A2Origine des caractères communs des êtres vivants
ROUANET CLAIRE
Created on September 10, 2022
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Transcript
Origine des caractères communs aux êtres vivants
commencer
A2 svt 5ème Mme Rouanetinspiré de Mme Douheret
Missions
Introduction
Tu vas devoir te renseigner sur le buisson du vivant et comprendre ce que représentent les arbres de parenté, voir les constuire !
Un buisson ? des arbres ?
Missions
Code
Introduction
Missions
Code
Il est conseillé de les faire dans l'ordre.
Sélectionne la mission
Lire un arbre
Compléter un arbre
Construireun arbre
Tu vas regarder la théorie de l'évolution, courte animation de Laetoli Production.
extrait de film
Introduction
Missions
Clique sur la représentation des liens de parenté reconnue actuellement par les scientifiques.
Clique sur les cases dans lesquelles le caractère est possédé
VALIDER
ContinueR
Il y a quelques erreurs, rééssaie, tu vas réussir !
Place les étiquettes à la bonne place
ContinueR
Cornes B
4 membres, dents
Poils, taille des incisives
Cornes
Quel arbre retiennent les scientifiques ?
l'arbre le plus parcimonieux : celui où il y a le moins d'apparition et de disparition de caractères
l'arbre où il y a le plus de disparition de caractères
l'arbre où il y a le plus d'apparition de caractères
l'arbre où il y a le moins d'apparition de caractères
Quel est le plus proche parent de A ?
C
D
B
Clique sur la réponse qui explique la convergence
Timing du film : 9min27 à 10min57
Une adaptation au même milieu de vie peut-être à l'origine d'une ressemblance entre deux êtres vivants qui ne sont pas proches parents
Deux êtres vivants qui se ressemblent sont toujours les plus proches parents
Tous les êtres vivants d'un même milieu de vie se ressemblent quels que soient leurs lien de parenté
Place l'ancêtre commun pour chaque noeud de l'arbre
Timing du film : 10min57 à 12min08
ContinueR
Coche toutes les affirmations justes
VALIDER
ContinueR
Il y a quelques erreurs, rééssaie, tu vas réussir !
Un fossile n'est pas un ancêtre commun car
C'est une erreur, un fossile est un ancêtre commun.
Il n'a pas forcément eu une descendance, il n'est donc pas un ancêtre direct d'une espèce actuelle.
'Un fossile est un intermédiaire entre deux espèces.
'Un fossile n'est qu'un individu, pas une espèce.
'Un fossile n'est pas un intermédiaire entre deux espèces.
Continue
La théorie de sélection naturelle n'a plus de secret pour toi !
Félicitations!
Tu as trouvé le premier chiffre du code !
1
Retenter
Tu as fait une toute petite erreur. Ce n'est pas grave, il faut recommencer !
Oh non!
Introduction
Missions
Code
Tu vas vérifier que la lecure d'arbre phylogéntique n'a plus de secret pour toi !
Lecture d'arbres
C'est parti
Arbre phylogénétique de la ménagerie des plantes
01. Cliquer sur le ou les êtres vivants les plus proches parents du crocodile ?
Il faut savoir justifier !
Clue Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna.
Les êtres vivants les plus proches sont ceux qui partagent le plus de caractères en commun !
On voit que le Goura et le pigeon partagent avec 4 caractères en commun sur cet arbre avec le crocodile alors que les autres êtres vivants de l’arbre n’en partagent que 3 ou moins. Le Goura et le pigeon sont donc les êtres vivants qui partagent le plus de caractères en commun avec le crocodile dans cet arbre. Or, on sait que plus les êtres vivants partagent de caractères en commun, plus ils sont proches. On en déduit que le Goura et le pigeon sont les plus proches parents du crocodile dans cet arbre phylogénétique.
Arbre phylogénétique de la ménagerie des plantes
02. Placer la balise ci-dessus à l'endroit où se situe sur l’arbre l’ancêtre commun hypothétique à l’orang-outang et au crocodile.
Ancêtre commun hypothétique
ContinueR
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L'ancêtree commun hypothétique se situe à un noeud de l'arbre. C'est le noeud juste après le dernier caractère partagé entre les deux espèces étudiée.
