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Présentation zootechnie

otalora

Created on January 5, 2023

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Transcript

ZOOTECHNIE

Presentation

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index

1. Qu’est ce que la Zootechnie ?

2. L'élevage en France

3. Sciences et techniques au service de l’élevage

4. Types d ’élevage

5. Especes animale

6. QUIZZ

Performance animale

Qu'est ce que la zootechnie

La zootechnie : Ensemble des sciences et des techniques mises en œuvre dans l'élevage des animaux pour l'obtention de produits ou de services à destination de l'homme ( viande, lait, œufs, laine, traction, loisirs et agréments, sport hippiques,…)

  • La génétique animale
  • La physiologie animale dont la reproduction et la nutrition
  • L’éthologie ( comportement)
  • L’épidémiologie
  • L’hygiène
  • Les techniques de logement et de mécanisation
  • L’écologie
  • Les statistiques et l’informatique

L'élevage en France Ensemble des activités qui assurent la multiplication des animaux domestiques, pour l'usage des humains.

Sciences et techniques au service de l’élevage

L'élevage fait appel à un certain nombre de sciences et de techniques dont : •A la préservation de paysages ouverts, de pâtures à vocation de protection des sols ,… ; •A la préservation des espèces et des races domestiques à faible rendement menacées de disparition (élevage conservatoire) ; • Aux loisirs : animaux de compagnie et de concours.

SCIENCES ET TECHNIQUES

L'alimentation

Zootechnie

Selection

Santé

Types d'élevage

Especes animales

Caprin

Bovin

Ovin

Porcin

Bovin

En 2020, avec près de 17,8 millions de têtes, l’effectif du cheptel bovin diminue de 2,1 % sur un an (‑ 9,0 % par rapport à 2010), Si les effectifs de vaches allaitantes sont quasi stables (+ 0,1 %), ceux de vaches laitières reculent de 1,0 % sur un an Le nombre d’exploitations françaises détenant des bovins continue de décroître. En 2020, avec près de 152 000 unités en France métropolitaine, il recule de 1,9 % par rapport à 2019 (‑ 21,3 % par rapport à 2010). Cette baisse s’accompagne d’un accroissement de la taille des cheptels. En 2020, un élevage bovin compte 117 animaux en moyenne, contre 101 en 2010. Les exploitations de plus de 40 vaches représentent 50 % des exploitations bovines et élèvent 86 % des vaches. En 2020, les régions Bretagne, Pays de la Loire et Normandie concentrent 52 % des effectifs de vaches laitières.

En 2020, la production française de viande bovine est quasi stable sur un an (+ 0,2 %). La hausse des productions de vaches et de génisses compense la baisse des productions de bovins mâles et de veaux. En 2020, la crise de la Covid‑19 et les mesures sanitaires mises en place ont un impact sur les échanges de viande bovine. La fermeture d’une grande partie de la restauration hors domicile pèse sur les importations de viande qui reculent de 16,8 % sur un an. L’impact de la pandémie est plus modéré sur les exportations de viande qui baissent de 2,5 %. Ces échanges se font majoritairement au sein de l’Union européenne. . En Europe, la France reste le premier pays pro ducteur de viande b ovine, suivi par l’Allemagne et l’Espagne.

Les prix à la consommation des viandes de bœuf et de veau augmentent de nouveau de 1,8 % sur un an. . En 2020, ils reculent de 1,0 % sur un an. Les prix des aliments pour gros bovins baissent de 2013 à 2017 pour augmenter à compter de 2018. En 2020, ils dépassent de 0,5 % le niveau de 2019. Depuis 1990, les prix à la production des veaux de boucherie augmentent, tout comme le prix des aliments pour veaux. Depuis 2019, l’indice des prix des aliments dépassent celui des prix à la production. En 2020, il augmente de 2,9 % sur un an. Dans le même temps, les prix à la production reculent pour la seconde année consécutive (‑ 1,1 % sur un an), après une relative stabilité entre 2015 et 2018.

Avec 24 milliards de litres en 2020, la collecte française de lait de vache progresse légèrement par rapport à 2019 (+ 0,6 %) et atteint son plus haut niveau après 2015. Après une forte hausse au cours des trois premiers mois, la production laitière recule au 2 e trimestre dans le contexte de la crise sanitaire. Malgré des conditions météorologiques défavorables au printemps et à l’été et une nouvelle réduction du cheptel laitier (‑ 3,1 % par rapport à 2019), la collecte se maintient au second semestre. En moyenne sur l’année 2020, le prix du lait à teneurs réelles tous types de lait confondus baisse très légèrement par rapport à 2019, année caractérisée par une forte hausse (+ 4,3 %) et s’élève à 373,1 € pour 1 000 l. La collecte de lait de vache bio (label AB) augmente à un rythme moins soutenu, mais sa part continue de croître, avec 4,6 % de la collecte totale, contre 4,2 % en 2019. La part de lait collecté AOP/IGP augmente également (16,5 % de la collecte totale). Les livraisons à l’industrie laitière se concentrent dans l’ouest de la France : les régions Bretagne, Pays de la Loire et Normandie représentent, à elles trois, plus de la moitié des livraisons françaises. En 2020, 49 400 producteurs livrent du lait de vache à l’industrie laitière.

