Alpes qui pénètre en Provence. Cette région est délimitée au sud-est et au sud par le cours moyen de la Durance, entre Sisteron et Mirabeau ; au nord par le cours supérieur de la Drôme, depuis sa source jusqu’à Die; à l’ouest par les plaines du Comtat Venaissin et les contreforts du Mont- Ventoux. Elle comprend toute la partie nord du département des Basses-Alpes, le sud de la Drôme et une petite enclave du Vaucluse. C’était, au moment où j’entrepris ma longue promenade dans ces déserts, des landes nues et monotones, vers 1200 à 1300 mètres d’altitude. Il n’y poussait que des lavandes sauvages. Jean Giono, « L’homme qui plantait des arbres », 1953 Document 2 : texte de la lettre de Jean Giono au Conservateur des Eaux et Forêts de Digne au sujet de sa nouvelle « L’homme qui plantait des arbres » (1957) : Cher Monsieur, Navré de vous décevoir, mais Elzéard Bouffier est un personnage inventé. Le but était de faire aimer l’arbre ou plus exactement faire aimer à planter des arbres (ce qui est depuis toujours une de mes idées les plus chères). Or si j’en juge par le résultat, le but a été atteint par ce personnage imaginaire. Le texte que vous avez lu dans Trees and Life a été traduit en danois, finlandais, suédois, norvégien, anglais, allemand, russe, tchécoslovaque, hongrois, espagnol, italien, yddisch, polonais. J’ai donné mes droits gratuitement pour toutes les reproductions. Un Américain est venu me voir dernièrement pour me demander l’autorisation de faire tirer ce texte à 100 000 exemplaires pour les répandre gratuitement en Amérique (ce que j’ai bien entendu accepté). L’Université de Zagreb en fait une traduction en yougoslave. C’est un de mes textes dont je suis le plus fier. Il ne me rapporte pas un centime et c’est pourquoi il accomplit ce pour quoi il a été écrit. J’aimerais vous rencontrer, s’il vous est possible, pour parler précisément de l’utilisation pratique de ce texte. Je crois qu’il est temps qu’on fasse une « politique de l’arbre » bien que le mot politique semble bien mal adapté. Très cordialement, Jean Giono