Arbre phylogénétique de la ménagerie des plantes
03. Cocher les caractères possédés par l’ancêtre commun hypothétique du phasme et du cercopithèque.
VALIDER
ContinueR
Il y a quelques erreurs, rééssaie, tu vas réussir !
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Ce sont tous les caractères qui apparaissent avec l'ancêtre commun, donc tous ceux présents avant le nœud de l'ancêtre commun.
Prêt à relever un autre défi ?
Bravo !
Tu viens d'obtenir le 2ème chiffre du code !
Continue
6
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Une toute petite erreur. Il faut recommencer ! N'hésite pas à t'aider du ?
Oh non!
Retente
Le fixisme Georges Cuvier 1769-1832 Le transformisme Jean-Baptiste de Lamarck (1744-1829) L’évolution des espèces Darwin (1809-1882) Dans ses travaux de paléontologie sur les vertébrés fossiles, Cuvier met en évidence la disparition et la succession des espèces au cours des temps géologiques. Selon lui, les espèces sont fixes : elles ne changent pas et elles disparaissent lors de grandes catastrophes. Suite à ces catastrophes, de nouvelles espèces sont crées. « Pourquoi les espèces actuelles, me dira-t-on, ne seraient-elles pas des modifications de ces espèces anciennes que l’on trouve parmi les fossiles, modifications qui auraient été produites […] par la longue succession des années? […] On peut répondre, dans leur propre système, que si les espèces ont changé par degrés, on devrait trouver des traces de ces modifications graduelles et que jusqu’à présent cela n’est point arrivé. » Extrait Discours sur les révolutions à la surface du globe, 1825 « Il y a don, dans les animaux, des caractères qui résistent à toutes les influences, soit naturelles, soit humaine, et rien n’annonce que le temps ait, à leur égard, plus d’effet que le climat. » Extrait Discours préliminaire Lamarck élabore sa théorie à partir de l’exemple des girafes : « on sait que la girafe […] vit dans des lieux où la terre […] l’oblige de brouter le feuillage des arbres, et de s’efforcer continuellement d’y atteindre. Il est résulté de cette habitude soutenue, depuis longtemps, dans tous les individus de son espèce, que ses jambes de devant sont devenues plus longues que celles de derrière, et que son col s’est tellement allongé, que la girafe […] élève sa tête et atteint six mètres de hauteur. Les efforts dans un sens quelconque, longtemps soutenus ou habituellement faits par certaines parties d’un corps vivant, pour satisfaire des besoins […] étendent ces parties, et leur font acquérir des dimensions et une forme qu’elles n’eussent jamais obtenues, si ces efforts ne fussent point devenus l’action habituelle des animaux qui les ont exercés » Extrait de Philosophie zoologique (chapitre 7) « Mais si des variations utiles à un être organisé quelconque se présentent quelquefois, assurément les individus qui en sont l’objet ont la meilleure chance de l’emporter dans la lutter pour l’existence ; puis, en vertu du principe si puissant de l'hérédité, ces individus tendent à laisser des descendants ayant le même caractère qu'eux. J’ai donné le nom de sélection naturelle à ce principe. » Extrait de l’origine des espèce (1859)
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Missions
Code
Introduction
Dans cette partie, il va falloir compléter un arbre phylogénétique : caractères, nom d'espèces, ...
Compléter un arbre !
C'est parti !