Classification des races bovines
QUIZ

lES PRODUITS ISSUS DES bOVINS

ovin

L’élevage ovin en France compte plus de 21 000 éleveurs ovins professionnels (ayant plus de 50 brebis) et près de 41 000 détenteurs (de plus de 10 brebis) pour un troupeau national de plus 5,7 millions de brebis (plus de 7,4 millions d’ovins). Les grands bassins de production sont globalement situés dans le sud de la France : Occitanie suivie par Nouvelle-Aquitaine, Auvergne-Rhône Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur. Même avec un nombre moins important de brebis, une dynamique de production existe dans les autres régions de France. L’élevage ovin à deux finalités : la production de viande d’agneau et celle du lait. Environ 28% du cheptel national est consacré à la production laitière.

Les differentes races

Races laitières

Races bouchères

Races rustiques

Races en conservation

Races d'outremer

Les produits issus des ovins

La France est le premier pays fabricant de fromages de chèvre au monde. Plus de 130 000 tonnes de fromages de chèvre sont produites chaque année dont : 110 000 tonnes en fromageries coopératives ou industrielles environ 20 000 tonnes à la ferme par les producteurs fermiers Une soixantaine d’entreprises transforment le lait de chèvre livré. Le lait de chèvre est transformé en fromages essentiellement, les autres débouchés (lait UHT, yaourts et autres produits ultra-frais) restant anecdotiques malgré leur forte croissance ces dernières années. La France est également le 1er pays consommateur de fromages de chèvre : plus de 80% de la production est consommée en France. Chaque foyer consomme ainsi plus de 2 kg de fromage de chèvre chaque année.

CAPRIN

La filière lait de chèvre en France tient une place particulière au sein de la filière laitière. Si elle partage, avec les filières lait de vache et lait de brebis, un certain nombre de problématiques, elle a ses caractéristiques propres et n’est pas soumise aux mêmes aléas économiques. Avec un peu plus d’un million de têtes, soit 9,5 % du cheptel européen, le cheptel caprin français se tient à la quatrième place en Europe après la Grèce, l’Espagne et la Roumanie. En termes de production de lait de chèvre, la France est leader européen devant l’Espagne, la Grèce et la Roumanie, avec 602 millions de litres de lait de chèvre produits en 2016. 78% de ces volumes sont livrés à une laiterie-fromagerie et 22 % sont transformés à la ferme. C’est une petite filière composée d’environ 6.000 élevages professionnels dont : • 47 % transforment leur lait en fromages à la ferme, • 48 % livrent leur lait à une fromagerie, • 5 % sont « mixtes », c’est-à-dire qu’ils transforment une partie de leur lait à la ferme et livrent l’autre partie à une laiterie.

lES RACES CAPRINES

Races laitières Alpine Saanen Poitevine Races lainières Angora Races régionales Corse Créole Des fossés Lorraine Massif Central Provençale Pyrénées Rove

les produits issus des caprins

Le poil

La viande

Le lait

Le cuir

Porcin

En France, on retrouve 3 systèmes d’élevage : Bâtiment sur caillebotis : représente 90% des élevages de porc en France. Ce type d’élevage est le plus répandu en Europe et dans le monde. Les animaux y sont élevés au sein de bâtiments dont le sol est ajouré (on parle de caillebotis), permettant l’évacuation des excréments et de l’urine des animaux et de l’eau de lavage du sol. Ce mode d’élevage permet de faciliter le travail de l’éleveur pour nourrir, surveiller et soigner ses animaux. Bâtiment en litière bio-maitrisée : représente 5% des élevages de porc en France. Les animaux y sont élevés à l’intérieur de bâtiments dont le sol est bétonné et recouvert d’une litière en sciure, paille, etc. Cette litière absorbe excréments et urine. De la paille fraiche est apportée tous les jours. En plein air : représente 5% des élevages de porcs en France. Les animaux y sont élevés à l’extérieur et disposent d’abris avec toiture en tôle et paillés à l’intérieur.

Les porcs sont élevés pour la consommation de viande et de produits de charcuterie. La viande porcine est une viande généralement issue d’animaux âgés en moyenne de 6 à 7 mois, appelés porcs charcutiers. L’Ouest de la France est une grande région d’élevage de porc avec 70% de la production, mais on retrouve des élevages de porcs également dans les autres régions françaises.

Les races de porc

Parallèlement à ces systèmes d’élevage, l’éleveur peut choisir une ou plusieurs « spécialisation » : Naisseur : il élève les truies, les verrats, fait naitre les porcelets et les élève jusqu’au moment de leur sevrage. Engraisseur : il se fournit en porcelets sevrés auprès d’un autre éleveur « Naisseur » et élève les porcs charcutiers jusqu’à ce qu’ils soient prêts à partir pour l’abattage. Naisseur / Engraisseur : il assure toutes les étapes de l’élevage, de la naissance des porcelets à l’engraissement des porcs charcutiers. Il s’agit du système de production le plus répandu en France.

Les produits issus des porcs

MERCI