séance 4 DOCUMENT 1 Il y avait si longtemps que j’avais quitté le quartier que j’ai eu du mal à retrouver la rue, celle qui grimpait tout en haut de la colline, jusqu’au mur de la villa Aurore. Les grands immeubles étaient maintenant partout, ils avaient poussé en désordre sur la colline, jusqu’au sommet, serrés les uns contre les autres sur leurs grandes plates-formes de goudron. Les arbres avaient presque tous disparu, sauf un ou deux par-ci par-là, oubliés sans doute par le ravage qui était passé sur la terre : des oliviers, des eucalyptus, quelques orangers qui, maintenant perdus dans cette mer de goudron et de béton, semblaient chétifs, ternes, vieillis, près de leur mort. Je marchais dans les rues inconnues, et peu à peu mon cœur se serrait. Il y avait une drôle d’impression qui venait de tout, comme de l’angoisse, ou bien une peur très sourde, sans motif réel, l’impression de la mort. Le soleil ruisselait sur les façades des immeubles, sur les balcons, allumait des étincelles sur les grands panneaux vitrés. Le vent tiède de l’automne agitait les feuilles des haies, et le feuillage des plantes d’agrément dans les jardins des résidences, car c’étaient maintenant des plantes sages aux couleurs voyantes, aux noms bizarres que je connaissais depuis peu, poinsettias, bégonias, strelitzias, jacarandas. Il y avait bien, de temps en temps, comme autrefois, des merles moqueurs qui criaient sur mon passage, qui sautillaient dans le gazon des ronds-points, et des cris d’enfants, et des aboiements de chiens. Mais la mort était derrière tout cela, et je sentais qu’on ne pouvait pas l’éviter […] Alors je me suis arrêté un moment pour comprendre. Tout était tellement différent ! Les villas avaient disparu, ou bien elles avaient été repeintes, agrandies, transformées. Là où il y avait autrefois des jardins protégés par de hauts murs décrépis, maintenant s’élevaient les immeubles très blancs de dix, huit, douze étages, immenses sur leurs parkings tachés de cambouis. Ce qui était inquiétant surtout, c’est que je ne parvenais plus à retrouver mes souvenirs à présent. Ce qui existait aujourd’hui avait effacé d’un seul coup tous mes souvenirs d’enfance, laissant seulement la sensation douloureuse d’un vide, d’une mutilation, un malaise vague, aveugle, qui empêchait mes sentiments d’autrefois de se rejoindre avec ceux du présent. Jean-Marie Gustave Le Clézio, « Villa Aurore », dans La Ronde et autres faits divers, 1982 DOCUMENT 2 Dans un avenir proche, un militant écologiste témoigne de son passé pendant un cours d’histoire-géographie. « Bonjour à tous. Je m’appelle Michel Leroy. Votre professeur d’histoire a eu la gentillesse de m’inviter en qualité de témoin. Je ne suis pas là pour vous faire cours. Simplement, mon grand âge et mon passé de militant écologiste font que je connais assez bien le problème de la pollution atmosphérique. J’ai consacré la première partie de ma vie à la recherche et à la lutte, avant de proposer des interventions comme celles d’aujourd’hui. En vingt ans, j’ai rencontré des centaines de jeunes pour leur expliquer que nous n’avons pas toujours vécu ainsi. On connaît mal, finalement, la cause principale de la dégradation de l’air. Les facteurs déclenchants ont été si nombreux qu’il paraît difficile, encore aujourd’hui, de trouver un coupable unique. Disons pour faire court que l’activité humaine, en quelques dizaines d’années, a abîmé la planète au point de nous obliger à porter cet accoutrement. Chaque matin, avant de quitter votre lit, vous avez appris à passer en revue tous les éléments de votre panoplie. Rien ne vous échappe ; vos parents ont su vous enseigner très tôt les gestes indispensables, heureusement. C’est devenu pour vous une habitude. […] En classe, vous avez étudié les dates les plus importantes. J’aimerais revenir aujourd’hui sur ce que les gouvernements ont considéré à l’époque comme des détails. Sachez que les choses se sont faites petit à petit. C’est pourquoi je reste persuadé qu’un tel désastre aurait pu être évité. […] Excusez-moi. Je suis toujours très ému quand je repense à cette époque. Si nous avions pris les mesures nécessaires, nous n’en serions peut-être pas là. Il aurait fallu agir avant, de toute façon. De nombreux signes auraient dû nous alerter. Mais c’était chaque fois la même chose. Appliquer le principe de précaution demandait trop d’efforts. Et les scientifiques tardaient à trouver des preuves. C’était possible que la forte émission de gaz à effet de serre soit responsable de la modification du climat mais difficile de le démontrer. La température a augmenté régulièrement et l’ozone a fait les ravages qu’on sait dans les grandes villes. Nous sommes parvenus à une telle concentration qu’il est devenu impensable depuis longtemps de respirer sans masque. Combien de visages connaissez-vous aujourd’hui ? Une dizaine, peut-être un peu plus. Disons une vingtaine. C’est dramatique de devoir s’isoler ainsi pour vivre, d’avoir vu finalement si peu de ses semblables ? Pas de visage, pas de corps. Rien ne doit dépasser sous peine de mort. C’est insoutenable ! Et on pourrait multiplier les exemples. Avez-vous posé votre nez, ne serait-ce qu’une fois, sur une fleur pour respirer son parfum ? » Il tousse et suffoque après chaque mot. Cela devient difficile de saisir le sens de ses paroles. Il a fini par adopter un ton amer, comme s’il en voulait à la terre entière. J’aimerais lui dire que nous n’y sommes pour rien, que nous l’avons trouvée comme ça la Terre, et qu’il nous faut bien vivre avec. […] La prof a traversé la salle en courant dès qu’elle a vu M. Leroy plaquer ses deux mains sur son masque pour l’enlever mais elle n’a rien pu faire. Le vieil homme n’a pas voulu l’écouter. Il a utilisé ses dernières forces puis nous a regardés un moment sans rien dire. Je crois qu’il a essayé de sourire. Je m’étais trompé sur son compte. Il voulait nous offrir son visage. Benoît Broyart, « Bas les masques », dans Nouvelles vertes, 2005. DOCUMENT 3 Le nuage de pollution reposait sur la ville, pareil à une couette de duvet grise et épaisse. Shû Kishida contemplait ce triste spectacle depuis la fenêtre de son