01. A partir du tableau d'attributs, compléter l'arbre phylogénétique
Lys
Bananier
Robinier faux-acacia
Cèdre du Liban
ContinueR
Pin laricio
Polypode vulgaire
Grimmia pulvinata
Le fixisme Georges Cuvier 1769-1832 Le transformisme Jean-Baptiste de Lamarck (1744-1829) L’évolution des espèces Darwin (1809-1882) Dans ses travaux de paléontologie sur les vertébrés fossiles, Cuvier met en évidence la disparition et la succession des espèces au cours des temps géologiques. Selon lui, les espèces sont fixes : elles ne changent pas et elles disparaissent lors de grandes catastrophes. Suite à ces catastrophes, de nouvelles espèces sont crées. « Pourquoi les espèces actuelles, me dira-t-on, ne seraient-elles pas des modifications de ces espèces anciennes que l’on trouve parmi les fossiles, modifications qui auraient été produites […] par la longue succession des années? […] On peut répondre, dans leur propre système, que si les espèces ont changé par degrés, on devrait trouver des traces de ces modifications graduelles et que jusqu’à présent cela n’est point arrivé. » Extrait Discours sur les révolutions à la surface du globe, 1825 « Il y a don, dans les animaux, des caractères qui résistent à toutes les influences, soit naturelles, soit humaine, et rien n’annonce que le temps ait, à leur égard, plus d’effet que le climat. » Extrait Discours préliminaire Lamarck élabore sa théorie à partir de l’exemple des girafes : « on sait que la girafe […] vit dans des lieux où la terre […] l’oblige de brouter le feuillage des arbres, et de s’efforcer continuellement d’y atteindre. Il est résulté de cette habitude soutenue, depuis longtemps, dans tous les individus de son espèce, que ses jambes de devant sont devenues plus longues que celles de derrière, et que son col s’est tellement allongé, que la girafe […] élève sa tête et atteint six mètres de hauteur. Les efforts dans un sens quelconque, longtemps soutenus ou habituellement faits par certaines parties d’un corps vivant, pour satisfaire des besoins […] étendent ces parties, et leur font acquérir des dimensions et une forme qu’elles n’eussent jamais obtenues, si ces efforts ne fussent point devenus l’action habituelle des animaux qui les ont exercés » Extrait de Philosophie zoologique (chapitre 7) « Mais si des variations utiles à un être organisé quelconque se présentent quelquefois, assurément les individus qui en sont l’objet ont la meilleure chance de l’emporter dans la lutter pour l’existence ; puis, en vertu du principe si puissant de l'hérédité, ces individus tendent à laisser des descendants ayant le même caractère qu'eux. J’ai donné le nom de sélection naturelle à ce principe. » Extrait de l’origine des espèce (1859)
02. A partir du tableau d'attributs, compléter l'arbre phylogénétique
Ailes plumeuses
ContinueR
4 membres
Poils pouce opposable
Ecailles soudées
Le fixisme Georges Cuvier 1769-1832 Le transformisme Jean-Baptiste de Lamarck (1744-1829) L’évolution des espèces Darwin (1809-1882) Dans ses travaux de paléontologie sur les vertébrés fossiles, Cuvier met en évidence la disparition et la succession des espèces au cours des temps géologiques. Selon lui, les espèces sont fixes : elles ne changent pas et elles disparaissent lors de grandes catastrophes. Suite à ces catastrophes, de nouvelles espèces sont crées. « Pourquoi les espèces actuelles, me dira-t-on, ne seraient-elles pas des modifications de ces espèces anciennes que l’on trouve parmi les fossiles, modifications qui auraient été produites […] par la longue succession des années? […] On peut répondre, dans leur propre système, que si les espèces ont changé par degrés, on devrait trouver des traces de ces modifications graduelles et que jusqu’à présent cela n’est point arrivé. » Extrait Discours sur les révolutions à la surface du globe, 1825 « Il y a don, dans les animaux, des caractères qui résistent à toutes les influences, soit naturelles, soit humaine, et rien n’annonce que le temps ait, à leur égard, plus d’effet que le climat. » Extrait Discours préliminaire Lamarck élabore sa théorie à partir de l’exemple des girafes : « on sait que la girafe […] vit dans des lieux où la terre […] l’oblige de brouter le feuillage des