exp. lin. T3

Une sevante audacieuse : Toinette se libère elle-même de la relation hiérachique entre maitre et domestique- Le dialogue ressemble à un duel verbal ( replique lancée comme un coup d'épée), Toinette utilise un parallélisme de construction ( « je lui commande absolument » devient « je lui défends absolument ») les 2 phrases ont me même modèle grammatical -> T a les même droit et pouvoir de décision que A. - A et T utilisent "je" comme sujet, -> pointe le fait qu'ils agissent - l. 166-167 : A exprime 2 questions réhtoriques et utilise la généralisation -> souligne le fait que T sort de la réserve et de la soumission d'une servante normal ("une coquine de servante"). - A prend de la distance avec T car il dit "son maître" -> montre le scandale de la situ.

Argan a une conception tyrannique des relations père/fille et maître/servante - Il pense qu'il a le pouvoir absolu dans sa maison, l'avis et le bien être de sa fille ne compt pas (il veut choisir pour Angélique un marie qui serve ses interrets à lui. - Vocabulaire employer le montre : les mots "commander" et "ablosument" associé -> admet aucune exeption. - A cette époque le mariage était avant tout un arrangement etre deux pères (la dote), le père pouvais aussi choisir de placer sa fille dans un couvent ou elle deviendra religieuse (souvent pare manque d'argents) - Les domestiques étaient complèttement soumis à leur maître qui avait même droit de les battres (l;170 : "Ah! Insolente, il fut que je t'assomme".

02.

1er partie

- dernière pièce de molière - créée en 1673 - comédie-ballet - met en scène un bourgeois hypocondriaque (Argan) qui veut à tout prix que - sa fille (Angélique) épouse un médecin - mais elle est amoureuse de Cléante - l'insolente servante (Toinette) prend dans cette scène le partie de la jeune fille contre son père - cela provoque une discussion qui tourne à la fin de la scéne à une querelle -> annoncer problématique et plan

01.

introduction

problématique : En quoi cette scène de dispute entre maître et servante est-elle comique ? plan linéaire : I - lignes 163 à 169 : un affrontement d'égal à égal II - lignes 170 à 189 : Une dispute aux allures de farces

Texte 3 : acte 1, scène 5

EXPLICATION LINEAIRE

Le malade imaginaire

- fin joue sur le comique de caractère, par l'opposition entre maître colérique et servante insolente et comique de gestes et de mots -> donnent une dimension très farcesques - affrontement entre A et T qui fini par le renoncement provisoir de A -> prépare la future inversion des rôles opérée par le travestissement de T ( deguisée en medecin elle malemènra son maître et le tournera en dérision à la scène 10 de l'acte III.

04

conclusion

Une victoire provisoire : - Dèrniere parole de A marque sa défaite, épuisé il change de sujet pour en revennir à son obsession et sa peur de mourir.- Mais ce n'est pas gagner, T est une servante et à donc aucun pouvoir décisionnel.- Nous somme seulement au début de la pièce.

Le passage est construit sur une forme de gradation qui culmine avec la victoire de T (l. 187) - Avant : duel verbal, jeu de scène farcesque ou A court après T puis A a recourt au insultes.- A attaque T en tant que personnes, utilise seulement la force brute, pas de parole et d'argumentation -> il utilisent just la violence (physique ou verbal).- C'est la que viens la superiorité de T, elle garde son sang froid ( pas lui), elle ne peut aussi pas car elle n'est qu'une servante.- " et elle m'obéira plutôt qu'a vous" -> signe la défaite d'A.- Angélique prend la parole mais ne prend pas partie ( en tant que fille respectueuse.

Le comique de mots relève aussi du comique de la farce - Thème des relation adultaire est abordé: T menace de ce danger dans le cas ou Angélique ne serai avec l'homme qu'elle aime réelement, cela fairais de a un père déshonoré.

un comique de gestes typique de la farce - Didascalies (l. 171 à 175) : jeu de scène ou A court après T qui se sauve, chaise comme objet de mise en scène -> permet au comédiens de tourner autour.- Comique de geste et + précisement farce.

03

2eme partie

- T reprend la généralisation avec "une servante" et "un maitre" -> comme si elle énonçait une règle de bon sens, elle se justifie. - T formule son accusation à la forme negative, elle prend moins de risque. - son audace transparait dans la facon de s'opposer a son maitre : "une servante bien sensé" -> critique A pas explecitement - A ne sais plus quoi répondre et veut utiliser la force physique ( didascalie)Le mariage d'Angélique est donc bien un enjeu de pouvoir entre A et T qui se livrent ici à une dispute très vive,mais qui reste une dispute de comédie.