appartement. L’analyseur d’air, un boîtier fixé à l’extérieur, indiquait les chiffres du matin : un taux déjà élevé d’ozone (dû à l’exposition à la lumière solaire du dioxyde d’azote et des hydrocarbures VOCs), beaucoup d’oxydes d’azote, du dioxyde de soufre, du monoxyde de carbone, des particules en suspension et une pincée de plomb pour faire bonne mesure. Pas de quoi vous tuer sur le coup, mais le cocktail était suffisamment nocif pour entraîner de graves problèmes respiratoires. Une étude récente avait prouvé que les gens trop imprudents (ou surtout trop pauvres) qui se rendaient dehors sans masque à air voyaient leur espérance de vie diminuer de moitié. Les cas de maladies pulmonaires, d’asthme, ne se comptaient plus au sein de la population des bas quartiers. Chaque jour, Kishida se demandait : Comment en est-on arrivé là ? Il ne parvenait pas à trouver une réponse complètement satisfaisante. Kyoto et Tokyo avaient fusionné un quart de siècle plus tôt. Elles avaient donné naissance à Kyo2, une mégalopole de cent millions d’habitants. D’accord, on pouvait difficilement regrouper autant d’êtres humains au mètre carré sans conséquences, mais cela n’expliquait pas tout. Apparemment conscientes du danger représenté par l’escalade de la pollution, les autorités s’étaient mobilisées. On avait pris des mesures : contrôle technique des véhicules, circulation réglementée, etc. Le ministère de l’Environnement affirmait investir des sommes considérables dans la recherche sur les essences « reformulées » ou sur le moteur à hydrogène. Et, malgré tous ces efforts, l’infect brouillard, le smog, grossissait chaque année. Les seuls qui y trouvaient leur compte, en définitive, c’étaient les dirigeants de Yi-Yendi, la compagnie spécialisée dans le créneau de l’air en boîte ! Les cartouches que vous glissiez dans votre masque à air avant de sortir ? Yi-Yendi ! Les systèmes de ventilation qui filtraient l’air du dehors pour le réinjecter, pur et délicatement parfumé, à l’intérieur de votre appartement? Encore Yi-Yendi ! Autant dire qu’ils faisaient des affaires, ceux-là. Shû Kishida était bien placé pour le savoir : il travaillait pour eux. Une pensée terrible lui vint à l’esprit : Et si les pontes de Yi-Yendi soudoyaient les politiciens pour qu’ils fassent piétiner les recherches ? Pourquoi pas ? Après ce qu’il avait découvert sur les pratiques de ses patrons, la chose paraissait tout à fait envisageable. Et cela expliquerait l’incurie[1] du gouvernement. Un marché aussi énorme que celui de la pollution ne pouvait qu’attiser l’appétit des squales de la finance et de la politique. Kishida était un petit homme de cinquante ans, d’un naturel calme et pondéré ; mais en cet instant précis, il sentait la colère bouillonner dans ses entrailles. Christophe LAMBERT, « La compagnie de l’air », dans Demain la Terre, 2003 Texte complet : http://autres-mondes.noosfere.org/ DOCUMENT 4 Voilà, tout est fait, je crois. Papa va être content quand il va rentrer du travail. Reste plus qu'à vérifier la liste. Porter le verre au conteneur. OK. Arroser le potager avec l'eau des bacs de récupération. OK. Retourner le compost1. FAIT. Il y a deux ans, nos parents ont décidé d'obtenir le label Maison verte qui, selon la nouvelle directive gouvernementale, leur octroierait2 50 % de réduction sur leurs impôts locaux et jusqu'à 65 % sur la taxe d'habitation. Nos voisins d'à côté, les Giraud, l'ont obtenu l'an passé, comme les Ledoux, en face. Notre village est « à la pointe », dit toujours papa quand on a des invités, l'un des premiers à avoir été classé VFD, pour Village de France Durable. Il était temps que l'on s'y mette aussi. Vider le bac à sciure3 des toilettes. FAIT. Ramasser le bois mort du jardin. OK. Papa et maman ont beaucoup investi ces deux dernières années : une chaudière à granulés de bois, des panneaux solaires sur le toit du garage, un système de récupération des eaux qui permet non seulement d'arroser le potager bio mais aussi d'alimenter la salle de bains et le lavabo de la cuisine, une douche à débit limité, du double vitrage à toutes les fenêtres et une isolation complète des combles en laine de chanvre. Chaque matin, sur une ardoise de la cuisine, nos parents inscrivent la liste des tâches que ma sœur et moi devons effectuer en rentrant de l'école. Au collège, la prof d'écocivisme ne cesse de nous répéter que c'est avec des gestes simples et quotidiens que l'on peut préserver la planète. Depuis cette année, l'écocivisme est coefficient 3 au bac. Autant que l'anglais et la physique nucléaire. Changer l'ampoule fluocompacte du salon. FAIT. Nourrir les poules. OK. Tuer un lapin pour dimanche. OK. Faire vos devoirs. OK. Avec les économies qu'ils feront sur les impôts quand on aura le label Maison verte, mes parents comptent acheter une voiture électrique, ce qui nous éviterait de prendre le car pour aller à la gare TGV quand on part en vacances. Par contre, papa continuera d'aller au travail en tandem6 avec M. Giraud. Il faut dire que, comme tout le monde dans le quartier, il travaille à la centrale nucléaire qui n'est qu'à deux kilomètres de la maison. De toute façon, il aura quarante-cinq ans dans deux ans et sera à la retraite. Charger le four à bois. OK. Cueillir une tomate pour dîner (portez-la à deux pour ne pas vous faire mal au dos). FAIT. Prendre vos cachets d'iode7. OK. Tout est fait. Le soir tombe, c'est l'heure que je préfère de la journée. Les oiseaux s'appellent dans le jardin, les derniers rayons de soleil étirent les ombres et embrasent le panache8 de la tour de refroidissement de la centrale. J'entends le porche qui grince. Papa revient du travail. J'aime, chaque soir, quand il traverse la cour et qu'il scintille dans la pénombre9. Mikaël Olivier, « Maison verte », dans Nouvelles re-vertes, 2008. 1. Engrais naturel obtenu par la décomposition de matières organiques.2. Accorderait.3. Poussière de bois, utilisée dans les toilettes sèches.4. Espace situé sous les toits.5. Ampoule à basse consommation.6. Double vélo comportant deux places.7. L'iode limite les effets de la radioactivité sur le corps humain.8. Le sommet.9. L'obscurité. [1] Manque d’organisation.