arbres, et de s’efforcer continuellement d’y atteindre. Il est résulté de cette habitude soutenue, depuis longtemps, dans tous les individus de son espèce, que ses jambes de devant sont devenues plus longues que celles de derrière, et que son col s’est tellement allongé, que la girafe […] élève sa tête et atteint six mètres de hauteur. Les efforts dans un sens quelconque, longtemps soutenus ou habituellement faits par certaines parties d’un corps vivant, pour satisfaire des besoins […] étendent ces parties, et leur font acquérir des dimensions et une forme qu’elles n’eussent jamais obtenues, si ces efforts ne fussent point devenus l’action habituelle des animaux qui les ont exercés » Extrait de Philosophie zoologique (chapitre 7) « Mais si des variations utiles à un être organisé quelconque se présentent quelquefois, assurément les individus qui en sont l’objet ont la meilleure chance de l’emporter dans la lutter pour l’existence ; puis, en vertu du principe si puissant de l'hérédité, ces individus tendent à laisser des descendants ayant le même caractère qu'eux. J’ai donné le nom de sélection naturelle à ce principe. » Extrait de l’origine des espèce (1859)
03. A partir du tableau d'attributs, compléter l'arbre phylogénétique
Mâchoire
ContinueR
Baudroie
Capricorne
6 pattes
Poils
Gorille
Nageoires rayonnées
Babouin
Criquet
Tête
Le fixisme Georges Cuvier 1769-1832 Le transformisme Jean-Baptiste de Lamarck (1744-1829) L’évolution des espèces Darwin (1809-1882) Dans ses travaux de paléontologie sur les vertébrés fossiles, Cuvier met en évidence la disparition et la succession des espèces au cours des temps géologiques. Selon lui, les espèces sont fixes : elles ne changent pas et elles disparaissent lors de grandes catastrophes. Suite à ces catastrophes, de nouvelles espèces sont crées. « Pourquoi les espèces actuelles, me dira-t-on, ne seraient-elles pas des modifications de ces espèces anciennes que l’on trouve parmi les fossiles, modifications qui auraient été produites […] par la longue succession des années? […] On peut répondre, dans leur propre système, que si les espèces ont changé par degrés, on devrait trouver des traces de ces modifications graduelles et que jusqu’à présent cela n’est point arrivé. » Extrait Discours sur les révolutions à la surface du globe, 1825 « Il y a don, dans les animaux, des caractères qui résistent à toutes les influences, soit naturelles, soit humaine, et rien n’annonce que le temps ait, à leur égard, plus d’effet que le climat. » Extrait Discours préliminaire Lamarck élabore sa théorie à partir de l’exemple des girafes : « on sait que la girafe […] vit dans des lieux où la terre […] l’oblige de brouter le feuillage des arbres, et de s’efforcer continuellement d’y atteindre. Il est résulté de cette habitude soutenue, depuis longtemps, dans tous les individus de son espèce, que ses jambes de devant sont devenues plus longues que celles de derrière, et que son col s’est tellement allongé, que la girafe […] élève sa tête et atteint six mètres de hauteur. Les efforts dans un sens quelconque, longtemps soutenus ou habituellement faits par certaines parties d’un corps vivant, pour satisfaire des besoins […] étendent ces parties, et leur font acquérir des dimensions et une forme qu’elles n’eussent jamais obtenues, si ces efforts ne fussent point devenus l’action habituelle des animaux qui les ont exercés » Extrait de Philosophie zoologique (chapitre 7) « Mais si des variations utiles à un être organisé quelconque se présentent quelquefois, assurément les individus qui en sont l’objet ont la meilleure chance de l’emporter dans la lutter pour l’existence ; puis, en vertu du principe si puissant de l'hérédité, ces individus tendent à laisser des descendants ayant le même caractère qu'eux. J’ai donné le nom de sélection naturelle à ce principe. » Extrait de l’origine des espèce (1859)
Tu fais un parcours remarquable jusque là ! Plus qu'un défi ! Courage !
Extraordinaire!
Tu viens d'obtenir le 3ème chiffre du code !
2
Continue
Animals Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat.
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Tu as fais une toute petite erreur. Il faut réessayer !
Oh non !
Retente
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Le fixisme Georges Cuvier 1769-1832 Le transformisme Jean-Baptiste de Lamarck (1744-1829) L’évolution des espèces Darwin (1809-1882) Dans ses travaux de paléontologie sur les vertébrés fossiles, Cuvier met en évidence la disparition et la succession des espèces au cours des temps géologiques. Selon lui, les espèces sont fixes : elles ne changent pas et elles disparaissent lors de grandes catastrophes. Suite à ces catastrophes, de nouvelles espèces sont crées. « Pourquoi les espèces actuelles, me dira-t-on, ne seraient-elles pas des modifications de ces espèces anciennes que l’on trouve parmi les fossiles, modifications qui auraient été produites […] par la longue succession des années? […] On peut répondre, dans leur propre système, que si les espèces ont changé par degrés, on devrait trouver des traces de ces modifications graduelles et que jusqu’à présent cela n’est point arrivé. » Extrait Discours sur les révolutions à la surface du globe, 1825 « Il y a don, dans les animaux, des caractères qui résistent à toutes les influences, soit naturelles, soit humaine, et rien n’annonce que le temps ait, à leur égard, plus d’effet que le climat. » Extrait Discours préliminaire Lamarck élabore sa théorie à partir de l’exemple des girafes : « on sait que la girafe […] vit dans des lieux où la terre […] l’oblige de brouter le feuillage des arbres, et de s’efforcer continuellement d’y atteindre. Il est résulté de cette habitude soutenue, depuis longtemps, dans tous les individus de son espèce, que ses jambes de devant sont devenues plus longues que celles de derrière, et que son col s’est tellement allongé, que la girafe […] élève sa tête et atteint six mètres de hauteur. Les efforts dans un sens quelconque, longtemps soutenus ou habituellement faits par certaines parties d’un corps vivant, pour satisfaire des besoins […] étendent ces parties, et leur font acquérir des dimensions et une forme qu’elles n’eussent jamais obtenues, si ces efforts ne fussent point devenus l’action habituelle des animaux qui les ont exercés » Extrait de Philosophie zoologique (chapitre 7) « Mais si des variations utiles à un être organisé quelconque se présentent quelquefois, assurément les individus qui en sont l’objet ont la meilleure chance de l’emporter dans la lutter pour l’existence ; puis, en vertu du principe si puissant de l'hérédité, ces individus tendent à laisser des descendants ayant le même caractère qu'eux. J’ai donné le nom de sélection naturelle à ce principe. » Extrait de l’origine des espèce (1859)
Introduction
Missions
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Pour ce tout dernier défi, tu vas devoir construire des arbres phylogénétiques !
Dernier défi !
C'est parti
La théorie de l'évolution de Charles Darwin
- indiquer quel est l’être vivant le plus proche du cercopithèque. - Indiquer l’ancêtre commun du crocodile et du pigeon- Relever les différents caractères possédés par l’ancêtre commun du crocodile et du pigeon.
01. A partir du tableau d'attributs, construit l'arbre phylogénétique.
Le fixisme Georges Cuvier 1769-1832 Le transformisme Jean-Baptiste de Lamarck (1744-1829) L’évolution des espèces Darwin (1809-1882) Dans ses travaux de paléontologie sur les vertébrés fossiles, Cuvier met en évidence la disparition et la succession des espèces au cours des temps géologiques. Selon lui, les espèces sont fixes : elles ne changent pas et elles disparaissent lors de grandes catastrophes. Suite à ces catastrophes, de nouvelles espèces sont crées. « Pourquoi les espèces actuelles, me dira-t-on, ne seraient-elles pas des modifications de ces espèces anciennes que l’on trouve parmi les fossiles, modifications qui auraient été produites […] par la longue succession des années? […] On peut répondre, dans leur propre système, que si les espèces ont changé par degrés, on devrait trouver des traces de ces modifications graduelles et que jusqu’à présent cela n’est point arrivé. » Extrait Discours sur les révolutions à la surface du globe, 1825 « Il y a don, dans les animaux, des caractères qui résistent à toutes les influences, soit naturelles, soit humaine, et rien n’annonce que le temps ait, à leur égard, plus d’effet que le climat. » Extrait Discours préliminaire Lamarck élabore sa théorie à partir de l’exemple des girafes : « on sait que la girafe […] vit dans des lieux où la terre […] l’oblige de brouter le feuillage des arbres, et de s’efforcer continuellement d’y atteindre. Il est résulté de cette habitude soutenue, depuis longtemps, dans tous les individus de son espèce, que ses jambes de devant sont devenues plus longues que celles de derrière, et que son col s’est tellement allongé, que la girafe […] élève sa tête et atteint six mètres de hauteur. Les efforts dans un sens quelconque, longtemps soutenus ou habituellement faits par certaines parties d’un corps vivant, pour satisfaire des besoins […] étendent ces parties, et leur font acquérir des dimensions et une forme qu’elles n’eussent jamais obtenues, si ces efforts ne fussent point devenus l’action habituelle des animaux qui les ont exercés » Extrait de Philosophie zoologique (chapitre 7) « Mais si des variations utiles à un être organisé quelconque se présentent quelquefois, assurément les individus qui en sont l’objet ont la meilleure chance de l’emporter dans la lutter pour l’existence ; puis, en vertu du principe si puissant de l'hérédité, ces individus tendent à laisser des descendants ayant le même caractère qu'eux. J’ai donné le nom de sélection naturelle à ce principe. » Extrait de l’origine des espèce (1859)
correction
La théorie de l'évolution de Charles Darwin
- indiquer quel est l’être vivant le plus proche du cercopithèque. - Indiquer l’ancêtre commun du crocodile et du pigeon- Relever les différents caractères possédés par l’ancêtre commun du crocodile et du pigeon.