QUESTIONS DOCUMENT 1 1- Qui est le narrateur ? 2- Où se trouve-t-il ? 3- Résume ce texte en deux ou trois phrases maximum. 4- Relève une ou deux phrases qui montrent les changements subis par le paysage. 5- Quels sont les deux champs lexicaux qui s’opposent dans le 1er paragraphe ? 6- Quelles sont les impressions du narrateur lors de sa balade ? Que ressent-il ? Cite le texte. 7- Quel mot le narrateur utilise-t-il à plusieurs reprises pour évoquer le paysage qu’il découvre ? Quelle image cela donne-t-il du monde moderne ? Bilan : a) Rédige un bilan en deux ou trois phrases en utilisant les mots suivants : narrateur, lieux de son enfance, immeubles, parkings, nature, défigurer, mort, malaise. b) Que dénonce ce texte ? Justifie ta réponse en utilisant les mots en effet, tout d’abord, ensuite, enfin.

QUESTIONS DOCUMENT 2 1- Qui est le narrateur ? Où se trouve-t-il ? 2- Qui est M. Leroy ? Relève dans le texte plusieurs expressions qui visent à donner de la légitimité à ses propos. 3- Résume ce texte en deux ou trois phrases maximum. 4- Quels changements M. Leroy évoque-t-il ? Que dénonce-t-il ? 5- Quels mots M. Leroy utilise-t-il pour désigner les masques que tous doivent porter ? Quelle est la connotation de ces mots ? 6- Quelle est la réaction du narrateur en écoutant M. Leroy ? Que ressent-il ? Cite le texte. Bilan : a) Rédige un bilan en deux ou trois phrases en utilisant les mots suivants : narrateur, témoin, écologie, alerte, dégradation, conséquences. b) Que dénonce ce texte ? Justifie ta réponse en utilisant les mots en effet, tout d’abord, ensuite, enfin.