02. A partir du tableau d'attributs, construit l'arbre phylogénétique.
Le fixisme Georges Cuvier 1769-1832 Le transformisme Jean-Baptiste de Lamarck (1744-1829) L’évolution des espèces Darwin (1809-1882) Dans ses travaux de paléontologie sur les vertébrés fossiles, Cuvier met en évidence la disparition et la succession des espèces au cours des temps géologiques. Selon lui, les espèces sont fixes : elles ne changent pas et elles disparaissent lors de grandes catastrophes. Suite à ces catastrophes, de nouvelles espèces sont crées. « Pourquoi les espèces actuelles, me dira-t-on, ne seraient-elles pas des modifications de ces espèces anciennes que l’on trouve parmi les fossiles, modifications qui auraient été produites […] par la longue succession des années? […] On peut répondre, dans leur propre système, que si les espèces ont changé par degrés, on devrait trouver des traces de ces modifications graduelles et que jusqu’à présent cela n’est point arrivé. » Extrait Discours sur les révolutions à la surface du globe, 1825 « Il y a don, dans les animaux, des caractères qui résistent à toutes les influences, soit naturelles, soit humaine, et rien n’annonce que le temps ait, à leur égard, plus d’effet que le climat. » Extrait Discours préliminaire Lamarck élabore sa théorie à partir de l’exemple des girafes : « on sait que la girafe […] vit dans des lieux où la terre […] l’oblige de brouter le feuillage des arbres, et de s’efforcer continuellement d’y atteindre. Il est résulté de cette habitude soutenue, depuis longtemps, dans tous les individus de son espèce, que ses jambes de devant sont devenues plus longues que celles de derrière, et que son col s’est tellement allongé, que la girafe […] élève sa tête et atteint six mètres de hauteur. Les efforts dans un sens quelconque, longtemps soutenus ou habituellement faits par certaines parties d’un corps vivant, pour satisfaire des besoins […] étendent ces parties, et leur font acquérir des dimensions et une forme qu’elles n’eussent jamais obtenues, si ces efforts ne fussent point devenus l’action habituelle des animaux qui les ont exercés » Extrait de Philosophie zoologique (chapitre 7) « Mais si des variations utiles à un être organisé quelconque se présentent quelquefois, assurément les individus qui en sont l’objet ont la meilleure chance de l’emporter dans la lutter pour l’existence ; puis, en vertu du principe si puissant de l'hérédité, ces individus tendent à laisser des descendants ayant le même caractère qu'eux. J’ai donné le nom de sélection naturelle à ce principe. » Extrait de l’origine des espèce (1859)
La théorie de l'évolution de Charles Darwin
- indiquer quel est l’être vivant le plus proche du cercopithèque. - Indiquer l’ancêtre commun du crocodile et du pigeon- Relever les différents caractères possédés par l’ancêtre commun du crocodile et du pigeon.