QUESTIONS DOCUMENT 3 1- Où et quand l’action se situe-t-elle ? 2- Quels éléments du texte nous permettent de comprendre qu’il s’agit du futur ? 3- Qui est le personnage principal ? Que savons-nous de lui ? 4- Résume ce texte en deux ou trois phrases maximum. 5- Relève des mots du champ lexical de la pollution. 6- Que pense le personnage au sujet de la situation ? Que soupçonne-t-il ? Pourquoi ? 7- Quelle image ce texte donne-t-il des dirigeants politiques et des entreprises ? Relève plusieurs expressions péjoratives qui les désignent. Bilan : a) Rédige un bilan en deux ou trois phrases en utilisant les mots suivants : personnage, futur, pollution, maladies, responsabilité, intérêt, sacrifier. b) Que dénonce ce texte ? Justifie ta réponse en utilisant les mots en effet, tout d’abord, ensuite, enfin.

QUESTIONS DOCUMENT 4 1- Qui est le narrateur ? Où vit-il ? 2- A quelle époque l’action se déroule-t-elle selon toi ? Explique ta réponse. 3- Comment pourrait-on qualifier la plupart des tâches que le narrateur doit accomplir (passages en italiques) ? 4- Quels efforts la famille du narrateur fait-elle ? A priori dans quel but ? Cite le texte. 5- Relis le texte à partir de « Cueillir une tomate pour le dîner… » jusqu’à la fin. Que comprend-on de la situation réelle ? 6- Résume ce texte en deux ou trois phrases maximum. Bilan : a) Rédige un bilan en deux ou trois phrases en utilisant les mots suivants : narrateur, efforts, écologie, pollution, nucléaire, conséquences. b) Que dénonce ce texte ? Justifie ta réponse en utilisant les mots en effet, tout d’abord, ensuite, enfin.

Vocabulaire La nature Remplace le groupe nominal prépositionnel en gras par l’adjectif correspondant. Ex : un froid d’hiver = un froid hivernal

  • Un éclairage d’automne = ………………………………………………………………….
  • Une douceur de printemps = ………………………………………………………………
  • La saison d’été = ……………………………………………………………………………….
  • Le soleil du matin = ………………………………………………………………………….
  • Les forêts des tropiques = …………………………………………………………………
  • La clarté de la lune = ………………………………………………………………………………
  • Un bouquet de fleurs des champs = …………………………………………………………..
  • Un petit matin de brume = ………………………………………………………………………..
  • L’air de la mer = ……………………………………………………………………………….
  • Les animaux des Alpes = …………………………………………………………………….
Reconstitue trois champs lexicaux à partir des mots suivants et nomme-les. Rivage – champ – flocon - pommier – sapin – palmier – piste - labourer – plage – rivière – torrent – nager - dune – sommet – écume – prairie – enneigé – poissons – chamois – vache – trèfle – vagues – skier Champ lexical de ……………………… Champ lexical de ……………………… Champ lexical de ……………………… Forme quatre couples de deux synonymes avec les mots suivants : Une averse – une pluie diluvienne – le crachin – la bruine – une ondée – la brume – une pluie torrentielle – le brouillard.

Vocabulaire La dégradation de l’environnement

  • Relie chaque mot à sa définition.
  • Associe les mots de chaque colonne pour former cinq couples d’antonymes.
Naturel – conserver – sauvegarder – sain – nocif – artificiel – gaspiller – détruire – vulnérable – résistant. Connotation positive Connotation négative Qu’est-ce que la connotation d’un mot ? Elle s’oppose à la dénotation qui correspond au sens neutre d’un mot, à la définition qu’on trouve dans le dictionnaire. On parle de connotation pour désigner ce qu’un mot évoque (sensations, émotions…). La connotation d’un mot peut varier selon le contexte. Par exemple : le mot rouge Sens dénoté : couleur primaire Sens connotés : interdiction, colère, violence…

DOCUMENT 1 : Quelle impression fait l’incipit de la nouvelle "L'homme qui plantait des arbres" ? Observe changement de temps et de personne au cours de l'extrait. Quelles différences notes-tu? A ton avis, pourquoi cela change-t-il ? Quels éléments du texte donnent l'impression d'une histoire réellement vécue par le narrateur ? Quel est le champ lexical qui domine dans le 3ème paragraphe ? DOCUMENT 2 : Quels sont les objectifs de Giono en écrivant sa nouvelle ?