03. A partir du tableau d'attributs, construit l'arbre phylogénétique.
Le fixisme Georges Cuvier 1769-1832 Le transformisme Jean-Baptiste de Lamarck (1744-1829) L’évolution des espèces Darwin (1809-1882) Dans ses travaux de paléontologie sur les vertébrés fossiles, Cuvier met en évidence la disparition et la succession des espèces au cours des temps géologiques. Selon lui, les espèces sont fixes : elles ne changent pas et elles disparaissent lors de grandes catastrophes. Suite à ces catastrophes, de nouvelles espèces sont crées. « Pourquoi les espèces actuelles, me dira-t-on, ne seraient-elles pas des modifications de ces espèces anciennes que l’on trouve parmi les fossiles, modifications qui auraient été produites […] par la longue succession des années? […] On peut répondre, dans leur propre système, que si les espèces ont changé par degrés, on devrait trouver des traces de ces modifications graduelles et que jusqu’à présent cela n’est point arrivé. » Extrait Discours sur les révolutions à la surface du globe, 1825 « Il y a don, dans les animaux, des caractères qui résistent à toutes les influences, soit naturelles, soit humaine, et rien n’annonce que le temps ait, à leur égard, plus d’effet que le climat. » Extrait Discours préliminaire Lamarck élabore sa théorie à partir de l’exemple des girafes : « on sait que la girafe […] vit dans des lieux où la terre […] l’oblige de brouter le feuillage des arbres, et de s’efforcer continuellement d’y atteindre. Il est résulté de cette habitude soutenue, depuis longtemps, dans tous les individus de son espèce, que ses jambes de devant sont devenues plus longues que celles de derrière, et que son col s’est tellement allongé, que la girafe […] élève sa tête et atteint six mètres de hauteur. Les efforts dans un sens quelconque, longtemps soutenus ou habituellement faits par certaines parties d’un corps vivant, pour satisfaire des besoins […] étendent ces parties, et leur font acquérir des dimensions et une forme qu’elles n’eussent jamais obtenues, si ces efforts ne fussent point devenus l’action habituelle des animaux qui les ont exercés » Extrait de Philosophie zoologique (chapitre 7) « Mais si des variations utiles à un être organisé quelconque se présentent quelquefois, assurément les individus qui en sont l’objet ont la meilleure chance de l’emporter dans la lutter pour l’existence ; puis, en vertu du principe si puissant de l'hérédité, ces individus tendent à laisser des descendants ayant le même caractère qu'eux. J’ai donné le nom de sélection naturelle à ce principe. » Extrait de l’origine des espèce (1859)
La théorie de l'évolution de Charles Darwin
- indiquer quel est l’être vivant le plus proche du Robinier faux-acacia. - Indiquer l’ancêtre commun du Pin laricio et du Polypode vulgaire.- Relever les différents caractères possédés par l’ancêtre commun du Pin laricio et du Polypode vulgaire.
04. A partir du tableau d'attributs, construit l'arbre phylogénétique.
Le fixisme Georges Cuvier 1769-1832 Le transformisme Jean-Baptiste de Lamarck (1744-1829) L’évolution des espèces Darwin (1809-1882) Dans ses travaux de paléontologie sur les vertébrés fossiles, Cuvier met en évidence la disparition et la succession des espèces au cours des temps géologiques. Selon lui, les espèces sont fixes : elles ne changent pas et elles disparaissent lors de grandes catastrophes. Suite à ces catastrophes, de nouvelles espèces sont crées. « Pourquoi les espèces actuelles, me dira-t-on, ne seraient-elles pas des modifications de ces espèces anciennes que l’on trouve parmi les fossiles, modifications qui auraient été produites […] par la longue succession des années? […] On peut répondre, dans leur propre système, que si les espèces ont changé par degrés, on devrait trouver des traces de ces modifications graduelles et que jusqu’à présent cela n’est point arrivé. » Extrait Discours sur les révolutions à la surface du globe, 1825 « Il y a don, dans les animaux, des caractères qui résistent à toutes les influences, soit naturelles, soit humaine, et rien n’annonce que le temps ait, à leur égard, plus d’effet que le climat. » Extrait Discours préliminaire Lamarck élabore sa théorie à partir de l’exemple des girafes : « on sait que la girafe […] vit dans des lieux où la terre […] l’oblige de brouter le feuillage des arbres, et de s’efforcer continuellement d’y atteindre. Il est résulté de cette habitude soutenue, depuis longtemps, dans tous les individus de son espèce, que ses jambes de devant sont devenues plus longues que celles de derrière, et que son col s’est tellement allongé, que la girafe […] élève sa tête et atteint six mètres de hauteur. Les efforts dans un sens quelconque, longtemps soutenus ou habituellement faits par certaines parties d’un corps vivant, pour satisfaire des besoins […] étendent ces parties, et leur font acquérir des dimensions et une forme qu’elles n’eussent jamais obtenues, si ces efforts ne fussent point devenus l’action habituelle des animaux qui les ont exercés » Extrait de Philosophie zoologique (chapitre 7) « Mais si des variations utiles à un être organisé quelconque se présentent quelquefois, assurément les individus qui en sont l’objet ont la meilleure chance de l’emporter dans la lutter pour l’existence ; puis, en vertu du principe si puissant de l'hérédité, ces individus tendent à laisser des descendants ayant le même caractère qu'eux. J’ai donné le nom de sélection naturelle à ce principe. » Extrait de l’origine des espèce (1859)
La théorie de l'évolution de Charles Darwin
05. A partir du tableau d'attributs, construit l'arbre phylogénétique.
Le fixisme Georges Cuvier 1769-1832 Le transformisme Jean-Baptiste de Lamarck (1744-1829) L’évolution des espèces Darwin (1809-1882) Dans ses travaux de paléontologie sur les vertébrés fossiles, Cuvier met en évidence la disparition et la succession des espèces au cours des temps géologiques. Selon lui, les espèces sont fixes : elles ne changent pas et elles disparaissent lors de grandes catastrophes. Suite à ces catastrophes, de nouvelles espèces sont crées. « Pourquoi les espèces actuelles, me dira-t-on, ne seraient-elles pas des modifications de ces espèces anciennes que l’on trouve parmi les fossiles, modifications qui auraient été produites […] par la longue succession des années? […] On peut répondre, dans leur propre système, que si les espèces ont changé par degrés, on devrait trouver des traces de ces modifications graduelles et que jusqu’à présent cela n’est point arrivé. » Extrait Discours sur les révolutions à la surface du globe, 1825 « Il y a don, dans les animaux, des caractères qui résistent à toutes les influences, soit naturelles, soit humaine, et rien n’annonce que le temps ait, à leur égard, plus d’effet que le climat. » Extrait Discours préliminaire Lamarck élabore sa théorie à partir de l’exemple des girafes : « on sait que la girafe […] vit dans des lieux où la terre […] l’oblige de brouter le feuillage des arbres, et de s’efforcer continuellement d’y atteindre. Il est résulté de cette habitude soutenue, depuis longtemps, dans tous les individus de son espèce, que ses jambes de devant sont devenues plus longues que celles de derrière, et que son col s’est tellement allongé, que la girafe […] élève sa tête et atteint six mètres de hauteur. Les efforts dans un sens quelconque, longtemps soutenus ou habituellement faits par certaines parties d’un corps vivant, pour satisfaire des besoins […] étendent ces parties, et leur font acquérir des dimensions et une forme qu’elles n’eussent jamais obtenues, si ces efforts ne fussent point devenus l’action habituelle des animaux qui les ont exercés » Extrait de Philosophie zoologique (chapitre 7) « Mais si des variations utiles à un être organisé quelconque se présentent quelquefois, assurément les individus qui en sont l’objet ont la meilleure chance de l’emporter dans la lutter pour l’existence ; puis, en vertu du principe si puissant de l'hérédité, ces individus tendent à laisser des descendants ayant le même caractère qu'eux. J’ai donné le nom de sélection naturelle à ce principe. » Extrait de l’origine des espèce (1859)
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Jusqu'au XVIIIe siècle en Europe : le FIXISME
1809 Lamarck : le TRANSFORMISME
1859 Darwin : l'Origine des espèces par les moyens de la sélection naturelle
2020 : Théorie moderne de l'évolution
Chaque individu se transforme selon les besoins de son organisme face à l’environnement.
Les espèces actuelles descendent d’espèces qui existaient hier. Ces transformations sont régies par les variations, les fluctuations aléatoires et la sélection naturelle.
Les espèces actuelles existent depuis la naissance du monde et n’ont donc jamais changé. Les espèces fossiles ont été détruites par des catastrophes.
Les espèces se transforment principalement par le fait de la variation aléatoire des individus et de leur sélection. Génétique inconnue.
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